Shelton Mathis est né le 29 novembre 1982 à Willemstad. Il joue avec la sélection Néerlandaise ne position de défenseur central ou de milieu défensif central. Il débuta sa carrière professionnelle en 2001 avec le Feyenoord de Rotterdam ou il passa une saison sans avoir disputé le moindre match selon les archives des médias spécialisés.
Il rejoindra l’effectif de L’Excelsior de Rotterdam sans pouvoir s’imposer. Selon les archives, il n’aurait pas disputé de match non plus. Entre 2004 et 2007il fera partie de l’effectif de Darlington, du FC Eindhoven et de Hibernian.
Depuis Juillet 2007 il a été recruté par le West Bromwich Albion, équipe de deuxième division anglaise. Il compte dans son palmarés peu de matchs de disputé.
Il ne faisait pas partie des sélectionnées qui ont éliminé le Nicaragua lors de la première phase.
Shelton Mathis présente donc le profil d’un joeur qui a eu du mal à s’imposer dans les championnat européens.
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
mercredi 7 mai 2008
Le Chili estime la situation "très fragile" en Haïti
Le chancelier Alejandro Foxley, qui s’est entretenu à Santiago avec le chef de la MINUSTAH, Hédi Annabi, croit nécessaire le maintien des casques bleus chiliens en Haïti
mardi 6 mai 2008,
Radio Kiskeya
Le ministre chilien des relations extérieures, Alejandro Foxley, a estimé mardi que la situation en Haïti "continuait d’être très fragile" en assurant que Santiago ne va pas abandonner l’effort de solidarité qui se développe dans le pays.
Selon une dépêche de l’agence espagnole EFE, Foxley a tenu ces propos à l’issue d’une rencontre dans la capitale chilienne avec le chef de la Mission de l’ONU pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH), Hédi Annabi. Les deux hommes ont fait un tour d’horizon de la situation actuelle d’Haïti et des prochaines étapes à franchir.
"Le message principal est que la situation en Haïti demeure très fragile du point de vue politique et institutionnel, mais surtout social" a déclaré à des journalistes le chancelier en rappelant que l’augmentation galopante des prix alimentaires avait provoqué en Haïti, début avril, le soulèvement de nombreux citoyens.
Dans ce contexte, le ministre a souligné que le Chili devait maintenir ses troupes au sein de la MINUSTAH aux côtés de celles de huit autres pays latinoaméricains.
Le 29 avril dernier, le gouvernement de la Présidente Michelle Bachelet avait sollicité du Sénat chilien la prorogation pour une année supplémentaire du mandat des casques bleus déployés en Haïti. Les commissions des affaires étrangères et de la défense de la Chambre doivent analyser cette demande mercredi avant le vote final de l’assemblée.
"Nous allons demander au Sénat d’approuver pour un an l’extension du mandat des troupes présentes en Haïti, a martelé Alejandro Foxley pour qui il serait irresponsable d’abandonner le travail déjà accompli dans le pays. A ce propos, il a expliqué que l’effort de solidarité déployé actuellement par le Chili envers Haïti a été déjà "largement reconnu par la communauté internationale".
L’actuel mandat du contingent sud-américain arrive à terme à la fin du mois de mai. Le feu vert du Sénat permettra aux troupes de rester au pays jusqu’au 1er juin 2009.
Selon des sources parlementaires, le gouvernement chilien a rappelé aux Sénateurs son attachement au principe de "participation nationale" aux opérations de maintien de la paix sous mandat onusien.
500 soldats et une vingtaine de policiers chiliens font partie de la force onusienne qui compte 9.000 militaires et policiers internationaux. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4999
mardi 6 mai 2008,
Radio Kiskeya
Le ministre chilien des relations extérieures, Alejandro Foxley, a estimé mardi que la situation en Haïti "continuait d’être très fragile" en assurant que Santiago ne va pas abandonner l’effort de solidarité qui se développe dans le pays.
Selon une dépêche de l’agence espagnole EFE, Foxley a tenu ces propos à l’issue d’une rencontre dans la capitale chilienne avec le chef de la Mission de l’ONU pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH), Hédi Annabi. Les deux hommes ont fait un tour d’horizon de la situation actuelle d’Haïti et des prochaines étapes à franchir.
"Le message principal est que la situation en Haïti demeure très fragile du point de vue politique et institutionnel, mais surtout social" a déclaré à des journalistes le chancelier en rappelant que l’augmentation galopante des prix alimentaires avait provoqué en Haïti, début avril, le soulèvement de nombreux citoyens.
Dans ce contexte, le ministre a souligné que le Chili devait maintenir ses troupes au sein de la MINUSTAH aux côtés de celles de huit autres pays latinoaméricains.
Le 29 avril dernier, le gouvernement de la Présidente Michelle Bachelet avait sollicité du Sénat chilien la prorogation pour une année supplémentaire du mandat des casques bleus déployés en Haïti. Les commissions des affaires étrangères et de la défense de la Chambre doivent analyser cette demande mercredi avant le vote final de l’assemblée.
"Nous allons demander au Sénat d’approuver pour un an l’extension du mandat des troupes présentes en Haïti, a martelé Alejandro Foxley pour qui il serait irresponsable d’abandonner le travail déjà accompli dans le pays. A ce propos, il a expliqué que l’effort de solidarité déployé actuellement par le Chili envers Haïti a été déjà "largement reconnu par la communauté internationale".
L’actuel mandat du contingent sud-américain arrive à terme à la fin du mois de mai. Le feu vert du Sénat permettra aux troupes de rester au pays jusqu’au 1er juin 2009.
Selon des sources parlementaires, le gouvernement chilien a rappelé aux Sénateurs son attachement au principe de "participation nationale" aux opérations de maintien de la paix sous mandat onusien.
500 soldats et une vingtaine de policiers chiliens font partie de la force onusienne qui compte 9.000 militaires et policiers internationaux. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4999
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