Des leaders politiques déplorent que la création d'emploi ne fait pas partie des priorités du chef de l'état pour cette année 2009. Le dirigeant du Mouvement Chrétien pour une nouvelle Haïti (Mochrenah), Luc Mesadieu et le chef de file de Respect, Charles Henry Baker, font remarquer que la création de nombreux emplois est de nature à faire reculer la vie chère.Tout en admettant que les infrastructures routières sont nécessaires, le président du Mochrenah, Luc Mesadieu, affirme qu'elles ne permettront pas d'augmenter le pouvoir d'achat des paysans. " La situation est inquiétante et on risque de nouvelle émeutes de la faim", dit-il soulignant que le président Préval n'a curieusement pas annoncé de disposition pour faire faire à la crise économique.
En ce qui a trait au dialogue national prôné par le chef de l'état, le dirigeant du Mochrenah croit que le gouvernement doit créer les conditions pour un dialogue sincère et réel. " Des compétences sont écartées parce qu'elles ne sont pas apparentées à Lespwa", se plaint le pasteur Mesadieu espérant que le chef de l'état pourra atteindre ses nouveaux objectifs. " La lutte contre la corruption annoncée en 2007 n'a pas été efficace ", dit-il expliquant que le président Préval doit se donner les moyens de sa politique.
De son coté, le chef de file de Respect, Charles Henry Baker, estime que la production nationale doit être la principale priorité de ce pays. " De nombreux paysans ne peuvent mettre leur terres en culture parce qu'ils ne bénéficient pas de l'appui de l'état", ajoute t-il.En ce qui concerne le dialogue national, M. Baker espère que M. Préval se mettra à l'écoute des citoyens. " René Préval doit s'engager à respecter les échéances constitutionnelles en matière électorale notamment", lance Charles Henry Baker pour qui la création d'emploi favorisera un recul de la vie chère. " Le développement de l'industrie et de l'agriculture sont des outils pour relancer l'économie", explique t-il.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14575
HRV commente :
Ces Leaders politiques de mes couilles !
Combien de députés ils ont Respect et Mochrena ? Combien de sénateurs ?
Combien de membres inscrits comptent leurs partis ?
Que proposent-ils ?
Comment vivent-ils en dehors des périodes électorales ?
Quelle est leur pertinence dans le milieu politique haïtien ?
Comment participent-ils à l’éducation et à la formation démocratique des haïtiens ?
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
mardi 6 janvier 2009
Les députés entendent analyser le budget sans précipitation
Le président de la commission finance de la chambre basse, Jean Marcel Lemeran, indique que la loi de finance 2008 – 2009 devrait être votée par les députés à la fin de ce mois de janvier. Il souligne que les élus doivent consacrer quelques jours au processus d'élection des membres du nouveau bureau de la chambre basse. C'est dans ce contexte que les membres de la commission finance se sont évertués à analyser le budget du bureau pour l'année législative 2008.
De plus, le député Lemeran révèle que la formule de commission bicamérale pour l'analyse du budget utilisée les années précédentes a été abandonnée. " Les commissions finances de la chambre basse et du sénat travailleront de manière indépendante mais on veillera à rapprocher autant que possible les interventions des ministres", ajoute t-il. L'analyse du budget de la république débutera ce mardi avec les interventions prévues de la Première ministre, Michèle Pierre Louis, des ministres des finances, Daniel Dorsainvil et de la planification, Jean Max Bellerive, par devant la commission finance. Le député Lemeran assure que les parlementaires prendront le temps nécessaire pour l'analyse des différentes sections du budget. " Le rapport de la commission devrait être présenté à l'assemblée des députés le mardi 27 janvier", promet M. Lemeran.
Interrogé sur les grandes orientations du budget, le député Lemeran dit avoir constaté un petit effort du gouvernement pour allouer plus de ressources aux villes de province. " Je suis en train de vérifier le pourcentage d'investissement dans les différents départements", dit-il rappelant qu'il s'agit de l'une des principales préoccupations des élus.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14577
De plus, le député Lemeran révèle que la formule de commission bicamérale pour l'analyse du budget utilisée les années précédentes a été abandonnée. " Les commissions finances de la chambre basse et du sénat travailleront de manière indépendante mais on veillera à rapprocher autant que possible les interventions des ministres", ajoute t-il. L'analyse du budget de la république débutera ce mardi avec les interventions prévues de la Première ministre, Michèle Pierre Louis, des ministres des finances, Daniel Dorsainvil et de la planification, Jean Max Bellerive, par devant la commission finance. Le député Lemeran assure que les parlementaires prendront le temps nécessaire pour l'analyse des différentes sections du budget. " Le rapport de la commission devrait être présenté à l'assemblée des députés le mardi 27 janvier", promet M. Lemeran.
Interrogé sur les grandes orientations du budget, le député Lemeran dit avoir constaté un petit effort du gouvernement pour allouer plus de ressources aux villes de province. " Je suis en train de vérifier le pourcentage d'investissement dans les différents départements", dit-il rappelant qu'il s'agit de l'une des principales préoccupations des élus.
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Chavannes Jean Baptiste s'étonne que l'agriculture ne soit plus la priorité du gouvernement
Le leader du Mouvement National Paysan Congres Papaye (MNPKP), Chavannes Jean Baptiste, déplore que le chef de l'état n'ait pas placé la relance de la production agricole dans la liste des priorités pour 2009.
Il rappelle que la production agricole a continué à baisser au cours des deux dernières décennies ce qui causera une aggravation de la crise alimentaire. Selon le chef de file du MNPKP, le gouvernement doit investir dans les infrastructures agricoles notamment, les systèmes d'irrigation, les puits et lacs collinaires. Tout en mettant l'accent sur l'encadrement technique et financier pour les paysans M. Jean Baptiste admet que les infrastructures routières, promises par le chef de l'état peuvent contribuer à la commercialisation des produits. " C'est vrai que des denrées pourrissent dans certaines régions parce qu'il n'y a pas de voie de communication, mais il faut penser a avoir la production dans toutes les régions", ajoute t-il.Interrogé par radio Métropole, Chavannes Jean Baptiste s'est dit surpris que le chef de l'état dans son adresse à la nation le 1 janvier, n'ait pas fait mention de la production agricole. " Avec la dégradation de l'environnement il faut penser à la protection des bassins versants en même temps que la construction de nouvelles routes", insiste t-il.Craignant une absence de stratégie globale, M. Jean Baptiste croit que la protection de l'environnement et la relance de l'agriculture sont les principales priorités du pays. " 30 % du budget devrait être accordés à ces deux secteurs ", dit-il qualifiant d'insuffisants les efforts du Ministère de l'agriculture. " J'ai visité des paysans dans 8 des 10 départements géographiques et tous déplorent le manque de semence", déclare M. Jean Baptiste pour qui des vivres alimentaires pourraient être produits en 4 mois.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14576
HRV Commente :
Nous attendons les revendications des syndicats des professeurs réclamant que l’éducation soit le point névralgique du budget, comme le sera la santé, avant de faire notre commentaire !
Il rappelle que la production agricole a continué à baisser au cours des deux dernières décennies ce qui causera une aggravation de la crise alimentaire. Selon le chef de file du MNPKP, le gouvernement doit investir dans les infrastructures agricoles notamment, les systèmes d'irrigation, les puits et lacs collinaires. Tout en mettant l'accent sur l'encadrement technique et financier pour les paysans M. Jean Baptiste admet que les infrastructures routières, promises par le chef de l'état peuvent contribuer à la commercialisation des produits. " C'est vrai que des denrées pourrissent dans certaines régions parce qu'il n'y a pas de voie de communication, mais il faut penser a avoir la production dans toutes les régions", ajoute t-il.Interrogé par radio Métropole, Chavannes Jean Baptiste s'est dit surpris que le chef de l'état dans son adresse à la nation le 1 janvier, n'ait pas fait mention de la production agricole. " Avec la dégradation de l'environnement il faut penser à la protection des bassins versants en même temps que la construction de nouvelles routes", insiste t-il.Craignant une absence de stratégie globale, M. Jean Baptiste croit que la protection de l'environnement et la relance de l'agriculture sont les principales priorités du pays. " 30 % du budget devrait être accordés à ces deux secteurs ", dit-il qualifiant d'insuffisants les efforts du Ministère de l'agriculture. " J'ai visité des paysans dans 8 des 10 départements géographiques et tous déplorent le manque de semence", déclare M. Jean Baptiste pour qui des vivres alimentaires pourraient être produits en 4 mois.
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Nous attendons les revendications des syndicats des professeurs réclamant que l’éducation soit le point névralgique du budget, comme le sera la santé, avant de faire notre commentaire !
Les haïtiens débutent 2009 avec une rareté de carburant ...Le gouvernement dément....
Les premiers jours d'activités commerciale et scolaire de l'année 2009 ont été marqués par une rareté de carburant. Des files de véhicules dans les stations à essence et de nombreuses personnes, obligées de se rendre à pied dans les centres d'activités, ont été remarquées dans les rues de la capitale.
Des Port-au-Princiens interrogés par radio Métropole, dénoncent "la méchanceté des autorités et des distributeurs de produits pétroliers qui veulent vendre le carburant au marché noir". Un citoyen explique avoir pris la route à pied parce qu'il n'a pu s'approvisionner dans les stations à essence.
Les distributeurs soutiennent qu'ils n'ont aucune responsabilité dans cette pénurie.Toutefois le responsable fiscal du Ministère de l'économie et des Finances, Ronald Décembre, affirme haut et fort que le gouvernement n'a aucune responsabilité dans cette rareté. " La compagnie pétrolière Texaco continue à distribuer du carburant", signale t-il estimant que la rareté est la conséquence d'une stratégie des propriétaires de station à essence qui ont anticipé une baisse des prix. " Les stations à essence n'ont pas fait de commande et attendent la baisse des prix", ajoute t-il.Rendant les distributeurs responsables de cette rareté M. Décembre dit ne pas comprendre comment des vendeurs ambulants ont pu s'approvisionner en carburant. " Le ministère du commerce doit essayer de comprendre comment les produits pétroliers ont pu se retrouver sur le marché informel", assure t-il. Interrogé sur les dispositions pour résoudre le problème, M. Décembre annonce qu'un tanker de produits pétroliers est attendu à Port-au-Prince mardi soir.
De son coté, le président de l'Association Nationale des Distributeurs de Produits Pétroliers (ANADIPP), Maurice Lafortune, indique que la rareté est due au retard dans la commande de produits pétroliers sur le marché international. Rappelant que l'Anadipp n'est pas impliquée dans l'importation de l'essence, M. Lafortune révèle que son association n'a pas été informée officiellement de l'arrivée d'un tanker.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14574
Le gouvernement dément toute rareté de carburant en Haïti
L’arrivage insuffisant du pétrole vénézuélien est la cause principale des longues files d’attente constatées dans les pompes à essence, selon Ronald Décembre, directeur de la fiscalité au ministère des finances ; nervosité et engueulades dans les stations-service et ralentissement du trafic automobile à Port-au-Prince
lundi 5 janvier 2009, Radio Kiskeya
Le directeur de la fiscalité au ministère de l’économie et des finances, Ronald Décembre, a qualifié lundi d’artificielle et provisoire la rareté d’essence à l’origine de longues files d’attente dans les stations-service et du ralentissement de la circulation automobile à Port-au-Prince.
Soulignant que l’importation des produits pétroliers se fait actuellement dans le cadre de l’accord de coopération énergétique Petrocaribe conclu en 2006 avec le Venezuela, le haut fonctionnaire a principalement attribué la pénurie des gazolines 91 et 95 octanes à un problème enregistré dans une raffinerie de Curaçao. Le bureau de monétisation, chargé de négocier les commandes, n’a pu, dit-il, obtenir le volume de produits pétroliers sollicité lors du dernier arrivage.
« Il n’y a pas de rareté d’essence sur le marché, mais de préférence un problème de temps d’approvisionnement », a déclaré Ronald Décembre sur les ondes de Radio Kiskeya.
Embouteillages dans une station-service de Petit-Four (Port-au-Prince) Photo/Liliane Piere-Paul
Il a aussi évoqué deux autres facteurs ayant contribué à rendre inférieure à la demande la quantité de gazoline disponible dans les pompes à essence : la décision des compagnies pétrolières de retarder les commandes en raison des baisses successives du brut sur le marché international et la vente parallèle de l’essence au marché noir. Ce dernier phénomène préoccupe le gouvernement, a fait savoir le responsable du ministère des finances qui affirme que les autorités entendent sévir contre tous ceux qui débitent de la gazoline au prix fort dans les rues de Port-au-Prince.
Un tanker devrait arriver dans les prochaines heures. Dans l’intervalle, des camions-citernes ont commencé à approvisionner certaines stations-service où de fortes tensions étaient perceptibles. De longues files d’attente continuaient à se former et de vives discussions mettaient aux prises pompistes et acheteurs nerveux. La présence d’agents de la Police Nationale s’est avérée nécessaire pour calmer les esprits.
La rareté du carburant a provoqué un sérieux ralentissement de la circulation automobile inhabituellement fluide sur les principales artères de la capitale alors que le début de la première semaine de l’année coïncidait avec la rentrée des classes. Les taxis et tap-tap (transport populaire) se faisaient rares sur les différents circuits.
Déclinant toute responsabilité, l’association nationale des distributeurs de produits pétroliers (ANADIPP) a indiqué par l’organe de son président, Maurice Lafortune, qu’elle attendait l’arrivée imminente d’un pétrolier dans la rade de Port-au-Prince. Cependant, deux organisations syndicales, l’association des propriétaires et chauffeurs d’Haïti (APCH) et la fédération des transporteurs publics haïtiens (FTPH) ont accusé les dealers d’avoir délibérément provoqué une crise du carburant en choisissant de débiter clandestinement leurs produits la nuit afin de maximiser leurs profits. Partant de cette hypothèse, les syndicalistes n’hésitent pas à envisager leur propre implication dans la commercialisation du pétrole. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5561
Des Port-au-Princiens interrogés par radio Métropole, dénoncent "la méchanceté des autorités et des distributeurs de produits pétroliers qui veulent vendre le carburant au marché noir". Un citoyen explique avoir pris la route à pied parce qu'il n'a pu s'approvisionner dans les stations à essence.
Les distributeurs soutiennent qu'ils n'ont aucune responsabilité dans cette pénurie.Toutefois le responsable fiscal du Ministère de l'économie et des Finances, Ronald Décembre, affirme haut et fort que le gouvernement n'a aucune responsabilité dans cette rareté. " La compagnie pétrolière Texaco continue à distribuer du carburant", signale t-il estimant que la rareté est la conséquence d'une stratégie des propriétaires de station à essence qui ont anticipé une baisse des prix. " Les stations à essence n'ont pas fait de commande et attendent la baisse des prix", ajoute t-il.Rendant les distributeurs responsables de cette rareté M. Décembre dit ne pas comprendre comment des vendeurs ambulants ont pu s'approvisionner en carburant. " Le ministère du commerce doit essayer de comprendre comment les produits pétroliers ont pu se retrouver sur le marché informel", assure t-il. Interrogé sur les dispositions pour résoudre le problème, M. Décembre annonce qu'un tanker de produits pétroliers est attendu à Port-au-Prince mardi soir.
De son coté, le président de l'Association Nationale des Distributeurs de Produits Pétroliers (ANADIPP), Maurice Lafortune, indique que la rareté est due au retard dans la commande de produits pétroliers sur le marché international. Rappelant que l'Anadipp n'est pas impliquée dans l'importation de l'essence, M. Lafortune révèle que son association n'a pas été informée officiellement de l'arrivée d'un tanker.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14574
Le gouvernement dément toute rareté de carburant en Haïti
L’arrivage insuffisant du pétrole vénézuélien est la cause principale des longues files d’attente constatées dans les pompes à essence, selon Ronald Décembre, directeur de la fiscalité au ministère des finances ; nervosité et engueulades dans les stations-service et ralentissement du trafic automobile à Port-au-Prince
lundi 5 janvier 2009, Radio Kiskeya
Le directeur de la fiscalité au ministère de l’économie et des finances, Ronald Décembre, a qualifié lundi d’artificielle et provisoire la rareté d’essence à l’origine de longues files d’attente dans les stations-service et du ralentissement de la circulation automobile à Port-au-Prince.
Soulignant que l’importation des produits pétroliers se fait actuellement dans le cadre de l’accord de coopération énergétique Petrocaribe conclu en 2006 avec le Venezuela, le haut fonctionnaire a principalement attribué la pénurie des gazolines 91 et 95 octanes à un problème enregistré dans une raffinerie de Curaçao. Le bureau de monétisation, chargé de négocier les commandes, n’a pu, dit-il, obtenir le volume de produits pétroliers sollicité lors du dernier arrivage.
« Il n’y a pas de rareté d’essence sur le marché, mais de préférence un problème de temps d’approvisionnement », a déclaré Ronald Décembre sur les ondes de Radio Kiskeya.
Embouteillages dans une station-service de Petit-Four (Port-au-Prince) Photo/Liliane Piere-Paul
Il a aussi évoqué deux autres facteurs ayant contribué à rendre inférieure à la demande la quantité de gazoline disponible dans les pompes à essence : la décision des compagnies pétrolières de retarder les commandes en raison des baisses successives du brut sur le marché international et la vente parallèle de l’essence au marché noir. Ce dernier phénomène préoccupe le gouvernement, a fait savoir le responsable du ministère des finances qui affirme que les autorités entendent sévir contre tous ceux qui débitent de la gazoline au prix fort dans les rues de Port-au-Prince.
Un tanker devrait arriver dans les prochaines heures. Dans l’intervalle, des camions-citernes ont commencé à approvisionner certaines stations-service où de fortes tensions étaient perceptibles. De longues files d’attente continuaient à se former et de vives discussions mettaient aux prises pompistes et acheteurs nerveux. La présence d’agents de la Police Nationale s’est avérée nécessaire pour calmer les esprits.
La rareté du carburant a provoqué un sérieux ralentissement de la circulation automobile inhabituellement fluide sur les principales artères de la capitale alors que le début de la première semaine de l’année coïncidait avec la rentrée des classes. Les taxis et tap-tap (transport populaire) se faisaient rares sur les différents circuits.
Déclinant toute responsabilité, l’association nationale des distributeurs de produits pétroliers (ANADIPP) a indiqué par l’organe de son président, Maurice Lafortune, qu’elle attendait l’arrivée imminente d’un pétrolier dans la rade de Port-au-Prince. Cependant, deux organisations syndicales, l’association des propriétaires et chauffeurs d’Haïti (APCH) et la fédération des transporteurs publics haïtiens (FTPH) ont accusé les dealers d’avoir délibérément provoqué une crise du carburant en choisissant de débiter clandestinement leurs produits la nuit afin de maximiser leurs profits. Partant de cette hypothèse, les syndicalistes n’hésitent pas à envisager leur propre implication dans la commercialisation du pétrole. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5561
Des milliers de chaussures retrouvées sur une autoroute de Miami envoyées en …Haïti
Des cadeaux usagés et abandonnés, ce qui convient le mieux aux nécessiteux d’ici
lundi 5 janvier 2009, Radio Kiskeya
Une organisation caritative américaine Soles4Souls a offert ses services pour récupérer et envoyer en Haïti des milliers de paires de chaussures usagées mystérieusement abandonnées dans les rues de Miami, rapporte l’Associated Press.
Soles4Souls, dont le siège se trouve à Nashville (Tennessee), a dépêché ses représentants dans la métropole floridienne pour y ramasser les souliers. Ils seront ensuite acheminés en Haïti pour être distribués à des démunis.
Vendredi dernier sur une autoroute très fréquentée, la police routière avait découvert des milliers de bottes de travail, sandales de bain, de plage, chaussures de sport et patins à roulettes. Cette situation inédite a été à l’origine d’une interruption du trafic automobile pendant de longues heures.
Une entreprise privée avait dans un premier temps collecté les chaussures pour les entreposer dans un espace vide.
Une enquête a été ouverte en vue de découvrir les raisons pour lesquelles les chaussures ont été jetées à la rue et l’identité des personnes à l’origine de cet incident.
Quant aux nécesiteux d’Haïti, grands bénéficiaires de ce geste de générosité, ils recevront des choses dont l’Amérique se débarrasse avec plaisir. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5560
lundi 5 janvier 2009, Radio Kiskeya
Une organisation caritative américaine Soles4Souls a offert ses services pour récupérer et envoyer en Haïti des milliers de paires de chaussures usagées mystérieusement abandonnées dans les rues de Miami, rapporte l’Associated Press.
Soles4Souls, dont le siège se trouve à Nashville (Tennessee), a dépêché ses représentants dans la métropole floridienne pour y ramasser les souliers. Ils seront ensuite acheminés en Haïti pour être distribués à des démunis.
Vendredi dernier sur une autoroute très fréquentée, la police routière avait découvert des milliers de bottes de travail, sandales de bain, de plage, chaussures de sport et patins à roulettes. Cette situation inédite a été à l’origine d’une interruption du trafic automobile pendant de longues heures.
Une entreprise privée avait dans un premier temps collecté les chaussures pour les entreposer dans un espace vide.
Une enquête a été ouverte en vue de découvrir les raisons pour lesquelles les chaussures ont été jetées à la rue et l’identité des personnes à l’origine de cet incident.
Quant aux nécesiteux d’Haïti, grands bénéficiaires de ce geste de générosité, ils recevront des choses dont l’Amérique se débarrasse avec plaisir. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5560
Migration et le Police Nationale chasseront les mendiants des rues
Auteur: Radhames Gonzalez (r.gonzalez@hoy.com).
Des agents de la Police et personnel du bureau de Migration recherchent une bande qui favorise la présense de mendiants haïtiens et dominicians , dans les rues du district national et d’autres villes. Le directeur du département de contrôle migratoire et de la traite des personnes Luis Figuereo Agramonte a dit que l’objectif et de sortir des rues ces mendiants qui sont généralement des enfants.
Le directeur du département de contrôle migratoire et de la traite des personnes Luis Figuereo Agramonte a informé que la Police poursuit les chefs d’une bande qui tirerait des proits sur la mendicité en plaçant des dominicaisn et des haïtiens seur des voies importantes de la capitale pour demander l’aumone aux automobilisteset aux passants. Agramonte Figuereo a déclaré que la mesure s’applique bien en profitant de ce debut d’année.
“nous avaons débuté un plan d’un común accord et de façon simultanée avec les autorités des services de migration pour essayer de retirer des rues ces enfants qui se consacrent à la mendicité, c’est-a-dire demander de l’argent aux passants qui circulent dans les différentes rues de la capital et de la proveince” a-t-il exprimé.
Il a considéré qu’en utilisant des mineurs pour demander dans les rues, ces personnes violent la loi numéro 137-03, sur la traite et le trafic des personnes. Les dominicains et les haïtiens qui demandent l’aumone se placent sur des avenues très fréquentées comme L’angle de l’avenue 27 février – ortega y Gasset; Lincoln, Nunez de Cacéres entre autres
Beaucoup de personnes éprouvent de la crainte quand certains mendiants le Font de façon intimidante.
Figuereo Agramonte a déclaré qu’il exécute l’ordre du chef de la pólice Nationale Major Général Rafael Guillermo GUzman Fermin et du Générale de Brigade Pedro Julio Henriquez Perez directeur de la direction centrale des investigations criminelles de l’institution, pour réaliser cette tache.
http://www.hoy.com.do/el-pais/2009/1/5/261726/Migracion-y-PN-sacaran-mendigos-de-las-calles
Des agents de la Police et personnel du bureau de Migration recherchent une bande qui favorise la présense de mendiants haïtiens et dominicians , dans les rues du district national et d’autres villes. Le directeur du département de contrôle migratoire et de la traite des personnes Luis Figuereo Agramonte a dit que l’objectif et de sortir des rues ces mendiants qui sont généralement des enfants.
Le directeur du département de contrôle migratoire et de la traite des personnes Luis Figuereo Agramonte a informé que la Police poursuit les chefs d’une bande qui tirerait des proits sur la mendicité en plaçant des dominicaisn et des haïtiens seur des voies importantes de la capitale pour demander l’aumone aux automobilisteset aux passants. Agramonte Figuereo a déclaré que la mesure s’applique bien en profitant de ce debut d’année.
“nous avaons débuté un plan d’un común accord et de façon simultanée avec les autorités des services de migration pour essayer de retirer des rues ces enfants qui se consacrent à la mendicité, c’est-a-dire demander de l’argent aux passants qui circulent dans les différentes rues de la capital et de la proveince” a-t-il exprimé.
Il a considéré qu’en utilisant des mineurs pour demander dans les rues, ces personnes violent la loi numéro 137-03, sur la traite et le trafic des personnes. Les dominicains et les haïtiens qui demandent l’aumone se placent sur des avenues très fréquentées comme L’angle de l’avenue 27 février – ortega y Gasset; Lincoln, Nunez de Cacéres entre autres
Beaucoup de personnes éprouvent de la crainte quand certains mendiants le Font de façon intimidante.
Figuereo Agramonte a déclaré qu’il exécute l’ordre du chef de la pólice Nationale Major Général Rafael Guillermo GUzman Fermin et du Générale de Brigade Pedro Julio Henriquez Perez directeur de la direction centrale des investigations criminelles de l’institution, pour réaliser cette tache.
http://www.hoy.com.do/el-pais/2009/1/5/261726/Migracion-y-PN-sacaran-mendigos-de-las-calles
L'EGLISE NOTRE DAME DU RAOSAIRE DE DAJABON, REPUBLIQUE DOMINICAINE OCCUPEE PAR 600 HAITIENS IMMIGRES....
Des haïtiens occupent en compagnie du père Martinez une église à Dajabon
Auteurs : William Estévez et Ricardo Santana- 06/1/09
Dajabon.- Le père jésuite Regino Martinez a occupé hier l’église NOtre Dame du Rosaire de Dajabon en compagnie de 600 immigrants haïtiens qui travaillent semble-t-il dans diverses aires productives de la region du Nord-ouest, pour réclamer des autoirtés dominicaines qu’il leur soit permis de rester dans le pays. Martinez a manifesté que les “braceros haïtiens ont visité le mois de décembre dernier leur pays pour se retrouver avec leurs parents, mais les autorités d’immigration empêchent leur retour en territoire dominicain.
LE Jésuite a dit que les 600 citoyens haïtiens ont dormi la nuit du dimanche dans la paroisse de Ouanamointhe (Haïti), ou ils ont passé une nuit difficile, mais hier, profitant du marché binational que se réalise à Dajabon le lundi et le vendredi, ils ont traversé la frontière dominicaine et ils ont décidé d’occuper l’église Notre Dame du Rosaire, pour cela, Solidarité Frontalière et le Service Jésuite pour les migrants et les réfugiés ont décidé de leur offrir leur appui, des sources informatives du bureau de Migration et du corps spécialisé de la Sécurité Frontalière terrestre à Dajabon ont déclaré à la presse que les autorités dominicaines ont permis l’entrée en territoire dominicain de 700 haïtiens détenteurs d’une autorisation pour rentrer en territoire dominicain. Cependant , elles ont affirmé que les 600 haïtiens qui occupent le temple catholique accompagné du père jésuite Regino Martinez, n’ont pas de papier, selon eux ils doivent être donc rapatriés vers Haïti.
Mais Martinez a déclaré que beaucoup des immigrants haïtiens qui maintiennent avec lui l’occupation de l’église possèdent une carte de l’association des travailleurs agricoles Migrants haïtiens du Nord-Ouest et du bureau d’immigration
Ila souligné que le 18 décembre dernier des membres de Solidarité Frontalière et le Service Jésuite des Migrants réfugiés se sont réunis avec le directeur général de Migration, le général Anibal Sanz Jiminian et l’ont informé que 1.696 citoyens haïtiens partiraient vers Haïti et que beaucoup d’entre eux pôssèdent la carte des associations qui les regorupent.
http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=86779
Auteurs : William Estévez et Ricardo Santana- 06/1/09
Dajabon.- Le père jésuite Regino Martinez a occupé hier l’église NOtre Dame du Rosaire de Dajabon en compagnie de 600 immigrants haïtiens qui travaillent semble-t-il dans diverses aires productives de la region du Nord-ouest, pour réclamer des autoirtés dominicaines qu’il leur soit permis de rester dans le pays. Martinez a manifesté que les “braceros haïtiens ont visité le mois de décembre dernier leur pays pour se retrouver avec leurs parents, mais les autorités d’immigration empêchent leur retour en territoire dominicain.
LE Jésuite a dit que les 600 citoyens haïtiens ont dormi la nuit du dimanche dans la paroisse de Ouanamointhe (Haïti), ou ils ont passé une nuit difficile, mais hier, profitant du marché binational que se réalise à Dajabon le lundi et le vendredi, ils ont traversé la frontière dominicaine et ils ont décidé d’occuper l’église Notre Dame du Rosaire, pour cela, Solidarité Frontalière et le Service Jésuite pour les migrants et les réfugiés ont décidé de leur offrir leur appui, des sources informatives du bureau de Migration et du corps spécialisé de la Sécurité Frontalière terrestre à Dajabon ont déclaré à la presse que les autorités dominicaines ont permis l’entrée en territoire dominicain de 700 haïtiens détenteurs d’une autorisation pour rentrer en territoire dominicain. Cependant , elles ont affirmé que les 600 haïtiens qui occupent le temple catholique accompagné du père jésuite Regino Martinez, n’ont pas de papier, selon eux ils doivent être donc rapatriés vers Haïti.
Mais Martinez a déclaré que beaucoup des immigrants haïtiens qui maintiennent avec lui l’occupation de l’église possèdent une carte de l’association des travailleurs agricoles Migrants haïtiens du Nord-Ouest et du bureau d’immigration
Ila souligné que le 18 décembre dernier des membres de Solidarité Frontalière et le Service Jésuite des Migrants réfugiés se sont réunis avec le directeur général de Migration, le général Anibal Sanz Jiminian et l’ont informé que 1.696 citoyens haïtiens partiraient vers Haïti et que beaucoup d’entre eux pôssèdent la carte des associations qui les regorupent.
http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=86779
Un dominicain perd les deux mains au cours d’une bagarre avec des haïtiens.
Santo Domingo.- Un citoyen dominicain perdit les deux mains pendant une bagarre contre quatre citoyens haïtiens, qui résultèrent bléssés à l’arme balnche, dans le secteur Capotillo, de Santo Domingo a informé la Police Nationale.
Le fait s’est produit dans la nuit de dimanche, expliqua un communiqué de l’institution, qui a identifié les bléssés comme le dominician Carlos Familia Garcia de 22 ans et les haïtiens Chaney Canyo de 24 ans, Nènè Américo de 25 ans Feneido Felix de 22 ans et Ronny Joseph de 24 ans.
La Police n’a pas précisé les motifs de la bagarre, mais a indiqué que les investigations préliminaires signalent que le dominicain avait blessé les haïtiens et ces derniers ont infligé des blessures à celui-ci à l’arme blanche. http://www2.elnuevodiario.com.do/app/article.aspx?id=134968
Le fait s’est produit dans la nuit de dimanche, expliqua un communiqué de l’institution, qui a identifié les bléssés comme le dominician Carlos Familia Garcia de 22 ans et les haïtiens Chaney Canyo de 24 ans, Nènè Américo de 25 ans Feneido Felix de 22 ans et Ronny Joseph de 24 ans.
La Police n’a pas précisé les motifs de la bagarre, mais a indiqué que les investigations préliminaires signalent que le dominicain avait blessé les haïtiens et ces derniers ont infligé des blessures à celui-ci à l’arme blanche. http://www2.elnuevodiario.com.do/app/article.aspx?id=134968
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