Très prudents, le ministre de la justice et ses deux secrétaires d’Etat refusent toute spéculation sur les causes de la mort de Philippe Jean Raymond et disent attendre sereinement les résultats de l’enquête sur l’affaire des narcodollars de Port-de-Paix
lundi 12 janvier 2009, Radio Kiskeya
Le secrétaire d’Etat à la sécurité publique, Eucher-Luc Joseph, a annoncé lundi que le ministre de la justice, Jean Joseph Exumé, a passé des instructions afin qu’une autopsie soit pratiquée sur le corps du numéro deux de la police du Nord-Ouest, Philippe Jean Raymond, décédé dans des conditions non encore élucidées alors qu’il devait être interrogé sur le scandale narco-financier de Port-de-Paix.
Interrogé au Parlement en marge de la cérémonie d’ouverture de l’année législative, M. Joseph s’est refusé à tout commentaire sur la disparition du commissaire, arguant qu’il ne disposait pour l’heure d’aucune information sur son dossier médical. Tout en présentant ses sympathies à la famille éplorée et à la Police Nationale, le secrétaire d’Etat à la sécurité publique a assuré qu’un rapport médical déterminera bientôt les causes du décès.
Il a par ailleurs invité tout un chacun à la « sérénité » en ce qui a trait au dossier de l’enquête sur le détournement présumé d’un pactole de narcodollars lors d’une perquisition que les autorités judiciaires et policières avaient conduite en novembre dernier chez Marc Frédéric, l’oncle d’Alain Désir, un présumé trafiquant de drogue notoire extradé aux Etats-Unis. « Les investigations seront menées. Mais, il faut donner aux responsables le temps de les mener », a répété Eucher-Luc Joseph. Il a rappelé que l’enquête était confiée simultanément à l’inspection générale de la PNH et à la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) chargées de vérifier le bien-fondé de graves accusations relatives à l’implication présumée de policiers dans l’opération.
Intervenant très brièvement sur ce dossier brûlant, le ministre Jean Joseph Exumé a souligné la nécessité d’éviter toute « précipitation ». Réitérant la volonté de son ministère de faciliter la reprise à Port-de-Paix des travaux judiciaires suspendus depuis le scandale, il a exhorté le doyen a.i du tribunal civil -nommé en remplacement du juge Ronel Gelin- à prendre ses fonctions.
Pour sa part, le secrétaire d’Etat à la réforme judiciaire, Daniel Jean, a qualifié d’enquête dans l’enquête l’autopsie que doivent réaliser des médecins légistes pour que les causes de la mort du directeur départemental adjoint de la PNH, Philippe Jean Raymond, soient connues. S’agissant des investigations en cours sur « l’affaire Lavaud », Me Jean a laissé entendre qu’elles doivent être menées avec sérénité et en dehors de toute attitude arbitraire.
Quant au directeur général de la Police Nationale, Mario Andrésol, il a catégoriquement refusé de se prononcer sur la brutale disparition du commissaire jusqu’à ce que le résultat de l’autopsie soit disponible.
Embarqué dimanche après-midi à bord d’un avion, l’officier de police, qui était arrivé à Port-au-Prince entouré d’agents du BLTS et de la DEA, a été admis d’urgence à l’hôpital du Canapé-Vert, quelques instants plus tard. Il n’a pas survécu à un violent malaise sur lequel plane encore le plus grand mystère.
Agé de 52 ans, Philippe Jean Raymond était un ancien membre des Forces Armées d’Haïti (FAd’H). spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5588
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
mardi 13 janvier 2009
La "stabilité", maître-mot de Préval devant le Parlement
Le Président, qui croit que seule cette voie mènera aux investissements étrangers et au développement, a promis de systématiser le "dialogue", dans son discours à l’ouverture de l’année législative
lundi 12 janvier 2009, Radio Kiskeya
Le Président René Préval a une fois de plus prôné la stabilité comme élément incitatif à l’investissement et vecteur de développement national, dans son discours lundi sur l’état de la nation prononcé devant les deux Chambres du Parlement réunies pour l’ouverture de la première session ordinaire de l’année législative.
S’exprimant en créole pendant une quinzaine de minutes, le chef de l’Etat a esquissé les contours de sa nouvelle croisade dont la cheville ouvrière sera, dit-il, le dialogue entre les forces vives du pays. « La stabilité démocratique est une condition fondamentale pour assurer le développement durable », a-t-il martelé. Il a appelé de ses vœux à l’instauration d’un dialogue empreint de sincérité entre les haïtiens, incluant les partis politiques, le gouvernement et la société civile.
Dans le souci de faire du dialogue un instrument incontournable, René Préval a annoncé la création d’autres groupes de travail sur des thèmes tels la corruption et l’environnement après l’installation vendredi dernier de deux commissions présidentielles respectivement sur la compétitivité et les nouvelles technologies de la communication.
Il a aussi mentionné la dramatique évolution divergente des PIB haïtien et dominicain au cours des cinquante dernières années, le premier passant de 800 à 430 dollars américains et le second du même niveau initial à 2.500 dollars actuellement.
Le Président a enfin fait remarquer que tous les investissements dans des infrastructures routières et la construction de bâtiments peuvent être anéantis si l’écosystème haïtien continue à se dégrader.
Le discours de M. Préval a été diversement apprécié parmi les Députés et Sénateurs, certains critiquant la reprise de formules usées et très peu inspirées, d’autres se déclarant de préférence amplement satisfaits de la prestation du chef de l’Etat. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5587
lundi 12 janvier 2009, Radio Kiskeya
Le Président René Préval a une fois de plus prôné la stabilité comme élément incitatif à l’investissement et vecteur de développement national, dans son discours lundi sur l’état de la nation prononcé devant les deux Chambres du Parlement réunies pour l’ouverture de la première session ordinaire de l’année législative.
S’exprimant en créole pendant une quinzaine de minutes, le chef de l’Etat a esquissé les contours de sa nouvelle croisade dont la cheville ouvrière sera, dit-il, le dialogue entre les forces vives du pays. « La stabilité démocratique est une condition fondamentale pour assurer le développement durable », a-t-il martelé. Il a appelé de ses vœux à l’instauration d’un dialogue empreint de sincérité entre les haïtiens, incluant les partis politiques, le gouvernement et la société civile.
Dans le souci de faire du dialogue un instrument incontournable, René Préval a annoncé la création d’autres groupes de travail sur des thèmes tels la corruption et l’environnement après l’installation vendredi dernier de deux commissions présidentielles respectivement sur la compétitivité et les nouvelles technologies de la communication.
Il a aussi mentionné la dramatique évolution divergente des PIB haïtien et dominicain au cours des cinquante dernières années, le premier passant de 800 à 430 dollars américains et le second du même niveau initial à 2.500 dollars actuellement.
Le Président a enfin fait remarquer que tous les investissements dans des infrastructures routières et la construction de bâtiments peuvent être anéantis si l’écosystème haïtien continue à se dégrader.
Le discours de M. Préval a été diversement apprécié parmi les Députés et Sénateurs, certains critiquant la reprise de formules usées et très peu inspirées, d’autres se déclarant de préférence amplement satisfaits de la prestation du chef de l’Etat. spp/Radio Kiskeya
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Guy Philippe officiellement candidat au Sénat
L’ex-chef rebelle anti-Aristide, qui vit dans la clandestinité depuis de longs mois, s’est fait enregistrer au BED de la Grand’Anse
lundi 12 janvier 2009, Radio Kiskeya
L’ancien chef rebelle anti-Aristide Guy Philippe, visé ces derniers mois par plusieurs présumées opérations contre le narcotrafic, a officiellement effectué lundi le dépôt de sa candidature au bureau électoral départemental de la Grand’Anse (sud-ouest), à Jérémie.
Sans la moindre inquiétude, M. Philippe a été le premier candidat à se faire enregistrer pour briguer le siège vacant de la région dans le cadre des prochaines sénatoriales partielles fixées au 19 avril.
Le candidat affirme compter sur le soutien de tous pour remporter le scrutin sous la bannière de son parti, le Front pour la reconstruction nationale (FRN).
Lors de ce dépôt de candidature, Philippe était accompagné notamment de l’unique Député du FRN, Ronald Etienne, de la circonscription de Pestel/Beaumont.
Ex-commissaire de police et un des principaux chefs de la rébellion armée qui avait contribué en février 2004 au renversement du Président Lavalas Jean-Bertrand Aristide, Guy Philippe avait échappé in extremis à au moins deux interventions musclées auxquelles avaient officieusement pris part des agents des services haïtiens et américains contre le trafic de drogue, BLTS et DEA.
Mais, l’intéressé, qui s’était mis à couvert, a toujours protesté de son innocence. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5586
Notre commentaire : un candidat au Sénat qui vit en clandestinité depuis de nombreux mois. La communauté internationale doit se mordre les doigts en pensant qu’elle pourrait avoir contribué à la victoire de Guy Phillipe à la hauteur de 1.100.000 dollars pour sa campagne électorale et son élection.
Guy Phillipe avec une élection comme sénateur gagnerait surtout l’immunité parlementaire qui le rendrait jusqu’à un certain point intouchable. Les gens qui le cherchent vont-ils tout faire pour l’appréhender avant cette échéance ?
lundi 12 janvier 2009, Radio Kiskeya
L’ancien chef rebelle anti-Aristide Guy Philippe, visé ces derniers mois par plusieurs présumées opérations contre le narcotrafic, a officiellement effectué lundi le dépôt de sa candidature au bureau électoral départemental de la Grand’Anse (sud-ouest), à Jérémie.
Sans la moindre inquiétude, M. Philippe a été le premier candidat à se faire enregistrer pour briguer le siège vacant de la région dans le cadre des prochaines sénatoriales partielles fixées au 19 avril.
Le candidat affirme compter sur le soutien de tous pour remporter le scrutin sous la bannière de son parti, le Front pour la reconstruction nationale (FRN).
Lors de ce dépôt de candidature, Philippe était accompagné notamment de l’unique Député du FRN, Ronald Etienne, de la circonscription de Pestel/Beaumont.
Ex-commissaire de police et un des principaux chefs de la rébellion armée qui avait contribué en février 2004 au renversement du Président Lavalas Jean-Bertrand Aristide, Guy Philippe avait échappé in extremis à au moins deux interventions musclées auxquelles avaient officieusement pris part des agents des services haïtiens et américains contre le trafic de drogue, BLTS et DEA.
Mais, l’intéressé, qui s’était mis à couvert, a toujours protesté de son innocence. spp/Radio Kiskeya
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Notre commentaire : un candidat au Sénat qui vit en clandestinité depuis de nombreux mois. La communauté internationale doit se mordre les doigts en pensant qu’elle pourrait avoir contribué à la victoire de Guy Phillipe à la hauteur de 1.100.000 dollars pour sa campagne électorale et son élection.
Guy Phillipe avec une élection comme sénateur gagnerait surtout l’immunité parlementaire qui le rendrait jusqu’à un certain point intouchable. Les gens qui le cherchent vont-ils tout faire pour l’appréhender avant cette échéance ?
La Première ministre dresse un bilan satisfaisant de son action
Dans son discours bilan devant l'assemblée nationale, la Première ministre Michèle Pierre Louis a révélé que la politique budgétaire de son gouvernement au cours de ces derniers mois repose essentiellement sur les perceptions fiscales et douanières. Mme Pierre Louis a salué la performance du ministre des finances, Daniel Dorsainvil, qui devra répondre à une interpellation du sénat la semaine prochaine.
Elle estime que les mesures contre la fraude, la corruption et l'évasion fiscale ont permis d'augmenter les recettes de l'état notamment au cours des deux premiers mois de l'exercice en cours. " Les recettes pour les deux premiers mois sont de 4,7 milliards de gourdes ce qui représente une augmentation de 14 % par rapport à la même période en 2008", explique t-elle.
Au cours de son intervention à l'occasion de l'ouverture de la première session ordinaire de l'année législative 2009, la Première ministre s'est félicitée des bons résultats obtenus par plusieurs institutions dont le Conseil de Modernisation des Entreprises Publiques (CMEP), la Commission Nationale des Marchés Publics (CNMP) et l'unité de Lutte contre la Corruption (ULCC). " 28 contrats (889 millions de gourdes et 2.7 millions de dollars) ont été conclus par le CNMP au cours de l'année écoulée ", informe Mme Pierre Louis faisant remarquer que des entreprises modernisées comme les Moulins d'Haïti et la Cimenterie Nationale (Cina) continuent de faire preuve de bonne performance. Elle a également fait état du projet de modernisation d'autres entreprises publiques notamment la Téléco, l'Electricité d'Haïti (EDH), la Société Nationale du Parc Industriel (Sonapi) et l'autorité Portuaire Nationale (APN).De son coté, le président de l'assemblée nationale, Kély C. Bastien, a souhaité que les grands commis de l'état accomplissent leur tache avec courage. Il a salué le vote d'une douzaine de loi au cours de l'année législative 2008 ceci en dépit de nombreuses difficultés.Tout en espérant que les élus pourront tripler le quota au cours de cette année, le sénateur Bastien a rappelé le vote de certaines lois stratégiques dont celles relatives aux élections, au budget rectificatif, à la lutte contre le kidnapping et à l'instauration de l'état d'urgence.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14616
Elle estime que les mesures contre la fraude, la corruption et l'évasion fiscale ont permis d'augmenter les recettes de l'état notamment au cours des deux premiers mois de l'exercice en cours. " Les recettes pour les deux premiers mois sont de 4,7 milliards de gourdes ce qui représente une augmentation de 14 % par rapport à la même période en 2008", explique t-elle.
Au cours de son intervention à l'occasion de l'ouverture de la première session ordinaire de l'année législative 2009, la Première ministre s'est félicitée des bons résultats obtenus par plusieurs institutions dont le Conseil de Modernisation des Entreprises Publiques (CMEP), la Commission Nationale des Marchés Publics (CNMP) et l'unité de Lutte contre la Corruption (ULCC). " 28 contrats (889 millions de gourdes et 2.7 millions de dollars) ont été conclus par le CNMP au cours de l'année écoulée ", informe Mme Pierre Louis faisant remarquer que des entreprises modernisées comme les Moulins d'Haïti et la Cimenterie Nationale (Cina) continuent de faire preuve de bonne performance. Elle a également fait état du projet de modernisation d'autres entreprises publiques notamment la Téléco, l'Electricité d'Haïti (EDH), la Société Nationale du Parc Industriel (Sonapi) et l'autorité Portuaire Nationale (APN).De son coté, le président de l'assemblée nationale, Kély C. Bastien, a souhaité que les grands commis de l'état accomplissent leur tache avec courage. Il a salué le vote d'une douzaine de loi au cours de l'année législative 2008 ceci en dépit de nombreuses difficultés.Tout en espérant que les élus pourront tripler le quota au cours de cette année, le sénateur Bastien a rappelé le vote de certaines lois stratégiques dont celles relatives aux élections, au budget rectificatif, à la lutte contre le kidnapping et à l'instauration de l'état d'urgence.
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Myrlande Manigat, candidate à la présidence préconise des changements profonds en Haïti
La secrétaire générale du Rassemblement des Démocrates Nationaux Progressistes (RDNP), Myrlande Manigat, entend se positionner pour "changer la vie" en Haïti. " A partir de notre position de parti d'opposition on ne peut pas changer les choses", concède Mme Manigat qui annonce que le RDNP participera aux prochaines élections sénatoriales du 19 avril.Et comme le RDNP croit qu'il faut réaliser de changements profonds au niveau du gouvernement, des structures étatiques et économiques et des mentalités, Myrlande Manigat confirme qu'elle sera candidate à la présidence lors des joutes de 2010. Tout en prônant une autre conception de la politique, la secrétaire générale du RDNP amorce une nouvelle approche avec son retour au sein de la convention des partis politiques. " Malheureusement nous connaissons les faiblesses de ces partis" lance Mme Manigat faisant remarquer tout de même qu'il s'agit d'un espace de dialogue entre les partis.Pourtant la position du Rassemblement des Démocrates Nationaux Progressistes vis-à-vis du pouvoir n'a pas changé. " Nous n'avions jamais été invité à prendre part aux rencontres entre le chef de l'état et les partis et nous ne le regrettons pas", indique Mme Manigat qui affiche son scepticisme vis-à-vis de l'appel au dialogue lancé par le chef de l'état.Interrogé sur la formation de commissions sur des sujets divers, dont la compétitivité de l'économie et les nouvelles technologies, la secrétaire générale du RDNP ne s'attend à aucun résultat probant. " Les commissions court-circuite les responsabilités des ministres", dit-elle faisant valoir qu'il faut des actions de l'état pour améliorer la compétitivité de l'économie.Myrlande Manigat critique également le comportement de l'exécutif dans l'affaire Boulos. " Tout au cours de cette affaire le droit a été malmené", se plaint Mme Manigat déplorant également le comportement du CEP et du sénat. " Le tribunal de Fort Liberté ne peut pas annuler une résolution du sénat", signale Mme Manigat faisant remarquer que les pères conscrits ont en 8 mois émis deux avis contraires.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14616
Notre commentaire :
Il y aurait à travers cette dépêche plusieurs éléments de discussion. Nous sommes en 2009. Putain ! En 2010, la communauté internationale va nous organiser des élections présidentielles. Si la fin du monde pouvait arriver avant 2010 !
Hier nous avions lu et publié l’avis d’un homme de droit respectable et respecté du milieu haïtien sur l’affaire du Sénateur Boulos radié pour double nationalité et vivant à l’étranger depuis mars 2008.
L’avis de Maître Gérard Gourgue rentre en complète et parfaite contradiction avec les déclarations de Madame Myrlande Manigat une femme de droit, une constitutionnaliste.
Existe-t-il quelqu’un en Haïti capable de faire le point et d’éclairer les lanternes sur cette question ?
Il est vrai que la notion « argent » n’est pas à négliger dans cette affaire !
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14616
Notre commentaire :
Il y aurait à travers cette dépêche plusieurs éléments de discussion. Nous sommes en 2009. Putain ! En 2010, la communauté internationale va nous organiser des élections présidentielles. Si la fin du monde pouvait arriver avant 2010 !
Hier nous avions lu et publié l’avis d’un homme de droit respectable et respecté du milieu haïtien sur l’affaire du Sénateur Boulos radié pour double nationalité et vivant à l’étranger depuis mars 2008.
L’avis de Maître Gérard Gourgue rentre en complète et parfaite contradiction avec les déclarations de Madame Myrlande Manigat une femme de droit, une constitutionnaliste.
Existe-t-il quelqu’un en Haïti capable de faire le point et d’éclairer les lanternes sur cette question ?
Il est vrai que la notion « argent » n’est pas à négliger dans cette affaire !
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