Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
lundi 28 janvier 2013
Haïti-Carnaval : 174 millions de Gdes prévues dans le budget pour le Cap-Haïtien
Une enveloppe de 174 millions de gourdes est prévue pour l’événement carnavalesque dans la deuxième ville du pays les 10, 11 et 12 février 2013, a annoncé dimanche le président du Comité National du carnaval, M. Gilbert Bailly au cours d’une Conférence de presse conjointe avec la nouvelle ministre de la Culture, Mme Josette Darguste.
Dans un budget de 197 millions de gourdes prévues pour l’organisation des festivités carnavalesques sur tout le territoire national, 174 millions de cette somme sont allouées à Cap-Haïtien, la Cité d’accueil des trois jours officiels de cette activité culturelle et touristique majeure du pays.
« L’Etat haïtien promet 50 millions de la somme, mais c’est à nous d’aller chercher la différence auprès des sponsors du carnaval national», a déclaré le représentant du secteur privé au niveau du comité national de l’événement.
« Au fur et à mesure, d’année en année, le carnaval national doit devenir une institution qui ne dépend pas de l’Etat haïtien comme il en est le cas au Brésil par exemple », a expliqué M. Bailly.
« Nous espérons que le carnaval sera beaucoup plus rentable pour le pays », a-t-il poursuivi se déclarant déterminé à faire bénéfier les gens du Nord des retombées économiques positives de l’activité carnavalesque.
Le boulevard de Cap-Haïtien, soit un 1.9 kilomètres, est la zone choisie comme le parcours officiel du carnaval national. « Le boulevard a été choisi de manière stratégique après l’étude des experts en la matière », a rassuré le président du comité national.
Jean Jul Désauguste
Hpn-Cap-Haïtien
desau4@yahoo.fr
http://www.hpnhaiti.com/site/index.php/art-a-spectacle/8519-haiti-carnaval--174-millions-de-gdes-prevues-dans-le-budget-pour-le-cap-haitien
Haïti-43 e Forum Économique Mondial : Lamothe à Davos
Entretemps, Martelly à Santiago - Les voyages recommencent de plus belle, malgré les critiques
dimanche 27 janvier 2013
P-au-P, 27 janv. 2013[AlterPresse] --- Le 43 e Forum économique mondial a débuté le vendredi 25 janvier 2013 à Davos (Suisse), avec la participation du premier ministre haïtien, Laurent Salvador Lamothe, apprend AlterPresse.
Arrivé sur place le jeudi 24 janvier, Lamothe a pris part à la réunion annuelle de ce forum de deux jours (les 25 et 26 janvier) autour du thème : « Résilience dynamique ».
En son absence en Haïti, l’intérim est assuré par la ministre de l’économie et des finances, Marie Carmelle Jean-Marie.
De son coté, le président de la République d’Haïti, Michel Joseph Martelly est arrivé le 25 janvier au chili où il participe au sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté des Etats latino-américains et caribéens (Celac), qui se déroule les 27 et 28 janvier.
Martelly a laissé le pays le mardi 22 janvier 2013, pour subir un contrôle médical « complet » en Floride (Etats-Unis), avant de prendre la direction du Chili.
Le gouvernement recommence de plus belle, en ce début de l’année 2013, les déplacements à l’étranger qui lui ont valu d’être sévèrement critiqué, l’année dernière, par divers secteurs du pays mettant en avant les dépenses exorbitantes et irrationnelles du pouvoir.
Lors du forum, le premier ministre haïtien devait intervenir à l’une des sessions de intitulées : « Construisons des économies résilientes » au cours d’une réunion avec plusieurs chefs d’État et de gouvernement.
Il devait prendre part également à une session additionnelle sur le thème : « Une nouvelle vision pour l’agriculture : Accélérons son impact », dédiée à la sécurité alimentaire, secteur prioritaire du gouvernement haïtien, pour lequel les perspectives demeurent très sombres.
Lamothe devait aussi diriger une session spéciale sur Haïti, planifiée par les organisateurs du Forum en vue de présenter aux principaux chefs d’entreprises réunis à Davos les atouts d’Haïti.
Cet atelier de travail vise à favoriser l’investissement direct étranger et à capitaliser sur des cas de succès obtenus dans le pays pouvant stimuler les investisseurs à venir s’y installer.
Des entretiens, entre autres, avec les directeurs exécutifs de Coca Cola, Western Union, Petrobras, SalesForce, Hôtels Marriott et Heineken ont été annoncés, en vue de discuter des opportunités d’investissement en Haïti.[emb kft gp apr 27/01/2013 13 : 00]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article14001
Haïti-Duvalier : Nouveau rendez-vous à la cour d’appel le 31 janvier
P-au-P, 25 janv. 2013 [AlterPresse] ---- Le dossier de l’ex-dictateur Jean Claude Duvalier a été reporté à la huitaine, soit pour le jeudi 31 janvier, en raison de la mort du juge de la cour d’appel Enock Voltaire, qui a succombé d’une maladie, a appris AlterPresse.
Absent de la séance, mais représenté par sa batterie d’avocats, l’ex-tyran fait l’objet de plus d’une vingtaine de plaintes notamment pour crimes contre l’humanité.
Reynold George réitère que son client Jean Claude Duvalier s’est montré un véritable « démocrate », parce qu’il s’est présenté aux séances d’audition, contrairement à d’autres personnes qui font le marronnage, faisant référence à l’ex-président jean Bertrand Aristide, qui a été auditionné dans sa résidence à Tabarre (périphérie nord-est). Mais Duvalier n’attendra pas sagement que les mailles de la justice se resserre autour de lui.
« Ce mercredi 23 janvier 2013, un arrêt de la de la cour a été déposé au greffe de la cour de cassation, faisant mention que l’on ne peut pas entendre Jean Claude Duvalier pour crime, parce que la cour de cassation a déjà tranché en sa faveur sur ce point », affirme Reynold George.
Prétextant que les incidents datent de plusieurs années, en conséquence les victimes ne pourront pas obtenir de certificats médicaux, des témoins, des procès verbaux de constats, Reynold Georges ajoute qu’il faudra « des faits palpables et non des commérages ».
« Les gens ont peur que Jean Claude Duvalier se rende aux élections », s’est encore enhardi l’avocat à la voix tonitruante.
Depuis quelques mois, tous les biens de Duvalier lui ont été restitués, des fonds de pensions lui ont été accordé, même un passeport diplomatique lui a été octroyé.
« C’est un manque de respect pour la justice et pour la population en tant que telle. Cela fait deux années qu’il se pavane dans le pays sans inquiétudes, ce démontre que la justice est piétinée », s’inquiète Danielle Magloire du Collectif contre l’impunité, présente à la cour d’appel. Elle était en compagnie de Marie Yolène Gilles du Réseau national de défense des droits humains (RnddH).
Connaissant l’état de la justice dans le pays, Danielle Magloire se dit déterminée à mener la bataille, en épuisant tous les recours prévus par la loi, voire même le recours international, tant que les victimes n’auront pas trouvé justice. [jep kft gp apr 25/01/2013 10 :55]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article13996
Le retour des forêts, clé du développement en Haïti
Trois ans après le séisme meurtrier, le gouvernement lance un vaste programme de gestion territoriale destiné à mettre un frein à l’érosion des sols et aux inondations. L’initiative prévoit d’augmenter la couverture forestière de 27 % et pourrait créer jusqu’à 30 000 emplois.
Trois cyclones par an
Il y a trois ans, la terre tremblait en Haïti, provoquant la mort de 300 000 personnes. Depuis, les survivants ont dû affronter d’autres catastrophes climatiques, et leur sort reste plus incertain que jamais.
Frappée en moyenne par trois cyclones d’intensité majeure chaque année, l’île doit faire face à de nombreux épisodes d’inondations, d’érosion, de transport et d’accumulation de sédiments. Des phénomènes qui représentent une menace constante non seulement pour les personnes, mais également pour les infrastructures du pays, comme le révèle un rapport officiel.
Des sols fertiles qui disparaissent
Face à cette situation, 2013 a été décrétée Année de l’environnement et verra la mise en œuvre d’un ambitieux projet de reboisement et de gestion territoriale destiné à améliorer la préservation des ressources naturelles.
À travers la création de forêts communales, le gouvernement espère augmenter la couverture forestière de 27 % d’ici à 2020, afin de réduire l’érosion due au ruissellement. La perte de sol représente un véritable problème pour cette île montagneuse, où plus de la moitié des terrains sont en pente.
La conservation de la terre passe également par la mise en place de « centres de propagation » des végétaux dans les dix départements que compte le pays, qui permettront de produire environ 50 millions de plantes par an.
Le président souhaite un comportement « écoresponsable »
Le projet gouvernemental préconise une approche globale des problèmes environnementaux et comprendra aussi la construction d’infrastructures de protection des villes contre les inondations, l’amélioration de la gestion des sols et de l’eau, ou encore la réhabilitation des quartiers pauvres.
Selon les calculs du gouvernement, près de 30 000 emplois pourront être créés grâce à ces initiatives.
Pour le président Michel Martelly, la gestion durable des ressources naturelles doit devenir une priorité :
« Il est urgent et nécessaire de reconsidérer les modèles actuels qui justifient l’exploitation de nos ressources au-delà de leur capacité de régénération et d’adopter un comportement écoresponsable pour l’utilisation de nos sols, la construction de nos villes, nos méthodes de production et le développement de nos infrastructures. »
http://www.greenetvert.fr/2013/01/28/le-retour-des-forets-cle-du-developpement-en-haiti/71165
Haïti: 22 morts dans un accident de la route
Vingt-deux personnes ont trouvé la mort vendredi soir dans un accident de la route survenu dans le nord d'Haïti lorsqu'un camion transportant des pèlerins est tombé dans un ravin, a-t-on appris de sources hospitalières.
"Nous avons dénombré 21 morts sur le lieu de l'accident, une personne est décédée pendant son transfert vers l'hôpital", a déclaré au téléphone à l'AFP le dr Rosny, responsable de l'hôpital Saint-Nicolas de Saint-Marc, situé à une centaine de kilomètres au nord de la capitale Port-au-Prince.
Une trentaine de passagers qui se trouvaient également à bord du camion ont été blessés, dont certains très grièvement, dans l'accident.
"Nous avons enregistré des blessures d'une extrême gravité comme des traumatismes crâniens et des fractures de vertèbres cervicales", a précisé le médecin ajoutant que les blessés les plus graves avaient été transférés vers l'hôpital universitaire de Port-au-Prince.
Selon un commissaire de la police haïtienne contacté par téléphone, les passagers du camion se rendaient en pèlerinage dans une région du nord-ouest d'Haïti. "Certains passagers sont morts asphyxiés et d'autres sont mort écrasés", a témoigné le policier.
http://www.liberation.fr/depeches/2013/01/26/haiti-22-morts-dans-un-accident-de-la-route_876966
300 livres pour Haïti
Début 2012, l'association nationale des auteurs francophones, présidée par Georges Pagé, en partenariat avec « Bibliothèque sans frontière » a lancé une collecte de livres à destination d'Haïti.
La municipalité, qui, préalablement, avait apporté une aide, à la suite du tremblement de terre, en 2010, s'est associée à l'opération. Le lancement officiel de la collecte mignalienne, s'est effectué en présence de Myriam Senghor-ba, responsable à la direction de la langue française et de la diversité culturelle à l'Organisation internationale de la francophonie, nièce de Léopold Senghor qui fut président du Sénégal et ardent défenseur de la francophonie.
300 ouvrages, en parfait état, ont été collectés (albums, livres dédiés à la jeunesse, dictionnaires, encyclopédies, tous niveaux) et déposés à la bibliothèque municipale ; cette dernière ayant, par ailleurs, fait don d'un fonds documentaire.
Récemment, au cours d'une petite cérémonie en présence de Gérard Sol, maire, Gérard Bastière, 1er adjoint et Dany Coineau, adjointe à la culture, Sandra, responsable de la bibliothèque a remis les livres à Georges Pagé.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2013/01/27/300-livres-pour-Haiti
L'Amérique latine et Haïti au musée
Deux expositions se déroulent simultanément au Musée des maîtres et artisans du Québec. D'une part, celle du Collectif d’artistes latino-américains du Canada (CALAC), dont 11 des membres posent un regard sur le monde. D'autre part, celle de Ralph Maingrette, artiste d'origine haïtienne qui recycle des objets ordinaires pour composer ses œuvres.
L'exposition du CALAC regroupe 11 artistes, originaires pour la plupart d'Amérique du sud. Sous le thèmeConnotations actuelles: Regards sur notre diversité, les artistes réunis présentent leur vision du monde actuel. Une vision «à la fois apocalyptique dans la représentation catastrophée qu’en fait les médias, et multiple dans ses cultures et sa diversité», tel que le décrit Pierre Wilson, conservateur du musée.
«Nous essayons toujours d'offrir une visibilité à des artistes de la diversité pour mieux leur permettre d'affirmer leur appartenance, indique-t-il. Les artistes qui viennent d'ailleurs arrivent avec leur propre langage. Dans le même temps, ils démontrent l'universalité de l'art.»
L'exposition de Ralph Maingrette, intitulée Eco-design et Re-créations, reprend le principe de recyclage des enfants pour fabriquer des jouets. «Ralph expose des lampes et des bijoux créés à partir d'objets recyclés», précise M. Wilson.
Il faut souligner que cette exposition s’intègre aussi au calendrier d’activités publié dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs, ainsi qu’au Rallye-Expos 2013 de Vues d’Afrique. Ralph Maingrette est lauréat du concours 2013.
«Les artistes qui viennent d'ailleurs arrivent avec leur propre langage. Dans le même temps, ils démontrent l'universalité de l'art.»- Pierre Wilson, conservateur du Musée des maîtres et artisans du Québec
L'exposition du CALAC est présentée jusqu'au 17 mars, et celle de Ralph Maingrette jusqu'au 24 février.
Musée des maîtres et artisans du Québec: 615, avenue Sainte‐Croix; 514 747‐7367; mmaq.qc.ca.
Pour ne pas oublier Haïti
STONEHAM - À 10 h lundi, Yannis Roy reprendra le boulot comme si de rien n'était. Pendant que les planchistes mettront le cap sur Blue Mountain pour la prochaine épreuve de snowboard cross, l'ingénieur en informatique continuera à développer des applications pour Apple et Androïd.
Un texte de Manon Gilbert
Ses premiers Championnats du monde de surf des neiges nourriront ses pensées. Surtout qu'il y a moins d'un mois, Stoneham ne faisait pas vraiment partie de ses plans.
Mais pour aider Haïti, son pays d'origine où il n'a jamais mis les pieds, le Français a décidé de se lancer... advienne que pourra.
« Le pays a du mal à se relever. Le but, c'est d'en parler positivement, dit-il. Mon oncle a fondé la Fédération haïtienne de ski, il a représenté le pays aux Championnats du monde à 49 ans, je me suis dit : pourquoi pas moi? »
Son oncle, c'est Jean-Pierre. Il a terminé 78e du slalom et 127e du slalom géant à Garmisch-Partenkirchen en 2011. Et il sera à Schladming, en Autriche, au début février.
Yannis, lui, ne participera pas aux finales du snowboard cross, samedi. Il y a deux jours, il a fini 60e et dernier sur les concurrents classés. Il sera cependant présent pour encourager les « vrais champions ».
« C'était un plaisir de descendre, mais ça faisait toujours aussi peur. Je l'ai fait avec le sourire. J'ai passé la ligne d'arrivée, c'était le but, et j'ai montré le drapeau. C'est que du bonheur, il n'y a plus de pression. J'espère que les gens retiendront qu'Haïti, ce sont des champions en snowboard. »
Sa descente, il l'a qualifiée de parfaite. Après tout, il s'est tenu bout, ce qui n'avait pas été le cas à l'entraînement, puis il a franchi l'arrivée un chrono (1:56,81) moins de deux fois plus lent que le meneur, l'Australien Alex Pullin. Même qu'à sa seconde descente, il a retranché trois secondes à son temps.
« C'est un sport que j'adore même si je ne suis pas très bon. Ça me fait plaisir de le pratiquer pour une bonne cause. »
Sotchi, un objectif surréaliste
Avant de s'amener à Stoneham, Roy n'avait que deux courses sous la planche, une de la Fédération internationale de ski (FIS) et une Coupe d'Europe à Puy St-Vincent il y a deux semaines. Et il n'y avait pas fini dernier!
« C'était plus de mon calibre. Ici, je n'ai pris aucun saut! »
Le Canadien Rob Fagan, lui, trouvait tout ce cirque un peu ridicule. « Le bobsleigh a eu les Jamaïcains. Nous, nous, avons les Haïtiens », a déclaré le Britanno-Colombien de 36 ans.
Âgé de 25 ans, Roy a commencé à pratiquer le surf des neiges il y a une dizaine d'années. Comme il habite à Sevran, une banlieue parisienne, les voyages à la montagne se faisaient rares. Une ou deux semaines par année selon le budget de ses parents.
À Stoneham, son oncle et lui ont défrayé les coûts du voyage. Environ 2000 $ chacun. Pas besoin de dire qu'il ne bénéficie pas des conseils d'un entraîneur si ce n'est ceux de son oncle.
Roy entend bien faire une autre course dans quelques semaines, question de « prendre un peu de métier ». Une autre compétition l'intéresse aussi : les Jeux olympiques de Sotchi.
Sauf que la marche est pas mal plus haute. Pour Stoneham, il n'avait à satisfaire à aucun critère de performance.
« Au niveau du temps, ça me demanderait un travail trop important pour que je puisse me qualifier. Si j'ai l'occasion, je serais ravi de le faire. Les Jeux olympiques, c'est grand et, pour l'image, ça pourrait servir. »
http://www.radio-canada.ca/sports/ski/2013/01/26/002-001-surf-mondiaux-haiti.shtml
HAÏTI : L’IMPASSE PERSISTE DANS LA FORMATION DE LA COMMISSION ÉLECTORALE
Haïti : l’impasse persiste dans la formation de la commission électorale
Le média haïtien Haïti Libre révèle aujourd’hui que la plateforme Religions pour la paix, chargée de mener la médiation entre les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire afin de parvenir à la mise en place d’un Collège transitoire du Conseil électoral permanent (CTCEP) devant superviser les prochaines échéances électorales, ne s’impliquera plus dans cette médiation. La défection de Religions pour la paix serait à mettre sur le compte du refus des trois représentants sur le CTCEP du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire (CSPJ) élus dans des circonstances nébuleuses, de démissionner, et du refus de l’exécutif de s’impliquer dans ce différend qui oppose les trois représentants aux responsables du CSPJ. (Source : Haïti Libre)
http://www.operationspaix.net/32471-details-actualite-haiti-limpasse-persiste-dans-la-formation-de-la-commission-electorale.html
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