Le ministre haïtien de l'Intérieur, Paul-Antoine Bien-Aimé, a visité, le 8 février, la ville d'Armenia au centre de la Colombie, frappée en 1999 par un puissant séisme.
Voilà dix ans, près des deux tiers de la ville située dans le centre de la Colombie avaient été détruits.
Après la catastrophe, un organisme public, le Forec, avait été créé pour coordonner et distribuer l'aide internationale, publique et privée dans le cadre de la reconstruction.
Le quotidien colombien El País explique que la délégation haïtienne a visité plusieurs bâtiments de cette localité afin de mieux comprendre la manière dont celle-ci avait été reconstruite.
"Ce modèle pourrait être repris pour Port-au-Prince", explique le journal.
Les autorités colombiennes ont proposé la création d'une sorte de "Forec international" pour venir en aide à Haïti.
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
jeudi 11 février 2010
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