Une forte rançon encaissée par les ravisseurs
mardi 3 juillet 2007,
Radio Kiskeya
Le père Wilder Jean-Baptiste du diocèse des Gonaïves a été libéré contre rançon mardi matin à Port-au-Prince quatre jours après son enlèvement dans la nuit de vendredi à samedi, a appris Radio Kiskeya de sources policières.
Une forte rançon, dont le montant n’est pas précisé, a été versée par la famille du religieux suite à d’intenses négociations avec les ravisseurs.
On ignorait quelques heures après sa libération l’état de santé de l’ex-otage.
Le père Jean-Baptiste avait été intercepté par des individus armés dans le quartier de Turgeau (centre-est de la capitale) alors qu’il circulait au volant d’une jeep Tracker de couleur rouge immatriculée AA02250. La police avait retrouvé le véhicule non loin du marché Salomon (centre).
Selon les autorités policières, le prêtre était rentré à Port-au-Prince en vue de célébrer le mariage de son frère. Ce grave incident a entraîné le report de la cérémonie nuptiale.
Par ailleurs, aucune information n’était disponible sur le sort d’une femme kidnappée samedi dernier à Fontamara 27 prolongé (banlieue sud).
Face à la réapparition des enlèvements crapuleux, la police réaffirme sa détermination à rétablir totalement la sécurité et à neutraliser les bandits issus de gangs de plus en plus mobiles.
Des dizaines de présumés kidnappeurs ont été appréhendés ces derniers mois. Parmi eux, Miller Jean Elie dit "Ti Elie ou Moïse" et Pierre Léger considérés comme deux des bourreaux ayant enlevé, violé, torturé et assassiné sauvagement une étudiante de 20 ans, Farah Natcha Kerby Dessources, en novembre 2006. Les deux hommes sont incarcérés depuis la semaine dernière.
Wilder Jean-Baptiste n’est pas le premier représentant de l’église catholique haïtienne à avoir subi la loi du kidnapping. En juillet 2006, un prêtre salvadorien de la congrégation des Franciscains, César Humberto Flores, et un aspirant de nationalité haïtienne avaient été séquestrés à Cité Soleil, le plus grand bidonville du pays situé au nord de Port-au-Prince.
Des dizaines de missionnaires haïtiens, américains, canadiens et français notamment ont été aussi victimes de rapt. Mais, certains de leurs ravisseurs arrêtés en Haïti et remis au FBI sont promis à de très longs séjours dans les prisons américaines. spp/RK
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article3821
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
mercredi 4 juillet 2007
Haïti, Cuba et la République Dominicaine vont créer le"corridor biologique" de la Caraïbe
Une initiative sans précédent pour sauver la biodiversité en danger de la région
mardi 3 juillet 2007,
Radio Kiskeya
Les autorités haïtiennes, cubaines et dominicaines doivent parapher le 10 juillet prochain un protocole d’accord en vue de créer dans la Caraïbe un "corridor biologique" destiné à préserver la diversité de la région, ont annoncé mardi à La Havane les médias cubains.
Selon l’agence d’Etat Agencia de Informaciòn Nacional (AIN), cette initiative sans précédent impliquera des accords de coopération en faveur du développement de la technologie nécessaire à la conservation et à la revalorisation des espaces naturels.
La cérémonie de signature de l’accord tripartite se déroulera à Puerto Escondido, une localité dominicaine située à la frontière avec Haïti, a indiqué le directeur de la division Amérique latine et Caraïbes du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).
Le haut fonctionnaire onusien avait participé la semaine dernière à Santo Domingo au 5e Forum sur la lutte contre la désertification et la sécheresse en Afrique, en Amérique latine et dans les Caraïbes. Plus de 750 délégués venus de 23 pays avaient pris part aux travaux de ce forum consacré aux changements climatiques. Haïti était représentée par son ministre de l’environnement, Jean-Marie Claude Germain.
A l’ouverture de la conférence, le vice-président dominicain Rafael Alburquerque avait appelé à l’approfondissement des actions entreprises en vue de diminuer les effets de la sécheresse en République Dominicaine. "Ce phénomène affecte 70% du territoire national et a des répercussions négatives sur la vie de cinq millions de dominicains", avait averti M. Alburquerque.
Des trois nations engagées dans le nouveau partenariat pour la protection de la biodiversité caribéenne, Haïti est la plus menacée. Victime d’une désertification accélérée, le pays fait face aussi à une pollution galopante et croule sous les déchets plastiques tandis que les principales agglomérations, bidonvillisées, ne sont pas à l’abri d’une catastrophe majeure. spp/RK
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article3781
mardi 3 juillet 2007,
Radio Kiskeya
Les autorités haïtiennes, cubaines et dominicaines doivent parapher le 10 juillet prochain un protocole d’accord en vue de créer dans la Caraïbe un "corridor biologique" destiné à préserver la diversité de la région, ont annoncé mardi à La Havane les médias cubains.
Selon l’agence d’Etat Agencia de Informaciòn Nacional (AIN), cette initiative sans précédent impliquera des accords de coopération en faveur du développement de la technologie nécessaire à la conservation et à la revalorisation des espaces naturels.
La cérémonie de signature de l’accord tripartite se déroulera à Puerto Escondido, une localité dominicaine située à la frontière avec Haïti, a indiqué le directeur de la division Amérique latine et Caraïbes du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).
Le haut fonctionnaire onusien avait participé la semaine dernière à Santo Domingo au 5e Forum sur la lutte contre la désertification et la sécheresse en Afrique, en Amérique latine et dans les Caraïbes. Plus de 750 délégués venus de 23 pays avaient pris part aux travaux de ce forum consacré aux changements climatiques. Haïti était représentée par son ministre de l’environnement, Jean-Marie Claude Germain.
A l’ouverture de la conférence, le vice-président dominicain Rafael Alburquerque avait appelé à l’approfondissement des actions entreprises en vue de diminuer les effets de la sécheresse en République Dominicaine. "Ce phénomène affecte 70% du territoire national et a des répercussions négatives sur la vie de cinq millions de dominicains", avait averti M. Alburquerque.
Des trois nations engagées dans le nouveau partenariat pour la protection de la biodiversité caribéenne, Haïti est la plus menacée. Victime d’une désertification accélérée, le pays fait face aussi à une pollution galopante et croule sous les déchets plastiques tandis que les principales agglomérations, bidonvillisées, ne sont pas à l’abri d’une catastrophe majeure. spp/RK
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article3781
Haïti – Rép. Dominicaine : Graves incidents au cours d’un conflit frontalier à Anse-à-Pitres
Anse-à-Pitres (Haïti), 03 juil. 07 [AlterPresse] --- De graves incidents, enregistrés à la suite d’un vol de motocyclette, auraient fait, dans l’après-midi du mardi 3 juillet 2007 un nombre indéterminé de blessés à Anse-à-Pitres (Sud-Est d’Haïti), commune frontalière avec la ville dominicaine de Pedernales, selon des informations réunies par l’agence en ligne AlterPresse.
Les premières données recueillies de riveraines et riverains font état de blessés, tant du côté des ressortissants haïtiens que dominicains, sans en préciser le nombre. L’armée dominicaine aurait tiré plusieurs coups de feu.
A la base de la tension ayant régné à la frontière ce mardi 3 juillet, une motocyclette aurait été volée par un ressortissant dominicain qui l’aurait ensuite vendue à un ressortissant haïtien à Anse-à-Pitres, indiquent certaines sources.
Au cours d’une dispute en territoire haïtien, un groupe de dominicains, parmi eux le propriétaire de la motocyclette perdue, aurait blessé à l’arme blanche le nommé Denis Saint-Louis, rencontré à bord d’une motocyclette à Site Nèf, un village de rapatriés situé à l’entrée est de Anse-à-Pitres. Une grande bagarre s’est alors déclenchée entre deux groupes (haïtiens et dominicains), laquelle se serait soldée par plusieurs blessés.
La situation aurait dégénéré au moment où des Haïtiens ont voulu traverser la frontière pour aller s’en prendre au groupe de Dominicains.
Jusque tard dans l’après-midi du 3 juillet 2007, les comités de défense et de promotion des droits humains de Anses-à-Pitres et de Pedernales, aidés des autorités locales, tentaient de ramener le calme parmi les habitants de la frontière, rapporte un riverain à AlterPresse.
Au moment de l’incident, un seul des 4 policiers affectés à la commune de Anse-à-Pitres, forte d’environ 20,000 habitants, se trouvait à son poste.
Trois jours auparavant, soit le samedi 30 juin 2007, le corps décapité d’un Haïtien a été retrouvé non loin de Pedernales, dans une localité dénommée « Los Brujos ». Connu sous le nom de André, ce ressortissant haïtien était porté disparu depuis le 26 juin.
Depuis quelque temps, un climat de délinquance semble se développer à ce point frontalier très éloigné de Jacmel, chef-lieu du département géographique du Sud-Est d’Haïti. Dépourvus de moyens, les policiers se seraient gardés d’envoyer des prisonniers à Jacmel, excepté quelquefois au passage occasionnel d’une patrouille de la Mission des Nations Unies en Haïti (Minustah) qui voudrait bien les récupérer.
Anse-à-Pitres est une ville frontalière, à la pointe Sud-Est d’Haïti, en face de la ville dominicaine de Pedernales. [rc apr 03/07/2007 17 :30]
Les premières données recueillies de riveraines et riverains font état de blessés, tant du côté des ressortissants haïtiens que dominicains, sans en préciser le nombre. L’armée dominicaine aurait tiré plusieurs coups de feu.
A la base de la tension ayant régné à la frontière ce mardi 3 juillet, une motocyclette aurait été volée par un ressortissant dominicain qui l’aurait ensuite vendue à un ressortissant haïtien à Anse-à-Pitres, indiquent certaines sources.
Au cours d’une dispute en territoire haïtien, un groupe de dominicains, parmi eux le propriétaire de la motocyclette perdue, aurait blessé à l’arme blanche le nommé Denis Saint-Louis, rencontré à bord d’une motocyclette à Site Nèf, un village de rapatriés situé à l’entrée est de Anse-à-Pitres. Une grande bagarre s’est alors déclenchée entre deux groupes (haïtiens et dominicains), laquelle se serait soldée par plusieurs blessés.
La situation aurait dégénéré au moment où des Haïtiens ont voulu traverser la frontière pour aller s’en prendre au groupe de Dominicains.
Jusque tard dans l’après-midi du 3 juillet 2007, les comités de défense et de promotion des droits humains de Anses-à-Pitres et de Pedernales, aidés des autorités locales, tentaient de ramener le calme parmi les habitants de la frontière, rapporte un riverain à AlterPresse.
Au moment de l’incident, un seul des 4 policiers affectés à la commune de Anse-à-Pitres, forte d’environ 20,000 habitants, se trouvait à son poste.
Trois jours auparavant, soit le samedi 30 juin 2007, le corps décapité d’un Haïtien a été retrouvé non loin de Pedernales, dans une localité dénommée « Los Brujos ». Connu sous le nom de André, ce ressortissant haïtien était porté disparu depuis le 26 juin.
Depuis quelque temps, un climat de délinquance semble se développer à ce point frontalier très éloigné de Jacmel, chef-lieu du département géographique du Sud-Est d’Haïti. Dépourvus de moyens, les policiers se seraient gardés d’envoyer des prisonniers à Jacmel, excepté quelquefois au passage occasionnel d’une patrouille de la Mission des Nations Unies en Haïti (Minustah) qui voudrait bien les récupérer.
Anse-à-Pitres est une ville frontalière, à la pointe Sud-Est d’Haïti, en face de la ville dominicaine de Pedernales. [rc apr 03/07/2007 17 :30]
Haïti/Caricom : Possibilité d’ouvrir un campus de l’Université West Indies à Port-au-Prince
P-au-P, 03 juil. 07 [AlterPresse] --- Le professeur Nigel Harris, vice-recteur de l’Université West Indies (UWI), se déclare favorable à l’idée d’ouvrir un campus de cette université des indes occidentales à Port-au-Prince, la capitale d’Haïti, selon le vœu de l’Organisation des États américains (Oea).
« Franchement, je suis tout à fait intrigué par cette proposition et je serais intéressé de recommander l’idée pour une considération sérieuse une fois que nous aurons à notre disposition les informations appropriées » relatives à cette proposition, fait savoir le professeur Nigel Harris au magazine Trinidad & Tobago Express, consulté par l’agence en ligne AlterPresse.
Le 1er juillet 2007, le secrétaire général adjoint de l’organisation hémisphérique, le surinamien Albert Ramdin, a préconisé l’installation, à Port-au-Prince, d’un campus de l’Université West Indies qui célèbrera son 60 e anniversaire de fondation en 2008.
L’aide à apporter par la Caricom à Haïti ne devra pas se confiner sur le nombre de soldats à engager au sein de la mission onusienne déployée dans le pays depuis juin 2004, estime Ramdin.
Le secrétaire général adjoint de l’OEA a exprimé ce souhait à l’ouverture, à Barbade le dimanche 1er juillet 2007, de la 28e conférence des chefs de gouvernements de la Caricom à laquelle participe le président haïtien, René Garcia Préval.
Albert Ramdin a même proposé à l’administration de cette université de la Caricom de recruter quelques 3 000 étudiants haïtiens pour l’implantation d’un campus en Haïti.
Selon le vice-recteur de l’UWI, Nigel Harris, cette idée de l’Oea pourrait être considérée dans le cadre des stratégies de l’Université West Indies pour un nouveau plan quinquennal qui s’étendra jusqu’en 2012.
Ce plan inclut l’établissement d’un « campus ouvert » à Montego Bay (Jamaïque) avec pour objectif d’accueillir des étudiantes et étudiants pré-universitaires, celles et ceux préparant leur licence, des programmes universitaires supérieurs basés sur le développement ainsi que des programmes professionnels pour des étudiantes et étudiants dans les 15 pays contribuant au fonctionnement de l’UWI.
Des étudiants du campus Mona (établi en Jamaïque) de l’Université West Indies seraient même intéressés à faire des recherches en Haïti, notamment dans le domaine de la communication.
Initiée en 1948 dans les Caraïbes comme un collège externe de l’Université de Londres (Grande Bretagne) et ayant acquis un statut entièrement indépendant en 1962, l’université West Indies est la plus vieille institution universitaire dans les pays caribéens faisant partie du Commonwealth.
Supportée justement par 15 pays, toutes colonies ou anciennes colonies britanniques, UWI est engagée dans le développement régional à travers le rodage de ressources humaines, la recherche et la fourniture de services avisés aux gouvernements et au secteur privé, ainsi que la création de liens avec d’autres institutions caribéennes et du reste du monde.
Avec ses trois campus – Cave Hill à Barbade, Mona en Jamaïque et St Augustin à Trindidad – et ses 12 centres (connus comme les UWI-12) répartis dans les autres pays contributeurs, l’université West Indies a, aujourd’hui, un nombre approximatif de 36 mille étudiantes et étudiants inscrits, dont 5,800 gradués annuellement.
Anguilla, Antigua & Barbuda, Bahamas, Barbade, Belize, Iles vierges britanniques, Iles Caïmans, la Dominique, Grenade, Jamaïque, Montserrat, St. Kitts/Nevis, Ste. Lucie, St.Vincent & Les Grenadines, Trinidad & Tobago sont les pays caribéens desservis par l’université West Indies. [do rc apr 03/07/2007 12 :30]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article6157
« Franchement, je suis tout à fait intrigué par cette proposition et je serais intéressé de recommander l’idée pour une considération sérieuse une fois que nous aurons à notre disposition les informations appropriées » relatives à cette proposition, fait savoir le professeur Nigel Harris au magazine Trinidad & Tobago Express, consulté par l’agence en ligne AlterPresse.
Le 1er juillet 2007, le secrétaire général adjoint de l’organisation hémisphérique, le surinamien Albert Ramdin, a préconisé l’installation, à Port-au-Prince, d’un campus de l’Université West Indies qui célèbrera son 60 e anniversaire de fondation en 2008.
L’aide à apporter par la Caricom à Haïti ne devra pas se confiner sur le nombre de soldats à engager au sein de la mission onusienne déployée dans le pays depuis juin 2004, estime Ramdin.
Le secrétaire général adjoint de l’OEA a exprimé ce souhait à l’ouverture, à Barbade le dimanche 1er juillet 2007, de la 28e conférence des chefs de gouvernements de la Caricom à laquelle participe le président haïtien, René Garcia Préval.
Albert Ramdin a même proposé à l’administration de cette université de la Caricom de recruter quelques 3 000 étudiants haïtiens pour l’implantation d’un campus en Haïti.
Selon le vice-recteur de l’UWI, Nigel Harris, cette idée de l’Oea pourrait être considérée dans le cadre des stratégies de l’Université West Indies pour un nouveau plan quinquennal qui s’étendra jusqu’en 2012.
Ce plan inclut l’établissement d’un « campus ouvert » à Montego Bay (Jamaïque) avec pour objectif d’accueillir des étudiantes et étudiants pré-universitaires, celles et ceux préparant leur licence, des programmes universitaires supérieurs basés sur le développement ainsi que des programmes professionnels pour des étudiantes et étudiants dans les 15 pays contribuant au fonctionnement de l’UWI.
Des étudiants du campus Mona (établi en Jamaïque) de l’Université West Indies seraient même intéressés à faire des recherches en Haïti, notamment dans le domaine de la communication.
Initiée en 1948 dans les Caraïbes comme un collège externe de l’Université de Londres (Grande Bretagne) et ayant acquis un statut entièrement indépendant en 1962, l’université West Indies est la plus vieille institution universitaire dans les pays caribéens faisant partie du Commonwealth.
Supportée justement par 15 pays, toutes colonies ou anciennes colonies britanniques, UWI est engagée dans le développement régional à travers le rodage de ressources humaines, la recherche et la fourniture de services avisés aux gouvernements et au secteur privé, ainsi que la création de liens avec d’autres institutions caribéennes et du reste du monde.
Avec ses trois campus – Cave Hill à Barbade, Mona en Jamaïque et St Augustin à Trindidad – et ses 12 centres (connus comme les UWI-12) répartis dans les autres pays contributeurs, l’université West Indies a, aujourd’hui, un nombre approximatif de 36 mille étudiantes et étudiants inscrits, dont 5,800 gradués annuellement.
Anguilla, Antigua & Barbuda, Bahamas, Barbade, Belize, Iles vierges britanniques, Iles Caïmans, la Dominique, Grenade, Jamaïque, Montserrat, St. Kitts/Nevis, Ste. Lucie, St.Vincent & Les Grenadines, Trinidad & Tobago sont les pays caribéens desservis par l’université West Indies. [do rc apr 03/07/2007 12 :30]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article6157
Le maire Jason se défend
Muscadin Jean-Yves Jason rejette toute responsabilité dans l'incendie du Marché de la cathédrale. Il annonce l'ouverture d'une enquête et se dit prêt à dialoguer avec les marchands.
Le mardi 3 juillet 2007, pour la deuxième journée consécutive, des centaines de marchands de la place de la Cathédrale ont manifesté en face de l'Hôtel Le Plaza au Champ de Mars où le maire de Port-au-Prince a provisoirement installé ses bureaux. Comme la veille, les manifestants ont couvert d'invectives le maire Muscadin Jean-Yves Jason qui, selon eux, aurait ordonné l'incendie de ce marché dans la nuit de dimanche à lundi. « Une autorité morale ne peut pas ordonner l'incendie d'un marché, ce qui serait de nature à créer l'insécurité », a affirmé M. Jason.
Le premier citoyen de la capitale a annoncé l'ouverture d'une enquête judiciaire afin de fixer les responsabilités dans cette affaire.
Dans la soirée de dimanche à lundi, des équipes de la mairie ont procédé au nettoyage dudit marché. Des tréteaux sales et usagés ont été brûlés, a indiqué le maire qui rejette toute responsabilité dans ce sinistre.
Des gens, profitant de cette situation pour créer des troubles à la capitale, veulent nous faire porter le chapeau, a-t-il poursuivi en se disant ouvert au dialogue.« Il faut trouver des passerelles afin de dialoguer avec les marchands », a-t-il ajouté en attendant les résultats de cette enquête.
Une autre Port-au-Prince est possible, a soutenu le maire qui souligne au passage la poursuite des travaux d'assainissement de la capitale qui compte 35 quartiers et 100.000 marchands de rue.
http://www.lenouvelliste.com/article.php?PubID=1&ArticleID=45704&PubDate=2007-07-03
Le mardi 3 juillet 2007, pour la deuxième journée consécutive, des centaines de marchands de la place de la Cathédrale ont manifesté en face de l'Hôtel Le Plaza au Champ de Mars où le maire de Port-au-Prince a provisoirement installé ses bureaux. Comme la veille, les manifestants ont couvert d'invectives le maire Muscadin Jean-Yves Jason qui, selon eux, aurait ordonné l'incendie de ce marché dans la nuit de dimanche à lundi. « Une autorité morale ne peut pas ordonner l'incendie d'un marché, ce qui serait de nature à créer l'insécurité », a affirmé M. Jason.
Le premier citoyen de la capitale a annoncé l'ouverture d'une enquête judiciaire afin de fixer les responsabilités dans cette affaire.
Dans la soirée de dimanche à lundi, des équipes de la mairie ont procédé au nettoyage dudit marché. Des tréteaux sales et usagés ont été brûlés, a indiqué le maire qui rejette toute responsabilité dans ce sinistre.
Des gens, profitant de cette situation pour créer des troubles à la capitale, veulent nous faire porter le chapeau, a-t-il poursuivi en se disant ouvert au dialogue.« Il faut trouver des passerelles afin de dialoguer avec les marchands », a-t-il ajouté en attendant les résultats de cette enquête.
Une autre Port-au-Prince est possible, a soutenu le maire qui souligne au passage la poursuite des travaux d'assainissement de la capitale qui compte 35 quartiers et 100.000 marchands de rue.
http://www.lenouvelliste.com/article.php?PubID=1&ArticleID=45704&PubDate=2007-07-03
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