Des responsables d'organisation de défense des droits humains élèvent la voix pour critiquer le fonctionnement de la commission intérimaire pour la reconstruction d'Haïti depuis le lancement de ses activités dans le pays. Les secrétaires généraux de la Plateforme Haïtienne de Plaidoyer pour un Développement Alternative (PAPDA) et de la Plateforme des Organisations haïtiennes de Droits Humains (POHDH), ont souligné d'importantes zones d'ombres au niveau de la charte de cette commission.
La PADPA et la POHDH, dénoncent l'absence d'un représentant du secteur paysan au sein de la Commission.
Le responsable de la PAPDA, Camille Charlmers en a profité pour critiquer l'inefficacité des membres de la CIRH qui ont organisé, une seule réunion depuis leur installation.
Pour sa part le, directeur exécutif de la POHDH, Anthonal Mortimé a fait remarquer de nombreuses violations des droits humains ont été commises depuis la catastrophe du 12 janvier.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=18046
Commentaires:
La situation du pays exige beaucoup plus d'acteurs que d'observateurs passifs faisant état de leur intellectualité. Il faut mettre la main à la pâte et laisser de côté ces discours clichés désuets.
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
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