Les autorités électorales indiquent que 49 partis politiques, 13 groupements et 3 regroupements ont rempli les formalités en vue de prendre part aux prochaines élections présidentielles. Fort de l'engouement des acteurs, les responsables du CEP ont décidé d'ouvrir au plus tôt la période consacrée à l'inscription des candidats. A partir de ce 29 juillet les candidats sont invités à remplir les formalités prévues par la loi électorale. La direction des opérations électorales est chargée de réaliser le processus jusqu'au 7 août 2010.
Les principaux partis de l'opposition, regroupés au sein des plateformes Alternative (Fusion, OPL, Alliance), Rasanblé, Libération ont une fois de plus réitéré leur refus de participer à des joutes réalisées par l'actuel CEP. Evans Paul a appelé les militants de l'opposition à ne pas " désister mais à résister" face au gouvernement de Préval.
D'autres dirigeants politiques très critiques envers le CEP sont disposés à prendre part au scrutin. C'est le cas du RDNP, Respè, Alliance Chrétienne.
Les dirigeants de Fanmi Lavalas ont refusé de saisir l'opportunité qui leur avait été offerte de s'inscrire pour les présidentielles. Maryse Narcisse, dirigeante de Fanmi Lavalas avait révélé que le parti étudie la possibilité de réaliser une alliance dans la perspective des joutes.
Dans le même temps, les militants du parti Lavalas ne participent plus aux manifestations conjointes avec l'opposition.
Contrairement au parti Lavalas, les formations Rasanblé, Libération, Alternative, et Uccade, fers de lance de la mobilisation anti gouvernementale, sont autorisées à prendre part aux prochaines législatives.
LLM / Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=18052
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
jeudi 29 juillet 2010
Himmler Rébu est préoccupé par le processus électoral
Nous allons vers un véritable désastre lance Himmler Rébu en réaction à une question sur le nombre de candidats potentiels pour les prochaines présidentielles. Membre du directoire de la Plateforme des Patriotes Haïtiens (Plaph), M. Rébu estime qu'on devrait compter une soixantaine de candidat le 28 novembre 2010. Ceci constituerait un nouveau record puisqu'une trentaine de candidats s'étaient inscrits en 2006. Il croit savoir que la diaspora ne sera pas en reste puisqu'une bonne dizaine de candidat à la magistrature suprême proviendrait notamment de l'Amérique du Nord. Toutefois le chef de file du Greh dit œuvrer afin de regrouper certaines formations en vue de chercher une personnalité qui pourrait symboliser l'unité de l'opposition.
Même après le départ du RDNP, les dirigeants de la Plaph multiplient les réunions avec les autres leaders de l'opposition dont ceux de COREH.
Himmler Rébu est déçu et désarçonné par le retrait du RDNP de la Plaph. L'ex colonel déplore surtout la manière utilisée par madame Manigat pour prendre ses distances avec le Plaph. Intervenant à la rubrique " Le point sur le 100.1"de radio Métropole, le chef de file du GREH dit avoir été informé par exploit d'huissier du retrait du RDNP.
Il assimile le départ du RDNP à une défaite personnelle. " J'ai honte devant des membres du Greh insiste M. Rébu qui avoue avoir encouragé des potentiels candidats à abandonner leurs ambitions.
En dépit des efforts de tous les acteurs la PLAPH première version n'aura vécu qu'une année. Même s'il avoue avoir perdu ses illusions M. Rébu n'entend pas abdiquer et annonce la poursuite des activités du Plaph.
Officiellement le Plaph refuse de prendre part au scrutin du 28 novembre. Cependant le chef de file du GREH révèle que les dirigeants du PLAPH avaient envisagé de présenter la candidature de Myrlande Manigat, en tant que tête de liste de l'opposition.
LLM / Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=18051
Même après le départ du RDNP, les dirigeants de la Plaph multiplient les réunions avec les autres leaders de l'opposition dont ceux de COREH.
Himmler Rébu est déçu et désarçonné par le retrait du RDNP de la Plaph. L'ex colonel déplore surtout la manière utilisée par madame Manigat pour prendre ses distances avec le Plaph. Intervenant à la rubrique " Le point sur le 100.1"de radio Métropole, le chef de file du GREH dit avoir été informé par exploit d'huissier du retrait du RDNP.
Il assimile le départ du RDNP à une défaite personnelle. " J'ai honte devant des membres du Greh insiste M. Rébu qui avoue avoir encouragé des potentiels candidats à abandonner leurs ambitions.
En dépit des efforts de tous les acteurs la PLAPH première version n'aura vécu qu'une année. Même s'il avoue avoir perdu ses illusions M. Rébu n'entend pas abdiquer et annonce la poursuite des activités du Plaph.
Officiellement le Plaph refuse de prendre part au scrutin du 28 novembre. Cependant le chef de file du GREH révèle que les dirigeants du PLAPH avaient envisagé de présenter la candidature de Myrlande Manigat, en tant que tête de liste de l'opposition.
LLM / Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=18051
L'Ecosoc réclame une intensification de l'assistance internationale
Le conseil économique et social (Ecosoc ) de l'ONU exhorte les acteurs a œuvrer en vue de la reconstruction d'Haïti. Le Conseil, six mois après le tremblement de terre qui a ravagé Haïti le 12 janvier 2010, a souligné la nécessité de renouveler les efforts à tous les niveaux, y compris local, afin d'aider le Gouvernement haïtien à reconstruire les capacités institutionnelles et les infrastructures de l'État. Dans une résolution adoptée par consensus le conseil a décidé de proroger le mandat du Groupe consultatif ad hoc sur Haïti, mis en place pour coordonner l'aide des donateurs, jusqu'à sa session de fond de 2012.
Au cours de la dernière séance de travail le représentant d'Haïti a salué l'adoption de ce texte qui confirme l'élan de solidarité sans précédent de la communauté internationale autour du peuple haïtien après la catastrophe du 12 janvier 2010. Cette solidarité ne s'est pas démentie, malgré la lenteur du passage de la phase des efforts de secours vers celle des efforts visant à promouvoir le relèvement d'Haïti.
De son coté le représentant du Chili, qui a été le Facilitateur des négociations sur les questions humanitaires, a souligné que le Gouvernement d'Haïti a appuyé le travail du Groupe spécial de l'ECOSOC sur cette question.
LLM / Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=18050
Au cours de la dernière séance de travail le représentant d'Haïti a salué l'adoption de ce texte qui confirme l'élan de solidarité sans précédent de la communauté internationale autour du peuple haïtien après la catastrophe du 12 janvier 2010. Cette solidarité ne s'est pas démentie, malgré la lenteur du passage de la phase des efforts de secours vers celle des efforts visant à promouvoir le relèvement d'Haïti.
De son coté le représentant du Chili, qui a été le Facilitateur des négociations sur les questions humanitaires, a souligné que le Gouvernement d'Haïti a appuyé le travail du Groupe spécial de l'ECOSOC sur cette question.
LLM / Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=18050
La Commission européenne soutient la reconstruction d'Haïti
Agence France-Presse, Port-au-Prince.-
Michel Barnier, le commissaire européen chargé du Marché intérieur et des Services, en visite officielle à Haïti, a renouvelé mercredi le soutien de l'UE à la reconstruction du pays, notamment des capacités de l'Etat, ravagé le 12 janvier par un violent séisme.
«Je suis ici pour évaluer, réorienter et poursuivre les travaux de reconstruction financés par la Commission européenne, qui s'est engagée à fournir plus de 620 millions de dollars» des 1,6 milliard de dollars promis par l'Europe à Haïti, a déclaré M. Barnier lors d'une conférence de presse dans les ruines du palais présidentiel haïtien.
L'engagement de la Commission européenne et des pays de l'Union porte en priorité sur la reconstruction des capacités de l'Etat haïtien (remise en état de plusieurs ministères) et le soutien au budget du pays pour payer les salaires des fonctionnaires, a expliqué M. Barnier, qui s'est entretenu avec le président haïtien René Préval et le Premier ministre Jean-Max Bellerive.
Pour les travaux de reconstruction, la commission a déjà débloqué 620 millions de dollars, dont 300 millions serviront à financer la construction du réseau routier.
M. Barnier a annoncé que la Commission européenne prévoyait également 23 millions de dollars pour la construction d'habitats de transition durables pour les sans-abri.
Le commissaire européen a d'autre part appelé à la mise en marche de la Commission intérimaire pour la reconstruction d'Haïti (CTRH). «Il faut que la commission se mette au travail rapidement», a lancé M. Barnier, encourageant une bonne coordination entre les différents acteurs haïtiens et étrangers.
«Je l'ai dit au président Préval: il y a un devoir d'intelligence nationale et internationale dans la reconstruction. Il faut que les acteurs haïtiens puissent travailler ensemble sur des projets d'intérêt national, il faut que les bailleurs travaillent ensemble sans mauvaise compétition, sans polémique», a recommandé Michel Barnier.
http://www.cyberpresse.ca/international/dossiers/seisme-en-haiti/201007/28/01-4302062-la-commission-europeenne-soutient-la-reconstruction-dhaiti.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_amerique-latine_288_section_POS1
Commentaires:
Quelle reconstruction?
Elle est ou l'intelligence internationale?
Michel Barnier, le commissaire européen chargé du Marché intérieur et des Services, en visite officielle à Haïti, a renouvelé mercredi le soutien de l'UE à la reconstruction du pays, notamment des capacités de l'Etat, ravagé le 12 janvier par un violent séisme.
«Je suis ici pour évaluer, réorienter et poursuivre les travaux de reconstruction financés par la Commission européenne, qui s'est engagée à fournir plus de 620 millions de dollars» des 1,6 milliard de dollars promis par l'Europe à Haïti, a déclaré M. Barnier lors d'une conférence de presse dans les ruines du palais présidentiel haïtien.
L'engagement de la Commission européenne et des pays de l'Union porte en priorité sur la reconstruction des capacités de l'Etat haïtien (remise en état de plusieurs ministères) et le soutien au budget du pays pour payer les salaires des fonctionnaires, a expliqué M. Barnier, qui s'est entretenu avec le président haïtien René Préval et le Premier ministre Jean-Max Bellerive.
Pour les travaux de reconstruction, la commission a déjà débloqué 620 millions de dollars, dont 300 millions serviront à financer la construction du réseau routier.
M. Barnier a annoncé que la Commission européenne prévoyait également 23 millions de dollars pour la construction d'habitats de transition durables pour les sans-abri.
Le commissaire européen a d'autre part appelé à la mise en marche de la Commission intérimaire pour la reconstruction d'Haïti (CTRH). «Il faut que la commission se mette au travail rapidement», a lancé M. Barnier, encourageant une bonne coordination entre les différents acteurs haïtiens et étrangers.
«Je l'ai dit au président Préval: il y a un devoir d'intelligence nationale et internationale dans la reconstruction. Il faut que les acteurs haïtiens puissent travailler ensemble sur des projets d'intérêt national, il faut que les bailleurs travaillent ensemble sans mauvaise compétition, sans polémique», a recommandé Michel Barnier.
http://www.cyberpresse.ca/international/dossiers/seisme-en-haiti/201007/28/01-4302062-la-commission-europeenne-soutient-la-reconstruction-dhaiti.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_amerique-latine_288_section_POS1
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Quelle reconstruction?
Elle est ou l'intelligence internationale?
L'accès à l'eau potable reconnu comme un droit humain
Agence France-Presse, New York.-
L'Assemblée générale de l'ONU a reconnu mercredi l'accès à une eau de qualité et à des installations sanitaires comme un droit humain.
Après plus de 15 ans de débats sur la question, 122 pays ont voté en faveur d'une résolution de compromis rédigée par la Bolivie en consacrant ce droit, tandis que 41 autres se sont abstenus.
Le texte «déclare que le droit à une eau potable propre et de qualité et à des installations sanitaires est un droit de l'homme, indispensable à la pleine jouissance du droit à la vie».
La résolution pointe le fait que 884 millions de personnes dans le monde n'ont pas accès à une eau potable de qualité et que plus de 2,6 milliards ne disposent pas d'installations sanitaires de base.
Elle souligne qu'environ deux millions de personnes, pour la plupart des jeunes enfants, meurent chaque année des suites de maladies causées par une eau impropre à la consommation et l'absence de sanitaires.
La résolution rappelle aussi la promesse, faite par les dirigeants mondiaux en 2000 dans le cadre des Objectifs du millénaire pour le développement, de réduire de moitié d'ici 2015 la proportion de personnes n'ayant pas accès à l'eau potable et à des installations sanitaires.
Le texte presse les Etats et les organisations internationales de fournir une aide financière et technologique aux pays en développement pour «augmenter les efforts afin de fournir à tous une eau de qualité, propre et abordable ainsi que des installations sanitaires».
«C'est un jour historique pour le monde, un grand pas dans la bonne direction» dans la perspective lointaine d'un traité portant sur l'eau, a réagi auprès de l'AFP la principale militante canadienne des droits liés à l'eau, Maude Barlow.
Ancienne conseillère de l'Assemblée générale de l'ONU sur les questions liées à l'eau, Mme Barlow a souligné que certains pays développés s'étaient abstenus de peur «qu'on leur demande de payer la facture» ou que la résolution ne donne «à leurs propres citoyens des outils pouvant être dirigés contre eux».
Elle a salué le soutien apporté à la résolution par quelques grands pays comme la Chine, la Russie, l'Allemagne, la France, l'Espagne et le Brésil, mais s'est dite «très déçue» de l'abstention de son propre pays, le Canada.
Cette décision répond à la volonté du gouvernement conservateur d'Ottawa d'avoir le droit de commercialiser l'eau, a-t-elle expliqué. «Ils savent que s'ils disent qu'il s'agit d'un droit de l'homme, ce sera en contradiction avec leur volonté d'en faire une marchandise», selon elle.
a résolution accède par ailleurs à la demande du Conseil des droits de l'homme de l'ONU, basé à Genève, que l'experte indépendante des Nations unies sur les obligations liées à l'eau en matière de droits de l'homme, la Portugaise Catarina de Albuquerque, fasse un rapport chaque année à l'Assemblée générale sur les progrès en la matière.
L'ambassadeur d'Allemagne auprès de l'ONU, Peter Wittig, a salué la résolution tout en indiquant qu'il aurait préféré qu'elle comprenne «un message plus clair concernant la responsabilité première des Etats à faire en sorte que les droits humains soient accessibles à tous ceux qui vivent sous leur responsabilité».
http://www.cyberpresse.ca/international/201007/28/01-4302047-lacces-a-leau-potable-reconnu-comme-un-droit-humain.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B12_en-manchette_278_section_POS1
L'Assemblée générale de l'ONU a reconnu mercredi l'accès à une eau de qualité et à des installations sanitaires comme un droit humain.
Après plus de 15 ans de débats sur la question, 122 pays ont voté en faveur d'une résolution de compromis rédigée par la Bolivie en consacrant ce droit, tandis que 41 autres se sont abstenus.
Le texte «déclare que le droit à une eau potable propre et de qualité et à des installations sanitaires est un droit de l'homme, indispensable à la pleine jouissance du droit à la vie».
La résolution pointe le fait que 884 millions de personnes dans le monde n'ont pas accès à une eau potable de qualité et que plus de 2,6 milliards ne disposent pas d'installations sanitaires de base.
Elle souligne qu'environ deux millions de personnes, pour la plupart des jeunes enfants, meurent chaque année des suites de maladies causées par une eau impropre à la consommation et l'absence de sanitaires.
La résolution rappelle aussi la promesse, faite par les dirigeants mondiaux en 2000 dans le cadre des Objectifs du millénaire pour le développement, de réduire de moitié d'ici 2015 la proportion de personnes n'ayant pas accès à l'eau potable et à des installations sanitaires.
Le texte presse les Etats et les organisations internationales de fournir une aide financière et technologique aux pays en développement pour «augmenter les efforts afin de fournir à tous une eau de qualité, propre et abordable ainsi que des installations sanitaires».
«C'est un jour historique pour le monde, un grand pas dans la bonne direction» dans la perspective lointaine d'un traité portant sur l'eau, a réagi auprès de l'AFP la principale militante canadienne des droits liés à l'eau, Maude Barlow.
Ancienne conseillère de l'Assemblée générale de l'ONU sur les questions liées à l'eau, Mme Barlow a souligné que certains pays développés s'étaient abstenus de peur «qu'on leur demande de payer la facture» ou que la résolution ne donne «à leurs propres citoyens des outils pouvant être dirigés contre eux».
Elle a salué le soutien apporté à la résolution par quelques grands pays comme la Chine, la Russie, l'Allemagne, la France, l'Espagne et le Brésil, mais s'est dite «très déçue» de l'abstention de son propre pays, le Canada.
Cette décision répond à la volonté du gouvernement conservateur d'Ottawa d'avoir le droit de commercialiser l'eau, a-t-elle expliqué. «Ils savent que s'ils disent qu'il s'agit d'un droit de l'homme, ce sera en contradiction avec leur volonté d'en faire une marchandise», selon elle.
a résolution accède par ailleurs à la demande du Conseil des droits de l'homme de l'ONU, basé à Genève, que l'experte indépendante des Nations unies sur les obligations liées à l'eau en matière de droits de l'homme, la Portugaise Catarina de Albuquerque, fasse un rapport chaque année à l'Assemblée générale sur les progrès en la matière.
L'ambassadeur d'Allemagne auprès de l'ONU, Peter Wittig, a salué la résolution tout en indiquant qu'il aurait préféré qu'elle comprenne «un message plus clair concernant la responsabilité première des Etats à faire en sorte que les droits humains soient accessibles à tous ceux qui vivent sous leur responsabilité».
http://www.cyberpresse.ca/international/201007/28/01-4302047-lacces-a-leau-potable-reconnu-comme-un-droit-humain.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B12_en-manchette_278_section_POS1
Haïti-Élections : 4 plateformes politiques pour la résistance et contre toute forme de désistement
Manifestations départementales annoncées à partir du 28 juillet 2010 P-au-P, 27 juillet 2010 [AlterPresse] --- Appelant la classe politique à résister, à ne pas capituler et à ne pas se laisser captiver par de fausses promesses, 4 plateformes politiques de l’opposition à l’administration du président René Garcia Préval et du premier ministre Joseph Jean Max Bellerive réitèrent leur détermination à prendre part à des élections crédibles et transparentes, mais non avec le régime actuel ni avec l’organisme électoral dans sa composition présente.
« Participer à des élections, qui seront néfastes pour le pays et pour le peuple haïtien, est une forme de désistement à l’ordre public, à la morale publique », considère Evans Paul, un des dirigeants de la plateforme « Aleternative » et un ancien maire de Port-au-Prince, lors d’une conférence de presse conjointe le mardi 27 juillet 2010 et à laquelle a assisté l’agence en ligne AlterPresse.
Les regroupements et partis politiques membres des plateformes « Alternative, Libération, Rasanble et Union des citoyens haïtiens pour la démocratie, le développement et l’éducation (Ucadde) » affirment avoir signifié au Conseil électoral provisoire (Cep) leur interdiction d’utiliser leurs emblèmes dans les consultations que l’organisme projette de réaliser le 28 novembre 2010.
Les élections législatives et présidentielles, qui devraient se tenir à cette date, ne seront qu’ « une mascarade si elles ont lieu à la date annoncée », parce qu’elles ont pour objectif de « favoriser les candidates et candidats de Inite (Unité) », le parti du président sortant René Préval, déclarent les dirigeants des 4 plateformes de l’opposition.
A compter de ce mercredi 28 juillet 2010, des manifestations seront organisées dans les dix (10) départements géographiques d’Haïti pour réclamer la démission du chef de l’État et des 9 principaux membres du Cep, font savoir les dirigeants des 4 plateformes politiques de l’opposition.
Cette position n’est pas partagée par l’ensemble de l’opposition.
Lundi 26 juillet, la secrétaire générale du Rassemblement des démocrates nationaux progressistes (Rdnp), Mirlande Hyppolite Manigat, possible candidate à la présidence, a annoncé le retrait de sa formation politique de la plate-forme des patriotes haïtiens (Plaph), une coalition qu’elle avait créée, il y a un peu plus d’un an, avec quatre autres dirigeants de partis.
La principale dirigeante du Rdnp a fait état de « divergences concernant l’orientation de la plate-forme (Plaph) et la stratégie à utiliser précisément dans cette période électorale ».
De leur côté, tout en évoquant une méfiance par rapport au processus électoral en cours, une partie de candidates et candidats, agréés pour les prochaines législatives, a fait état de leur intention de se rendre aux urnes, question de pouvoir, de l’intérieur, disposer de données susceptibles de leur permettre de se rendre compte et de dénoncer les éventuelles magouilles. [kft rl rc apr 27/07/2010 13:03]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article9768
« Participer à des élections, qui seront néfastes pour le pays et pour le peuple haïtien, est une forme de désistement à l’ordre public, à la morale publique », considère Evans Paul, un des dirigeants de la plateforme « Aleternative » et un ancien maire de Port-au-Prince, lors d’une conférence de presse conjointe le mardi 27 juillet 2010 et à laquelle a assisté l’agence en ligne AlterPresse.
Les regroupements et partis politiques membres des plateformes « Alternative, Libération, Rasanble et Union des citoyens haïtiens pour la démocratie, le développement et l’éducation (Ucadde) » affirment avoir signifié au Conseil électoral provisoire (Cep) leur interdiction d’utiliser leurs emblèmes dans les consultations que l’organisme projette de réaliser le 28 novembre 2010.
Les élections législatives et présidentielles, qui devraient se tenir à cette date, ne seront qu’ « une mascarade si elles ont lieu à la date annoncée », parce qu’elles ont pour objectif de « favoriser les candidates et candidats de Inite (Unité) », le parti du président sortant René Préval, déclarent les dirigeants des 4 plateformes de l’opposition.
A compter de ce mercredi 28 juillet 2010, des manifestations seront organisées dans les dix (10) départements géographiques d’Haïti pour réclamer la démission du chef de l’État et des 9 principaux membres du Cep, font savoir les dirigeants des 4 plateformes politiques de l’opposition.
Cette position n’est pas partagée par l’ensemble de l’opposition.
Lundi 26 juillet, la secrétaire générale du Rassemblement des démocrates nationaux progressistes (Rdnp), Mirlande Hyppolite Manigat, possible candidate à la présidence, a annoncé le retrait de sa formation politique de la plate-forme des patriotes haïtiens (Plaph), une coalition qu’elle avait créée, il y a un peu plus d’un an, avec quatre autres dirigeants de partis.
La principale dirigeante du Rdnp a fait état de « divergences concernant l’orientation de la plate-forme (Plaph) et la stratégie à utiliser précisément dans cette période électorale ».
De leur côté, tout en évoquant une méfiance par rapport au processus électoral en cours, une partie de candidates et candidats, agréés pour les prochaines législatives, a fait état de leur intention de se rendre aux urnes, question de pouvoir, de l’intérieur, disposer de données susceptibles de leur permettre de se rendre compte et de dénoncer les éventuelles magouilles. [kft rl rc apr 27/07/2010 13:03]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article9768
Haïti-France : Une ONG française empêchée d’installer un abri pour une école professionnelle à Jacquet
P-au-P., 27 juil. 2010 [AlterPresse] --- Les techniciens de l’ONG française « Abris sans frontière » et les cadres du Secours populaire français ont du interrompre le 24 juillet la mise en place d’une structure de toile devant accueillir une école professionnelle à Jaquet (périphérie est) à cause des menaces d’un groupe de personnes munies de pierres, de machettes et d’une arme à feu. Le chef monteur, et ses aides commençaient à peine à planter les pieux pour installer la structure sur ce qui semblait un terrain de foot-ball, quand « des brailleurs » s’en sont pris aux techniciens puis aux hommes qui prêtaient main forte au chantier, raconte un témoin à AlterPresse.
La bénéficiaire haïtienne du projet, Anna Gaillard, présidente d’une ONG haïtienne d’aide aux femmes (Fam Grama, dont la CGT française, précise-t-elle, a parrainé l’opération), a tenté de négocier sans succès.
La mairie de Delmas, explique-t-elle, a obtenu la concession du propriétaire et lui a reconcédé le terrain pour y construire un centre de formation professionnelle.
Un homme arborant un revolver, accompagné d’autres armés de machettes, et leurs poches gonflées de roches ont même réclamé à un journaliste français présent son appareil photo, indique la même source.
Le chef de mission, Daniel Robin, secrétaire national au Secours Populaire, a alors décide de mettre un terme à la mission humanitaire et de battre en retraite immédiatement.
« Abris sans frontière » s’est associée au Secours Populaire pour livrer et monter en Haïti 70 tentes familiales de 18 mètres carrés et six chapiteaux de 200 m2 qui, une fois cloisonnés, abriteront une vingtaine de salles de classes, un orphelinat et une salle polyvalentes. Ces structures sont gérées par les associations haïtiennes partenaires du Secours Populaire.
Les monteurs sont formés sur place par des animateurs d’Architecture textile française (ATF), le numéro un européen de la location de chapiteaux et de structures de toile destinés aux foires, aux grands meetings ou aux spectacles itinérants.
http://www.alterpresse.org/spip.php?article9763
La bénéficiaire haïtienne du projet, Anna Gaillard, présidente d’une ONG haïtienne d’aide aux femmes (Fam Grama, dont la CGT française, précise-t-elle, a parrainé l’opération), a tenté de négocier sans succès.
La mairie de Delmas, explique-t-elle, a obtenu la concession du propriétaire et lui a reconcédé le terrain pour y construire un centre de formation professionnelle.
Un homme arborant un revolver, accompagné d’autres armés de machettes, et leurs poches gonflées de roches ont même réclamé à un journaliste français présent son appareil photo, indique la même source.
Le chef de mission, Daniel Robin, secrétaire national au Secours Populaire, a alors décide de mettre un terme à la mission humanitaire et de battre en retraite immédiatement.
« Abris sans frontière » s’est associée au Secours Populaire pour livrer et monter en Haïti 70 tentes familiales de 18 mètres carrés et six chapiteaux de 200 m2 qui, une fois cloisonnés, abriteront une vingtaine de salles de classes, un orphelinat et une salle polyvalentes. Ces structures sont gérées par les associations haïtiennes partenaires du Secours Populaire.
Les monteurs sont formés sur place par des animateurs d’Architecture textile française (ATF), le numéro un européen de la location de chapiteaux et de structures de toile destinés aux foires, aux grands meetings ou aux spectacles itinérants.
http://www.alterpresse.org/spip.php?article9763
Haïti-Canada : Jacques Édouard Alexis ne serait plus indésirable au Canada
Miami (FL), 27 juil. 2010 [AlterPresse] --- L’ancien premier ministre haïtien Jacques Édouard Alexis, qui se présente comme le prochain candidat à la présidence de l’Unité, déclare que son contentieux avec le Canada où il était interdit de séjour est résolu. « Mon problème avec le gouvernement canadien est résolu, je suis autorisé à me rendre dans ce pays », affirme-t-il à AlterPresse, durant son passage le week-end dernier en Floride.
Mr.Jacques Edouard Alexis se trouvait a Broward, Florida, dans le cadre d’une réunion organisée par le Centre national de recherche et de formation (CONAREF).
Dans un rapport de 160 pages, le Canada accusait l’ancien premier ministre d’avoir été complice de meurtres de jeunes commis par la Police nationale d’Haiti (Pnh) en 1999 dans le quartier de Carrefour-Feuilles (secteur sud).
« Aujourd’hui les autorités canadiennes me pressent de voyager », indique Alexis.
L’ancien chef de gouvernement souligne avoir mené une longue bataille « légale » pour parvenir ce résultat, indiquant qu’il détient une lettre du gouvernement canadien l’autorisant à voyager.
Des enfants de Jacques Édouard Alexis vivent au Canada. [pe gp apr 27/07/2010 01 :00]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article9765
Mr.Jacques Edouard Alexis se trouvait a Broward, Florida, dans le cadre d’une réunion organisée par le Centre national de recherche et de formation (CONAREF).
Dans un rapport de 160 pages, le Canada accusait l’ancien premier ministre d’avoir été complice de meurtres de jeunes commis par la Police nationale d’Haiti (Pnh) en 1999 dans le quartier de Carrefour-Feuilles (secteur sud).
« Aujourd’hui les autorités canadiennes me pressent de voyager », indique Alexis.
L’ancien chef de gouvernement souligne avoir mené une longue bataille « légale » pour parvenir ce résultat, indiquant qu’il détient une lettre du gouvernement canadien l’autorisant à voyager.
Des enfants de Jacques Édouard Alexis vivent au Canada. [pe gp apr 27/07/2010 01 :00]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article9765
Un blessé et des tirs dans une manifestation contre Préval et "l’occupation"
Le conducteur d’un véhicule de l’Etat caillassé a tiré des coups de feu, dispersant brutalement des manifestants en colère ; un candidat de l’opposition arrêté ; Lavalas et les altermondialistes égalenent dans les rues respectivement pour le retour d’Aristide et le départ de la MINUSTAH Mercredi 28 juillet 2010, Radio Kiskeya
Un manifestant a été blessé et un candidat aux législatives de novembre arrêté pour "incitation à la violence" mercredi dans le centre de Port-au-Prince, lors d’une nouvelle marche anti-gouvernementale dispersée par des coups de feu.
Les incidents ont éclaté au moment où plusieurs centaines de personnes réclamaient le départ du Président René Préval, le renvoi du Conseil électoral et le retrait des troupes onusiennes, à l’occasion du 95e anniversaire de la première occupation américaine d’Haïti (1915-1934).
Jean-Claude Dorilus, un militant de l’UCCADE, a été touché à la main, à Carrefour Ti Four, après qu’un individu se trouvant à bord d’un véhicule service de l’Etat avait tiré des coups de feu en l’air en réaction à des jets de pierre des protestataires.
Désarmé par la police, l’occupant du véhicule a pris la fuite alors que la foule commençait à s’en prendre à lui et tentait d’ériger des barricades de pneus enflammés.
Plusieurs des personnalités de l’opposition présentes comme les anciens Sénateurs Serge Gilles et Ricard Pierre ont dénoncé l’infiltration de la manifestation par des individus malintentionnés et réaffirmé leur détermination à poursuivre la mobilisation jusqu’à la chute du chef de l’Etat.
Convoquée par les plateformes politiques Alternative, Rasanble, Libération, UCCADE et le groupe 77, la marche de protestation réunissait également l’ancien Premier ministre de Préval, Rosny Smarth (1996-1998), l’ancien Sénateur Turneb Delpé et l’ex-Député Serge Jean-Louis.
M. Smarth a notamment déploré la propension de Mirlande Manigat (RDNP) et de Charles Henry Baker (Respect) à prendre part aux prochaines présidentielles, ce qui contribuerait à donner une certaine légitimité au CEP actuel qui, selon l’ancien chef de gouvernement, ne sera jamais en mesure d’organiser des élections honnêtes et démocratiques.
Autre incident ayant marqué cette énième mobilisation anti-Préval. Grégory Dorvilier, candidat à la députation dans les Nippes (sud-ouest), a été arrêté sous l’accusation d’agression physique contre des agents de la Police Nationale et de bris de vitres de véhicules.
Des pare-brises de véhicules appartenant à l’Etat ont été cassés sur le parcours des manifestants.
Plusieurs centaines de personnes ont également défilé dans les rues de St-Marc (Artibonite, nord) et de Hinche (centre) où la présence de la Sénatrice Edmonde Supplice Beauzile (Fusion) a été remarquée.
Parallèlement, plusieurs dizaines de membres de Fanmi Lavalas tenaient un sit-in devant l’ambassade américaine à Tabarre (banlieue nord) pour exiger le retour de leur leader Jean-Bertrand Aristide, exilé en Afrique du Sud, ainsi que la démission anticipée de Préval, la destitution des conseillers électoraux et le départ de la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH).
Reçue à l’ambassade, une délégation du parti composée de Maryse Narcisse, Shiler Alouidor, Lionel Etienne et Ansyto Félix a remis au bureau politique un document appelant l’administration américaine à ne pas financer des élections consacrant "l’exclusion politique". Fanmi Lavalas ayant été écarté de la course.
Enfin, d’autres acteurs ont marqué cette journée de protestations qui avait pour toile de fond le triste anniversaire de l’intervention des marines sur territoire haïtien, le 28 juillet 1915.
Les représentants de plusieurs organisations du mouvement social, Batay Ouvriye, MODEP, SOFA, soutenus par la plateforme des employés révoqués des entreprises publiques et le comité de relèvement de Duvivier, se sont rassemblés devant les nouveaux locaux de la chancellerie, au Bois-Verna (centre).
Yanick Etienne (Batay Ouvriye) et Olga Benoît (SOFA) ont dénoncé "l’occupation militaire" du pays en invitant les autorités à assumer leurs responsabilités. Les deux militantes soulignent qu’une campagne de conscientisation doit être entreprise au sein de la population afin de forcer les casques bleus à quitter Haïti. spp/Radio Kiskeya
http://radiokiskeya.com/spip.php?article6905
Un manifestant a été blessé et un candidat aux législatives de novembre arrêté pour "incitation à la violence" mercredi dans le centre de Port-au-Prince, lors d’une nouvelle marche anti-gouvernementale dispersée par des coups de feu.
Les incidents ont éclaté au moment où plusieurs centaines de personnes réclamaient le départ du Président René Préval, le renvoi du Conseil électoral et le retrait des troupes onusiennes, à l’occasion du 95e anniversaire de la première occupation américaine d’Haïti (1915-1934).
Jean-Claude Dorilus, un militant de l’UCCADE, a été touché à la main, à Carrefour Ti Four, après qu’un individu se trouvant à bord d’un véhicule service de l’Etat avait tiré des coups de feu en l’air en réaction à des jets de pierre des protestataires.
Désarmé par la police, l’occupant du véhicule a pris la fuite alors que la foule commençait à s’en prendre à lui et tentait d’ériger des barricades de pneus enflammés.
Plusieurs des personnalités de l’opposition présentes comme les anciens Sénateurs Serge Gilles et Ricard Pierre ont dénoncé l’infiltration de la manifestation par des individus malintentionnés et réaffirmé leur détermination à poursuivre la mobilisation jusqu’à la chute du chef de l’Etat.
Convoquée par les plateformes politiques Alternative, Rasanble, Libération, UCCADE et le groupe 77, la marche de protestation réunissait également l’ancien Premier ministre de Préval, Rosny Smarth (1996-1998), l’ancien Sénateur Turneb Delpé et l’ex-Député Serge Jean-Louis.
M. Smarth a notamment déploré la propension de Mirlande Manigat (RDNP) et de Charles Henry Baker (Respect) à prendre part aux prochaines présidentielles, ce qui contribuerait à donner une certaine légitimité au CEP actuel qui, selon l’ancien chef de gouvernement, ne sera jamais en mesure d’organiser des élections honnêtes et démocratiques.
Autre incident ayant marqué cette énième mobilisation anti-Préval. Grégory Dorvilier, candidat à la députation dans les Nippes (sud-ouest), a été arrêté sous l’accusation d’agression physique contre des agents de la Police Nationale et de bris de vitres de véhicules.
Des pare-brises de véhicules appartenant à l’Etat ont été cassés sur le parcours des manifestants.
Plusieurs centaines de personnes ont également défilé dans les rues de St-Marc (Artibonite, nord) et de Hinche (centre) où la présence de la Sénatrice Edmonde Supplice Beauzile (Fusion) a été remarquée.
Parallèlement, plusieurs dizaines de membres de Fanmi Lavalas tenaient un sit-in devant l’ambassade américaine à Tabarre (banlieue nord) pour exiger le retour de leur leader Jean-Bertrand Aristide, exilé en Afrique du Sud, ainsi que la démission anticipée de Préval, la destitution des conseillers électoraux et le départ de la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH).
Reçue à l’ambassade, une délégation du parti composée de Maryse Narcisse, Shiler Alouidor, Lionel Etienne et Ansyto Félix a remis au bureau politique un document appelant l’administration américaine à ne pas financer des élections consacrant "l’exclusion politique". Fanmi Lavalas ayant été écarté de la course.
Enfin, d’autres acteurs ont marqué cette journée de protestations qui avait pour toile de fond le triste anniversaire de l’intervention des marines sur territoire haïtien, le 28 juillet 1915.
Les représentants de plusieurs organisations du mouvement social, Batay Ouvriye, MODEP, SOFA, soutenus par la plateforme des employés révoqués des entreprises publiques et le comité de relèvement de Duvivier, se sont rassemblés devant les nouveaux locaux de la chancellerie, au Bois-Verna (centre).
Yanick Etienne (Batay Ouvriye) et Olga Benoît (SOFA) ont dénoncé "l’occupation militaire" du pays en invitant les autorités à assumer leurs responsabilités. Les deux militantes soulignent qu’une campagne de conscientisation doit être entreprise au sein de la population afin de forcer les casques bleus à quitter Haïti. spp/Radio Kiskeya
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Le Président dominicain en Haïti samedi
Avec son homologue René Préval, Leonel Fernàndez va réactiver la commission mixte haïtiano-dominicaine et lancer les travaux de construction du campus de l’université d’Etat Mercredi 28 juillet 2010, Radio Kiskeya
Le Président dominicain Leonel Fernàndez est attendu samedi en Haïti où il doit relancer conjointement avec son homologue René Préval la commission mixte bilatérale et donné le coup d’envoi des travaux de construction d’un campus universitaire offert par la république voisine à l’Universitéb d’Etat d’Haïti (UEH).
Selon un communiqué de la présidence dominicaine relayé par EFE, après un entretien privé dans la ville frontalière de Ouanaminthe (nord-est d’Haïti), les deux dirigeants procéderont officiellement -après de longues années de gel- à la réactivation de la commission mixte, un organe de consultations sur différents dossiers bilatéraux dont l’épineuse question migratoire.
La réunion, qui doit déboucher sur la création de sous-commissions techniques et le calendrier des prochaines rencontres, sera présidée par le Premier ministre Jean-Max Bellerive et le ministre dominicain des affaires étrangères, Carlos Morales Troncoso.
Après cette étape, Préval et Fernàndez se rendront à Limonade, une commune située à 15 km du Cap-Haïtien (nord), en vue de l’inauguration des travaux de construction du campus universitaire promis à Haïti à la suite du séisme dévastateur du 12 janvier.
Il est aussi prévu que le chef de l’Etat haïtien décore son vis-à-vis dominicain de l’ordre national panaméricain Pétion et Bolivar.
Leonel Fernàndez a été le premier dirigeant étranger à arriver à Port-au-Prince, quelques heures après le puissant tremblement de terre de magnitude 7 qui avait fait 300.000 morts, 300.000 blessés, 1,3 million de sinistrés et détruit l’économie et les institutions haïtiennes.
spp/Radio Kiskeya
http://radiokiskeya.com/spip.php?article6906
Le Président dominicain Leonel Fernàndez est attendu samedi en Haïti où il doit relancer conjointement avec son homologue René Préval la commission mixte bilatérale et donné le coup d’envoi des travaux de construction d’un campus universitaire offert par la république voisine à l’Universitéb d’Etat d’Haïti (UEH).
Selon un communiqué de la présidence dominicaine relayé par EFE, après un entretien privé dans la ville frontalière de Ouanaminthe (nord-est d’Haïti), les deux dirigeants procéderont officiellement -après de longues années de gel- à la réactivation de la commission mixte, un organe de consultations sur différents dossiers bilatéraux dont l’épineuse question migratoire.
La réunion, qui doit déboucher sur la création de sous-commissions techniques et le calendrier des prochaines rencontres, sera présidée par le Premier ministre Jean-Max Bellerive et le ministre dominicain des affaires étrangères, Carlos Morales Troncoso.
Après cette étape, Préval et Fernàndez se rendront à Limonade, une commune située à 15 km du Cap-Haïtien (nord), en vue de l’inauguration des travaux de construction du campus universitaire promis à Haïti à la suite du séisme dévastateur du 12 janvier.
Il est aussi prévu que le chef de l’Etat haïtien décore son vis-à-vis dominicain de l’ordre national panaméricain Pétion et Bolivar.
Leonel Fernàndez a été le premier dirigeant étranger à arriver à Port-au-Prince, quelques heures après le puissant tremblement de terre de magnitude 7 qui avait fait 300.000 morts, 300.000 blessés, 1,3 million de sinistrés et détruit l’économie et les institutions haïtiennes.
spp/Radio Kiskeya
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4 Morts dans un accident de la circulation
Un accident de la circulation est survenu ce mercredi sur la Route Nationale numéro 1 à hauteur Pierre Payen non loin de la ville de Saint Marc a fait au moins 4 morts et plusieurs blessés graves. Selon les premiers éléments d'information, un camion assurant le trajet Bombardopolis -Port-au prince, s'est renversé suite à une perte de contrôle.
Les blessés ont été acheminés dans un centre hospitalier de la région où ils reçoivent actuellement des soins nécessaires.
Rappelons qu'un autre accident de la circulation survenu hier mardi, sur la Route Nationale numéro 2 , avait déjà occasionné la mort de plus d'une quinzaine de personnes.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=18048
Les blessés ont été acheminés dans un centre hospitalier de la région où ils reçoivent actuellement des soins nécessaires.
Rappelons qu'un autre accident de la circulation survenu hier mardi, sur la Route Nationale numéro 2 , avait déjà occasionné la mort de plus d'une quinzaine de personnes.
EJ/Radio Métropole Haïti
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Une nouvelle campagne de vaccination est lancée par l'Unicef
Les responsables du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) affirment avoir lancé le 26 juillet 2010 une campagne de vaccination en Haïti qui vise à immuniser au moins 500.000 enfants supplémentaires. L'objectif est de vacciner les enfants haïtiens contre la diphtérie, le tétanos, la rubéole, la rougeole et la polio, a précisé un porte-parole de l'UNICEF, Marco Jimanez. L'Unicef apporte a intensifié son action en Haïti depuis le violent séisme du 12 janvier. Plus de 63.000 enfants bénéficient d'installations récréatives et de jeux dans 225 espaces aménagés. L'Unicef et plusieurs autres partenaires assurent également un soutien psychologique aux enfants traumatisés par le séisme du 12 janvier dernier qui a fait plus de 230.000 morts et 1,5 million de déplacés.
Le porte parole de l'Unicef soutient que la situation nutritionnelle reste stable et sous le seuil d'urgence. Six mois après la catastrophe, les installations d'eau et d'assainissement mis en place par l'UNICEF et ses partenaires bénéficient à plus de 1,2 million de personnes.
Dans le même temps les autorités sanitaires haïtiennes réalisent une campagne de vaccination à l'attention des élèves et des femmes en age de procréer.
LLM / Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=18047
Le porte parole de l'Unicef soutient que la situation nutritionnelle reste stable et sous le seuil d'urgence. Six mois après la catastrophe, les installations d'eau et d'assainissement mis en place par l'UNICEF et ses partenaires bénéficient à plus de 1,2 million de personnes.
Dans le même temps les autorités sanitaires haïtiennes réalisent une campagne de vaccination à l'attention des élèves et des femmes en age de procréer.
LLM / Radio Métropole Haïti
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La CIRH dans le collimateur, des organisations de défense des droits humains
Des responsables d'organisation de défense des droits humains élèvent la voix pour critiquer le fonctionnement de la commission intérimaire pour la reconstruction d'Haïti depuis le lancement de ses activités dans le pays. Les secrétaires généraux de la Plateforme Haïtienne de Plaidoyer pour un Développement Alternative (PAPDA) et de la Plateforme des Organisations haïtiennes de Droits Humains (POHDH), ont souligné d'importantes zones d'ombres au niveau de la charte de cette commission.
La PADPA et la POHDH, dénoncent l'absence d'un représentant du secteur paysan au sein de la Commission.
Le responsable de la PAPDA, Camille Charlmers en a profité pour critiquer l'inefficacité des membres de la CIRH qui ont organisé, une seule réunion depuis leur installation.
Pour sa part le, directeur exécutif de la POHDH, Anthonal Mortimé a fait remarquer de nombreuses violations des droits humains ont été commises depuis la catastrophe du 12 janvier.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=18046
Commentaires:
La situation du pays exige beaucoup plus d'acteurs que d'observateurs passifs faisant état de leur intellectualité. Il faut mettre la main à la pâte et laisser de côté ces discours clichés désuets.
La PADPA et la POHDH, dénoncent l'absence d'un représentant du secteur paysan au sein de la Commission.
Le responsable de la PAPDA, Camille Charlmers en a profité pour critiquer l'inefficacité des membres de la CIRH qui ont organisé, une seule réunion depuis leur installation.
Pour sa part le, directeur exécutif de la POHDH, Anthonal Mortimé a fait remarquer de nombreuses violations des droits humains ont été commises depuis la catastrophe du 12 janvier.
EJ/Radio Métropole Haïti
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La situation du pays exige beaucoup plus d'acteurs que d'observateurs passifs faisant état de leur intellectualité. Il faut mettre la main à la pâte et laisser de côté ces discours clichés désuets.
Election présidentielle : L'INITE n'as pas encore désigné son poulain
Le parti proche du pouvoir, INITE, n'a pas encore choisi son candidat à l'élection présidentielle du 28 novembre. C'est ce qu'a révélé le sénateur Kelly Bastien, un des membres influents de ce regroupement politique. « Pour le moment aucun nom n'a été cité comme candidat, tous les membres qui font partie de la coordination de l'INITE sont présidentiables», a déclaré le président du grand corps, alors qu'il participait à la cérémonie de remise officielle par le centre parlementaire canadien, du site complètement déblayé, où se trouvait le parlement haïtien avant le séisme.
Monsieur Bastien en a profité pour faire taire les rumeurs concernant la candidature déclarée de certaines personnalités « Dès que les candidats seront connus, leurs identités seront dévoilées. Donc il n'est que d'attendre. », a précisé Kelly Bastien.
Toutefois l'élu du Nord se dit prêt à se soumettre à la décision du parti au cas où, il déciderait de faire appel à lui, comme candidat à la magistrature suprême.
Par ailleurs le parlementaire se montre très satisfait de l'avancement du processus électoral.
Il dit souhaiter que toutes les dispositions nécessaires soient prises afin de respecter la date du 28 novembre en vue de l'organisation des prochaines élections.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=18045
Monsieur Bastien en a profité pour faire taire les rumeurs concernant la candidature déclarée de certaines personnalités « Dès que les candidats seront connus, leurs identités seront dévoilées. Donc il n'est que d'attendre. », a précisé Kelly Bastien.
Toutefois l'élu du Nord se dit prêt à se soumettre à la décision du parti au cas où, il déciderait de faire appel à lui, comme candidat à la magistrature suprême.
Par ailleurs le parlementaire se montre très satisfait de l'avancement du processus électoral.
Il dit souhaiter que toutes les dispositions nécessaires soient prises afin de respecter la date du 28 novembre en vue de l'organisation des prochaines élections.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=18045
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