(SHERBROOKE) Avec 0,59 médecin pour 10 000 citoyens, Haïti a grandement besoin de ses futurs médecins. Avec la destruction de la faculté de médecine de l'Université de Quisqueya, en janvier dernier, les autorités craignaient d'énormes retards pour ses étudiants en médecine.
Les quelque 50 finissants pourront terminer leurs études en septembre, soit seulement trois mois plus tard que prévu, et ce, en partie grâce à l'Université de Sherbrooke.
Rappelons que la dernière mission en Haïti planifiée à la faculté de médecine et de sciences de la santé (FMSS) de l'UdeS visait à établir une collaboration avec l'Université de Quisqueya.
Pour le chef de cette mission et gynécologue obstétricien, Jean-Charles Pasquier, il y avait «urgence pédagogique». Haïti compte quatre facultés de médecine: trois d'entre elles ont été détruites lors du séisme du 12 janvier.
La FMSS a notamment donné son soutien au déroulement d'une session extraordinaire.
http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201006/07/01-4287604-medecine-50-finissants-haitiens-termineront-leurs-etudes-en-septembre.php
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
mercredi 9 juin 2010
Hommage à des héros: «Partir, c'était les trahir...»
Le Soleil, Patrice Laroche, Jean-François Néron
Le Soleil
(Québec) L'agent Luc Vallée est l'un des cinq policiers récompensés, mardi, pour avoir participé à la mission pour le maintien de la paix en Haïti. À la suite du séisme dévastateur du 12 janvier, il avait la possibilité de rentrer au pays. Il a décidé de rester parce qu'une nouvelle mission l'attendait.
Une pièce commémorative des missions de paix internationales lui a été remise lors d'une cérémonie du Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) pour souligner des gestes exceptionnels posés par des policiers et de citoyens au cours de la dernière année.
Le 12 janvier à 16h54, M. Vallée se trouvait dans sa résidence de Jacmel, près de l'épicentre au sud-est de la capitale, Port-au-Prince. Il venait de terminer son quart de travail. Il agissait alors à titre de formateur de la police locale.
«Ça me fait chaud au coeur de recevoir cet honneur. Avec le séisme, c'est comme une double mention. J'en suis très fier. Là-bas, j'ai appris beaucoup professionnellement et sur le plan personnel aussi», conclut celui qui n'exclut pas de retourner en Haïti un jour.
Les quatre autres policiers de Québec présents lors du séisme qui ont été récompensés sont le sergent Jean-Mayar Chamard et les agents Gilles Hébert, Nicolas Gagnon et Martin Giguère.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/dossiers/seisme-en-haiti/201006/08/01-4288139-hommage-a-des-heros-partir-cetait-les-trahir.php
Le Soleil
(Québec) L'agent Luc Vallée est l'un des cinq policiers récompensés, mardi, pour avoir participé à la mission pour le maintien de la paix en Haïti. À la suite du séisme dévastateur du 12 janvier, il avait la possibilité de rentrer au pays. Il a décidé de rester parce qu'une nouvelle mission l'attendait.
Une pièce commémorative des missions de paix internationales lui a été remise lors d'une cérémonie du Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) pour souligner des gestes exceptionnels posés par des policiers et de citoyens au cours de la dernière année.
Le 12 janvier à 16h54, M. Vallée se trouvait dans sa résidence de Jacmel, près de l'épicentre au sud-est de la capitale, Port-au-Prince. Il venait de terminer son quart de travail. Il agissait alors à titre de formateur de la police locale.
«J'étais sur mon balcon en train de faire cuire mon poulet lorsque ça s'est mis à brasser. Je croyais que c'était un camion. Soudain, les tuiles du plafond ont commencé à tomber. Quand j'ai compris que c'était un tremblement de terre, je me suis mis sous un cadre de porte. Ça n'arrêtait pas et je me suis dit que je devais sortir. Ça brassait tellement que je suis tombé par terre et je me suis abrité sous une table. J'ai finalement réussi à sortir en rampant à quatre pattes.»
Une fois à l'extérieur, il a rapidement compris l'ampleur de la catastrophe. De victime du séisme, il allait devoir passer à coordonnateur des mesures d'urgence. «Je voyais des gens arriver en sang, d'autres nus. Ils me demandaient de les aider. Immédiatement, je me suis mis à aider comme je pouvais à gauche et à droite.»
Le choix de resterLe lendemain, il réalisait que sa mission amorcée le 21 juillet 2009 venait de prendre une tangente inattendue. «On m'a offert de rentrer à la maison, mais j'ai décidé de rester sur place à cause du nouveau défi qui m'attendait et parce que ma famille m'a permis de le faire. Ces gens attendaient quelque chose de moi. Si j'étais parti, ça aurait été un peu comme les trahir.»
L'agent Luc Vallée est donc demeuré sur place jusqu'à la fin de sa mission, prévue initialement en avril.«Ça me fait chaud au coeur de recevoir cet honneur. Avec le séisme, c'est comme une double mention. J'en suis très fier. Là-bas, j'ai appris beaucoup professionnellement et sur le plan personnel aussi», conclut celui qui n'exclut pas de retourner en Haïti un jour.
Les quatre autres policiers de Québec présents lors du séisme qui ont été récompensés sont le sergent Jean-Mayar Chamard et les agents Gilles Hébert, Nicolas Gagnon et Martin Giguère.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/dossiers/seisme-en-haiti/201006/08/01-4288139-hommage-a-des-heros-partir-cetait-les-trahir.php
Les joueurs de la LNH amassent 1 million $ pour Haïti
Publié le 09 juin 2010.
La Presse Canadienne.
L'Association des joueurs de la Ligue nationale de hockey (AJLNH) et Vision Mondiale annoncent que plus de 1 million $ ont été recueillis dans le cadre du projet «Hockey pour Haïti» pour reconstruire un hôpital pour enfants gravement endommagé par le séisme du 12 janvier, en Haiti.
Dan Hamhuis, des Predators de Nashville, et l'ancien du Canadien Georges Laraque, qui est d'origine haïtienne, se sont joints ce mercredi à des représentants de l'AJLNH et de Vision Mondiale à l'occasion de la visite de l'Hôpital Grâce pour enfants de Port-au-Prince. L'Hôpital Grâce se consacre au traitement des enfants atteints de tuberculose, du VIH et d'autres maladies.
La collecte a commencé par un don de 100 000 $ versé par Objectifs et Rêves, fonds de l'AJLNH. La Ligue nationale (LNH) a également versé 100 000 $.
Grâce à des dons de particuliers ainsi qu'à toutes les recettes de l'actuelle vente aux enchères de chandails de hockey portés pendant les Jeux olympiques et de récentes enchères en ligne portant sur des objets-souvenirs uniques rattachés au hockey, le total des fonds recueillis au bénéfice de la reconstruction de l'hôpital a franchi la barre du 1 million $.
La Presse Canadienne.
L'Association des joueurs de la Ligue nationale de hockey (AJLNH) et Vision Mondiale annoncent que plus de 1 million $ ont été recueillis dans le cadre du projet «Hockey pour Haïti» pour reconstruire un hôpital pour enfants gravement endommagé par le séisme du 12 janvier, en Haiti.
Dan Hamhuis, des Predators de Nashville, et l'ancien du Canadien Georges Laraque, qui est d'origine haïtienne, se sont joints ce mercredi à des représentants de l'AJLNH et de Vision Mondiale à l'occasion de la visite de l'Hôpital Grâce pour enfants de Port-au-Prince. L'Hôpital Grâce se consacre au traitement des enfants atteints de tuberculose, du VIH et d'autres maladies.
La collecte a commencé par un don de 100 000 $ versé par Objectifs et Rêves, fonds de l'AJLNH. La Ligue nationale (LNH) a également versé 100 000 $.
Grâce à des dons de particuliers ainsi qu'à toutes les recettes de l'actuelle vente aux enchères de chandails de hockey portés pendant les Jeux olympiques et de récentes enchères en ligne portant sur des objets-souvenirs uniques rattachés au hockey, le total des fonds recueillis au bénéfice de la reconstruction de l'hôpital a franchi la barre du 1 million $.
Lavalas attaque frontalement René Préval
Une tendance radicale d’une aile du parti de Jean-Bertrand Aristide incarnée par Dr Maryse Narcissse et René Civil qui ont joint leurs voix lundi pour le départ anticipé du chef de l’Etat et la remise à l’heure des pendules lundi 7 juin 2010, Radio Kiskeya
La représentante officielle de l’ex-Président Jean-Bertrand Aristide, Dr Maryse Narcisse, et le chef d’OP René Civil ont demandé lundi au nom de Fanmi Lavalas la démission immédiate du Président René Préval et l’organisation d’élections anticipées en vue de la normalisation de la situation du pays.
S’exprimant lors d’une conférence de presse dans une salle de l’hôtel Le Plaza bondée de partisans enflammés, Mme Narcisse a aussi exigé le retour d’Aristide, exilé depuis 2004 en Afrique du Sud, et le retrait des deux lois controversées récemment votées par le Parlement concernant la prorogation, pour 18 mois, de l’état d’urgence ainsi que le maintien au pouvoir du chef de l’Etat jusqu’au 14 mai 2011 si nécessaire.
La dirigeante Lavalas a estimé inacceptable qu’un Président ayant "échoué dans tous les domaines" puisse s’arroger le droit de revendiquer la prolongation de son mandat.
Le départ du Conseil électoral provisoire figure également sur la liste des exigences de Fanmi Lavalas qui, précise Dr Maryse Narcisse, est prêt à participer à des élections libres, honnêtes et démocratiques. Appelant la classe politique à respecter les règles du jeu et la population à se mobiliser pacifiquement contre le Président Préval, elle se dit étonnée de voir la communauté internationale apporter son soutien à la tenue des élections sous l’égide d’un "gouvernement corrompu et dépourvu de légitimité".
Tout en répétant à l’envi que Fanmi Lavalas demeure uni et n’est pas confronté à des dissensions internes, Maryse Narcisse n’a pu toutefois expliquer pourquoi de tous les membres du comité exécutif du parti d’Aristide elle s’est retrouvée seule à la table de conférence.
Pour sa part, René Civil, qui se trouvait dans l’assistance, a indiqué que la campagne antigouvernementale en cours doit déboucher coûte que coûte sur la démission du chef de l’Etat, la dissolution du Conseil électoral, le retour de l’ancien Président Lavalas et l’annulation des deux lois contestées.
Soulignons que la conférence de presse de Maryse Narcisse a été maintes fois interrompue par une assistance bruyante composée de membres d’organisations populaires qui tantôt applaudissaient l’oratrice tantôt exhibaient des photos d’Aristide.
René Préval, qui compte parmi ses alliés les plus fidèles plusieurs dirigeants Lavalas, est la cible privilégiée d’une mobilisation de l’opposition enclenchée depuis plusieurs semaines à travers des manifestations de rue en cascade. spp/Radio Kiskeya
http://radiokiskeya.com/spip.php?article6827
La représentante officielle de l’ex-Président Jean-Bertrand Aristide, Dr Maryse Narcisse, et le chef d’OP René Civil ont demandé lundi au nom de Fanmi Lavalas la démission immédiate du Président René Préval et l’organisation d’élections anticipées en vue de la normalisation de la situation du pays.
S’exprimant lors d’une conférence de presse dans une salle de l’hôtel Le Plaza bondée de partisans enflammés, Mme Narcisse a aussi exigé le retour d’Aristide, exilé depuis 2004 en Afrique du Sud, et le retrait des deux lois controversées récemment votées par le Parlement concernant la prorogation, pour 18 mois, de l’état d’urgence ainsi que le maintien au pouvoir du chef de l’Etat jusqu’au 14 mai 2011 si nécessaire.
La dirigeante Lavalas a estimé inacceptable qu’un Président ayant "échoué dans tous les domaines" puisse s’arroger le droit de revendiquer la prolongation de son mandat.
Le départ du Conseil électoral provisoire figure également sur la liste des exigences de Fanmi Lavalas qui, précise Dr Maryse Narcisse, est prêt à participer à des élections libres, honnêtes et démocratiques. Appelant la classe politique à respecter les règles du jeu et la population à se mobiliser pacifiquement contre le Président Préval, elle se dit étonnée de voir la communauté internationale apporter son soutien à la tenue des élections sous l’égide d’un "gouvernement corrompu et dépourvu de légitimité".
Tout en répétant à l’envi que Fanmi Lavalas demeure uni et n’est pas confronté à des dissensions internes, Maryse Narcisse n’a pu toutefois expliquer pourquoi de tous les membres du comité exécutif du parti d’Aristide elle s’est retrouvée seule à la table de conférence.
Pour sa part, René Civil, qui se trouvait dans l’assistance, a indiqué que la campagne antigouvernementale en cours doit déboucher coûte que coûte sur la démission du chef de l’Etat, la dissolution du Conseil électoral, le retour de l’ancien Président Lavalas et l’annulation des deux lois contestées.
Soulignons que la conférence de presse de Maryse Narcisse a été maintes fois interrompue par une assistance bruyante composée de membres d’organisations populaires qui tantôt applaudissaient l’oratrice tantôt exhibaient des photos d’Aristide.
René Préval, qui compte parmi ses alliés les plus fidèles plusieurs dirigeants Lavalas, est la cible privilégiée d’une mobilisation de l’opposition enclenchée depuis plusieurs semaines à travers des manifestations de rue en cascade. spp/Radio Kiskeya
http://radiokiskeya.com/spip.php?article6827
Le gouvernement nie avoir acquis des semences OGM
Le ministre de l'agriculture Joanas Gué dément les rumeurs faisant état de l'introduction de semences d'organismes génétiquement modifiés (OGM) sur le marché haïtien. Il soutient que son ministère avait catégoriquement rejeté une offre de semence OGM de la firme transnationale Mossanto. Au cours d'une conférence de presse, 72 heures après une grande manifestation des paysans du Centre, l'agronome Gué a expliqué que le gouvernement a refusé l'offre parce que le système de production ne peut pas gérer ces semences. Il rappelle que les paysans utilisent une partie de la récolte de maïs comme semence pour la prochaine saison.
De plus M. Gué révèle que les OGM ne sont jusqu'ici l'objet d'aucune législation. Il confirme que les spécifications génétiques fournies par Mossanto prouvent qu'elles ne sont pas génétiquement modifiées.
Les codes BK 0040 et BK 1040 sont approuvés par l'ONU et permettent d'identifier le caractère et la spécification du matériel végétal explique t-il. L'agronome Gué donne l'assurance que le gouvernement haïtien peut vérifier à partir du code le caractère du matériel végétal acquis.
De plus le ministre de l'agriculture dénonce une exploitation politique du dossier alors qu'un prêtre spiritain, qui avait formulé les accusations, s'était rétracté.
LLM / Radio Métropole Haiti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=17824
De plus M. Gué révèle que les OGM ne sont jusqu'ici l'objet d'aucune législation. Il confirme que les spécifications génétiques fournies par Mossanto prouvent qu'elles ne sont pas génétiquement modifiées.
Les codes BK 0040 et BK 1040 sont approuvés par l'ONU et permettent d'identifier le caractère et la spécification du matériel végétal explique t-il. L'agronome Gué donne l'assurance que le gouvernement haïtien peut vérifier à partir du code le caractère du matériel végétal acquis.
De plus le ministre de l'agriculture dénonce une exploitation politique du dossier alors qu'un prêtre spiritain, qui avait formulé les accusations, s'était rétracté.
LLM / Radio Métropole Haiti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=17824
Des paysans de Ganthier se révoltent contre des spoliateurs
Des accrochages entre forces de l'ordre et paysans de Ganthier ont été enregistrés hier sur la route internationale de Malpasse. Ces incidents sont le résultat d'un climat de tension existant dans la région depuis 2005. Les paysans protestent contre les actions des spoliateurs qui bénéficient de l'inaction des autorités. Le maire de Ganthier, Ralph Lapointe estime qu'il y a une certaine complaisance des autorités gouvernementales haïtiennes qui n'ont pas adopté les dispositions nécessaires pour protéger les biens des paysans. Il dénonce le comportement des spoliateurs qui vendent des terres appartenant au domaine public et celles des paysans.
Plusieurs centaines d'hectares de terres sont menacés par ces individus qui interviennent accompagnés de policiers afin de détruire les plantations ciblées.
Apres plusieurs années de frustrations, les paysans, fermiers de l'Etat ou propriétaires ont décidé de crier leur colère afin de réclamer une intervention urgente des autorités.
Réagissant aux incidents, le directeur du Fonds de Développement Frontalier (FDF), Max Antoine II, a déploré les tentatives visant à squattériser des terres. Estimant qu'il s'agit d'un grave problème M. Antoine a fait valoir que les problèmes des titres de propriété sont de nature à empêcher l'arrivée des investisseurs étrangers.
Interrogé par radio Métropole, Max Antoine II a soutenu que le gouvernement entend adopter des dispositions pour faire respecter l'avis domanial d'Août 2009 interdisant la vente des terres du domaine public. Il a également apporté son appui au maire Lapointe assurant que le gouvernement se prépare à élaborer un plan d'aménagement du territoire dans le cadre du processus de reconstruction.
LLM / Radio Métropole Haiti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=17823
Plusieurs centaines d'hectares de terres sont menacés par ces individus qui interviennent accompagnés de policiers afin de détruire les plantations ciblées.
Apres plusieurs années de frustrations, les paysans, fermiers de l'Etat ou propriétaires ont décidé de crier leur colère afin de réclamer une intervention urgente des autorités.
Réagissant aux incidents, le directeur du Fonds de Développement Frontalier (FDF), Max Antoine II, a déploré les tentatives visant à squattériser des terres. Estimant qu'il s'agit d'un grave problème M. Antoine a fait valoir que les problèmes des titres de propriété sont de nature à empêcher l'arrivée des investisseurs étrangers.
Interrogé par radio Métropole, Max Antoine II a soutenu que le gouvernement entend adopter des dispositions pour faire respecter l'avis domanial d'Août 2009 interdisant la vente des terres du domaine public. Il a également apporté son appui au maire Lapointe assurant que le gouvernement se prépare à élaborer un plan d'aménagement du territoire dans le cadre du processus de reconstruction.
LLM / Radio Métropole Haiti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=17823
Haïti, invité spécial du LAC Flavor 2010.
Le Centre de Facilitation des Investissements (CFI) annonce qu'Haïti sera l'invité spécial, d'une rencontre d'affaire entre des exportateurs et les acheteurs du secteur agro-alimentaire, organisée par la banque interaméricaine de Développement. Dans un communiqué de presse rendu public ce lundi 7 juin LE CEFI a précisé qui cette activité baptisée « LAC Flavors 2010 sera organisée à Carthagène en Colombie, les 15 et 16 juin prochain. Elle s'inscrit dans le cadre du sommet des Présidents de la Méso Amérique 2010.
Le LAC Flavors est une activité qui favorise les échanges commerciaux entre les différents états du continent américain. Il encourage la création de nouvelles opportunités d'affaires entre des Petites et Moyennes Entreprises de l'Amérique latine et de la Caraïbe et les clients potentiels se trouvant aux Etats-Unis et au Canada.
Cette année, près d'une centaine entreprises d'exportatrice venant de plusieurs pays, sont attendues à cette nouvelle édition de LAC Flavors.
Les entreprises haïtiennes JMB, S.A, Caribbean Sea Food et Rebo S.A représenteront Haïti lors de ce grand événement commercial.
EJ/Radio Métropole Haïti
Le LAC Flavors est une activité qui favorise les échanges commerciaux entre les différents états du continent américain. Il encourage la création de nouvelles opportunités d'affaires entre des Petites et Moyennes Entreprises de l'Amérique latine et de la Caraïbe et les clients potentiels se trouvant aux Etats-Unis et au Canada.
Cette année, près d'une centaine entreprises d'exportatrice venant de plusieurs pays, sont attendues à cette nouvelle édition de LAC Flavors.
Les entreprises haïtiennes JMB, S.A, Caribbean Sea Food et Rebo S.A représenteront Haïti lors de ce grand événement commercial.
EJ/Radio Métropole Haïti
Patrick Moussignac refuse toute protection rapprochée
Le directeur de (Radio Télé Caraïbes et les stations affiliées), Patrick Moussignac qui vient d'être victime d'une tentative d'assassinat, a refusé un garde du corps proposé par les autorités policières haïtiennes. « Pas question d'avoir des agents de sécurité rapprochée à mes côtés. Ce serait la dernière chose que j'accepterais », a déclaré le patron de presse dans une interview accordée à un journaliste du Journal le Nouvelliste.
Monsieur Moussignac a fait remarquer qu'il préférerait d'ailleurs aller vivre à l'étranger plutôt que d'accepter d'avoir des gardes du corps devant assurer sa sécurité.
Tout en ne souhaitant pas donner une teneur politique à l'incident, le PDG de Caraibe FM, exige que la lumière soit faite sur cet incident au cours duquel son véhicule a essuyé des tirs dans le quartier de Delmas 2.
Soulignons que l'Association Nationale des Médias Haïtiens (ANMH) avait déploré l'incident. L'actuel président de l'association, Max Chauvet, a indiqué que suite à des éléments d'information dont il dispose, il peut tirer comme conclusion que Patrick Moussignac a été attaqué en tant qu'homme d'affaire, non en tant que patron de média.
EJ/Radio Métropole Haïti
Monsieur Moussignac a fait remarquer qu'il préférerait d'ailleurs aller vivre à l'étranger plutôt que d'accepter d'avoir des gardes du corps devant assurer sa sécurité.
Tout en ne souhaitant pas donner une teneur politique à l'incident, le PDG de Caraibe FM, exige que la lumière soit faite sur cet incident au cours duquel son véhicule a essuyé des tirs dans le quartier de Delmas 2.
Soulignons que l'Association Nationale des Médias Haïtiens (ANMH) avait déploré l'incident. L'actuel président de l'association, Max Chauvet, a indiqué que suite à des éléments d'information dont il dispose, il peut tirer comme conclusion que Patrick Moussignac a été attaqué en tant qu'homme d'affaire, non en tant que patron de média.
EJ/Radio Métropole Haïti
Le Canada veut déporter un chef de gang d'origine haïtienne
Les autorités canadiennes annoncent la déportation prochaine d'un chef de gang haïtien incarcéré au Canada. Bernard Mathieu alias Ti Pon accusé d'avoir été le chef du gang montréalais de la rue Pelletier, a été mis au fait de la décision en comparaissant hier lundi devant la Commission de l'immigration et du statut de réfugié. Bernard Mathieu, 39 ans, a été condamné en 2007 à purger 10 ans de prison pour gangstérisme et trafic de stupéfiants. Il est actuellement détenu à la prison de Rivière-des-Prairies. M. Mathieu est détenteur du statut de résident permanent, mais il ne détient pas la citoyenneté canadienne.
L'avocat de Mathieu avait fait état de son intention de présenter une demande spéciale pour motifs humanitaires, afin que son client puisse demeurer au pays après avoir purgé sa peine.
Les autorités canadiennes et américaines, ont ces dernières années, déporté de nombreux criminels d'origine haïtienne. Toutefois le gouvernement canadien a suspendu temporairement les déportations depuis le violent séisme du 12 janvier.
Les autorités haïtiennes avaient à plusieurs reprises réclamé une meilleure collaboration avec les pays étrangers afin de contrôler l'arrivée de criminels sur le territoire. On notera que les autorités haïtiennes n'avaient pas publier de statistiques pour prouver la forte implication des déportés dans la recrudescence des actes de violence.
LLM / radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=17819
L'avocat de Mathieu avait fait état de son intention de présenter une demande spéciale pour motifs humanitaires, afin que son client puisse demeurer au pays après avoir purgé sa peine.
Les autorités canadiennes et américaines, ont ces dernières années, déporté de nombreux criminels d'origine haïtienne. Toutefois le gouvernement canadien a suspendu temporairement les déportations depuis le violent séisme du 12 janvier.
Les autorités haïtiennes avaient à plusieurs reprises réclamé une meilleure collaboration avec les pays étrangers afin de contrôler l'arrivée de criminels sur le territoire. On notera que les autorités haïtiennes n'avaient pas publier de statistiques pour prouver la forte implication des déportés dans la recrudescence des actes de violence.
LLM / radio Métropole Haïti
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Le gouvernement veut construire une capitale moderne
Le gouvernement haïtien envisage de construire une nouvelle Port-au-Prince dans le cadre du plan de reconstruction. La nouvelle capitale aura fière allure avec des quartiers d'affaires, des parcs, des chaînes d'hôtels et les QG de plusieurs organismes publics. Port-au-Prince sera dans les prochains mois déclarée d'utilité publique afin de permettre le lancement de ces grands chantiers. Le ministre des finances, Ronald Beaudin, indique que plus de 140 millions de dollars seront nécessaires pour la construction des édifices publics. Plusieurs projets seront réalisés par la Commission Intérimaire pour la Reconstruction d'Haïti (CIRH) avance le grand argentier de la république.
Des urbanistes et architectes sont déjà à pied d'œuvre afin de donner naissance à une capitale moderne. La nouvelle ville devra faire face à la mer.
Il ne sera pas difficile de construire cette nouvelle ville puisque Port-au-Prince a été détruite à 80% par le violent séisme du 12 janvier. Le gouvernement envisage de réaliser des expropriations quand cela sera nécessaire, précise le ministre Beaudin.
La nouvelle Port-au-Prince sera une grande capitale avec électricité 24 heures par jour et des patrouilles policières régulières. Ses rues ne seront plus obstruées par les étalagistes et marchands ambulants.
Les autorités haïtiennes n'entendent pas lésiner sur les moyens ni perdre de temps. Les travaux devront être lancés avant la fin de cette année précise le ministre Beaudin.
LLM / Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=17818
Des urbanistes et architectes sont déjà à pied d'œuvre afin de donner naissance à une capitale moderne. La nouvelle ville devra faire face à la mer.
Il ne sera pas difficile de construire cette nouvelle ville puisque Port-au-Prince a été détruite à 80% par le violent séisme du 12 janvier. Le gouvernement envisage de réaliser des expropriations quand cela sera nécessaire, précise le ministre Beaudin.
La nouvelle Port-au-Prince sera une grande capitale avec électricité 24 heures par jour et des patrouilles policières régulières. Ses rues ne seront plus obstruées par les étalagistes et marchands ambulants.
Les autorités haïtiennes n'entendent pas lésiner sur les moyens ni perdre de temps. Les travaux devront être lancés avant la fin de cette année précise le ministre Beaudin.
LLM / Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=17818
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