MERCREDI 5 OCTOBRE 2011 / 12:07
Gary Conille, médecin de 45 ans, est le nouveau chef du gouvernement haïtien. Les sénateurs haïtien ont ratifié ce mardi sa candidature, rapporte RFI.
Il s’agit du troisième nom que le président Michel Martelly soumettait aux parlementaires.
Cette validation devrait donc permettre à un nouveau gouvernement de voir le jour, ce qu’attendaient les bailleurs de fonds pour décaisser les sommes utiles à la reconstruction du pays.
http://www.afrik.com/breve35415.html
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
mercredi 5 octobre 2011
Nouvelle armée, vieux fantômes
Dix-sept ans après la dissolution de l'armée haïtienne, le projet du président Martelly de créer une nouvelle force militaire de 3 500 hommes suscite des interrogations. En fera-t-il une milice à son service, comme d'autres présidents avant lui ? Et pourquoi ne pas organiser un débat national sur cette question ? 05.10.2011
Robenson Geffrard et Danio Darius
Le Nouvelliste
Le retour des Forces armées d'Haïti, le départ progressif de la Mission de stabilisation des Nations unies en Haïti (Minustah) : le président Martelly a tout prévu dans son plan de 22 pages présenté aux ambassades accréditées à Port-au-Prince.
Mais l'opinion publique n'était pas préparée à accueillir si soudainement la création d'une force militaire. La Plate-forme des organisations haïtiennes des droits humains (POHDH) déclare craindre que le plan de cette armée de 3 500 soldats annoncé par le président Michel Martelly ne s'inscrive dans l'idée de la création d'une armée contrôlée et utilisée par le palais national.
"Dans ce pays, la plupart des nouveaux présidents ont mis sur pied leurs propres groupes armés. On se rappelle encore toutes les exactions des 'Tontons Macoutes' de l'ancien président François Duvalier, et récemment les chimères de l'ex-président Jean-Bertrand Aristide", a lancé Antonal Mortimé, secrétaire exécutif de la POHDH.
"Il y a un amalgame dans la façon dont le chef de l'Etat tente de mettre sur pied la nouvelle force de sécurité nationale, appelée à protéger le pays contre les menaces provenant à la fois de l'intérieur et de l'extérieur", a renchéri Evans Paul, membre de la plate-forme Alternative, sur les ondes de Radio Magik 9. L'ancien maire de Port-au-Prince, qui se dit toutefois favorable à la création d'une nouvelle force armée, a expliqué que ces deux missions ne peuvent relever d'un seul corps. Le leader politique a cité l'exemple du FBI et de la CIA aux Etats-Unis. Le premier protège les Etats-Unis contre les menaces intérieures, la seconde contre celles provenant de l'extérieur.
Evans Paul a exprimé de profondes inquiétudes au sujet du Service d'intelligence nationale (SIN) que compte relancer le président de la République à travers sa politique de défense nationale. Cette structure a différents objectifs : prévenir le terrorisme et lutter contre lui, contre toute forme d'activités mafieuses et de réseaux de trafiquants illégaux de toutes sortes, surveiller les organisations et mouvements extrémistes qui veulent semer l'anarchie dans le pays, prévenir et lutter contre les menaces internes et externes, lutter contre la cybercriminalité et surveiller les installations et sites stratégiques.
"Haïti n'est pas menacée par le terrorisme", a avancé M. Paul, qui estime que cette structure rappelle, par rapport à ses objectifs, le Service d'intelligence créé par le régime des Duvalier pour persécuter leurs opposants. "Si cette structure vise à restreindre le droit des citoyens à s'exprimer librement, elle ne passera pas", a-t-il poursuivi, redoutant sous cet angle la création d'un groupe d'espions.
De l'avis du sénateur Jean William Jeanty, la force armée voulue par Martelly s'apparente à une milice gouvernementale. Selon lui, l'ancienne armée d'Haïti a bloqué l'avancement de la démocratie dans le pays. "Aucune armée nationale ne pourra empêcher les militaires américains de fouler le sol national", a-t-il fulminé, ce vendredi, sur les ondes de Radio Magik 9. Pour le parlementaire, le chef de l'Etat tourne en dérision l'intelligence de la population avec cette idée.
Pour Antonal Mortimé, "notre inquiétude est d'autant plus grande que le chef de l'Etat n'a pas consulté le Parlement, codétenteur de la souveraineté nationale. Il a ignoré la population sur ce sujet." Selon lui, la formation d'une armée devrait être l'objet d'un débat national au cours duquel tous les secteurs de la société donneraient leur point de vue afin d'en dégager un consensus sur le dossier.
Parallèlement, ces hommes veulent tous le départ des Casques bleus. "Je ne vois pas de différence entre la présence et l'absence de la Minustah. Aujourd'hui, l'insécurité se répand à travers tout le pays. La Minustah a failli à sa mission", déclare le responsable de la POHDH.
"L'armée, c'est la volonté de protéger le territoire", insiste pour sa part Evans Paul, en invitant les dirigeants à ne pas répéter les mêmes erreurs. Il rappelé que ce sont les excès de pouvoir des FAD'H [Forces armées d'Haïti] qui ont conduit à leur démobilisation.
http://www.courrierinternational.com/article/2011/10/05/nouvelle-armee-vieux-fantomes
Robenson Geffrard et Danio Darius
Le Nouvelliste
Le retour des Forces armées d'Haïti, le départ progressif de la Mission de stabilisation des Nations unies en Haïti (Minustah) : le président Martelly a tout prévu dans son plan de 22 pages présenté aux ambassades accréditées à Port-au-Prince.
Mais l'opinion publique n'était pas préparée à accueillir si soudainement la création d'une force militaire. La Plate-forme des organisations haïtiennes des droits humains (POHDH) déclare craindre que le plan de cette armée de 3 500 soldats annoncé par le président Michel Martelly ne s'inscrive dans l'idée de la création d'une armée contrôlée et utilisée par le palais national.
"Dans ce pays, la plupart des nouveaux présidents ont mis sur pied leurs propres groupes armés. On se rappelle encore toutes les exactions des 'Tontons Macoutes' de l'ancien président François Duvalier, et récemment les chimères de l'ex-président Jean-Bertrand Aristide", a lancé Antonal Mortimé, secrétaire exécutif de la POHDH.
"Il y a un amalgame dans la façon dont le chef de l'Etat tente de mettre sur pied la nouvelle force de sécurité nationale, appelée à protéger le pays contre les menaces provenant à la fois de l'intérieur et de l'extérieur", a renchéri Evans Paul, membre de la plate-forme Alternative, sur les ondes de Radio Magik 9. L'ancien maire de Port-au-Prince, qui se dit toutefois favorable à la création d'une nouvelle force armée, a expliqué que ces deux missions ne peuvent relever d'un seul corps. Le leader politique a cité l'exemple du FBI et de la CIA aux Etats-Unis. Le premier protège les Etats-Unis contre les menaces intérieures, la seconde contre celles provenant de l'extérieur.
Evans Paul a exprimé de profondes inquiétudes au sujet du Service d'intelligence nationale (SIN) que compte relancer le président de la République à travers sa politique de défense nationale. Cette structure a différents objectifs : prévenir le terrorisme et lutter contre lui, contre toute forme d'activités mafieuses et de réseaux de trafiquants illégaux de toutes sortes, surveiller les organisations et mouvements extrémistes qui veulent semer l'anarchie dans le pays, prévenir et lutter contre les menaces internes et externes, lutter contre la cybercriminalité et surveiller les installations et sites stratégiques.
"Haïti n'est pas menacée par le terrorisme", a avancé M. Paul, qui estime que cette structure rappelle, par rapport à ses objectifs, le Service d'intelligence créé par le régime des Duvalier pour persécuter leurs opposants. "Si cette structure vise à restreindre le droit des citoyens à s'exprimer librement, elle ne passera pas", a-t-il poursuivi, redoutant sous cet angle la création d'un groupe d'espions.
De l'avis du sénateur Jean William Jeanty, la force armée voulue par Martelly s'apparente à une milice gouvernementale. Selon lui, l'ancienne armée d'Haïti a bloqué l'avancement de la démocratie dans le pays. "Aucune armée nationale ne pourra empêcher les militaires américains de fouler le sol national", a-t-il fulminé, ce vendredi, sur les ondes de Radio Magik 9. Pour le parlementaire, le chef de l'Etat tourne en dérision l'intelligence de la population avec cette idée.
Pour Antonal Mortimé, "notre inquiétude est d'autant plus grande que le chef de l'Etat n'a pas consulté le Parlement, codétenteur de la souveraineté nationale. Il a ignoré la population sur ce sujet." Selon lui, la formation d'une armée devrait être l'objet d'un débat national au cours duquel tous les secteurs de la société donneraient leur point de vue afin d'en dégager un consensus sur le dossier.
Parallèlement, ces hommes veulent tous le départ des Casques bleus. "Je ne vois pas de différence entre la présence et l'absence de la Minustah. Aujourd'hui, l'insécurité se répand à travers tout le pays. La Minustah a failli à sa mission", déclare le responsable de la POHDH.
"L'armée, c'est la volonté de protéger le territoire", insiste pour sa part Evans Paul, en invitant les dirigeants à ne pas répéter les mêmes erreurs. Il rappelé que ce sont les excès de pouvoir des FAD'H [Forces armées d'Haïti] qui ont conduit à leur démobilisation.
http://www.courrierinternational.com/article/2011/10/05/nouvelle-armee-vieux-fantomes
Haïti : les exactions des soldats de l'ONU
Déjà accusés d'avoir importé le choléra en Haïti, les soldats de la Minustah, la force de l'ONU censée contribuer à la stabilisation du pays, sont au cœur de nombreux scandales : viols, relations sexuelles avec des mineures, vols, agressions, trafics en tout genre. Sur ce sujet, nous publions ci-dessous un extrait de La Voix des Travailleurs, journal de nos camarades haïtiens de l'Organisation des Travailleurs Révolutionnaires (OTR).
« Cinq soldats uruguayens cantonnés dans le sud du pays, à Port-Salut, ont violé un jeune garçon de 18 ans. La scène, filmée par la caméra d'un téléphone portable, fait le tour de la planète via Internet. L'annonce et la diffusion de ce viol collectif par des soldats onusiens ont soulevé l'indignation de beaucoup de parents et de jeunes. Une manifestation de protestation a été organisée devant les locaux abritant ce bataillon de soldats uruguayens, pour demander justice et réparation.
Ce viol entre dans une longue liste d'exactions, d'actes crapuleux commis par les soldats onusiens. Sachant qu'ils vivent dans le pays le plus pauvre d'Amérique, ces soldats, grassement rémunérés par rapport à l'ensemble de la population, n'ont pas cessé de se livrer à des activités plus répréhensibles les unes que les autres depuis leur installation en 2004, pour une énième mission de stabilisation du pays : prostitution, trafics en tout genre, viols, sans compter celles qui ne sont pas rendues publiques, sécurité d'État oblige. L'introduction du choléra par un contingent népalais de la Minustah a déjà occasionné la mort de plus de 5 000 personnes et plus de 20 000 hospitalisations.
À nouveau des voix s'élèvent pour demander le renvoi pur et simple de ces soldats. Le nouveau président d'Haïti, Michel Martelly, en avait fait son cheval de bataille lors des dernières campagnes électorales. Mais depuis, il s'est assagi. Il a sans doute compris que la seule force armée crédible pour protéger son nouveau pouvoir, la propriété privée de la bourgeoisie, des grands propriétaires, des nantis, reste la Minustah.
Il avait maintes fois promis de remettre d'autres soldats en selle, cette fois des Haïtiens, à travers la remise sur pied des Forces armées d'Haïti, mais ce projet risque de prendre du temps pour voir le jour, vu son coût. La police haïtienne, en sous-effectif, mal entraînée, gangrenée par la corruption et dont beaucoup de membres sont mêlés au trafic de stupéfiants et au grand banditisme, est largement discréditée. La bourgeoisie haïtienne et ses tuteurs internationaux ne veulent pas prendre de risques en confiant la tâche de la protection de leurs intérêts à une bande d'indisciplinés, de corrompus, qui ne sont forts que devant une population non organisée, découragée.
Viols, corruption, épidémies, c'est le prix que doit payer la population pour le maintien de cette force armée dont le seul objectif est le maintien du système d'exploitation capitaliste. »
http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2253&id=39
« Cinq soldats uruguayens cantonnés dans le sud du pays, à Port-Salut, ont violé un jeune garçon de 18 ans. La scène, filmée par la caméra d'un téléphone portable, fait le tour de la planète via Internet. L'annonce et la diffusion de ce viol collectif par des soldats onusiens ont soulevé l'indignation de beaucoup de parents et de jeunes. Une manifestation de protestation a été organisée devant les locaux abritant ce bataillon de soldats uruguayens, pour demander justice et réparation.
Ce viol entre dans une longue liste d'exactions, d'actes crapuleux commis par les soldats onusiens. Sachant qu'ils vivent dans le pays le plus pauvre d'Amérique, ces soldats, grassement rémunérés par rapport à l'ensemble de la population, n'ont pas cessé de se livrer à des activités plus répréhensibles les unes que les autres depuis leur installation en 2004, pour une énième mission de stabilisation du pays : prostitution, trafics en tout genre, viols, sans compter celles qui ne sont pas rendues publiques, sécurité d'État oblige. L'introduction du choléra par un contingent népalais de la Minustah a déjà occasionné la mort de plus de 5 000 personnes et plus de 20 000 hospitalisations.
À nouveau des voix s'élèvent pour demander le renvoi pur et simple de ces soldats. Le nouveau président d'Haïti, Michel Martelly, en avait fait son cheval de bataille lors des dernières campagnes électorales. Mais depuis, il s'est assagi. Il a sans doute compris que la seule force armée crédible pour protéger son nouveau pouvoir, la propriété privée de la bourgeoisie, des grands propriétaires, des nantis, reste la Minustah.
Il avait maintes fois promis de remettre d'autres soldats en selle, cette fois des Haïtiens, à travers la remise sur pied des Forces armées d'Haïti, mais ce projet risque de prendre du temps pour voir le jour, vu son coût. La police haïtienne, en sous-effectif, mal entraînée, gangrenée par la corruption et dont beaucoup de membres sont mêlés au trafic de stupéfiants et au grand banditisme, est largement discréditée. La bourgeoisie haïtienne et ses tuteurs internationaux ne veulent pas prendre de risques en confiant la tâche de la protection de leurs intérêts à une bande d'indisciplinés, de corrompus, qui ne sont forts que devant une population non organisée, découragée.
Viols, corruption, épidémies, c'est le prix que doit payer la population pour le maintien de cette force armée dont le seul objectif est le maintien du système d'exploitation capitaliste. »
http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2253&id=39
Le Président d'Haïti aurai-t-il un fils en république dominicaine complètement illettré?
"Ce que je veux , c'est un père biologique, des papiers pour pouvoir etudier et être quelqu'un dans la vie", soutient le jeune Patric Alfredo Martelly Garó qui ne sait ni lire ni écrire.
Ce dernier voudrait que le chef de l'Etat fasse le test d'ADN pour pouvoir confirmer les dires de sa defunte mère, Magdalena Garó de nationalité dominicaine.
Le jeune Patric Alfredo Martelly Garó est aujourd'hui âgé de 21 ans serait un fils que le président Martelly n'a pas reconnu. Il serait né d'une liaison entre Michel Martelly et d'une jeune dominicaine, décédée peu apres avoir enmené son fils, agé de 5 ans, en République Dominicaine.
Selon La Republica, une section du quotidien Listin Diario, peu apres le décès de la mère du petit Martelly, une femme nommée Marie Gué et qui serait une amie du musicien, est arrivée en République Dominicaine pour rechercher l'enfant.
Patric Alfredo Martelly Garo aurait en sa possession un document d'identification ou il est memtionné qu'il est né en Haiti le 9 février 1990, de père musicien et que son nom de famille est Martelly.
http://www.haitienmarche.com/lestoutesdernieres.php?id=1317763848
Commentaires:
Eh alors!
Maintenant on veut tomber dans l'eugenisme dans la politique. On est un peu trop inspiré du puritanisme américain. Pourquoi ce jeune homme ne se manifeste que maintenant tandis que cela fait des années que Michel Martelly est sur la scène publique?
Ce dernier voudrait que le chef de l'Etat fasse le test d'ADN pour pouvoir confirmer les dires de sa defunte mère, Magdalena Garó de nationalité dominicaine.
Le jeune Patric Alfredo Martelly Garó est aujourd'hui âgé de 21 ans serait un fils que le président Martelly n'a pas reconnu. Il serait né d'une liaison entre Michel Martelly et d'une jeune dominicaine, décédée peu apres avoir enmené son fils, agé de 5 ans, en République Dominicaine.
Selon La Republica, une section du quotidien Listin Diario, peu apres le décès de la mère du petit Martelly, une femme nommée Marie Gué et qui serait une amie du musicien, est arrivée en République Dominicaine pour rechercher l'enfant.
Patric Alfredo Martelly Garo aurait en sa possession un document d'identification ou il est memtionné qu'il est né en Haiti le 9 février 1990, de père musicien et que son nom de famille est Martelly.
http://www.haitienmarche.com/lestoutesdernieres.php?id=1317763848
Commentaires:
Eh alors!
Maintenant on veut tomber dans l'eugenisme dans la politique. On est un peu trop inspiré du puritanisme américain. Pourquoi ce jeune homme ne se manifeste que maintenant tandis que cela fait des années que Michel Martelly est sur la scène publique?
Selon le procureur (uruguayen), « on maintient caché » le jeune haïtien (vicitme du viol présumé par des casques bleus!)
Fernandez Dovat a dit au journal El Observador que l’on n’arrive pas à mettre la main sur le jeune et ceci a provoqué la suspension des investigations. Le Procureur Eduard Fernandez Dovat a signalé à El Observador ques les investigations de l’abus présumé d’un jeune haïtien sont bloquées du fait que jusqu’à présent la victime n’a pas pu encore être localisée.
Fernandez Dovat a indiqué que la mission de localiser Johnny Jean, le jeune haïtien, a été confiée aux Nations Unies, mais on n’a pas eu de nouvelles sur sa localisation, pour cette raison la justice uruguayenne ne peut pas obtenir sa déclaration.
Le procureur a signalé que selon lui, les avocats qui conseillent le jeune homme » le gardent caché et ne le laisse pas faire une déclaration ».
Les déclarations de Jean sont indispensables pour continuer l’investigation. Jusqu’à ce que le jeune ne fasse sa déclaration, on ne pourra pas interroger à nouveau les cinq marines accusés d’abus sexuel, malgré les nouveaux éléments qui ont vu le jour ces derniers jours.
En outre, la deuxième vidéo du jeune qui présente le jeune qui exige 5.000.000 de dollars d’indemnisation, ce vendredi le journal La Republica a informé de l’existence d’un mail que l’avocat défenseur du jeune aurait envoyé au Ministère de la Défense et a un des journaux de la Capitale, lançant un ultimatum de 14 jours pour recevoir la somme et faire silence sur l’affaire.
Fernandez Dovat a avancé qu’il demandera au journal en question que celui-ci l’informe sur le mail et qu’en plus il fera la sollicitude au juge chargé de l’affaire de l’inclure dans l’investigation menée par la Justice.
http://www.elobservador.com.uy/noticia/210304/para-el-fiscal-al-joven-haitiano-lo-tienen-escondido-/
Fernandez Dovat a indiqué que la mission de localiser Johnny Jean, le jeune haïtien, a été confiée aux Nations Unies, mais on n’a pas eu de nouvelles sur sa localisation, pour cette raison la justice uruguayenne ne peut pas obtenir sa déclaration.
Le procureur a signalé que selon lui, les avocats qui conseillent le jeune homme » le gardent caché et ne le laisse pas faire une déclaration ».
Les déclarations de Jean sont indispensables pour continuer l’investigation. Jusqu’à ce que le jeune ne fasse sa déclaration, on ne pourra pas interroger à nouveau les cinq marines accusés d’abus sexuel, malgré les nouveaux éléments qui ont vu le jour ces derniers jours.
En outre, la deuxième vidéo du jeune qui présente le jeune qui exige 5.000.000 de dollars d’indemnisation, ce vendredi le journal La Republica a informé de l’existence d’un mail que l’avocat défenseur du jeune aurait envoyé au Ministère de la Défense et a un des journaux de la Capitale, lançant un ultimatum de 14 jours pour recevoir la somme et faire silence sur l’affaire.
Fernandez Dovat a avancé qu’il demandera au journal en question que celui-ci l’informe sur le mail et qu’en plus il fera la sollicitude au juge chargé de l’affaire de l’inclure dans l’investigation menée par la Justice.
http://www.elobservador.com.uy/noticia/210304/para-el-fiscal-al-joven-haitiano-lo-tienen-escondido-/
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