Avant la rencontre des deux ministres des affaires étrangères, la France rend hommage à l’Argentine pour son action au sein de la MINUSTAH
jeudi 13 septembre 2007,
Radio Kiskeya
Les chefs de la diplomatie française, Bernard Kouchner et argentine, Jorge Taiana discuteront de l’évolution de la situation en Haïti, lors d’une rencontre prévue vendredi au Quai d’Orsay, siège de la chancellerie française.
Selon un communiqué rendu public jeudi à Paris sur la visite de travail de M. Taiana, outre les relations bilatérales et le Sommet Union européenne-Amérique latine et Caraïbes prévu en mai 2008 à Lima, Haïti constituera un thème de discussion de premier plan entre les deux hommes compte tenu du rôle que joue l’Argentine dans le processus de stabilisation du pays.
"L’Argentine est un important contributeur à la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH)", souligne le Quai d’Orsay. "Un engagement auquel la France rend hommage", conclut le communiqué.
Les échanges de vue entre Kouchner et Taiana sur le dossier d’Haïti coïncideront avec l’arrivée à Port-au-Prince le même jour, pour une visite officielle de 72 heures, de la secrétaire d’Etat française aux affaires étrangères et aux droits de l’homme, Rama Yade.
Selon l’ambassadeur de France à Port-au-Prince, Christian Connan, il s’agira de la "première prise de contact directe entre Paris et Port-au-Prince depuis l’élection respectivement des Présidents René Préval, en 2006, et Nicolas Sarkozy, en 2007".
L’Argentine a pour sa part déployé en Haïti quelque 600 casques bleus. Elle a également offert un hôpital militaire à la MINUSTAH qui compte 9.000 soldats et policiers internationaux. spp/RK
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4120
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
vendredi 14 septembre 2007
L’ambassadeur du Brésil à Port-au-Prince rejette catégoriquement l’étiquette de "force d’occupation" attribuée aux militaires brésiliens en mission en
En pleine polémique, Paulo Cordeiro Andrade Pinto a tenté à Brasilia de contrer la campagne orchestrée par l’Ordre des avocats du Brésil pour obtenir le retrait des casques bleus
jeudi 13 septembre 2007,
Radio Kiskeya
L’ambassadeur du Brésil, Paulo Cordeiro Andrade Pinto, a énergiquement protesté jeudi à Brasilia contre les récentes déclarations de l’Ordre des avocats du Brésil (OAB) qualifiant de "force d’occupation" le bataillon des casques bleus brésiliens déployé en Haïti.
Selon une dépêche de l’agence ANSA, le diplomate a affirmé que les 1.200 soldats fournis par Brasilia à la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH) n’ont rien à voir avec "une force d’occupation". Il ajoute que l’objectif de la mission est "au-delà de la coopération militaire, la reconstruction du pays".
Pour tenter de désamorcer la polémique, Andrade Pinto a cité à titre d’exemple les efforts des autorités brésiliennes auprès du Fonds Monétaire International (FMI) et de la Banque Mondiale en vue d’obtenir "l’annulation totale de la dette externe d’Haïti".
La position exprimée par le diplomate reflète fidèlement celle de son gouvernement. Le ministre de la défense, Nelson Jobim, avait déjà rejeté les allégations de l’Ordre des avocats du Brésil lors de sa participation à la réuinion latinoaméricaine sur l’avenir de la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH), organisée la semaine dernière à Port-au-Prince. "Le document démontre une méconnaissance totale de la situation prévalant ici et représente une manifestation d’un volontarisme typique de cette envie de faire de l’opposition", avait rétorqué Jobim à la publication d’un rapport négatif de l’OAB sur la présence brésilienne en Haïti.
A la suite du séjour à Port-au-Prince, en juin dernier, d’une mission des mouvements sociaux et syndicats brésiliens dont ils faisaient partie, les avocats n’ont cessé de dénoncer "le travail répressif des casques bleus au détriment des tâches humanitaires promises". Des arguments amplement suffisants pour porter l’opinion publique brésilienne à réclamer le rapatriement des casques bleus.
Depuis 2004, le Brésil détient le commandement de la force internationale de paix composée de 9.000 militaires et policiers.
Brasilia estime le coût financier de son engagement militaire en Haïti à 370 millions de reals (la monnaie locale), environ 185 millions de dollars américains tirés du trésor public au cours des trois dernières années. spp/RK
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4118
jeudi 13 septembre 2007,
Radio Kiskeya
L’ambassadeur du Brésil, Paulo Cordeiro Andrade Pinto, a énergiquement protesté jeudi à Brasilia contre les récentes déclarations de l’Ordre des avocats du Brésil (OAB) qualifiant de "force d’occupation" le bataillon des casques bleus brésiliens déployé en Haïti.
Selon une dépêche de l’agence ANSA, le diplomate a affirmé que les 1.200 soldats fournis par Brasilia à la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH) n’ont rien à voir avec "une force d’occupation". Il ajoute que l’objectif de la mission est "au-delà de la coopération militaire, la reconstruction du pays".
Pour tenter de désamorcer la polémique, Andrade Pinto a cité à titre d’exemple les efforts des autorités brésiliennes auprès du Fonds Monétaire International (FMI) et de la Banque Mondiale en vue d’obtenir "l’annulation totale de la dette externe d’Haïti".
La position exprimée par le diplomate reflète fidèlement celle de son gouvernement. Le ministre de la défense, Nelson Jobim, avait déjà rejeté les allégations de l’Ordre des avocats du Brésil lors de sa participation à la réuinion latinoaméricaine sur l’avenir de la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH), organisée la semaine dernière à Port-au-Prince. "Le document démontre une méconnaissance totale de la situation prévalant ici et représente une manifestation d’un volontarisme typique de cette envie de faire de l’opposition", avait rétorqué Jobim à la publication d’un rapport négatif de l’OAB sur la présence brésilienne en Haïti.
A la suite du séjour à Port-au-Prince, en juin dernier, d’une mission des mouvements sociaux et syndicats brésiliens dont ils faisaient partie, les avocats n’ont cessé de dénoncer "le travail répressif des casques bleus au détriment des tâches humanitaires promises". Des arguments amplement suffisants pour porter l’opinion publique brésilienne à réclamer le rapatriement des casques bleus.
Depuis 2004, le Brésil détient le commandement de la force internationale de paix composée de 9.000 militaires et policiers.
Brasilia estime le coût financier de son engagement militaire en Haïti à 370 millions de reals (la monnaie locale), environ 185 millions de dollars américains tirés du trésor public au cours des trois dernières années. spp/RK
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Jo-2008/Eliminatoires : Qualification in extremis d’Haïti pour le second tour
Revenus de loin après une victoire sur le fil contre St Kitts et Nevis 1-0, les jeunes internationaux haïtiens affronteront deux adversaires de taille, les Bahamas et la Jamaïque, le mois prochain
jeudi 13 septembre 2007,
Radio Kiskeya
Haïti s’est qualifiée in extremis pour le deuxième tour des éliminatoires du tournoi de football des Jeux Olympiques de Pékin 2008 en battant à l’arraché l’équipe de St Kitts et Nevis 1 but à 0 (mi-temps 0-0)) jeudi soir à Basseterre dans le match final du groupe D de la zone CONCACAF.
Le héros de la soirée a été contre toute attente le réserviste Leonel Saint-Preux. Rentré en deuxième mi-temps, l’attaquant du Zénith (Div.1, Haïti) a évité à son pays l’humiliation d’une élimination au premier tour en inscrivant l’unique but de la partie à moins de dix minutes de la fin. Une frappe imparable du gauche suite à un excellent travail du très talentueux Azor, le jeune haïtien de la Sampdoria Gênes (Div.1, Italie), parfaitement relayé par Fritson Jean-Baptiste de l’Aigle Noir (Div.1, Haïti).
Ce but autant improbable qu’inespéré a assommé les kittitiens qui n’ont pas su profiter de l’avantage d’évoluer à domicile et d’un arbitrage taillé sur mesure.
En revanche, le geste de Saint-Preux a enflammé des compatriotes, surtout des femmes résident à St Kitts, qui ont fait la fête au Warner Park Stadium au coup de sifflet final.
Encore une fois très peu inspirés en attaque et exposés derrière aux contre des joueurs de St Kitts, en très bonne condition physique, les haïtiens ont eu le mérite d’avoir évoluer avec un mal courage en infériorité numérique pendant presque près de 75 minutes. Premier verrou du système défensif, le médian James Marcelin du Racing Club Haïtien (Div.1, Haïti) a, en effet, écopé d’un carton rouge dès le premier quart d’heure. Une situation qui contrariait le plan de jeu de l’entraîneur Wilner Etienne et gênait considérablement l’évolution du onze national arrivé à Basseterre dans des conditions démentielles après avoir été victime de nombreuses tracasseries administratives.
Grâce à cette victoire, la sélection haïtienne, qui avait dû se contenter mardi d’un nul soporifique (0-0) face aux dominicains, décroche la première et seule place qualificative du groupe avec 4 points. Elle devance la République Dominicaine, deuxième avec 2 points et St Kitts et Nevis, bon dernier avec 1 point.
Après avoir mordu la poussière face à ces deux petits poucets, notre équipe olympique doit se préparer à faire face au second tour à deux clients autrement plus sérieux, les Bahamas et la Jamaïque, vainqueurs respectifs des groupes A et B. Les 9 et 13 octobre à Nassau, les U-23 tenteront de se hisser à la première place de ce triangulaire afin d’enlever l’unique billet disponible pour le tour final de la CONCACAF.
Ce n’est qu’à cette phase, très relevée avec la présence du Mexique, des Etats-Unis et du Canada, sans compter les centraméricains, que seront désignées les équipes qualifiées pour les JO de Pékin. spp/RK
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4121
jeudi 13 septembre 2007,
Radio Kiskeya
Haïti s’est qualifiée in extremis pour le deuxième tour des éliminatoires du tournoi de football des Jeux Olympiques de Pékin 2008 en battant à l’arraché l’équipe de St Kitts et Nevis 1 but à 0 (mi-temps 0-0)) jeudi soir à Basseterre dans le match final du groupe D de la zone CONCACAF.
Le héros de la soirée a été contre toute attente le réserviste Leonel Saint-Preux. Rentré en deuxième mi-temps, l’attaquant du Zénith (Div.1, Haïti) a évité à son pays l’humiliation d’une élimination au premier tour en inscrivant l’unique but de la partie à moins de dix minutes de la fin. Une frappe imparable du gauche suite à un excellent travail du très talentueux Azor, le jeune haïtien de la Sampdoria Gênes (Div.1, Italie), parfaitement relayé par Fritson Jean-Baptiste de l’Aigle Noir (Div.1, Haïti).
Ce but autant improbable qu’inespéré a assommé les kittitiens qui n’ont pas su profiter de l’avantage d’évoluer à domicile et d’un arbitrage taillé sur mesure.
En revanche, le geste de Saint-Preux a enflammé des compatriotes, surtout des femmes résident à St Kitts, qui ont fait la fête au Warner Park Stadium au coup de sifflet final.
Encore une fois très peu inspirés en attaque et exposés derrière aux contre des joueurs de St Kitts, en très bonne condition physique, les haïtiens ont eu le mérite d’avoir évoluer avec un mal courage en infériorité numérique pendant presque près de 75 minutes. Premier verrou du système défensif, le médian James Marcelin du Racing Club Haïtien (Div.1, Haïti) a, en effet, écopé d’un carton rouge dès le premier quart d’heure. Une situation qui contrariait le plan de jeu de l’entraîneur Wilner Etienne et gênait considérablement l’évolution du onze national arrivé à Basseterre dans des conditions démentielles après avoir été victime de nombreuses tracasseries administratives.
Grâce à cette victoire, la sélection haïtienne, qui avait dû se contenter mardi d’un nul soporifique (0-0) face aux dominicains, décroche la première et seule place qualificative du groupe avec 4 points. Elle devance la République Dominicaine, deuxième avec 2 points et St Kitts et Nevis, bon dernier avec 1 point.
Après avoir mordu la poussière face à ces deux petits poucets, notre équipe olympique doit se préparer à faire face au second tour à deux clients autrement plus sérieux, les Bahamas et la Jamaïque, vainqueurs respectifs des groupes A et B. Les 9 et 13 octobre à Nassau, les U-23 tenteront de se hisser à la première place de ce triangulaire afin d’enlever l’unique billet disponible pour le tour final de la CONCACAF.
Ce n’est qu’à cette phase, très relevée avec la présence du Mexique, des Etats-Unis et du Canada, sans compter les centraméricains, que seront désignées les équipes qualifiées pour les JO de Pékin. spp/RK
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4121
Le Président Lula et le Roi Harald V de Norvège scellent un partenariat en faveur d’Haïti
Le numéro un brésilien se félicite de l’attachement d’Oslo à la cause de la paix et du développement
jeudi 13 septembre 2007,
Radio Kiskeya
Oslo et Brasilia ont exprimé jeudi leur volonté de coopérer en faveur de la reconstruction d’Haïti lors d’un entretien entre le Président brésilien, Luiz Inàcio Lula da Silva et le Roi Harald V de Norvège, rapporte l’agence officielle brésilienne Agência Brasil.
"En Norvège, il y a une tradition de défense de la paix et du développement. Le pays s’est déjà investi dans beaucoup d’initiatives de réconciliation dans différentes parties du monde. La coopération entre nos deux pays engagés dans des efforts en vue de la reconstruction d’Haïti confirme cette longue tradition", a déclaré le chef de l’Etat dans un discours prononcé au Palais Royal d’Oslo à l’occasion d’une visite d’Etat de deux jours.
Le dirigeant sud-américain a estimé que la Norvège représentait un partenaire incontournable sur une série de thématiques d’importance globale.
Avant de boucler la dernière étape de sa tournée scandinave, après la Suède et le Danemark, Lula a été l’hôte d’un dîner officiel offert par sa majesté le Roi Harald V et la Reine Sonja.
Le Président brésilien est attendu vendredi à Madrid où il devrait aborder une fois de plus la question haïtienne avec le Roi Juan Carlos et le Premier ministre espagnol, José Luis Rodrìguez Zapatero.
Puissance émergente, le Brésil exerce le leadership militaire au sein de la Mission de stabilisation des Nations Unies (MINUSTAH) forte de 9.000 militaires et policiers internationaux. spp/RK
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4122
jeudi 13 septembre 2007,
Radio Kiskeya
Oslo et Brasilia ont exprimé jeudi leur volonté de coopérer en faveur de la reconstruction d’Haïti lors d’un entretien entre le Président brésilien, Luiz Inàcio Lula da Silva et le Roi Harald V de Norvège, rapporte l’agence officielle brésilienne Agência Brasil.
"En Norvège, il y a une tradition de défense de la paix et du développement. Le pays s’est déjà investi dans beaucoup d’initiatives de réconciliation dans différentes parties du monde. La coopération entre nos deux pays engagés dans des efforts en vue de la reconstruction d’Haïti confirme cette longue tradition", a déclaré le chef de l’Etat dans un discours prononcé au Palais Royal d’Oslo à l’occasion d’une visite d’Etat de deux jours.
Le dirigeant sud-américain a estimé que la Norvège représentait un partenaire incontournable sur une série de thématiques d’importance globale.
Avant de boucler la dernière étape de sa tournée scandinave, après la Suède et le Danemark, Lula a été l’hôte d’un dîner officiel offert par sa majesté le Roi Harald V et la Reine Sonja.
Le Président brésilien est attendu vendredi à Madrid où il devrait aborder une fois de plus la question haïtienne avec le Roi Juan Carlos et le Premier ministre espagnol, José Luis Rodrìguez Zapatero.
Puissance émergente, le Brésil exerce le leadership militaire au sein de la Mission de stabilisation des Nations Unies (MINUSTAH) forte de 9.000 militaires et policiers internationaux. spp/RK
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4122
200 illégaux haïtiens refoulés du territoire dominicain
Des passeurs dominicains ont réclamé environ 75 dollars américains à chacun des voyageurs
vendredi 14 septembre 2007,
Radio Kiskeya
Les autorités dominicaines ont rapatrié de force jeudi 200 ressortissants haïtiens qui avaient été interceptés par des soldats à la frontière alors qu’ils se rendaient clandestinement à Santiago (155 km au nord de Santo Domingo), rapporte vendredi une dépêche d’EFE.
Le commandant du dixième bataillon de l’armée dominicaine à Dajabòn (nord-est), le colonel Sergio Sepùlveda Mejìa, a indiqué à la presse que les sans-papiers ont été surpris à bord d’autobus et de camions en route pour la deuxième ville du pays.
Après une courte détention, tous les voyageurs ont été remis aux services d’immigration qui se sont chargés de leur rapatriement immédiat.
Certains des rapatriés ont affirmé avoir versé entre 2.000 et 2.500 pesos (entre 60 et 75 dollars américains) à des passeurs opérant entre Haïti et la République Dominicaine.
Les expulsions quasi-quotidiennes de nombreux haïtiens arrivés illégalement en territoire voisin sont régulièrement dénoncées par des organisations de défense des droits humains. spp/RK
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4123
vendredi 14 septembre 2007,
Radio Kiskeya
Les autorités dominicaines ont rapatrié de force jeudi 200 ressortissants haïtiens qui avaient été interceptés par des soldats à la frontière alors qu’ils se rendaient clandestinement à Santiago (155 km au nord de Santo Domingo), rapporte vendredi une dépêche d’EFE.
Le commandant du dixième bataillon de l’armée dominicaine à Dajabòn (nord-est), le colonel Sergio Sepùlveda Mejìa, a indiqué à la presse que les sans-papiers ont été surpris à bord d’autobus et de camions en route pour la deuxième ville du pays.
Après une courte détention, tous les voyageurs ont été remis aux services d’immigration qui se sont chargés de leur rapatriement immédiat.
Certains des rapatriés ont affirmé avoir versé entre 2.000 et 2.500 pesos (entre 60 et 75 dollars américains) à des passeurs opérant entre Haïti et la République Dominicaine.
Les expulsions quasi-quotidiennes de nombreux haïtiens arrivés illégalement en territoire voisin sont régulièrement dénoncées par des organisations de défense des droits humains. spp/RK
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4123
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