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mercredi 13 février 2008

Mois de l’histoire des Noirs...Culture : Le spectacle « Chante-moi HAÏTI » à Montréal

Février 2008
P-au-P, févr. 08 [AlterPresse] ---Dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs, le chanteur d’origine haïtienne Pierre-Michel Ménard présente son spectacle annuel « Chante-moi Haïti » le vendredi 22 février 2008 au Centre Leonardo Da Vinci à Montréal, apprend AlterPresse.
« C’est une tradition pour moi. Je me suis fait un devoir de présenter ce spectacle lors de chaque Mois de l’histoire des Noirs », indique l’artiste arrivé au Québec il y a plus de 30 ans, dans un article du Journal de Montréal.
Le chanteur avoue tenir ce concert annuel pour une raison de fierté.
« Je ne me considère pas comme un artiste engagé, je le fais par fierté nègre ! Haïti a été la première république noire indépendante de la planète ».
Il confie également qu’il « doit continuer à essayer de redorer le blason d’Haïti par la musique. « Quand j’ai commencé ce spectacle, en 1996, la situation n’était pas aussi grave. J’ai donc beaucoup de choses à dire et Haïti a besoin de voix, comme la mienne, pour faire la différence et prouver que le pays n’est pas mort », déclare le chanteur.
Pour l’aider dans ce concert-mission, Pierre-Michel Ménard aura l’appui de la chanteuse Yanik Dutelly, avec qui il partagera la scène.
Ensemble, ils interprèteront quelques-uns des plus grands succès du répertoire haïtien.
« Nous chanterons les peines et les beautés d’Haïti avec des chansons puisées dans le folklore de nos grands-parents et arrière-grands-parents. » [cd rc apr 12/02/2008 00:30]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article6924

Des parlementaires sont très préoccupés par la hausse sensible de l’insécurité

Le président de la commission justice et sécurité du sénat, Youri Latortue, estime que la réduction de l’effectif des casques bleus à Cité Soleil est l’une des causes de la résurgence de l’insécurité dans la région métropolitaine. Au nombre des dispositions urgentes à adopter, le sénateur Latortue préconise un meilleur contrôle de la distribution des plaques d’immatriculation, le renforcement de la police en général et de la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ) en particulier. " En tant que pays souverain il faut rétablir l’armée, parce que nous sommes trop dépendant de la Minustah et pour respecter les prescrits de la constitution", ajoute t-il. De plus, il rappelle que le renforcement du système judiciaire est l’un des éléments clés de la lutte contre l’insécurité. " Il y a des criminels qui ont été libérés et qui ont réintégré des gangs", fait-il remarquer. Cet avis n’est pas partagé par le sénateur Gabriel Fortuné qui réclame purement et simplement le rétablissement de la peine de mort pour lutter efficacement contre le kidnapping. " La solution est de fusiller les personnes reconnues coupables de kidnapping", lance le sénateur Fortuné qui annonce le dépôt d’un projet de loi sur la peine capitale au sénat. Par ailleurs, le porte parole de la UNpol, Fred Blaise, annonce une intensification des patrouilles de la Minustah au centre commercial de Port-au-Prince. " 5 individus ont été appréhendés vendredi dernier révèle M. Blaise précisant que la Minustah a entrepris d’intensifier les patrouilles et les points fixes avec la PNH. http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=13480
Commentaires :
" En tant que pays souverain il faut rétablir l’armée, parce que nous sommes trop dépendant de la Minustah et pour respecter les prescrits de la constitution", ajoute t-il. Monsieur Le Sénateur si on a souvent l’habitude d’utiliser le mot "souverain" sans tenir compte de sa définition ou de son sens je vous propose quelques synonymes : "absolu, autonome, chef, dominateur, indépendant, infaillible". Traiter votre intervention de naïve est un pur euphémisme que commande le politiquement correct.
Le sentiment patriotique qui vous anime à vous et à ceux qui pensent comme vous, ne peut que vous honorer. Cependant il est à ranger dans le chapitre des vœux pieux.
Aujourd’hui il est illusoire de parler en terme d’autonomie et de souveraineté en ce qui concerne l’état haïtien. Là nous laissons de côté les réflexions philosophiques qui prétendent qu’Haïti comme état n’existe pas. Une autre question. Un autre débat.
La remise sur pied des Forces Armées d’Haïti est une vraie nécessité dans la conjoncture actuelle. Une armée dont les fonctions seraient bien établies certes avec des limitations constitutionnelles pour éviter les dérives néfaste d’antan.
Mais là ou il y a un vrai problème c’est que nous ne disposons pas d’autonomie financière pour réaliser un tel projet. Et tout nous pousse à croire que la communauté internationale dont nous dépendons presque exclusivement de la générosité n’est pas dans la même logique que nous en ce qui définirait l’avenir des Forces Armées d’Haïti.
Nous avons encore en tête l’intervention critiquée et critiquable de cette communauté internationale lors des dernières élections présidentielles par elle financées. On se plait à dire que l’issue des élections étaient connue d’avance de par l’allure même des résultats du premier tour. Cependant une victoire de René Préval dans un ultime face à face avec Lesly Manigat aurait permis au moins des réflexions au sein de la société ce qui aurait des effets bénéfique en matière de bagage politique. Mais la Communauté internationale comme bailleur de fonds a décidé autrement.
Avec quoi reconstituer une armée?
Aujourd’hui, nous devons tous comme haïtiens faire notre introspection pour déterminer ou nous nos trouvons aujourd’hui et à partir de cette réflexion commencer à mettre pierres sur pierres pour la construction de l’édifice.
Ceci passe par une gestion sérieuse laissant de côté nos vieux démons. Que l’administration publique ne soit plus considérée comme une caverne d’alibaba ou le jeu d’influences et les commérages priment sur les concept de capacité et compétence. Que l’on finisse une fois pour toute avec la corruption érigée en norme.
L’effort aujourd’hui doit être centré sur la volonté de montrer que oui nous pouvons gérer ce pays et nous verrons après pour l’autonomie, l’indépendance et la souveraineté.

La police est politisée selon Jessy Cameau Coicou

Ancienne porte parole et inspectrice générale en chef de la police nationale, Jessy Cameau Coicou dénonce une politisation de l’institution policière. Intervenant à l’émission Metropolis, Mme Coicou a révélé que les autorités ont refusé d’utiliser certaines informations recueillies dans le cadre du dispositif sécuritaire. " J’avais mis en place un réseau d’informateurs mais les informations n’étaient pas bien utilisées sinon on aurait déjà obtenu des résultats probants dans le domaine sécuritaire", ajoute t-elle. " Il y a une lutte pour le pouvoir et non pour rétablir le climat sécuritaire ", selon madame Coicou pour qui la PNH est loin d’être impartiale au service de la communauté. De plus, Jessy Cameau Coicou dénonce le comportement du secrétaire d’état à la sécurité publique, Luc Eucher Joseph, qui l’avait demis de son poste sans aucun motif. " Le secrétaire d’état m’a convoqué dans le bureau du directeur général de la PNH et m’a dit j’ai décidé de vous limoger", explique t-elle. Madame Coicou souligne avoir demandé une mise en disponibilité de l’institution policière parce qu’elle se considérait comme un élément gênant. Elle se réjouit d’avoir, durant son passage à l’inspection générale, contribué à la mise en place du vetting avec la Minustah précisant que son travail n’a jamais été évalué par ses supérieurs hiérarchiques. Contacté par radio Métropole, le secrétaire d’état à la sécurité publique, Luc Eucher Joseph, s’est refusé à tout commentaires sur le sujet.
De son coté, le directeur général de la PNH, Mario Andrésol, rejette les allégations de madame Coicou, mettant l’accent sur la neutralité de la PNH. Tout en qualifiant ces déclarations de tardives, le chef de la police regrette que Madame Coicou n’avait pas su dénoncer ces écarts alors qu’elle était à son poste. " Nous travaillons de manière technique", lance M. Andrésol pour qui des preuves sont nécessaires dans le cadre de telles accusations.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=13479

Le premier ministre Jacques Edouard Alexis annonce un programme d’appui à la relance de l’économie d’un montant de plus de 7 milliards de gourdes, dan

En réponse à la vie chère et à la pauvreté
mardi 12 février 2008,

Radio Kiskeya

Le premier ministre Jacques Edouard Alexis a annoncé mardi un Programme d’Investissement Spécial (PIP) assorti d’un programme complémentaire totalisant sept milliards huit cent millions de gourdes (7,800,000,000.00 Gdes), pour faire face à la cherté de la vie et à la pauvreté.
Le chef du gouvernement a fait état d’un tel programme à l’occasion d’une audition au Sénat où, à l’instar de la Chambre basse, des voix s’élèvent de plus en plus contre la cherté de la vie et l’apparente incapacité du gouvernement à y faire face.
Après avoir mis l’accent sur les causes externes et internes de la cherté de la vie, M. Alexis a placé tout effort en vue de résoudre ce problème dans le cadre de la mise en œuvre du Document de Stratégie pour la Croissance et la Réduction de la Pauvreté (DSCRP) conçu par le gouvernement, avec l’appui de la communauté internationale. Les multiples initiatives envisagées dans le cadre dudit document comprennent, entre autres, la création d’emplois, l’octroi de crédit à des commerçants du secteur informel et à de jeunes entrepreneurs. Le gouvernement disposerait déjà de un milliard cent millions de gourdes (1,100,000,000.00 Gdes). Une réunion avec les bailleurs de fonds en avril prochain vise à obtenir tout l’argent nécessaire à la mise en application du DSCRP, informe Jacques Edouard Alexis.
Deux des sénateurs qui étaient à l’origine de l’interpellation ratée du premier ministre à la fin de l’année dernière, MM. Youri Latortue (Artibonite) et Gabriel Fortuné (Sud), ont clairement exprimé leur insatisfaction par rapport aux engagements pris par le chef du gouvernement.
Le sénateur Latortue a même ironisé, soutenant que l’exposé réalisé par le premier ministre équivaudrait à une nouvelle déclaration de politique générale. Se disant tout à fait déçu de la prestation de M. Alexis, il a demandé à ses pairs d’assumer leurs responsabilités par rapport au gouvernement de celui-ci.
Pour le sénateur Fortuné, le programme annoncé par le premier ministre ne produira pas les résultats escomptés. « Il serait mieux que l’argent disponible serve à subventionner de la nourriture et des médicaments indispensables aujourd’hui à la population », a-t-il ajouté.
L’ancien président du Sénat, Joseph Lambert (Sud-est), a pour sa part pris le contre-pied de ses deux collègues, assimilant à une preuve de la conscience qu’a le premier ministre de la gravité de la situation, l’exposé qu’il a réalisé par-devant les sénateurs. Les actions qu’il annonce prouvent que le gouvernement ne reste pas inactif face à la situation, a-t-il ajouté.
Alors que les discussions se déroulaient dans l’enceinte du Parlement, au dehors (comme c’est maintenant la norme dès que Jacques Edouard Alexis se présente au Parlement), des manifestants scandaient des slogans en sa faveur et contre son renversement. Ils demandaient tout aussi bien que le président Préval termine son mandat et que l’ancien président Jean Bertrand Aristide puisse revenir au pays.
Toujours devant le Parlement, un autre groupe, représenté par des sociétaires victimes des coopératives réputées en faillite, lançait pour sa part des slogans anti-Alexis, en protestation contre la passivité du gouvernement en ce qui concerne le dossier de leurs dédommagements.
Avant de recevoir le chef du gouvernement, le Sénat avait voté dans la matinée la Loi sur la Déclaration de Patrimoine, faisant obligation aux fonctionnaires de déclarer leurs biens à l’entrée et à la sortie de l’administration. Le vote de cette loi était fortement réclamé par les bailleurs de fonds internationaux, a souligné le président du Sénat. Kelly Bastien a également présenté cette loi comme un outil clé dans la lutte contre la corruption. [jmd/RK]
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4694
Commentaires :
Ces discours politisés sont faits pour « faire dodo les enfants ». Les parlementaires ont raison de parler de nouvelle présentation de politique générale. La présentation du programme devrait être plus accessible au grand public.
Dans l’ère de la décentralisation mal comprise, à l’haïtienne, ces projets faisant intervenir des millions de gourdes font froid au dos. L’obstacle majeur à la bonne exécution de ces plans pieux est encore le mariage indestructible de l’incompétence et la corruption.
On aimerait tellement pouvoir se dire après que l’on avait fait preuve de trop de pessimisme devant les résultats probant du plan de Jacques Edouard Alexis. Mais bon. On ne va pas non plus se fermer les yeux pour rêver dos à la réalité et à la perception de la gestion de notre administration.
On peut noter en passant que depuis un certain temps, l’ancien Président de l’assemblée nationale garde un profil bas faisant montre d’une docilité suspecte. Pourquoi cette attitude ?

Grippe Aviaire : Le secteur des affaires dominicain réclame le retrait des sanctions haïtiennes

Le ton va d’une solution négociée à une guerre commerciale entre les deux pays
Radio Kiskeya

Divers représentants des secteurs du commerce et de la production en République Dominicaine ont appelé lundi le gouvernement haïtien à revenir sur sa décision unilatérale d’interdire l’importation des produits avicoles dominicains, rapporte le quotidien Hoy.
Les hommes d’affaires dominicains considèrent cette mesure, provoquée par la découverte de la grippe aviaire en territoire voisin, comme une "espèce de barrière au commerce binational".
Le directeur exécutif de la Chambre de production et de commerce de Santiago, Ivàn Reynoso, a proposé aux autorités dominicaines de mettre fin à l’impasse actuelle en négociant un accord de libre-échange avec Haïti et en formalisant "un marché informel et risqué".
Pour sa part, la Fédération des commerçants détailants de produits (FENACODEPRO) a demandé à l’administration Fernàndez d’adopter vis-à-vis d’Haïti les mesures diplomatiques qui s’imposent.
Raùl Rodrìguez, directeur exécutif de l’Association dominicaine des exportateurs (ADOEXPO), Juliàn Antonio Parra, président de l’Association des commerçants majoritaires du marché (ASOCOMER) et Jovanny Leiba, président de la FENACODEPRO ont aussi protesté contre une supposée augmentation de 15%, depuis quelques jours, des tarifs douaniers imposés aux produits dominicains destinés à l’exportation vers Haïti.
Estimant que les autorités haïtiennes devraient annuler rapidement les mesures en vigueur, M. Rodrìguez a ajouté "à l’ADOEXPO, nous sommes convaincus que chaque action du gouvernement haïtien dont l’objectif est de défavoriser le libre et juste commerce entre nos deux pays va à l’encontre des intérêts tant des entrepreneurs que des consommateurs dominicains".
L’ambassadeur dominicain à Port-au-Prince, José Serulle Ramia, a également joint sa voix à celle de ses compatriotes pour solliciter une réévaluation de l’embargo décrété depuis début janvier à la suite de la découverte en République Dominicaine du virus H5N2 de la grippe aviaire. Selon le diplomate, les pertes enregistrées dans l’économie dominicaine sont estimées à 650 millions de pesos (environ 20 millions de dollars américains). Il a aussi fait remarquer que ces sanctions ont déjà coûté à Haïti 650 millions de gourdes (plus de 15 millions de dollars). spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4691

L’admission d’Haïti au Groupe de Rio au menu du prochain sommet de Santo Domingo

La chancellerie dominicaine confirme la participation du Président Préval
lundi 11 février 2008,
Radio Kiskeya

Le ministère dominicain des affaires étrangères a annoncé lundi à Santo Domingo que l’intégration d’Haïti au Groupe de Rio sera à l’ordre du jour du XXe Sommet de ce mécanisme régional de coopération prévu du 4 au 7 mars dans la capitale dominicaine.
Dans un communiqué relayé par l’agence italienne ANSA, la chancellerie a également confirmé la participation du Président René Préval à cet événement à titre d’invité spécial.
Les chefs d’Etat et de gouvernement des vingt pays membres du Groupe de Rio sont attendus à Santo Domingo notamment le numéro un brésilien, Luiz Inàcio Lula da Silva -le seul à avoir déjà confirmé sa présence- de même que la nouvelle Présidente argentine, Cristina Fernàndez de Kirchner et son homologue vénézuélien, Hugo Chàvez.
Les débats porteront sur les questions énergétiques, les désastres naturels et le développement.
Les 4 et 5 mars se dérouleront les réunions techniques. Le 6, les chanceliers se réuniront avant les chefs d’Etat le jour suivant. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4690

Haiti : Des mesures gouvernementales annoncées en vue de baisser le coût de la vie

Mercredi 13 février 2008
P-au-P., 13 févr. 08 [AlterPresse] --- Le premier ministre Jacques Édouard Alexis a annoncé le 12 février un ensemble de mesures visant à baisser le coût de la vie.
S’exprimant devant le Sénat de la République, le chef du gouvernement a, entre autres, fait part de son intention de renforcer le Programme d’intervention à impact communal (PIC).
Le budget du PIC initialement fixé à trois millions de gourdes passera à dix millions de gourdes, promet Jacques Édouard Alexis.
Ce projet, déjà en application dans cent dix communes, en touchera trente autres, ajoute-t-il.
Le chef du gouvernement annonce par ailleurs des dispositions destinées à renforcer la production nationale, en particulier la production de poulets de chair et de porcs.
Des mesures sont annoncées également dans le domaine de l’assainissement. Pas moins de trente millions de gourdes seront mobilisés dans ce secteur, avec pour incidence directe la création de 27 mille emplois, promet encore Jacques Édouard Alexis.
D’autre part, quelque trois cent millions de gourdes devront être mobilisés pour permettre aux petites gens d’accéder au crédit.
Un autre programme d’une valeur soixante millions de gourdes devrait profiter aux jeunes universitaires défavorisés. Il devrait être conduit à travers le ministère de la jeunesse, grâce à un appui de l’Office National d’Assurance-Vieillesse (ONA). Coût d’un tel programme.
Jacques Édouard Alexis rappelle aux sénateurs que le gouvernement n’est nullement insensible à la cherté de la vie. Le gouvernement travaille à créer des emplois et à mettre de l’ordre dans l’Administration publique, martèle le Premier ministre.
Un milliard cent millions de gourdes serait déjà disponibles pour implémenter cette panoplie de dispositions destinées à atténuer les souffrances de la population. Le gouvernement est en quête de six cent millions de gourdes supplémentaires. Il envisage de tirer ce montant du budget rectificatif, souhaitant d’ores et déjà la compréhension des parlementaires.
Le Premier ministre était accompagné, lors de cette séance, de plusieurs autres officiels dont les ministres du commerce, des finances, de la planification et de l’agriculture. [vs gp apr 13/02/2008 00:20]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article6928