Les nouveaux ambassadeurs Ricardo Sotero García Nápoles et Everardo Luis Suárez Amezcua qui représentent respectivement les gouvernements cubain et mexicain en Haïti, ont remis ce mercredi leurs lettres de créance au président de la république.
Les deux diplomates se sont entretenus avec le président de la république René Préval pendant une dizaine de minutes.
A l'issue de la cérémonie l'ambassadeur Suárez Amezcua a déclaré que le renforcement de la démocratie en Haïti est un sujet important pour le Mexique qui, a-t-il précisé, est prêt à apporter son appui à ce sujet.
Quant au diplomate cubain, il a notamment souligné dans sa courte déclaration à la presse: « Nous espérons que les liens seront renforcés entre les deux pays ».
RD
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=15755
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
jeudi 3 septembre 2009
Dossier de Validation des sénateurs élus aux élections de 21 juin ; rien n'est encore clair
Le dossier de la validation des sénateurs élus aux élections du 21 juin continue de diviser les parlementaires. A la veille de la date du 4 septembre prévue pour l'entrée en fonction des nouveaux sénateurs, rien n'est encore clair quant à la tenue de cette séance
La note invitant les sénateurs élus lors des récentes sénatoriales partielles à se présenter, vendredi prochain à 11h a.m. pour la validation de leurs pouvoirs est assimilée à un trac par certains parlementaires.
Pour l'élu de l'Artibonite Youry Latortue, aucun sénateur ne s'est prononcé jusqu'ici contre la validation des pouvoirs des sénateurs élus. « Nous sommes pour le respect des principes », a –t-il déclaré.
Comme son collègue, Youri Latortue ,Evalliere Beauplan invite le président du Sénat, Kély C. Bastien, à se ressaisir en revenant sur sa décision d'organiser la séance de validation des pouvoirs des nouveaux élus en dehors du consensus trouvé la semaine dernière.
En effet, Un consensus a été trouvé la semaine écoulée pour la tenue de la séance de validation des pouvoirs des 11 sénateurs élus.
Deux commissions parlementaires, selon les termes de cet accord tacite, devraient être formées préalablement pour faire la lumière sur les cas de fraudes massives qui se seraient produites lors des récentes élections partielles dans les départements du Sud et de l'Artibonite.
Faute de quorum, la séance destinée à la formation des deux commissions d'enquête n'a pas eu lieu, mardi dernier.
Les sénateurs de l'espwa n'ont pas répondu à l'appel ce que dénonce le vice président du bureau du sénat, le sénateur Andris Riché .« C'est la plateforme Lespwa qui a provoqué l'échec de la séance mardi dernier » a-t- il précisé.
Entre- temps, on apprend que le sénateur Laurent Féquière Mathurin, le doyen d'âge du Grand Corps, a écrit au secrétaire général de l'institution pour lui demander de tenir prêt le dossier des sénateurs élus en vue de l'organisation de la séance de validation de leurs pouvoirs.
Reste à savoir si le Bureau du Sénat va trouver le quorum nécessaire pour la tenue de la séance de vendredi.
RD
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=15754
La note invitant les sénateurs élus lors des récentes sénatoriales partielles à se présenter, vendredi prochain à 11h a.m. pour la validation de leurs pouvoirs est assimilée à un trac par certains parlementaires.
Pour l'élu de l'Artibonite Youry Latortue, aucun sénateur ne s'est prononcé jusqu'ici contre la validation des pouvoirs des sénateurs élus. « Nous sommes pour le respect des principes », a –t-il déclaré.
Comme son collègue, Youri Latortue ,Evalliere Beauplan invite le président du Sénat, Kély C. Bastien, à se ressaisir en revenant sur sa décision d'organiser la séance de validation des pouvoirs des nouveaux élus en dehors du consensus trouvé la semaine dernière.
En effet, Un consensus a été trouvé la semaine écoulée pour la tenue de la séance de validation des pouvoirs des 11 sénateurs élus.
Deux commissions parlementaires, selon les termes de cet accord tacite, devraient être formées préalablement pour faire la lumière sur les cas de fraudes massives qui se seraient produites lors des récentes élections partielles dans les départements du Sud et de l'Artibonite.
Faute de quorum, la séance destinée à la formation des deux commissions d'enquête n'a pas eu lieu, mardi dernier.
Les sénateurs de l'espwa n'ont pas répondu à l'appel ce que dénonce le vice président du bureau du sénat, le sénateur Andris Riché .« C'est la plateforme Lespwa qui a provoqué l'échec de la séance mardi dernier » a-t- il précisé.
Entre- temps, on apprend que le sénateur Laurent Féquière Mathurin, le doyen d'âge du Grand Corps, a écrit au secrétaire général de l'institution pour lui demander de tenir prêt le dossier des sénateurs élus en vue de l'organisation de la séance de validation de leurs pouvoirs.
Reste à savoir si le Bureau du Sénat va trouver le quorum nécessaire pour la tenue de la séance de vendredi.
RD
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Trois ministres interpellés mardi à la Chambre basse, selon le Député Jonas Coffy
Daniel Dorsainvil (finances), Jean Joseph Exumé (justice) et Olsen Jean Julien (culture) pourraient être poussés vers la sortie, soutient le parlementaire Lavalas qui indique que devant l’ampleur de l’inertie et de la corruption l’interpellation de l’ensemble du gouvernement pourrait être bientôt envisagée
mercredi 2 septembre 2009, Radio Kiskeya
Le Député Lavalas de Port-au-Prince, Jonas Coffy, a annoncé mercredi soir qu’à l’initiative d’un groupe d’élus les ministres des finances, Daniel Dorsainvil, de la justice et de la sécurité publique, Me Jean Joseph Exumé et de la culture, Olsen Jean Julien seront interpellés mardi prochain à la Chambre basse.
Tirant à boulets rouges sur les trois hauts responsables gouvernementaux, le parlementaire juge indispensable que l’assemblée des Députés fasse le bilan de leur action et décide de leur sort au plus vite. A ce propos, il assure que trois lettres distinctes signées chacune d’au moins cinq Députés ont été remises au bureau de la Chambre qui devait à son tour les acheminer aux intéressés.
Jonas Coffy, qui estime que l’ensemble du gouvernement de la Première ministre Michèle Duvivier Pierre-Louis pataugeait dans l’incompétence, la corruption et l’inefficacité, affirme que les ministres Dorsainvil, Exumé et Julien sont les premiers à être interpellés parce que leur gestion est encore plus calamiteuse que celle des autres. "Nous n’avons pas de ministre de l’économie, mais un responsable des finances qui passe son temps à faire de la comptabilité publique", a martelé le très remuant Député qui a aussi déploré le dysfonctionnement du système judiciaire et l’absence totale d’une politique culturelle.
Une interpellation de Mme Pierre-Louis et de son gouvernement avant le départ de la 48e législature, le 14 septembre, n’est pas à exclure tant la situation du pays est préoccupante, a laissé entendre M. Jonas Coffy.
La semaine dernière, lors d’une séance de travail sur le projet de budget 2009-2010, le gouvernement et les Députés s’étaient affrontés avec les mots plus durs sur l’utilisation jugée injustifiée de 197 millions de dollars provenant du programme énergétique Petrocaribe après le passage des cyclones de l’automne 2008. Se sentant insultée, la Première ministre était allée jusqu’à recommander aux législateurs de "mesurer leurs propos".
Selon la constitution de 1987 en vigueur, toute séance d’interpellation doit se solder par un vote de confiance ou de censure.
En 2007, la Chambre basse -dont la plupart des membres étaient furieux contre la répartition du budget du carnaval au détriment de leurs circonscriptions - avait infligé un carton rouge au ministre de la culture d’alors, Daniel Elie. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article6152
mercredi 2 septembre 2009, Radio Kiskeya
Le Député Lavalas de Port-au-Prince, Jonas Coffy, a annoncé mercredi soir qu’à l’initiative d’un groupe d’élus les ministres des finances, Daniel Dorsainvil, de la justice et de la sécurité publique, Me Jean Joseph Exumé et de la culture, Olsen Jean Julien seront interpellés mardi prochain à la Chambre basse.
Tirant à boulets rouges sur les trois hauts responsables gouvernementaux, le parlementaire juge indispensable que l’assemblée des Députés fasse le bilan de leur action et décide de leur sort au plus vite. A ce propos, il assure que trois lettres distinctes signées chacune d’au moins cinq Députés ont été remises au bureau de la Chambre qui devait à son tour les acheminer aux intéressés.
Jonas Coffy, qui estime que l’ensemble du gouvernement de la Première ministre Michèle Duvivier Pierre-Louis pataugeait dans l’incompétence, la corruption et l’inefficacité, affirme que les ministres Dorsainvil, Exumé et Julien sont les premiers à être interpellés parce que leur gestion est encore plus calamiteuse que celle des autres. "Nous n’avons pas de ministre de l’économie, mais un responsable des finances qui passe son temps à faire de la comptabilité publique", a martelé le très remuant Député qui a aussi déploré le dysfonctionnement du système judiciaire et l’absence totale d’une politique culturelle.
Une interpellation de Mme Pierre-Louis et de son gouvernement avant le départ de la 48e législature, le 14 septembre, n’est pas à exclure tant la situation du pays est préoccupante, a laissé entendre M. Jonas Coffy.
La semaine dernière, lors d’une séance de travail sur le projet de budget 2009-2010, le gouvernement et les Députés s’étaient affrontés avec les mots plus durs sur l’utilisation jugée injustifiée de 197 millions de dollars provenant du programme énergétique Petrocaribe après le passage des cyclones de l’automne 2008. Se sentant insultée, la Première ministre était allée jusqu’à recommander aux législateurs de "mesurer leurs propos".
Selon la constitution de 1987 en vigueur, toute séance d’interpellation doit se solder par un vote de confiance ou de censure.
En 2007, la Chambre basse -dont la plupart des membres étaient furieux contre la répartition du budget du carnaval au détriment de leurs circonscriptions - avait infligé un carton rouge au ministre de la culture d’alors, Daniel Elie. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article6152
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