Des représentants de la communauté internationale saluent la publication de l'arrêté présidentiel confirmant le 19 avril pour la tenue des élections sénatoriales.
Les ambassadeurs américains et français, Janet Ann Sanderson et Christian Connan, estiment que la publication de l'arrêté confirme le lancement officiel de la machine électorale.
Le diplomate français croit que si les élections avaient eu lieu plutôt le pays aurait peut être évité la crise qui a suivi le départ du Premier ministre Alexis. En ce qui concerne les ressources financières, Christian Connan confirme que les fonds promis par la communauté internationale sont disponibles depuis plusieurs mois. " Tout le monde a envie que ces élections soient crédibles lance le diplomate français rappelant que les scrutins de 2006 avaient été honnêtes et crédibles.
De son coté le représentant de l'Union Européenne, Francesco Gossetti, juge qu'il est temps pour le pays d'organiser ces élections. " La publication de l'arrêté est une excellente nouvelle", argue M. Gossetti qui fait remarquer que la communauté internationale a contribué à concrétiser le processus électoral..
Selon Francesco Gossetti les trois principaux partenaires d'Haïti, Les Etats-Unis, le Canada e l'Union Européenne, s'appliquent à réaliser les étapes techniques pour concrétiser les fonds. Rappelant que l'organisation des sénatoriales coûtera 16 millions de dollars, M. Gossetti se réjouit de la contribution du Trésor Public haïtien à hauteur de 5 millions de dollars.Le représentant de l'UE invite les partis politiques, le CEP et le gouvernement à jouer leur partition pour que ces élections soient crédibles. " Une bonne collaboration entre le CEP, les partis, le gouvernement et les bailleurs de fonds est indispensable ", assure t-il. http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14602
Le commentaire de HRV :
Nous demeurons persuadés qu’il y a quelque chose qui cloche dans cette histoire. Nous avons du mal à le comprendre. C’est sans doute de la politique de haut vol. Mais on ne veut pas faire l’effort de descendre le débat et les explications à notre niveau pour que nous puissions comprendre et applaudir l’excellent apport des amis d’Haïti.
Au moins que l’on nous explique pourquoi l’élection de dix sénateurs coûte 16.000.000 de dollars ?
Pourquoi est-il plus facile dans le cas d’Haïti de débourser des sous pour des élections de sénateurs de la République que pour donner à bouffer à des gens qui pour survivre bouffent des galettes de boue ?
Pourquoi on ne fait pas une seule élection générale comme dans beaucoup de démocratie fonctionnelle du monde ?
Il est vrai que la tronche de ces ambassadeurs ne nous inspire rien de bon car nous avons du mal à trouver ce qui se cache derrière leurs « élans démocratisants déraisonnés » !
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
samedi 10 janvier 2009
30 Morts au Pérou..15 au Costa Rica..Accident de la route et tremblement de terre
Perou : AU moins trente mort dans un accident d’autocar
Lima, (AP).- Au moins 30 personas ont péri et 20 résultèrent blessés samedi après la chute d’un autocar dans un abime sur une autoroute de la sierra nord de Perou, a informé la police.
Le capitaine Cotillo, chef de la Policía de routes de Huambo, a déclaré sur les ondes de à travers l’émission Radioprogramas que l’accident est survenu à l’aube due à la présence d’un épais brouillard qui se trouvait dans la zone de La Granja, dans la province de Chota, departament de Cajamarca, a 680 kilomètres au Nord –ouest de Lima.
Il a signalé que jusqu’à présent 30 morts ont été dénombrés, entre eux, six enfants, trois filles et trois garçons.
L’accident s’est produit à dix minutes de l’arrivée à destination le conglomérat de Querocoto
http://www.hoy.com.do/el-mundo/2009/1/10/262253/Peru-Mueren-al-menos-30-personas-en-accidente-de-autobus
---------------
Déjà 15 morts suite au tremblement de terre au Costa Rica.
La Croix Rouge estime a mil, le nombre de personnes attrapés dans des foyers et dans des véhicules
SAN JOSE. AFP.- Un total de 15 morts, 42 disparus et des dizaines de blessés est le bilan du tremblement de terre de 6.2 qui a secoué le Costa Rica jeudi dernier selon le dernier bilan de la Commission Nationale d’Urgence divulgué ce vendredi soir.
L’organisme a informé que 15 victimes mortelles ont été confirmées, dont les corps ont été retrouvés au fur et à mesure de l’avancement des secours vers les zones non accessibles par voies terrestres dans le voisinage du Volcan Poas ou se trouvait l’épicentre du séisme, à 50 kilomètres au Nord de San José. De son côté, la Croix Rouge de locale a estimé à 42 le nombre de disparus, les autorités ont donc bien peur que le nombre de morts soit revu à la hausse.
La Croix Rouge a estimé a 1.000 le nombre de personne prisonnières dans des véhicules, autocars ou foyers dans les communautés les plus affectées, ou ils se sont produits des centaines d’effondrements de grande magnitude. En outre, un total de 38 blessés a été transféré en hélicoptères vers des centres hospitaliers.
Des milliers sans eau.- Le tremblement de terre à cause de graves dégâts au niveau de la structure d’une usine hydroélectrique et au niveau d’aqueducs ruraux, 30.000 personnes se retrouvent donc sans eau potable. Le président de l’Institut costaricain de l’Electricité a informé qu’un coulée de boue a inondé les quatre moteurs de l’usine hydroélectrique Cariblanco, proche de la zone de l’épicentre du séisme ce qui a engendré des dégâts au niveau des générateurs d’énergie.
Des calculs préliminaires di IEC signalent que le CariBlanco restera hors d’usage pour un an.
http://www.hoy.com.do/el-mundo/2009/1/9/262200/Suman-15-muertos-terremoto-CR
Lima, (AP).- Au moins 30 personas ont péri et 20 résultèrent blessés samedi après la chute d’un autocar dans un abime sur une autoroute de la sierra nord de Perou, a informé la police.
Le capitaine Cotillo, chef de la Policía de routes de Huambo, a déclaré sur les ondes de à travers l’émission Radioprogramas que l’accident est survenu à l’aube due à la présence d’un épais brouillard qui se trouvait dans la zone de La Granja, dans la province de Chota, departament de Cajamarca, a 680 kilomètres au Nord –ouest de Lima.
Il a signalé que jusqu’à présent 30 morts ont été dénombrés, entre eux, six enfants, trois filles et trois garçons.
L’accident s’est produit à dix minutes de l’arrivée à destination le conglomérat de Querocoto
http://www.hoy.com.do/el-mundo/2009/1/10/262253/Peru-Mueren-al-menos-30-personas-en-accidente-de-autobus
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Déjà 15 morts suite au tremblement de terre au Costa Rica.
La Croix Rouge estime a mil, le nombre de personnes attrapés dans des foyers et dans des véhicules
SAN JOSE. AFP.- Un total de 15 morts, 42 disparus et des dizaines de blessés est le bilan du tremblement de terre de 6.2 qui a secoué le Costa Rica jeudi dernier selon le dernier bilan de la Commission Nationale d’Urgence divulgué ce vendredi soir.
L’organisme a informé que 15 victimes mortelles ont été confirmées, dont les corps ont été retrouvés au fur et à mesure de l’avancement des secours vers les zones non accessibles par voies terrestres dans le voisinage du Volcan Poas ou se trouvait l’épicentre du séisme, à 50 kilomètres au Nord de San José. De son côté, la Croix Rouge de locale a estimé à 42 le nombre de disparus, les autorités ont donc bien peur que le nombre de morts soit revu à la hausse.
La Croix Rouge a estimé a 1.000 le nombre de personne prisonnières dans des véhicules, autocars ou foyers dans les communautés les plus affectées, ou ils se sont produits des centaines d’effondrements de grande magnitude. En outre, un total de 38 blessés a été transféré en hélicoptères vers des centres hospitaliers.
Des milliers sans eau.- Le tremblement de terre à cause de graves dégâts au niveau de la structure d’une usine hydroélectrique et au niveau d’aqueducs ruraux, 30.000 personnes se retrouvent donc sans eau potable. Le président de l’Institut costaricain de l’Electricité a informé qu’un coulée de boue a inondé les quatre moteurs de l’usine hydroélectrique Cariblanco, proche de la zone de l’épicentre du séisme ce qui a engendré des dégâts au niveau des générateurs d’énergie.
Des calculs préliminaires di IEC signalent que le CariBlanco restera hors d’usage pour un an.
http://www.hoy.com.do/el-mundo/2009/1/9/262200/Suman-15-muertos-terremoto-CR
Une fillette haïtienne de 4 ans violée et assassinée a Jayao, République Dominicaine
Auteur Ruddy Dotel / El Caribe Sabado 10 de enero del 2009
Traduction DL pour HRV
Bonao. Une fillette de 4 ans d’origine haïtienne a été violée et assassinée par des inconnus dans le district municipal de Jayaco, de la Province de Monseñor Nouel. Sur les lieux ou gisait le cadavre de la fillette Loisa Alexa Alexander ont été retrouvés un pantalon court, une culotte de couleur bleue et une chemise qu’elle portait.
En rapport avec ce crime, sept personnes ont été places en détention, parmi elles se trouvent l’haïtien Yoly Chalo âgé de 40 ans, qui a été appréhendé par une multitude qui l’a agressé et lui a porté des coups à la tête et à la face, il se trouve admis et reçoit des oins à l’hôpital local Pedro Emilio de Marchena.
La mineure selon la police était portée disparue depuis jeudi dernier et a été retrouvée morte dans une flaque d’eau de la rivière Cañabón de cette localité.
Le médecin légiste qui a procédé à l’examen du cadavre a certifié la présence de lacérations péri-vaginales avec déchirures.
LE cadavre de Alexander a été envoyé à l’instituto de ciencias forenses de la ville de Santiago pour les fins légales correspondantes.
http://www.elcaribecdn.com.do/articulo_caribe.aspx?id=199905&guid=BF4517DF89FB491EB688878889C505D9&Seccion=3
Traduction DL pour HRV
Bonao. Une fillette de 4 ans d’origine haïtienne a été violée et assassinée par des inconnus dans le district municipal de Jayaco, de la Province de Monseñor Nouel. Sur les lieux ou gisait le cadavre de la fillette Loisa Alexa Alexander ont été retrouvés un pantalon court, une culotte de couleur bleue et une chemise qu’elle portait.
En rapport avec ce crime, sept personnes ont été places en détention, parmi elles se trouvent l’haïtien Yoly Chalo âgé de 40 ans, qui a été appréhendé par une multitude qui l’a agressé et lui a porté des coups à la tête et à la face, il se trouve admis et reçoit des oins à l’hôpital local Pedro Emilio de Marchena.
La mineure selon la police était portée disparue depuis jeudi dernier et a été retrouvée morte dans une flaque d’eau de la rivière Cañabón de cette localité.
Le médecin légiste qui a procédé à l’examen du cadavre a certifié la présence de lacérations péri-vaginales avec déchirures.
LE cadavre de Alexander a été envoyé à l’instituto de ciencias forenses de la ville de Santiago pour les fins légales correspondantes.
http://www.elcaribecdn.com.do/articulo_caribe.aspx?id=199905&guid=BF4517DF89FB491EB688878889C505D9&Seccion=3
80 citoyens haïtiens déportés de la République Dominicaine.
Auteur: T.BONILLA El Nacional
Traduction DL pour HRV
Plus de 80 citoyens haïtiens sans papiers ont été rapatriés hier par la Quatrième Brigade de l’Armée qui les a détenus dans des quartiers et communautés rurales de la province de Valverde.Le général Rubén Darío Paulino Sem, commandant de l’Armée dans le Nord-Est a déclaré que cette institutions réalise ces opérations tous les jours pour arrêter les haïtiens sans papiers qui déambulent dans les rues pour les renvoyer vers leurs pays d’origine.
Les étrangers rapatriés ne portaient aucun document au moment de leur détention. Le général Rubén Darío Paulino Sem admet que les militaires qui sont sous son commandement arrêtent tous les jours des haïtiens sans papiers qui sont remis au autorités d’u bureau de Migration qui procèdent a leur déportation vers leur pays.
Il expliqua que les soldats qui participent à ces opérations ne portent pas d’armes de guerre pour éviter des traitements abusifs contre les sans papiers.
« Ce que nous voulons, c’est éviter que les haïtiens perpètrent des délits dans notre pays, mais les militaires le font en respectant leur intégrité physique et les droits humains », a-t-il ajouté.
Le general Paulino Sem a signalé que les haïtiens qui travaillent dans des exploitations agricoles ne sont pas embêtés parce qu’ils sont sensés posséder un certain document ou ils ont au moins un emploi.
http://www.elnacional.com.do/nacional/2009/1/9/4208/Repatrian-mas-80-haitianos-por-frontera
Traduction DL pour HRV
Plus de 80 citoyens haïtiens sans papiers ont été rapatriés hier par la Quatrième Brigade de l’Armée qui les a détenus dans des quartiers et communautés rurales de la province de Valverde.Le général Rubén Darío Paulino Sem, commandant de l’Armée dans le Nord-Est a déclaré que cette institutions réalise ces opérations tous les jours pour arrêter les haïtiens sans papiers qui déambulent dans les rues pour les renvoyer vers leurs pays d’origine.
Les étrangers rapatriés ne portaient aucun document au moment de leur détention. Le général Rubén Darío Paulino Sem admet que les militaires qui sont sous son commandement arrêtent tous les jours des haïtiens sans papiers qui sont remis au autorités d’u bureau de Migration qui procèdent a leur déportation vers leur pays.
Il expliqua que les soldats qui participent à ces opérations ne portent pas d’armes de guerre pour éviter des traitements abusifs contre les sans papiers.
« Ce que nous voulons, c’est éviter que les haïtiens perpètrent des délits dans notre pays, mais les militaires le font en respectant leur intégrité physique et les droits humains », a-t-il ajouté.
Le general Paulino Sem a signalé que les haïtiens qui travaillent dans des exploitations agricoles ne sont pas embêtés parce qu’ils sont sensés posséder un certain document ou ils ont au moins un emploi.
http://www.elnacional.com.do/nacional/2009/1/9/4208/Repatrian-mas-80-haitianos-por-frontera
Les Haïtiens de la frontière : une bombe à retardement
Le gouvernement doit tourner les yeux vers la frontière et créer les conditions pour la protéger
Auteur: ADALBERTO DE LA ROSA (a.rosa@hoy.com.do)
Traduction DL pour HRV
Des députés de Elias Piñas, Pedernales et Indenpendencia ont mis en garde hier sur la présence massive de la population haïtienne et sur la situation que génère la contrebande d’armes et de drogues Agne Berenice Contreras, Manuel Alberto Sánchez et Pablo Inocencio Santana ont reconnu que la frontière représente une bombe à retardement devant la présence excessive de citoyens haïtiens qui vivent du côté dominicain et à cause de l’augmentation de la pauvreté, le trafic de drogues, d’armes et de personnes. Ils ont indiqué que l’insécurité au niveau de la région frontalière est un fléau qui devient de plus en plus fort et attribuent cette situation au manque de politiques migratoires et de développement mis en œuvre par les autorités nationales
Les députés des communautés frontalières ont coïncidé en affirmant qu’aucun des gouvernements antérieurs, s’est intéressé à la situation de la frontière.
Agne Berenice Contreras, députés du Parti Réformiste pour la province d’Elias Piñas raconte que la migration illégale par la frontière ne concerne pas que des citoyens haïtiens mais aussi d’autres étrangers qui traversent la frontière sans contrôles majeurs.
Elle a fait remarqué qu’à Elias Piñas la majeure parti du travail agricole est réalisée par des citoyens haïtiens qui vivent dans les communautés éloignées en configurant des conglomérats sans contrôle ce qui favorise la résurgence de certaines maladies qui avaient disparu comme le paludisme.
« Si jamais un conflit belliqueux se produit entre Haïti et Le pays, on ne sait as ce qui se passera parce que en plus de la présence des haïtiens de la frontière, beaucoup de membres des Forces Armées Dominicaines sont d’origine haïtienne et tu t’imagines au moment de se décider pour une nation pour qui ils vont le faire ? »
Sur la frontière du côté de Pédernales la situation est similaire et comme le dit le député issu du parti PRD, Manuel Alberto Sánchez (Babeto) dans des communautés comme Juancho, La Colonia et le chef lieu de la province de Pedernales on ne sait pas s’il ya plus d’haïtiens que de dominicains.
Il a informé qu’à Pedernales sur cinq poste de travail dans le secteur de la construction ou de l’agriculture, quatre sont réalisés par des haïtiens qui sont préférés aux dominicains parce qu’ils sont moins bien payés.
Il expliqua que le peu qui rentre donc à Pedernales que ce soit en matière d’alimentation ou de soins de santé ou n’importe quoi, il doit être nécessairement partagé avec les haïtiens.
« Il arrive qu’il n’y a pas de politiques de contrôle migratoire, au niveau de la frontière tout rentre des personnes, des armes, de la drogue et des produits alimentaires, mais les militaires ne peuvent pas faire grand-chose car la frontière est étendue sur plus de 300 kilomètres ».
Pablo Inocencio Santana, député de la province de Independencia, a dit que par Jimaní la migration des haïtiens est constante et que beaucoup arrivent à traverser, mais ils ne restent pas dans la région mais ils se déplacent vers d’autres région. Il a assuré que par ces sites traverse tout et même ce que l’on n’aurait jamais imaginé.
Il fait ressortir le fait que beaucoup d’haïtiens passent la frontière en famille de 15 ou 20 sans être contrôlés.
Le législateur du partir de la Libération Dominicaine a dit que la situation es la responsabilité de tous les gouvernements, y compris celui de son parti. ». Les contrôles sont établis, mais il est difficile de les appliquer car il s’agit d’une frontière étendue sur 300 kilomètres. La Responsabilité appartient certes à l’Etat mais aussi à tous les secteurs de la vie nationale », a déclaré le législateur du parti au pouvoir.
Evènements de 2008.
Durant l’année écoulée il a eu des situations conflictuelles entre citoyens dominicains et haïtiens dans différentes régions du pays, des situations qui ont laissé des victimes humaines des deux nationalités et des destructions de maisons.
Affrontements :
Le 17 février 2008, le marché binational avec Haïti se trouve affecté par le kidnapping de deux dominicains par des citoyens haïtiens et le 28 mars, 120 haïtiens provoque une mutinerie à Santiago pour résister à une déportation et essaient de prendre en otage à des militaires dominicains. En octobre un haïtien tue un dominicain à Guayubin et les habitants réagissent en brulant les logements et les propriétés des étrangers. Le 27 octobre des haïtiens sont tués à Neyba dans des actions de vengeance pour l’assassinat d’un dominicain par un haïtien qui a essayé de le braquer.
Immigration et sécurité nationale
La préoccupation pour la sécurité nationale est un sujet latent parmi les habitants des provinces de la frontière devant la présence massive de citoyens haïtiens selon les législateurs Ange Berenice Contreras, Manuel Alberto Sánchez et Pablo Inocencio Santana.
Sanchez affirme que dans la tête de beaucoup d’haïtiens il y a l’idée qui voudrait qu’une partie de la République Dominicaine appartient leur appartient. Agne Berenice demande une dépuration des forces Armées à cause du nombre de descendants haïtiens enrôlés.
La concentration de conglomérats haïtiens sans contrôle et le déplacement de la main d’œuvre créole est un autre problème qui mérite l’attention des autorités, selon Santana.
Les trois législateurs, représentants de partis politiques différents coïncident sur le fait que le gouvernement doit faire orienter son regard vers la frontière et créer les conditions pour la protéger, mais aussi la développer moyennant des investissements qui permettent d’améliorer les conditions de vie des gens
http://www.hoy.com.do/el-pais/2009/1/10/262248/Haitianos-en-la-frontera-una-bomba-de-tiempo
Le commentaire de HRV :
Nous n’irons pas jusqu’à dire que ce journal « aime bien » les sujets qui font intervenir les relations Dominico-haïtiennes. Les lecteurs en raffolent cependant. Ce sont les thèmes les plus commentés.
En matière de problématique migratoire chaque nation a le droit de légiférer comme bon lui semble. Notre observation se limite au respect de la dignité de l’homme. Comme on dit chez nous « se sot ki bay, se enbesil kip a pran ».
Cependant il est triste de voir comment les politiciens dominicains s’embourbent dans des raisonnements « irraisonnés » quand il s’agit d’aborder la question.
Nous avons reconnu par exemple l’école réformiste, chez la députée d’Elias Piñas qui n’hésite pas a évoquer l’hypothèse d’une confrontation armée. Le député du PRD ne fait pas honneur à un certain Docteur Francisco Peña Gomez en se plaignant du fait que tout ce qui rentre à Pedernales doit être partagé avec des haïtiens après avoir reconnu lui-même que 4 emplois sur cinq étaient occupés par des haïtiens. Donc les haïtiens contribuent au développement et à la production de richesses de la zone. Donc c’est tout à fait normal qu’ils bénéficient des soins de santé et de tout ce qui existe aussi.
Mais bon.. Ce sujet est aussi vieux que la guerre entre palestiniens et israélites.
Auteur: ADALBERTO DE LA ROSA (a.rosa@hoy.com.do)
Traduction DL pour HRV
Des députés de Elias Piñas, Pedernales et Indenpendencia ont mis en garde hier sur la présence massive de la population haïtienne et sur la situation que génère la contrebande d’armes et de drogues Agne Berenice Contreras, Manuel Alberto Sánchez et Pablo Inocencio Santana ont reconnu que la frontière représente une bombe à retardement devant la présence excessive de citoyens haïtiens qui vivent du côté dominicain et à cause de l’augmentation de la pauvreté, le trafic de drogues, d’armes et de personnes. Ils ont indiqué que l’insécurité au niveau de la région frontalière est un fléau qui devient de plus en plus fort et attribuent cette situation au manque de politiques migratoires et de développement mis en œuvre par les autorités nationales
Les députés des communautés frontalières ont coïncidé en affirmant qu’aucun des gouvernements antérieurs, s’est intéressé à la situation de la frontière.
Agne Berenice Contreras, députés du Parti Réformiste pour la province d’Elias Piñas raconte que la migration illégale par la frontière ne concerne pas que des citoyens haïtiens mais aussi d’autres étrangers qui traversent la frontière sans contrôles majeurs.
Elle a fait remarqué qu’à Elias Piñas la majeure parti du travail agricole est réalisée par des citoyens haïtiens qui vivent dans les communautés éloignées en configurant des conglomérats sans contrôle ce qui favorise la résurgence de certaines maladies qui avaient disparu comme le paludisme.
« Si jamais un conflit belliqueux se produit entre Haïti et Le pays, on ne sait as ce qui se passera parce que en plus de la présence des haïtiens de la frontière, beaucoup de membres des Forces Armées Dominicaines sont d’origine haïtienne et tu t’imagines au moment de se décider pour une nation pour qui ils vont le faire ? »
Sur la frontière du côté de Pédernales la situation est similaire et comme le dit le député issu du parti PRD, Manuel Alberto Sánchez (Babeto) dans des communautés comme Juancho, La Colonia et le chef lieu de la province de Pedernales on ne sait pas s’il ya plus d’haïtiens que de dominicains.
Il a informé qu’à Pedernales sur cinq poste de travail dans le secteur de la construction ou de l’agriculture, quatre sont réalisés par des haïtiens qui sont préférés aux dominicains parce qu’ils sont moins bien payés.
Il expliqua que le peu qui rentre donc à Pedernales que ce soit en matière d’alimentation ou de soins de santé ou n’importe quoi, il doit être nécessairement partagé avec les haïtiens.
« Il arrive qu’il n’y a pas de politiques de contrôle migratoire, au niveau de la frontière tout rentre des personnes, des armes, de la drogue et des produits alimentaires, mais les militaires ne peuvent pas faire grand-chose car la frontière est étendue sur plus de 300 kilomètres ».
Pablo Inocencio Santana, député de la province de Independencia, a dit que par Jimaní la migration des haïtiens est constante et que beaucoup arrivent à traverser, mais ils ne restent pas dans la région mais ils se déplacent vers d’autres région. Il a assuré que par ces sites traverse tout et même ce que l’on n’aurait jamais imaginé.
Il fait ressortir le fait que beaucoup d’haïtiens passent la frontière en famille de 15 ou 20 sans être contrôlés.
Le législateur du partir de la Libération Dominicaine a dit que la situation es la responsabilité de tous les gouvernements, y compris celui de son parti. ». Les contrôles sont établis, mais il est difficile de les appliquer car il s’agit d’une frontière étendue sur 300 kilomètres. La Responsabilité appartient certes à l’Etat mais aussi à tous les secteurs de la vie nationale », a déclaré le législateur du parti au pouvoir.
Evènements de 2008.
Durant l’année écoulée il a eu des situations conflictuelles entre citoyens dominicains et haïtiens dans différentes régions du pays, des situations qui ont laissé des victimes humaines des deux nationalités et des destructions de maisons.
Affrontements :
Le 17 février 2008, le marché binational avec Haïti se trouve affecté par le kidnapping de deux dominicains par des citoyens haïtiens et le 28 mars, 120 haïtiens provoque une mutinerie à Santiago pour résister à une déportation et essaient de prendre en otage à des militaires dominicains. En octobre un haïtien tue un dominicain à Guayubin et les habitants réagissent en brulant les logements et les propriétés des étrangers. Le 27 octobre des haïtiens sont tués à Neyba dans des actions de vengeance pour l’assassinat d’un dominicain par un haïtien qui a essayé de le braquer.
Immigration et sécurité nationale
La préoccupation pour la sécurité nationale est un sujet latent parmi les habitants des provinces de la frontière devant la présence massive de citoyens haïtiens selon les législateurs Ange Berenice Contreras, Manuel Alberto Sánchez et Pablo Inocencio Santana.
Sanchez affirme que dans la tête de beaucoup d’haïtiens il y a l’idée qui voudrait qu’une partie de la République Dominicaine appartient leur appartient. Agne Berenice demande une dépuration des forces Armées à cause du nombre de descendants haïtiens enrôlés.
La concentration de conglomérats haïtiens sans contrôle et le déplacement de la main d’œuvre créole est un autre problème qui mérite l’attention des autorités, selon Santana.
Les trois législateurs, représentants de partis politiques différents coïncident sur le fait que le gouvernement doit faire orienter son regard vers la frontière et créer les conditions pour la protéger, mais aussi la développer moyennant des investissements qui permettent d’améliorer les conditions de vie des gens
http://www.hoy.com.do/el-pais/2009/1/10/262248/Haitianos-en-la-frontera-una-bomba-de-tiempo
Le commentaire de HRV :
Nous n’irons pas jusqu’à dire que ce journal « aime bien » les sujets qui font intervenir les relations Dominico-haïtiennes. Les lecteurs en raffolent cependant. Ce sont les thèmes les plus commentés.
En matière de problématique migratoire chaque nation a le droit de légiférer comme bon lui semble. Notre observation se limite au respect de la dignité de l’homme. Comme on dit chez nous « se sot ki bay, se enbesil kip a pran ».
Cependant il est triste de voir comment les politiciens dominicains s’embourbent dans des raisonnements « irraisonnés » quand il s’agit d’aborder la question.
Nous avons reconnu par exemple l’école réformiste, chez la députée d’Elias Piñas qui n’hésite pas a évoquer l’hypothèse d’une confrontation armée. Le député du PRD ne fait pas honneur à un certain Docteur Francisco Peña Gomez en se plaignant du fait que tout ce qui rentre à Pedernales doit être partagé avec des haïtiens après avoir reconnu lui-même que 4 emplois sur cinq étaient occupés par des haïtiens. Donc les haïtiens contribuent au développement et à la production de richesses de la zone. Donc c’est tout à fait normal qu’ils bénéficient des soins de santé et de tout ce qui existe aussi.
Mais bon.. Ce sujet est aussi vieux que la guerre entre palestiniens et israélites.
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