Dans son discours à l'occasion des cérémonies marquant le 205 eme anniversaire de l'indépendance d'Haïti, le chef de l'état haïtien, René Préval a soutenu que 2008 a été une année difficile notamment sur le plan économique. Il a rappelé les manifestations contre la cherté de la vie qui ont causé la chute du gouvernement laquelle a été suivie par le passage de 4 ouragans dévastateurs.
Le président Préval a mis en garde contre une détérioration du secteur économique en 2009 en raison de la morosité de l'économie mondiale. " 2009 sera difficile prévient René Préval pour qui des efforts dans la construction des infrastructures et la paix sont de nature à améliorer les conditions de vie de la population.Selon le chef de l'état la réalisation de travaux d'infrastructure routière peut favoriser la relance des activités touristique et agricole notamment. " 2009 sera l'année des grands chantiers à travers le pays", dit-il mettant en évidence l'action importante du Centre National des Equipements (CNE) aux Gonaïves, Casale, Miragoane et Malpasse. Au cours de son intervention sur la place d'armes des Gonaïves, le président haïtien a promis le curage des rivières de cette ville, réclamé par le maire et l'évêque des Gonaïves.
Le chef de l'état assure que le CNE est un outil important dans le cadre de la politique de travaux publics du gouvernement parce que cette entreprise représente un investissement de 99 millions de dollars.Outre les infrastructures routières, le président Préval invite tous les secteurs à continuer à construire la paix. Rappelant que la stabilité favorisera la relance de l'économie et le départ des troupes étrangères, M. Préval a mis l'accent sur la nécessité de renforcer le dialogue entre les différents secteurs de la vie nationale. Le dialogue sera profitable pour les secteurs syndicale et patronale, les haïtiens de la diaspora, les partis politiques et les institutions constitutionnelles, les paysans, les parlementaires et les membres des collectivités territoriales argue M. Préval.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14561
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
dimanche 4 janvier 2009
Deux arrestations pour vouloir introduire des armes à feu depuis Haïti
Ecrit par M Espinosa Rosario, El Nacional
Comendador, Elias Piña. - Les autorités ont détenu un dominicain et un haïtien qui, à bord d’une camionnette venant d’Haïti ont tenté d’introduire en territoire dominicain, en contrebande, par la localité de Carrizal, plusieurs armes à feu et au moins deux caisses remplies de cartouches, de munitions et des vêtements.
L’information a été divulguée par le général de Brigade Cesar Augusto Decena Rojas, commandant de la région Ouest de la Police Nationale, avec siège a San Juan, qui a déclaré que les détenus correspondent à Alex Elpidio Carrasco Peralta et le citoyen haïtien se nomme Felix Esnel, porteur du passeport 1169442.
Decena Rojas à travers son porte-parole, le capitaine Docteur Julio Cesar Agramonte Ferreras, a dit que Carrasco Peralta et Esnel venaient d’Haïti à bord de la camionnette Ford immatriculée AA27609, qui transportait une caisse de cartouches de 25 unités pour fusil calibre 12, un chargeur de révolver avec cinq capsules, une boîte de munitions, une pair de menottes, un téléviseur Sony et une valise remplie de vêtements.
Durant les interrogatoires pratiqués par les autorités en ce qui concerne les armes à feu et l’attirail militaire, les deux hommes ont manifesté qu’ils sont sortis d’Haïti et qu’ils se dirigeaient vers Dajabon sur la ligne Nord Ouest.
Le général Decena Rojas a manifesté que les détenus seront mis à la disposition de la justice et que l’attirail militaire et l’ensemble des objets qu’ils ont essayé d’introduire par la frontière seront présentés comme corps de délit.
Aricle original paru dans l’édition en ligne du journal El Nacional de Ahorra consultable sur : http://www.elnacional.com.do/nacional/2009/1/3/3680/Apresan-dos-tratan-introducir-armas-de-fuego-desde-Haiti
traduit par DL pour Haïti Recto Verso
Comendador, Elias Piña. - Les autorités ont détenu un dominicain et un haïtien qui, à bord d’une camionnette venant d’Haïti ont tenté d’introduire en territoire dominicain, en contrebande, par la localité de Carrizal, plusieurs armes à feu et au moins deux caisses remplies de cartouches, de munitions et des vêtements.
L’information a été divulguée par le général de Brigade Cesar Augusto Decena Rojas, commandant de la région Ouest de la Police Nationale, avec siège a San Juan, qui a déclaré que les détenus correspondent à Alex Elpidio Carrasco Peralta et le citoyen haïtien se nomme Felix Esnel, porteur du passeport 1169442.
Decena Rojas à travers son porte-parole, le capitaine Docteur Julio Cesar Agramonte Ferreras, a dit que Carrasco Peralta et Esnel venaient d’Haïti à bord de la camionnette Ford immatriculée AA27609, qui transportait une caisse de cartouches de 25 unités pour fusil calibre 12, un chargeur de révolver avec cinq capsules, une boîte de munitions, une pair de menottes, un téléviseur Sony et une valise remplie de vêtements.
Durant les interrogatoires pratiqués par les autorités en ce qui concerne les armes à feu et l’attirail militaire, les deux hommes ont manifesté qu’ils sont sortis d’Haïti et qu’ils se dirigeaient vers Dajabon sur la ligne Nord Ouest.
Le général Decena Rojas a manifesté que les détenus seront mis à la disposition de la justice et que l’attirail militaire et l’ensemble des objets qu’ils ont essayé d’introduire par la frontière seront présentés comme corps de délit.
Aricle original paru dans l’édition en ligne du journal El Nacional de Ahorra consultable sur : http://www.elnacional.com.do/nacional/2009/1/3/3680/Apresan-dos-tratan-introducir-armas-de-fuego-desde-Haiti
traduit par DL pour Haïti Recto Verso
Haïti entre les pays les plus exposés à la malnutrition.
Selon la FAO, la République Dominicaine dispose d’une capacité moyenne pour importer les aliments dont elle a besoin.
Auteur MARIEN ARISTY CAPITAN (m.capitan@hoy.com.do)
Les indices de malnutrition en Amérique Latine possèdent trois endroits privilégiés pour croître en cette année qui débute : République Dominicaine, Haïti et le Nicaragua selons des estimations provisoires de l’organisation des Nations Unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO). Dans les statistiques de la FAO, le pays dominicain figure avec 29% des citoyens avec une ingestion insuffisante de substances nutritives avec stagnation et croissance en valeur absolue de dénutris.
La République Dominicaine, Haïti et le Nicaragua sont les nations qui courent le plus de risque d’augmenter le nombre de personnes en situation de famine et, pour autant, augmenter le nombre de sous alimentés qui pour le pays est estimé à 29%.
« En ce qui concerne la sous alimentation, les estimations provisoires de la FAO signalent qu’entre 2005 et 2007, 6.000.000 de personnes auraient pu s’ajouter à la population se trouvant en situation de famine dans la région (FAO 2008), ce qui représenterait une régression totale du progrès réalisé en 1990. Les pays les plus vulnérables seraient Haïti, République Dominicaine et le Nicaragua ou 60 à 80% de la population se trouvait en état d’insécurité alimentaire en 2007 ».
De façon conjointe avec l’avertissement qui apparait dan le dernier « Panorama de la faim en Amérique Latine et dans les Caraïbes », la FAO établit que quoique la République Dominicaine ait avancé dans la réduction du pourcentage de sous alimentés, le nombre absolu de personne en condition de sous alimentation a stagné et sans doute augmenté.
Dans la même si tuation se trouvent le Paraguay, Trinité et Tobago, Haïti, Bolivie et Panama qui pourraient régresser dans la lutte pour atteindre les objectifs du Sommet Mondial des Aliments (CMA) qui cherche à réduire le nombre de personnes qui souffrent de la faim.
Le coût. Selon les estimations pour l’Amérique Centrale et la République Dominicaine (CEPAL-PMA, 2007) l’histoire de la dénutrition globale durant les dernières décades aurait généré un coût de 6.700.000.000 de dollars en 2004, à l’origine de dépenses supérieures pour des soins de santé, inefficacité des processus éducatifs et perte de productivité, équivalents au 6.4% du PIB des sept pays, rangé entre 1.7% et 11.4%
Le 90% des coûts estimés dans cette étude reflèterait les pertes de productivité résultantes de 1.7 million de personnes qui, de n’être pas décédé pour des causes associées, feraient partie de la population en âge de travailler. Une autre partie des coûts concerne l’éducation car la dénutrition infantile produit une perte moyenne de deux ans de scolarité.
D’autre part, l’étude signale que si on réduit de moitié la dénutrition infantile en 2015 et atteindre ainsi l’objectif 2 des objectifs du millénaire, on économiserait près de 1.000.000.000 de dollars et 2.200.000.000 si on arrive à l’éradiquer….
http://www.hoy.com.do/el-pais/2009/1/3/261489/RD-entre-paises-mas-dados-a-la-desnutricion
Auteur MARIEN ARISTY CAPITAN (m.capitan@hoy.com.do)
Les indices de malnutrition en Amérique Latine possèdent trois endroits privilégiés pour croître en cette année qui débute : République Dominicaine, Haïti et le Nicaragua selons des estimations provisoires de l’organisation des Nations Unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO). Dans les statistiques de la FAO, le pays dominicain figure avec 29% des citoyens avec une ingestion insuffisante de substances nutritives avec stagnation et croissance en valeur absolue de dénutris.
La République Dominicaine, Haïti et le Nicaragua sont les nations qui courent le plus de risque d’augmenter le nombre de personnes en situation de famine et, pour autant, augmenter le nombre de sous alimentés qui pour le pays est estimé à 29%.
« En ce qui concerne la sous alimentation, les estimations provisoires de la FAO signalent qu’entre 2005 et 2007, 6.000.000 de personnes auraient pu s’ajouter à la population se trouvant en situation de famine dans la région (FAO 2008), ce qui représenterait une régression totale du progrès réalisé en 1990. Les pays les plus vulnérables seraient Haïti, République Dominicaine et le Nicaragua ou 60 à 80% de la population se trouvait en état d’insécurité alimentaire en 2007 ».
De façon conjointe avec l’avertissement qui apparait dan le dernier « Panorama de la faim en Amérique Latine et dans les Caraïbes », la FAO établit que quoique la République Dominicaine ait avancé dans la réduction du pourcentage de sous alimentés, le nombre absolu de personne en condition de sous alimentation a stagné et sans doute augmenté.
Dans la même si tuation se trouvent le Paraguay, Trinité et Tobago, Haïti, Bolivie et Panama qui pourraient régresser dans la lutte pour atteindre les objectifs du Sommet Mondial des Aliments (CMA) qui cherche à réduire le nombre de personnes qui souffrent de la faim.
Le coût. Selon les estimations pour l’Amérique Centrale et la République Dominicaine (CEPAL-PMA, 2007) l’histoire de la dénutrition globale durant les dernières décades aurait généré un coût de 6.700.000.000 de dollars en 2004, à l’origine de dépenses supérieures pour des soins de santé, inefficacité des processus éducatifs et perte de productivité, équivalents au 6.4% du PIB des sept pays, rangé entre 1.7% et 11.4%
Le 90% des coûts estimés dans cette étude reflèterait les pertes de productivité résultantes de 1.7 million de personnes qui, de n’être pas décédé pour des causes associées, feraient partie de la population en âge de travailler. Une autre partie des coûts concerne l’éducation car la dénutrition infantile produit une perte moyenne de deux ans de scolarité.
D’autre part, l’étude signale que si on réduit de moitié la dénutrition infantile en 2015 et atteindre ainsi l’objectif 2 des objectifs du millénaire, on économiserait près de 1.000.000.000 de dollars et 2.200.000.000 si on arrive à l’éradiquer….
http://www.hoy.com.do/el-pais/2009/1/3/261489/RD-entre-paises-mas-dados-a-la-desnutricion
Les autorités de la Floride Détiennent 14 haïtiens sans papiers en arrivant en Floride dans une embarcation de fortune.
AP- 4/01/09
BOYNTON BEACH, FLORIDA, USA.- 14 citoyens haïtiens ont détenus samedi par la patrouille Frontalière, après avoir atteint la terre ferme près de Boynton Beach en Floride. Un officiel de la Marine de la localité a écouté quelqu’un qui parlait samedi matin para la radio de la marine à propos d’une chaloupe avec des sans papiers abord dans les environs.
Le fonctionnaire localisa alors une chaloupe rapide de huit mètres de long près d’une rampe dans un quartier du sud de la Floride.
Les autorités découvrirent les haïtiens cachés en plusieurs points du parc de Boynton Beach.
Jusqu’à présent le capitaine de l’embarcation n’a pas été retrouvé selon les autorités.
Article original de AP publié dans les pages du journal dominicain Listin Diario consultable en ligne sur : http://www.listindiario.com.do/app/article.aspx?id=86512
traduit pour Haïti Recto Verso par DL
BOYNTON BEACH, FLORIDA, USA.- 14 citoyens haïtiens ont détenus samedi par la patrouille Frontalière, après avoir atteint la terre ferme près de Boynton Beach en Floride. Un officiel de la Marine de la localité a écouté quelqu’un qui parlait samedi matin para la radio de la marine à propos d’une chaloupe avec des sans papiers abord dans les environs.
Le fonctionnaire localisa alors une chaloupe rapide de huit mètres de long près d’une rampe dans un quartier du sud de la Floride.
Les autorités découvrirent les haïtiens cachés en plusieurs points du parc de Boynton Beach.
Jusqu’à présent le capitaine de l’embarcation n’a pas été retrouvé selon les autorités.
Article original de AP publié dans les pages du journal dominicain Listin Diario consultable en ligne sur : http://www.listindiario.com.do/app/article.aspx?id=86512
traduit pour Haïti Recto Verso par DL
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