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jeudi 31 mai 2007

Cineastas venezolanos cuestionan financiamiento de film de Danny Glover

La Asociación Nacional de Autores Cinematográficos y la Cámara Venezolana de Productores de Largometrajes cuestionaron la coproducción que realizará este país con el actor estadounidense Danny Glover, en una carta publicada el jueves.
La coproducción, un filme sobre el líder independentista haitiano Francois-Dominique Toussaint Louverture, tiene un presupuesto de 30 millones, y la Villa del Cine, adscrita al ministerio de la Cultura de Venezuela, aportará 18 millones de dólares.
"La cantidad que nuestro gobierno le acaba de asignar a su proyecto, de manera discrecional y secreta, serviría para financiar 36 películas venezolanas", dice la carta dirigida al actor de "Arma Mortal".
"Procedimientos como el utilizado por usted ante nuestro gobierno para financiar su proyecto son un precedente desmoralizante y poco formativo para las generaciones futuras del cine venezolano", dice el texto, que critica la falta de concurso en este caso.
Según los cineastas, el mensaje a los jóvenes sería "que no hay que concursar, no hay que competir, porque resulta más eficaz hacerse de favores políticos para realizar las películas".
Glover, presidente del Foro TransAfrica y quien debutará como director con este filme, ha apoyado al gobierno del presidente Hugo Chávez.
En su carta, los cineastas señalaron que "sin que se trate de resentimientos, es el Sr. Glover quien debería de traer dólares a Venezuela".
El ministro de Cultura de Venezuela, Francisco Sesto, defendió la coproducción con Glover, al asegurar que "los recursos asignados a este film se invertirán únicamente en Venezuela y no saldrán al exterior".
"De esta manera, generarán empleo y arrojarán una enorme experiencia al cine nacional", indicó en una carta pública.
El ministro afirmó además que "pensar que con esto se le está quitando dinero al cine nacional es necedad, pues estos recursos no salen del presupuesto ordinario, sino de un crédito adicional".
AFP

Une vingtaine d’arrestations lors d’une descente des forces de l’ordre aux Gonaïves

Des munitions, des véhicules et vraisemblablement de la cocaïne saisis chez Wilfort Ferdinand dit "Ti Will" et son compagnon d’armes Jerry Bien-Aimé
jeudi 31 mai 2007,
Radio Kiskeya
Une vingtaine d’individus ont été arrêtés et des munitions confisquées lors d’une descente militaro-policière mercredi dans le quartier populaire de Raboteau aux Gonaïves (171 km au nord de Port-au-Prince) où se trouve la base du chef de gang Wilfort Ferdinand dit "Ti Will", incarcéré depuis samedi.

Des policiers haïtiens et des soldats onusiens ont perquisitionné les résidences de Ti Will et de Jerry Bien-Aimé, un autre redoutable leader de "L’armée cannibale". Des chargeurs et munitions pour armes de différents calibres ont été retrouvés. Trois véhicules dont un immatriculé Service de l’Etat, des appareils photo, des téléphones cellulaires, une substance soupçonnée d’être de la drogue et une somme de 25.000 gourdes (environ 600 dollars) ont été également confisqués.
Les personnes arrêtées sont impliquées dans des activités de banditisme et doivent être déférées rapidement devant les autorités judiciaires compétentes, selon le nouveau commissaire de police des Gonaïves, Ernst Dorfeuille. Il accuse Ti Will et ses acolytes d’avoir entraîné des habitants de certains quartiers populaires dans la consommation de la drogue et la délinquance.


M. Dorfeuille assure que l’offensive lancée contre les gangs ne s’arrêtera pas.

Wilfort Ferdinand a été capturé samedi dernier dans une station de radio de la Cité de l’indépendance, au cours d’une opération très musclée qui avait fait un mort et plusieurs blessés. Il est accusé d’avoir tué, en octobre 2004, une fillete de six ans, Francesca Gabriel, un crime que l’intéressé avait reconnu avoir commis.

Ti Will a été l’un des principaux fers de lance de "L’armée cannibale", un puissant gang sponsorisé par Lavalas mais qui, pour se venger de l’assassinat de son chef Amiot Métayer dit "Cubain", en septembre 2003, avait déclenché une rébellion armée contre Jean-Bertrand Aristide. Parallèlement, dans le reste du pays, une opposition pacifique d’une grande diversité politique et sociale affrontait le Président Lavalas qui allait démissionner en février 2004 et s’exiler en Afrique avec ses proches. spp/RK
Source Radio Kiskeya sur http://www.radiokiskeya.com
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Des descentes inattendues dans les quartiers chauds, des check points élevés sans avertir dans différentes artères de la capitale et les grandes villes de province sont les activités qui doivent s'instaurer de façon normale et fréquentes dans l'agenda des forces de l'odre.
Ces actions provoqueront un double effet. Elles sauront rassurer la population et dissuader les bandits. Ne as les réaliser voudrait dire que le pays et la population sont livrés à la merci de gangs armés.

Le Conseil de sécurité de l’ONU renouvelle son soutien au gouvernement haïtien et à la MINUSTAH

Lors d’une séance de travail mercredi avec le chef civil de la force internationale de paix, Edmond Mulet, le Conseil a mis l’accent sur la réforme de la police et de la justice ainsi que la sécurité des prochaines élections sénatoriales
jeudi 31 mai 2007,
Radio Kiskeya
Le Conseil de sécurité de l’ONU a réitéré son "fort appui au gouvernement haïtien et à la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH) dans leurs efforts conjoints visant à maintenir la stabilité et à réaliser des progrès en Haïti", lors d’une rencontre mercredi après-midi avec le représentant spécial du Secrétaire général, Edmond Mulet.
Dans une déclaration rendue publique jeudi à New York, l’ambassadeur adjoint des Etats-Unis à l’ONU, Alejandro Wolff, dont le pays exerce au cours mois de mai la présidence tournante du Conseil de sécurité, souligne que le diplomate guatémaltèque a présenté un compte-rendu des récents développements enregistrés en Haïti. Après avoir entendu son exposé, les quinze membres de l’organe suprême des Nations Unies ont exprimé leur satisfaction face aux efforts entrepris actuellement par la MINUSTAH en vue d’appuyer la Police Nationale d’Haïti dans la "lutte contre la violence des gangs". Ils ont également salué les "initiatives visant à mettre en application le plan de réforme de la PNH, particulièrement le début du processus d’épuration et souhaité que des efforts supplémentaires soient déployés afin de faire avancer le processus de réforme du système judiciaire".
Le Conseil de sécurité s’est félicité du travail réalisé par la MINUSTAH qui a permis le bon déroulement du cycle des élections de 2006 et a appelé les casques bleus à apporter la sécurité et le soutien logistique nécessaires à l’organisation des sénatoriales prévues en automne prochain.
Un tiers des 30 sièges du Sénat doit être renouvelé tous les deux ans, selon la constitution haïtienne.
Les membres du Conseil de sécurité se déclarent, d’autre part, "déterminés à continuer à observer de près l’évolution de la situation et à travailler en étroite collaboration avec les autorités haïtiennes afin de "consolider les progrès réalisés et d’assurer un environnement stable capable de favoriser la gouvernance démocratique, la croissance économique et la distribution de l’aide humanitaire".
Avant d’arriver à New York, Edmond Mulet a effectué une visite au Canada -son pays d’origine- au cours de laquelle il n’a pas écarté une résurgence de la violence en Haïti en réaction à l’offensive annoncée du Président René Préval contre la corruption.
Successeur du chilien Juan Gabriel Valdés, l’ambassadeur guatémaltèque dirige depuis juin 2006 la mission onusienne qui compte environ 8.000 militaires et policiers internationaux. spp/RK

Source Radio Kiskeya sur http://www.radiokiskeya.com
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Du Je m'aime.. je m'adore!

ROUMAIN SOCIAL VOUS CONNAISSEZ ?

Nous aimons bien quand le hasard nous traîne sur ses sentiers battus ou nous arrivons à cueillir de ces perles d’espoir. Ce sont ces rencontres inédites et inattendues qui emplissent de satisfaction nos quêtes de l’inconnu et l’indicible. Et, pour nous mettre à la mode du temps nous répétons que ces idées et ces initiatives existent pour nous convaincre que HAITI ne mourra jamais.

Nous proposons cet article, magnifique dans son contenu, publié par Alterpresse à la considération de ceux-là qui par manque de temps sont devenus des lecteurs d’informations de deuxième, troisième voire quatrième main. Il peut éventuellement servir de source d’inspiration à ceux-là qui travaillent dans le monde associatif et se retrouvent à cours d’idées ou en quêtes de partenaires fiables.
L’association « Roumain social » revêt une importance de marque pendant les célébrations de l’année JACQUES ROUMAIN.

Pourquoi ne pas « joindre l’utile à l’agréable » en réalisant un buffet-débat autour de l’auteur de Gouverneurs de la rosée et que les fonds recueillis soient destinés et utilisés au profit des œuvres de cette association ?
Bonne Lecture à tous !

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Haiti : Faire vivre l’esprit de Jacques Roumain dans des activités sociales à Gros-Morne
jeudi 31 mai 2007
Depuis 7 ans, une association dénommée « Roumain Social » s’est lancée dans des activités humanitaires de solidarité avec les enfants démunis de Gros-Morne (Nord), pour leur permettre d’aller à l’école.
Mobilisant les cotisations des élèves du lycée Jacques Roumain de Gros-Morne, l’association a pu venir en aide à 400 enfants de 7 à 10 ans.
Aujourd’hui, « Roumain Social » recherche des appuis pour pouvoir mettre en place un Centre Educatif et Professionnel pour tous les enfants déshérités de Gros-Morne.
L’association a soumis la présentation/bilan suivante à AlterPresse.
Tout a commencé en 1999 à partir d’une idée du professeur de Chimie et de Biologie du lycée Jacques ROUMAIN, Monsieur Gaston JEAN. A la suite de plusieurs rencontres et réflexions avec la direction et les autres professeurs du lycée, ces derniers ont organisé une réunion le 8 mai de la même année rassemblant une trentaine d’élèves afin de donner naissance à l’Association « Roumain Social ».
Un comité de 9 membres, à raison d’un représentant par classe, est formé le même jour. Le Comité a nommé l’association « Roumain Social » parce qu’elle a vu le jour au sein du lycée qui porte le nom du romancier haïtien Jacques Roumain.
Cette association est créée dans le but d’encadrer les enfants généralement méprisés et délaissés (soit 400 âgés de 7 à 10 ans) dont les rues de la ville de Gros-Morne constituent leur unique espace vital.

Si personne ne s’occupe d’eux, ils risquent de sombrer dans la délinquance, ce qui représenterait un danger pour notre Communauté et notre pays. Il s’agit d’une démarche humanitaire, une action de solidarité avec ces futurs citoyens que sont les enfants. Les activités de « Roumain Social » sont supervisées par une autre association constituée d’anciens élèves du lycée (L’Amicale des Anciens Elèves).

Pour financer son programme, une entente a été trouvée entre la direction du Lycée et l’ensemble des élèves pour qu’ils cotisent 50 centimes de gourdes (environ un centime d’euro) chaque vendredi. Ce qui était loin de répondre aux besoins du programme d’autant plus que tous les élèves n’étaient pas disposés à cotiser. Ainsi, de 50 centimes hebdomadaires, la direction a proposé aux élèves volontaires d’apporter 25 gourdes par an (52 centimes d’euro) pour alimenter la caisse de l’association.

C’est ainsi qu’au début de l’année scolaire 1999-2000, le comité s’est réuni plusieurs fois avec les enfants intéressés par le programme de scolarisation et a pu financer la scolarité de 16 enfants des rues. Mais, l’action de « Roumain Social » ne s’arrête pas là.
Elle vient également en aide à des enfants qui ont été obligés d’arrêter l’école faute de moyens économiques, spécialement les orphelins.

Malgré les difficultés et incompréhensions rencontrées, l’association n’a pas cessé son programme. « Roumain Social » a un grand besoin du support de toutes les femmes et de tous les hommes de bonne volonté afin de poursuivre ses activités et atteindre son noble objectif qui est la réalisation d’un Centre Educatif et Professionnel pour tous les enfants déshérités.

BILAN DE 7 ANNEES D’ACTIVITES
Voici comment « Roumain Social » a utilisé l’argent des cotisations reçu à la direction du Lycée durant les 7 années écoulées (1999-2006) :
1-Année scolaire 1999-2000, « Roumain Social » a dépensé 10944 gourdes (228 euros) pour acheter des uniformes, des livres, des cahiers, des stylos à bille, des crayons, payer l’écolage, etc. Le nombre de bénéficiaires s’est élevé à 16 enfants.
2- Année scolaire 2000-2001 : 8455 gourdes (176 euros) pour 13 enfants (les dépenses de cette année ne concernent que l’écolage et les fournitures classiques).
3- Année scolaire 2001-2002 : 12494 gourdes (260 euros) pour 19 enfants.
4- Année scolaire 2002-2003 : 13099 gourdes (273 euros) pour 17 enfants.
5- Année scolaire - 2003-2004 : 16526 gourdes (344 euros) pour 18 enfants.
6- Année scolaire 2004-2005 : 32547 gourdes (677 euros) pour 23 enfants.
7- Année scolaire 2005-2006 : 32071 gourdes (667 euros) pour 20 enfants.

N.B. Durant les 2 dernières années, l’association a organisé 3 fêtes culturelles pour les enfants. Les dépenses effectuées en la circonstance sont inclues dans celles des années scolaires.
Pour les 7 années scolaires écoulées, « Roumain Social » a financé l’école pour 126 enfants. 126136 gourdes (2624 euros) ont été ainsi dépensées.
L’argent dépensé par l’Association « Roumain Social » pour les enfants aurait pu être plus élevé que les 126136 gourdes si certains établissements scolaires n’accordaient pas des demi-bourses notamment aux élèves du secondaire.
Pour les années à venir, « Roumain Social » aura besoin de l’appui de tous pour continuer à sortir les enfants de la rue pour leur bien et celui de la communauté.
Le montant des cotisations des élèves s’élève à 87375 gourdes (1818 euros) pour les 7 années scolaires. La différence provient des bénéfices réalisés sur la plastification de documents et la vente d’uniformes du Lycée effectuées par l’association.
N.B. une gourde = 0.02080 euro (valeur 16/10/06)

VENEZUELA : Siguen lios por cierre RCTV

CARACAS (AP) — Grupos de estudiantes y empleados de empresas privadas continuaron manifestándose en las calles ayer por tercer día consecutivo en protesta por el cierre de la televisora RCTV, y un gobernador opositor exigió la liberación de decenas de detenidos, incluso menores de edad.
El ministro del Interior, Pedro Carreño, declaró el martes que desde el pasado 27 de mayo se han presentado en el país 97 protestas en las que fueron detenidas 182 personas, la mayoría de ellas estudiantes universitarios y menores de edad.
Carreño indicó que algunos de los detenidos fueron liberados, pero no precisó cifras, y que “107 niños y niñas, menores de edad” fueron presentados ante la Fiscalía General para abrirles procesos.
El Ministerio Público dijo en un comunicado que 30 menores fueron pasados a tribunales por incurrir en obstaculización de la vía, y alteración del orden público.
El gobernador del estado de Zulia y ex candidato presidencial Manuel Rosales demandó la libertad “para esos muchachos y esas muchachas, de inmediato, que no los traten como delincuentes”.
En declaraciones a la prensa, el líder opositor manifestó que “el pueblo de Venezuela hace uso del mandato constitucional y reclama por la libertad en todas sus manifestaciones. Reclama por el derecho a la propiedad privada.

http://www.hoy.com.do/article.aspx?id=23776#
Un petit coup d'oeil aux amants de la langue de CERVANTES... Bientôt la version traduite en français par Thom Gato