Une enquête de Gallup, réalisée par l’université de Kansas situe les dominicains parmi les plus optimistes.
La République Dominicaine figure sur la carte des pays les plus optimistes du monde selon une enquête appliquée par l’agence Gallup pour l’Université de Kansas, Etats-Unis.
L’étude, publiée par le journal digital Europa Press, de Madrid, établit que « malgré les pénuries que génèrent la crise économique mondiale, des guerres de la faim, de la nouvelle épidémie de grippe, une nouvelle enquête réalisée par l’université de Kansas et l’entreprise Demoscopia Gallup conclut que les êtres humains sont naturellement optimistes ».
L’étude affirme que les espagnols se trouvent en tête de liste dans cette perception.
Les pays avec les plus hauts niveaux d’optimisme sont l’Irlande, Brésil, Danemark et nouvelle Zélande.
La carte identifie seulement ces pays comme ceux qui présentent un ton plus clair sur les graphiques, mais numériquement elle n’établit pas la position occupée par chacun des pays.
L’étude de Gallup, présenté cette fin de semaine au cours de la réunion annuelle de l’Association pour la science psychologique de San Francisco, a rencontré que le pessimisme est une condition humaine universelle et qu’il ne connait pas de frontières.
Les données de l’enquête Gallup ont permis cette conclusion, avec plus de 150.000 participants adultes de 140 pays qui ont été questionnés, représentatifs de 95% de la population du globe.
Elle exprime que 85% des personnes questionnés dans le monde sont convaincus du fait que les prochaines cinq années seront meilleures pour le monde dans son ensemble en comparaison avec la situation actuelle, le 95% espère que sa propre vie soit aussi bonne ou meilleure pour ce même lapse de temps, selon les résultats.
Elle explique qu’avec un ton verdâtre apparaissent sur la carte les pays situés dans cette tranche d’optimisme.
Par pays, le niveau d’optimisme le plus élevé se trouve en Irlanda, Brésil, Danemark et Nouvelle Zélande, et apparaissent aussi autres pays comme Espagne ou les Etats Unis, le Canadá ou les pays nordiques. Avec le moindre niveau d’optimisme se trouvent bon nombre des pays d’Afrique, du Moyen-Orient, de l’Europe de l’Est en particulier le Zimbabwe, l’Egypte, Haïti y Bulgarie.
IL faut noter le contraste entre le haut niveau d’optimisme espagnol comparé au très bas niveau de ses voisins péninsulaires, des portugais.
« Ces résultats fournissent une évidence globale de que l’optimisme est un phénomène universel », a déclaré Mattew Gallagher, spécialiste de l’Université de Kansas et responsable de l’étude.
Selon lui, des facteurs démographiques (comme l’âge, le niveau de revenu) ont une influence relative au niveau individuel de l’optimisme.
Le 6 juillet de cette année, ce journal publia une information ou un travail similaire situait la République Dominicaine entre les pays les plus heureux.
La publication a soulevé un large débat.
Ecrit par: JOSE MIGUEL MONTERO (J.montero@elnacional.com.do)
http://www.elnacional.com.do/nacional/2009/8/26/24844/RD-entre-paises-mas-optimistas-del-mundo
Traduction Decky Lakyel
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
vendredi 28 août 2009
Les autorités Dominicaines demandent à la MINUSTAH face au trafic des personnes
Dajabon, République Dominicaine, 26 Août (EFE).- Les autorités dominicaines
ont sollicité la collaboration de la Mission des Nations Unis pour la Stabilisation d’Haïti (MINUSTAH), pour affronter le trafic des personnes et d’autres irrégularités qui se produisent des deux côtés de la frontière entre la République Dominicaine et Haïti.
Le Chef du Corps Spécialisé de Sécurité Frontalière Terrestre (CESFRONT) de la République Dominicaine, Gil Ramirez, s’est réuni dans la ville de Fort Liberté (Nord d’Haïti) avec des responsables de la MINUSTAH pour discuter de la situation.
Au cours de la réunion furent abordés des thèmes de sécurité et ont discutés sur des actions conjointes pour faire face aux irrégularités qui ont été enregistrées des deux côtés de la frontière.
De retour au pays, le général Gil Ramirez s’est entretenu avec les membres du CESFRONT de la province de Dajabon, province frontalière avec Haïti et a averti que les soldats qui ne réalisent pas correctement leurs obligations seront radiés de l’institution et soumis à l’action de la justice.
La situation sur la frontière entre Haïti et la République Dominicaine, dont la sécurité reste à la charge des militaires, qui fait très souvent l’objet de dénonciations de trafic d’êtres humains, de contrebande, vols de bétails et autres irrégularités.
http://www.elnuevodiario.com.do/app/article.aspx?id=165575
ont sollicité la collaboration de la Mission des Nations Unis pour la Stabilisation d’Haïti (MINUSTAH), pour affronter le trafic des personnes et d’autres irrégularités qui se produisent des deux côtés de la frontière entre la République Dominicaine et Haïti.
Le Chef du Corps Spécialisé de Sécurité Frontalière Terrestre (CESFRONT) de la République Dominicaine, Gil Ramirez, s’est réuni dans la ville de Fort Liberté (Nord d’Haïti) avec des responsables de la MINUSTAH pour discuter de la situation.
Au cours de la réunion furent abordés des thèmes de sécurité et ont discutés sur des actions conjointes pour faire face aux irrégularités qui ont été enregistrées des deux côtés de la frontière.
De retour au pays, le général Gil Ramirez s’est entretenu avec les membres du CESFRONT de la province de Dajabon, province frontalière avec Haïti et a averti que les soldats qui ne réalisent pas correctement leurs obligations seront radiés de l’institution et soumis à l’action de la justice.
La situation sur la frontière entre Haïti et la République Dominicaine, dont la sécurité reste à la charge des militaires, qui fait très souvent l’objet de dénonciations de trafic d’êtres humains, de contrebande, vols de bétails et autres irrégularités.
http://www.elnuevodiario.com.do/app/article.aspx?id=165575
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