Tandis que le ministère du Commerce et de l'Industrie semble se lancer dans une lutte acharnée contre les produits avariés exposés dans les rayons des supermarchés, Gedimex S.A, une compagnie de distribution de produits alimentaires, semble ne pas disposer à mettre de côté ses articles exposés présentant déjà des anomalies de taille.
La société Gedimex S.A, qui distribue exclusivement plusieurs varietés de riz, fait circuler, à travers la capitale, tout un éventail de sacs de riz avarié, sous le label de Soli, présentant des signes de décomposition avancée.
La mauvaise odeur est l'un des reproches adressés à ces produits entreposés et contenant des insectes dans les périphéries de Cité Soleil, et qui prouvent qu'ils ne sont pas de qualité à consommer.
Après plusieurs mois de fermeture, en raison des actes de violence qui ont plu sur Cité Soleil mettant en déroute usagers du tronçon de la Nationale numéro un au niveau de ce bidonville et commerçants évoluant dans ce milieu, Gedimex S.A vient de rouvrir les portes de son dépôt géant installé sur un vaste domaine situé sur la route de Circuit d'Haïti.Exposés par des milliers, des sacs de riz continuent d'être vendu par cette compagnie cause de grands torts aux acheteurs.
« Je n'arrive pas à comprendre qu'une aussi grande compagnie offre à ses clients de tels produits qui n'apportent rien de positif à sa renommée», a lâché l'une des victimes rencontrées ce lundi.
Joint par téléphone dans l'après-midi de lundi, l'un des responsables de Gedimex S.A a assumé la responsabilité de la compagnie dans la vente des produits dans leur état. « Les clients font bien de faire passer leurs revendications contre des produits qu'ils estiment leur ayant causé des torts », a-t-il déclaré en refusant de faire des commentaires.
La semaine dernière, trois supermarchés de la capitale ont vu leurs noms publiés dans les médias de la capitale par le ministère du Commerce pour avoir exposé dans leurs rayons de vente des produits expirés depuis 2004.
Source Journal Le Nouvelliste sur http://www.lenouvelliste.com
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Un commentaire :
L’objectif ultime du commerçant c’est gagner de l’argent. Dans ce secteur d’activités, le premier bon samaritain ne s’est pas encore identifié par ses actes d’une extrême bonté. Tous les discours et les réflexions qui voudraient exprimer le contraire rentrent dans le cadre du discours édulcoré du politiquement correct.
Gagner de l’argent n’est pas un crime ni un péché en soi. Ce qui peut devenir écoeurant c’est quand cette obsession rend des individus aveugles et inhumains à un point tel que leurs méconduites balaient d’un revers de main toutes les lois de la morales et de la bienséance sociales.
C’est en fait ce visage néfaste et infect que la bourgeoisie traditionnelle haïtienne a toujours présenté malheureusement avec la complicité des dirigeants eux aussi traditionnels dans leur façon sui generis de gouverner.
Leur attitude a beaucoup contribuer à l’éclosion de cette race de faux prophètes bon diseurs de vérités évidentes dont la vision limitée de la réalité des choses mélangée à la sauce de l’incompétence et saupoudrée de mauvaise volonté contribue a mouler une pâte immonde ou s’englue une société acéphale livrée à elle-même.
Gedimex est coupable jusqu’à preuve du contraire. Ce ne serait pas étonnant d’apprendre, si une enquête sérieuse se réalise, que ce produit a été acquis dans l’état. Le scrupule ne se vend ni dans des flacons ni dans des sacs. Beaucoup de commerçants fuient les rayons ou ce produit si humanisant est étalé.
Si on essaie de ne pas être trop méchant ni trop accusateur on pourrait se poser la question comment on peut entreposer jusqu’à sa pourriture un produit alimentaire pendant que des milliers d’individus crèvent de faim ?
Aucune investigation des instances compétentes osera ébranler l’ancrage de GEDIMEX. Des faveurs par ci, des faveurs sonnantes par là et l’affaire sera vite oubliée. Le concept des pots de vin a été créé pour inciter les véreux à faire appel a des véreux pour résoudre et cacher des situations pourries…
Mais les citoyens haïtiens se sont adaptés à tout ....même à Duvalier et à Aristide !
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
lundi 2 avril 2007
SAVEUR LOCALE : UN P'TIT CAFE
Une agréable saveur locale...Même s'il n'a pas grand-chose à offrir au visiteur, le paysan haïtien dispose très souvent d'une bonne tasse de café à lui proposer. Le délicieux produit local est apprécié ici et un peu partout à travers le monde.
Haïti dispose à l'heure actuelle de 100 000 hectares de terres plantés en caféiers, soit 3,6 % du territoire national. C'est ce qui ressort d'une étude réalisée sur le café en 2005 par la Banque Interaméricaine de Développement (BID) de concert avec le ministère de l'Agriculture, des Ressources naturelles et du Développement rural (MARDNR). Cette étude a aussi révélé que les caféières assurent jusqu'à présent la plus grande couverture boisée du pays, soit 12,1 %. Les petits agriculteurs, les véritables acteurs.
La culture du café intéresse beaucoup les Haïtiens. Le nombre de familles haïtiennes impliquées dans ce secteur s'élève à 200.000. La plupart d'entre elles se regroupent en associations ou en coopératives. Citons, entre autres, le Réseau des Coopératives de Café des régions du Nord (RECOCARNO), la Fédérations des Associations caféières natives (FACN) dans la Grand'Anse et le Sud-Est, la Coopérative des Planteurs de café de l'arrondissement de Belle-Anse (COOPCAB) dans le Sud-Est et la CAP dans le Plateau central.Ces organisations ont pratiquement remplacé, depuis une dizaine d'années, les grands exportateurs traditionnels et leur armée de spéculateurs qui ont fait faillite. Elles s'occupent particulièrement du soutien financier et technique des coopératives de production et du conditionnement des cerises de café, appelé encore café vert, jusqu'au produit fini. Mais ceux qui connaissent la fatigue des champs, les détours du processus de transformation, ce sont les petits agriculteurs, particulièrement les femmes. Elles s'occupent en général des trois premières étapes du traitement : la cueillette, le lavage et le triage. A la Coopérative agricole caféière Gabart Levaillant (CACGAVA), dans la commune de Dondon, il n'y a que des femmes à s'occuper du triage du café. Mélany Lindor y travaille depuis plus d'une vingtaine d'années. C'est son gagne-pain quotidien et celui de ses enfants. Le 15 mars 2007, elle était au rendez-vous à la CACGAVA. Le triage, c'est sa spécialité. « Je suis habituée à ce travail, dit-elle. Des fois j'amène mes enfants, je les initie au métier qui leur donne à manger », explique la femme agriculteur, sélectionnant les mauvaises fèves dans un van (layé) avant de soumettre le produit aux responsables de l'atelier. Du jardin caféier à la tasse.
Le café qu'on déguste à la maison ou qu'on exporte vient de loin. Le café cerise est, après la cueillette, dépulpé, fermenté; puis lavé et séché à 12 degré d'humidité. Il est ensuite acheminé vers un centre de traitement. Là, on le décortique, le trie à nouveau avant d'être emballé pour l'exportation. Le café naturel, appelé encore café pilé, préparé traditionnellement par le paysan, est vendu sur le marché local, ou en République dominicaine.Les choses ne sont pas faciles.
La culture du café local n'est pas chose facile pour les producteurs, selon l'ingénieur-agronome Eddy Victor, agent de liaison attaché à RECOCARNO. De nombreuses difficultés accompagnent le processus. Souvent, le paysan, au moment de la cueillette, constate avec peine que sa récolte est à moitié perdue. « Les caféiers, en effet, sont souvent attaqués par des insectes, notamment la scolyte et les pourridiés », explique l'agronome. Longues de 5 mm, les scolytes sont des insectes coléoptères très nuisibles. Elles creusent des galeries dans les caféiers qui entravent ainsi la croissance de la plante. Les pourridiés sont des champignons parasites. En affectant les racines du caféier, ils entrainent souvent la mort de la plante. Entre autres, les saisons pluvieuses n'offrent pas trop d'avantage au caféier. Des fois, trop de pluie fait tomber les cerises de café avant même d'arriver à maturation.
Les contraintes continuent après la cueillette. Les producteurs ne disposent pas assez de matériel pour le séchage adéquat du café naturel ou lavé. Le plus fort du café haïtien, bien qu'intrinsèquement bon, perd sa qualité à cause des mauvaises conditions de préparation.
Les cyclones et leurs effets dévasteurs tuent les jardins caféiers. Selon l'agronome Paul Duret, spécialiste en production de café, d'autres facteurs internes ont contribué à la baisse de la production du café en Haiti: les besoins économiques pressants des agriculteurs, par exemple. Ces derniers ont tendance à remplacer des jardins caféiers par des plantations de haricots qui donnent des revenus en trois mois, tandis que le caféier doit attendre quatre ans. Le prix des haricots connaît au niveau local une hausse vertigineuse.
Par-dessus tout, le problème dans la commercialisation du café reste et demeure au niveau des prix. Le ''Haitian blue'', en dépit de sa reconnaissance internationale depuis 2001, n'améliore pas la situation des producteurs de café parce qu'il n'est pas produit en quantité suffisante (3 500 sur les 400 000 sacs de la production annuelle). De plus, durant ces quatre dernières années, les prix ont baissé sur le marché international.
De ce fait, la dégradation de la filière a atteint son point culminant en 2005 avec la disparition quasi totale du système bancaire traditionnel. Tout cela a diminué le volume de la production. L'étude de la BID sur le café haïtien en 2005 rapporte que la production est passée de 600 000 sacs de 60 kg en 1950 à moins de 400 000 en 2004. Et les exportations ont chuté de 60 %, passant de 27 000 Tonnes métriques en 1950 à 11 000 Tonnes métriques en 2005.
Le café local a de grands atoutsLe café local a, malgré tout, de grands atouts et constitue un créneau de production pour le pays. Le secteur dispose de ressources humaines qualifiées, des ressources matérielles suffisantes capables de relancer la production caféière.
Cette idée de relance du café local, en effet, a déjà suscité, depuis ces dernières années, un regain d'activités dans ce secteur. De plus en plus, les organisations s'unissent entre elles. Des cadres compétents s'engagent dans le domaine. Des ingénieurs-agronomes, techniciens en agriculture, producteurs et agriculteurs, depuis ces dernières années, conjuguent leurs efforts pour relancer la filière. Ils ont implanté plusieurs structures pour la promotion et la valorisation du café local, dont l'Institut national du Café haïtien (INCAH).
Les 23 et 24 mars 2007, à Limonade, sous les auspices du programme PRIMA de l'Union européenne, l'ONG Vétérimed a organisé un colloque régional sur la production agricole, notamment le café, avec les acteurs de ce secteur. " Le café local est comparable et est souvent comparé au Blue Mountain (café jamaïcain, réputé pour sa qualité), lance élogieusement l'agronome Paul Duret.
Le café local attire les exportateurs internationaux Plus de 200.000 exploitants travaillent dans le domaine. La qualité améliorée, le produit est devenu plus compétitif sur le marché national. Et les exportateurs internationaux ne cessent de faire la cour au café local. Le café naturel est exporté aux Etats-Unis et dans certains pays de l'Union européenne. Le café naturel est exporté en République dominicaine et le café lavé expédié vers d'autres pays comme: Japon, Taïwain, Angleterre... Ceci, grâce aux efforts considérables des entreprises de production, notamment la FACN, le RECOCARNO, la COOPCAB et d'autres structures évoluant dans le secteur.
Selon le Laboratoire des relations haitiano-dominicaines (LAREHDO), en combinant les chiffres des exportations officielles (5 millions de dollars américains par année) et ceux des exportations informelles vers la République dominicaine (5 à 10 millions de dollars par année), le café constitue encore aujourd'hui la première denrée agricole d'exportation du pays.
Le café, très apprécié pour sa qualité, constitue une source génératrice de devises, selon l'agronome Jean Luckner Bonheur, spécialiste en appui aux organisations de producteurs de café. Redynamiser le secteur, en supportant les entreprises de production et de transformation, en faisant la promotion de la perle noire haïtienne, rapportera gros au pays.
Jean Max St Fleurtmaxner@yahoo.fr
Jounal Le Nouvelliste sur http://www.lenouvelliste.com
Note:
Ou est passé notre fameux label Saint Marc extra choix posé jadis sur les sacs de café?
Haïti dispose à l'heure actuelle de 100 000 hectares de terres plantés en caféiers, soit 3,6 % du territoire national. C'est ce qui ressort d'une étude réalisée sur le café en 2005 par la Banque Interaméricaine de Développement (BID) de concert avec le ministère de l'Agriculture, des Ressources naturelles et du Développement rural (MARDNR). Cette étude a aussi révélé que les caféières assurent jusqu'à présent la plus grande couverture boisée du pays, soit 12,1 %. Les petits agriculteurs, les véritables acteurs.
La culture du café intéresse beaucoup les Haïtiens. Le nombre de familles haïtiennes impliquées dans ce secteur s'élève à 200.000. La plupart d'entre elles se regroupent en associations ou en coopératives. Citons, entre autres, le Réseau des Coopératives de Café des régions du Nord (RECOCARNO), la Fédérations des Associations caféières natives (FACN) dans la Grand'Anse et le Sud-Est, la Coopérative des Planteurs de café de l'arrondissement de Belle-Anse (COOPCAB) dans le Sud-Est et la CAP dans le Plateau central.Ces organisations ont pratiquement remplacé, depuis une dizaine d'années, les grands exportateurs traditionnels et leur armée de spéculateurs qui ont fait faillite. Elles s'occupent particulièrement du soutien financier et technique des coopératives de production et du conditionnement des cerises de café, appelé encore café vert, jusqu'au produit fini. Mais ceux qui connaissent la fatigue des champs, les détours du processus de transformation, ce sont les petits agriculteurs, particulièrement les femmes. Elles s'occupent en général des trois premières étapes du traitement : la cueillette, le lavage et le triage. A la Coopérative agricole caféière Gabart Levaillant (CACGAVA), dans la commune de Dondon, il n'y a que des femmes à s'occuper du triage du café. Mélany Lindor y travaille depuis plus d'une vingtaine d'années. C'est son gagne-pain quotidien et celui de ses enfants. Le 15 mars 2007, elle était au rendez-vous à la CACGAVA. Le triage, c'est sa spécialité. « Je suis habituée à ce travail, dit-elle. Des fois j'amène mes enfants, je les initie au métier qui leur donne à manger », explique la femme agriculteur, sélectionnant les mauvaises fèves dans un van (layé) avant de soumettre le produit aux responsables de l'atelier. Du jardin caféier à la tasse.
Le café qu'on déguste à la maison ou qu'on exporte vient de loin. Le café cerise est, après la cueillette, dépulpé, fermenté; puis lavé et séché à 12 degré d'humidité. Il est ensuite acheminé vers un centre de traitement. Là, on le décortique, le trie à nouveau avant d'être emballé pour l'exportation. Le café naturel, appelé encore café pilé, préparé traditionnellement par le paysan, est vendu sur le marché local, ou en République dominicaine.Les choses ne sont pas faciles.
La culture du café local n'est pas chose facile pour les producteurs, selon l'ingénieur-agronome Eddy Victor, agent de liaison attaché à RECOCARNO. De nombreuses difficultés accompagnent le processus. Souvent, le paysan, au moment de la cueillette, constate avec peine que sa récolte est à moitié perdue. « Les caféiers, en effet, sont souvent attaqués par des insectes, notamment la scolyte et les pourridiés », explique l'agronome. Longues de 5 mm, les scolytes sont des insectes coléoptères très nuisibles. Elles creusent des galeries dans les caféiers qui entravent ainsi la croissance de la plante. Les pourridiés sont des champignons parasites. En affectant les racines du caféier, ils entrainent souvent la mort de la plante. Entre autres, les saisons pluvieuses n'offrent pas trop d'avantage au caféier. Des fois, trop de pluie fait tomber les cerises de café avant même d'arriver à maturation.
Les contraintes continuent après la cueillette. Les producteurs ne disposent pas assez de matériel pour le séchage adéquat du café naturel ou lavé. Le plus fort du café haïtien, bien qu'intrinsèquement bon, perd sa qualité à cause des mauvaises conditions de préparation.
Les cyclones et leurs effets dévasteurs tuent les jardins caféiers. Selon l'agronome Paul Duret, spécialiste en production de café, d'autres facteurs internes ont contribué à la baisse de la production du café en Haiti: les besoins économiques pressants des agriculteurs, par exemple. Ces derniers ont tendance à remplacer des jardins caféiers par des plantations de haricots qui donnent des revenus en trois mois, tandis que le caféier doit attendre quatre ans. Le prix des haricots connaît au niveau local une hausse vertigineuse.
Par-dessus tout, le problème dans la commercialisation du café reste et demeure au niveau des prix. Le ''Haitian blue'', en dépit de sa reconnaissance internationale depuis 2001, n'améliore pas la situation des producteurs de café parce qu'il n'est pas produit en quantité suffisante (3 500 sur les 400 000 sacs de la production annuelle). De plus, durant ces quatre dernières années, les prix ont baissé sur le marché international.
De ce fait, la dégradation de la filière a atteint son point culminant en 2005 avec la disparition quasi totale du système bancaire traditionnel. Tout cela a diminué le volume de la production. L'étude de la BID sur le café haïtien en 2005 rapporte que la production est passée de 600 000 sacs de 60 kg en 1950 à moins de 400 000 en 2004. Et les exportations ont chuté de 60 %, passant de 27 000 Tonnes métriques en 1950 à 11 000 Tonnes métriques en 2005.
Le café local a de grands atoutsLe café local a, malgré tout, de grands atouts et constitue un créneau de production pour le pays. Le secteur dispose de ressources humaines qualifiées, des ressources matérielles suffisantes capables de relancer la production caféière.
Cette idée de relance du café local, en effet, a déjà suscité, depuis ces dernières années, un regain d'activités dans ce secteur. De plus en plus, les organisations s'unissent entre elles. Des cadres compétents s'engagent dans le domaine. Des ingénieurs-agronomes, techniciens en agriculture, producteurs et agriculteurs, depuis ces dernières années, conjuguent leurs efforts pour relancer la filière. Ils ont implanté plusieurs structures pour la promotion et la valorisation du café local, dont l'Institut national du Café haïtien (INCAH).
Les 23 et 24 mars 2007, à Limonade, sous les auspices du programme PRIMA de l'Union européenne, l'ONG Vétérimed a organisé un colloque régional sur la production agricole, notamment le café, avec les acteurs de ce secteur. " Le café local est comparable et est souvent comparé au Blue Mountain (café jamaïcain, réputé pour sa qualité), lance élogieusement l'agronome Paul Duret.
Le café local attire les exportateurs internationaux Plus de 200.000 exploitants travaillent dans le domaine. La qualité améliorée, le produit est devenu plus compétitif sur le marché national. Et les exportateurs internationaux ne cessent de faire la cour au café local. Le café naturel est exporté aux Etats-Unis et dans certains pays de l'Union européenne. Le café naturel est exporté en République dominicaine et le café lavé expédié vers d'autres pays comme: Japon, Taïwain, Angleterre... Ceci, grâce aux efforts considérables des entreprises de production, notamment la FACN, le RECOCARNO, la COOPCAB et d'autres structures évoluant dans le secteur.
Selon le Laboratoire des relations haitiano-dominicaines (LAREHDO), en combinant les chiffres des exportations officielles (5 millions de dollars américains par année) et ceux des exportations informelles vers la République dominicaine (5 à 10 millions de dollars par année), le café constitue encore aujourd'hui la première denrée agricole d'exportation du pays.
Le café, très apprécié pour sa qualité, constitue une source génératrice de devises, selon l'agronome Jean Luckner Bonheur, spécialiste en appui aux organisations de producteurs de café. Redynamiser le secteur, en supportant les entreprises de production et de transformation, en faisant la promotion de la perle noire haïtienne, rapportera gros au pays.
Jean Max St Fleurtmaxner@yahoo.fr
Jounal Le Nouvelliste sur http://www.lenouvelliste.com
Note:
Ou est passé notre fameux label Saint Marc extra choix posé jadis sur les sacs de café?
Le journal Le Matin commémore ses 100 ans d’existence
Le président du conseil d’administration du journal Le Matin, Reginald Boulos, déclare que le journal qui est devenu centenaire ce 1 avril 2007 renferme plus de 50 % de l’histoire du peuple haïtien. " Les 3 générations de Magloire ont su tenir le journal en dépit des conjonctures difficiles jusqu’en 2002", soutient M Boulos qui a pris le contrôle de l’entreprise tout en gardant le même nom. Tout en rappelant que très peu d’institutions haïtiennes sont centenaires, il précise que Le Matin est une partie du patrimoine nationale. Invité au journal de midi de radio Métropole, Reginald Boulos estime que le Matin est une institution exemplaire parce que des professionnels et des nouveaux entrepreneurs détiennent des actions au sein du journal, qui n’est pas l’expression d’un secteur ni d’un clan. Il met en avant la vision citoyenne des actionnaires de ce journal tiré à 10 000 exemplaires, notant que ces professionnels entendent défendre les droits fondamentaux de la nation haïtienne. Reginald Boulos rend hommage au travail de Claude Moise, éditorialiste et Clarence Fortune, rédacteur en chef qui se sont évertués à apporter la sérénité et la modération dans le débat politique. " Les actionnaires du Matin tout en apportant des fonds à l’entreprise ne sont pas à la recherche primaire du profit, mais veulent réaliser d’abord un geste citoyen", ajoute t-il. Interrogé sur ses ambitions politiques, Reginald Boulos se défend d’être le " Berlusconi " haïtien expliquant qu’il entend apporter sa pierre à la construction de l’édifice national sans pour autant avoir l’intention de devenir candidat à la présidence. Répondant aux critiques sur la décision d’imprimer le journal en République Dominicaine, M. Boulos indique que le coût d’impression serait multiplié par 3 si le journal était imprimé à Port-au-Prince. Pour commémorer le centième anniversaire du journal une journée porte ouverte sera organisée afin de marquer l’événement dans la sobriété.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.phtml?id=12480
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.phtml?id=12480
Proposition d’un plan pour réhabiliter les forêts d’Haïti
L’ingénieur Smith Joseph estime que les inondations enregistrées ces derniers jours dans plusieurs villes du pays constituent une alerte en ce qui a trait à l’extrême dégradation de l’environnement. Depuis plus de 60 il y a un déboisement et une mauvaise gestion des ressources forestières d’Haïti indique t-il ce qui entraîne érosion des terres, inondations, sédimentation, destruction du littoral, pollution de l’eau et désertification. Il rappelle également les conséquences indirectes baisse de la production agricole, diminution de la quantité d’eau et destruction de la diversité écologique. L’ingénieur Smith Joseph propose un plan ambitieux visant à faire passer la couverture forestière de 1,5 % a 50 % dans les 50 prochaines années. Pour atteindre cet objectif il estime qu’il faudra produire un milliard de plantules durant cette période. Au cours des deux premières années il faudra 20 millions de plantules qui seront produites par les pépinières disséminées à travers les différentes régions du pays. Il soutient qu’il faut développer le secteur forestier comme une activité écologique et économique, précisant qu’il s’agit de la meilleure méthode pour protéger les forets. L’état doit avoir une vision pour développer le secteur des forets de manière technique et scientifique souligne t-il rappelant que le plan de gestion détermine la viabilité du projet. Interrogé sur sa stratégie pour augmenter la couverture forestière, M Joseph affirme que la première étape implique une prise de conscience, la détermination des objectifs et la restructuration du ministère de l’environnement. Il estime qu’il faut intégrer les programmes du ministère de l’agriculture et des ressources naturelles au sein du ministère de l’environnement. Dans le cadre de son plan il recommande la création d’une police environnementale (inclut une police forestière), une faculté de la foresterie et un conseil de l’environnement et des ressources naturelles. Pour lui d’autres secteurs doivent intervenir pour assurer le succès du plan ;le ministère de la santé doit contrôler le taux de natalité et le ministère du plan doit veiller aux respect des normes en ce qui a trait à la construction des maisons. Smith Joseph préconise un plan de reboisement des 30 bassins versants et l’interdiction d’utiliser du bois dans les échafaudages. Tout en faisant état de la dégradation accélérée de l’environnement en Haïti, il précise que la quantité et la qualité de l’eau a beaucoup diminué ces dernières années. La problématique de l’environnement nécessite l’implication de tous les secteurs de la vie nationale en vue de trouver une solution viable précise t-il.
L’Université Autonome de Saint Domingue (UASD) propose des bourses d’études à des étudiants haïtiens.
L’Université Autonome de Saint Domingue attribuera 10 bourses pour différentes carrières et facilitera le logement à des étudiants du pays voisin Haïti qui appartiennent au Mouvement National Haïtien. Les facilités seront offertes à travers un accord signé entre la UASD et le MNH par leurs représentants Licencié Roberto Reyna recteur et Monsieur Robert Métayer président respectivement.
Moyennant cet accord, la UASD se compromet que les haïtiens suivent les études qu’offrent les facultés de sciences agronomiques et vétérinaires, sciences de la santé, Génie et architecture, sciences, sciences économiques et sociales et humanitaires, et aussi inclure la préparation de programmes de langue espagnole pour la formation de jeunes haïtiens.
De son côté, le MNH se compromet à offrir des cours de créole et de français destinés au personnel enseignant et administratif de l’université de l’état dominicain.
LE MNH mettra aussi à disposition de la UASD un groupe d’étudiants qui assisteront l’enseignement du programme de français qu’offre la UASD et apportera une collaboration dans différentes branches de travail des facultés.
La signature de l’accord s’est réalisée dans le bureau du Recteur de l’institution universitaire.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal NUEVO DIARIO sur : http://www.elnuevodiario.com.do/app/article.aspx?id=52370; traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
Moyennant cet accord, la UASD se compromet que les haïtiens suivent les études qu’offrent les facultés de sciences agronomiques et vétérinaires, sciences de la santé, Génie et architecture, sciences, sciences économiques et sociales et humanitaires, et aussi inclure la préparation de programmes de langue espagnole pour la formation de jeunes haïtiens.
De son côté, le MNH se compromet à offrir des cours de créole et de français destinés au personnel enseignant et administratif de l’université de l’état dominicain.
LE MNH mettra aussi à disposition de la UASD un groupe d’étudiants qui assisteront l’enseignement du programme de français qu’offre la UASD et apportera une collaboration dans différentes branches de travail des facultés.
La signature de l’accord s’est réalisée dans le bureau du Recteur de l’institution universitaire.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal NUEVO DIARIO sur : http://www.elnuevodiario.com.do/app/article.aspx?id=52370; traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
Un officier et sa femme apparaissent assassinés dans leur résidence: On ignore s’il s’agit d’un suicide ou d’un crime
Santo Domingo.- Le bureau du chef de la Police Nationale a informé qu’un officier de la Marine et son épouse ont été retrouvées mortes par armes à feu samedi après midi dans leur maison située dans le quartier Colinas Dos, de San Francisco de Macoris.
Il s’agit du Lieutenant José Manuel sanchez Zorrilla et Yahaira Susaña âgée de 20 ans.
Selon la Police il n’a pas été déterminé s’il s’agit d’un crime ou d’un suicide. Sanchez Zorrilla était le directeur de la bande de musique de la Marine, il a fait partie du bâton ballet San Esteban de san Pedro ou il a pu exécuter plusieurs instruments de musique.
Les cadavres des victimes ont été transférés à l’unité de Médecine Légale de l’hôpital Antonio Musa, de cette localité.
Il s’agit du Lieutenant José Manuel sanchez Zorrilla et Yahaira Susaña âgée de 20 ans.
Selon la Police il n’a pas été déterminé s’il s’agit d’un crime ou d’un suicide. Sanchez Zorrilla était le directeur de la bande de musique de la Marine, il a fait partie du bâton ballet San Esteban de san Pedro ou il a pu exécuter plusieurs instruments de musique.
Les cadavres des victimes ont été transférés à l’unité de Médecine Légale de l’hôpital Antonio Musa, de cette localité.
Un tiers de la population se sent affecté par les gangs
Par Marien Aristy Capitan
Un dominicain sur cinq questionnés par « l’Enquête d’Opinion Publique de l’Amérique Latine (LAPOP pour ses sigles en anglais) » déclare avoir vu quelqu’un entrain de vendre de la drogue l’année dernière.
Mais ce problème, comme l’indiquent Rosario Espinal et Jana Morgan dans le livre « Culture Politique de la Démocratie en république Dominicaine : 2006 », affecte davantage la zone urbaine que la zone rurale : tandis que 26% de ceux qui résident dans la zone urbaine affirme vu quelqu’un entrain de vendre de la drogue, la réponse obtenue pour la zone rurale est de 11.2%.
En ce qui concerne le thème des gangs, dans le volume, 37% dit que son quartier est très affecté par ce problème tandis que l’indice en zone rurale est de 22.4%.
En détaillant cet aspect, dans la zone urbaine 33% des résidents croient que leurs quartiers ne sont pas affectés par les gangs, 23.2% comprend que les quartiers sont peu affectés, 18.6% admettent qu’ils sont assez affectés et 25.1% assurent qu’ils sont très affectés.
Les indices dans la zone rurale sont les suivants : 53.4% accepte que le problème n’existe pas dans leur quartier ; 24.2% qu’il y a un peu du problème, 14.2% qu’il est assez présent et 8.2% admet que le problème est très présent.
En ce qui concerne la délinquance, la zone la plus vulnérable est la zone métropolitaine de santo domingo qui compte la plus grande incidence d’actes de délinquance : 23.2. En 2004 l’indice était de 14.3%.
En ce qui concerne les autres zones, dans le nord l’indice est passé de 12.2 en 2004 à 14.3 l’année dernière ; dans l’Est d’un 6.3% à 14.5% ; dans le sud d’un 6.7% à 11.8%.
Sur les types d’agressions, 50.8% des affectés ont souffert de vol sans agression ou menace physique et 25.4% de vol avec agression et menace physiques. Le total des vols es de 76.2%
0.8% des délits correspondent à des viols ou agressions sexuelles, 6.1% a des agressions physiques sans vol, 8.6% à des dégâts contre la propriété privée, 7.4% à des vols domestiques et 0.8% à des enlèvements.
De l’ensemble de tous ces actes de délinquance, selon l’étude, 66.8% concerne un type de vols contre la propriété et 33.1% correspondent à des actes contre les personnes, qui sont les plus dangereux du point de vue de la sécurité personnelle.
Poursuivant avec les victimes, avec les années, les plus affectés sont ceux qui détiennent un plus grand niveau éducatif : tandis que le pourcentage de la population soumise à l’enquête es de 16.2%, pour ceux qui ont une éducation universitaire il est de 25%.
En ce qui concerne les autres pays qui ont fait partie de l’enquête, Panam est le pays ou moins de citoyens ont rapporté avoir été victimes d’actes de violence : 7.1%. Celui qui détient les chiffres les plus élevés est le Pérou avec 26.2%
Les autres pays détiennent les indices suivants : Jamaïque 10.1%, Colombie 13.2%, Le Salvador 15.6%, le Nicaragua 16%, la République Dominicaine 16.2%, le Costa Rica 16.5%, la Bolivie 16.8%, Haïti 16.9%, le Guatemala et le Honduras 19.2%, l’Equateur 20%, le Méxique 20.2% et le Chili 23.1%.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal HOY sur : Fuentes: http://www.hoy.com.do/article.aspx?id=17801traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
Un dominicain sur cinq questionnés par « l’Enquête d’Opinion Publique de l’Amérique Latine (LAPOP pour ses sigles en anglais) » déclare avoir vu quelqu’un entrain de vendre de la drogue l’année dernière.
Mais ce problème, comme l’indiquent Rosario Espinal et Jana Morgan dans le livre « Culture Politique de la Démocratie en république Dominicaine : 2006 », affecte davantage la zone urbaine que la zone rurale : tandis que 26% de ceux qui résident dans la zone urbaine affirme vu quelqu’un entrain de vendre de la drogue, la réponse obtenue pour la zone rurale est de 11.2%.
En ce qui concerne le thème des gangs, dans le volume, 37% dit que son quartier est très affecté par ce problème tandis que l’indice en zone rurale est de 22.4%.
En détaillant cet aspect, dans la zone urbaine 33% des résidents croient que leurs quartiers ne sont pas affectés par les gangs, 23.2% comprend que les quartiers sont peu affectés, 18.6% admettent qu’ils sont assez affectés et 25.1% assurent qu’ils sont très affectés.
Les indices dans la zone rurale sont les suivants : 53.4% accepte que le problème n’existe pas dans leur quartier ; 24.2% qu’il y a un peu du problème, 14.2% qu’il est assez présent et 8.2% admet que le problème est très présent.
En ce qui concerne la délinquance, la zone la plus vulnérable est la zone métropolitaine de santo domingo qui compte la plus grande incidence d’actes de délinquance : 23.2. En 2004 l’indice était de 14.3%.
En ce qui concerne les autres zones, dans le nord l’indice est passé de 12.2 en 2004 à 14.3 l’année dernière ; dans l’Est d’un 6.3% à 14.5% ; dans le sud d’un 6.7% à 11.8%.
Sur les types d’agressions, 50.8% des affectés ont souffert de vol sans agression ou menace physique et 25.4% de vol avec agression et menace physiques. Le total des vols es de 76.2%
0.8% des délits correspondent à des viols ou agressions sexuelles, 6.1% a des agressions physiques sans vol, 8.6% à des dégâts contre la propriété privée, 7.4% à des vols domestiques et 0.8% à des enlèvements.
De l’ensemble de tous ces actes de délinquance, selon l’étude, 66.8% concerne un type de vols contre la propriété et 33.1% correspondent à des actes contre les personnes, qui sont les plus dangereux du point de vue de la sécurité personnelle.
Poursuivant avec les victimes, avec les années, les plus affectés sont ceux qui détiennent un plus grand niveau éducatif : tandis que le pourcentage de la population soumise à l’enquête es de 16.2%, pour ceux qui ont une éducation universitaire il est de 25%.
En ce qui concerne les autres pays qui ont fait partie de l’enquête, Panam est le pays ou moins de citoyens ont rapporté avoir été victimes d’actes de violence : 7.1%. Celui qui détient les chiffres les plus élevés est le Pérou avec 26.2%
Les autres pays détiennent les indices suivants : Jamaïque 10.1%, Colombie 13.2%, Le Salvador 15.6%, le Nicaragua 16%, la République Dominicaine 16.2%, le Costa Rica 16.5%, la Bolivie 16.8%, Haïti 16.9%, le Guatemala et le Honduras 19.2%, l’Equateur 20%, le Méxique 20.2% et le Chili 23.1%.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal HOY sur : Fuentes: http://www.hoy.com.do/article.aspx?id=17801traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
FR pense qu’il y a chantage et persécution dans le cas de Madame Sonia PIERRE
Santiago.- Le comité régional du Parti Force de la Révolution, a affirmé hier que derrière les investigations que réalise la Junte Centrale Electorale (JCE) dans le but de déterminer la nationalité de Madame Sonia PIERRE, l’activiste des droits des haïtiens résidant en République Dominicaine, ce qui se cache c’est un chantage et une répression à son encontre.
« Les valeurs que défendent Madame PIERRE sont au-dessus d’un « malheureux » acte de naissance », a manifesté l’entité à travers d’un document.
Il a déclaré que soulever cet argument pour faire obstacle aux droits que défend Madame PIERRE de protéger les citoyens, qu’ils soient haïtiens, dominicains ou chinois représente une iniquité qui diminue les autorités de la JCE et le gouvernement qui se sont prêtés à cette manœuvre »
La Force de la Révolution considéra que les problèmes migratoires sont aujourd’hui plus que jamais des problèmes politiques de grandes envergures qui requièrent d’énormes sacrifices afin d’obtenir la paix et la sécurité des peuples.
Il a assuré que Haïti et la République Dominicaine font partie d’un même territoire, et que sa pauvreté et ses tragédies vont de pair mais des oligarchies et un colonialisme puissant ont soumis àses deux peuples dans la pauvreté et une situation humiliante d’orphelins.
La nécessité de survivre, de rencontrer un toit pour ne pas périr sous le poids de l’humiliation reste un droit que l’on ne peut pas nier ni minimiser » a-t-il signalé.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal HOY sur : http://www.hoy.com.do/article.aspx?id=17807, traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
« Les valeurs que défendent Madame PIERRE sont au-dessus d’un « malheureux » acte de naissance », a manifesté l’entité à travers d’un document.
Il a déclaré que soulever cet argument pour faire obstacle aux droits que défend Madame PIERRE de protéger les citoyens, qu’ils soient haïtiens, dominicains ou chinois représente une iniquité qui diminue les autorités de la JCE et le gouvernement qui se sont prêtés à cette manœuvre »
La Force de la Révolution considéra que les problèmes migratoires sont aujourd’hui plus que jamais des problèmes politiques de grandes envergures qui requièrent d’énormes sacrifices afin d’obtenir la paix et la sécurité des peuples.
Il a assuré que Haïti et la République Dominicaine font partie d’un même territoire, et que sa pauvreté et ses tragédies vont de pair mais des oligarchies et un colonialisme puissant ont soumis àses deux peuples dans la pauvreté et une situation humiliante d’orphelins.
La nécessité de survivre, de rencontrer un toit pour ne pas périr sous le poids de l’humiliation reste un droit que l’on ne peut pas nier ni minimiser » a-t-il signalé.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal HOY sur : http://www.hoy.com.do/article.aspx?id=17807, traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
“Divulguer l’acte de MADAME SONIA PIERRE été une imprudence » : Docteur EDDY OLIVARES, juge de la Chambre des Contentieux de la Junte Centrale Elector
Par Loyda PENA
Le docteur Eddy Olivares, membre de la Junte Centrale Electorale (JCE) a considéré hier comme « une imprudence » de la Chambre administrative le fait d’avoir divulgué la notion de l’illégalité de l’acte de naissance de l’activiste pro haïtienne Madame SONIA PIERRE, affirmant que ceci consiste à donner des munitions à ceux qui, animés de mauvaise foi, utilisent le sujet de la migration haïtienne pour causer du tort à la République Dominicaine.
Il déclara que la JCE a toujours connu des certaines de cas similaires a celui de Madame PIERRE, et que actuellement la Commission des Offices d’état civil, dont il fait partie, étudie des dizaines de ce type d’irrégularités et aucun de ces cas ait été divulgué.
« Avec cette indiscrétion, que je clarifie, qui n’est pas de la responsabilité de l’assemblée de la JCE mais de la Chambre administrative, on lui rend un maigre service a pays et à l’institution, on présente comme victime une personne avec qui nous pouvons être d’accord ou pas, mais une personne aui, -nous devons le reconnaître- a su gagner le respect et la considération de tous y compris au niveau international, dans as lutte en faveur de ce qu’elle considère une juste cause » a déclaré Olivares.
Il ajouta que l’irrégularité dans la déclaration de la naissance de MADAME SONIA PIERRE est le produit du désordre qui a régné jusqu’à présent dans les bureaux d’état civil qui a provoqué le fait que la majorité des dominicains une fois ont été confrontés à des problèmes avec leurs pièces de nationalité et d’identité.
« Une preuve de ceci est que l’indice de dominicains sans papiers qui vivent en République dominicaine, leur propre pays est supérieur à l’indice des dominicains résidant aux Etats-Unis et en Europe et le système ne trouve pas le moyen de résoudre ce problème car il est régi par une loi de l’année 1944, modifiée par la loi 659 qu’il est urgent de modifier » souligna le Magistrat OLIVARES.
Il souligna que la nouvelle JCE dans son effort pour résoudre cette problématique vieille de plusieurs années, a rencontré le cas de MADAME SONIA PIERRE, lequel, a-t-il soutenu, aurait du être traité comme les autres cas, c'est-à-dire, aller au devant de l’assemblée et après devant la commission des bureaux d’office d’état civil qui représente l’instance ou se traite ce genre de sujet.
Il ajouta qu’en plus ; les inspecteurs responsables de l’investigation qui ont été ceux qui ont recommandé l’annulation de l’acte de naissance de Madame PIERRE, ne sont pas facultés à faire des recommandation à la Junte Centrale Electorale.
La Junte ne doit pas se prêter au jeu d’individus particuliers ou groupes dans ce type d’investigation en République Dominicaine comme dans n’importe quel autre pays il y a des réaction raciales individuelles, mais personne peut dire avec des arguments solides que nous sommes racistes et anti haïtiens, parce qu’ils sont des milliers à vivre avec nous comme s’ils étaient aussi des dominicains » a ponctué le docteur Olivares dans des déclarations faites au journal HOY.
L’investigation sur l’inscription de naissance de la coordonnatrice du mouvement en faveur des droits des femmes dominico haïtiennes fut sollicitée à la JCE par la Force Nationale Progressiste.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal HOY sur : http://www.hoy.com.do/article.aspx?id=17814, traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
Le docteur Eddy Olivares, membre de la Junte Centrale Electorale (JCE) a considéré hier comme « une imprudence » de la Chambre administrative le fait d’avoir divulgué la notion de l’illégalité de l’acte de naissance de l’activiste pro haïtienne Madame SONIA PIERRE, affirmant que ceci consiste à donner des munitions à ceux qui, animés de mauvaise foi, utilisent le sujet de la migration haïtienne pour causer du tort à la République Dominicaine.
Il déclara que la JCE a toujours connu des certaines de cas similaires a celui de Madame PIERRE, et que actuellement la Commission des Offices d’état civil, dont il fait partie, étudie des dizaines de ce type d’irrégularités et aucun de ces cas ait été divulgué.
« Avec cette indiscrétion, que je clarifie, qui n’est pas de la responsabilité de l’assemblée de la JCE mais de la Chambre administrative, on lui rend un maigre service a pays et à l’institution, on présente comme victime une personne avec qui nous pouvons être d’accord ou pas, mais une personne aui, -nous devons le reconnaître- a su gagner le respect et la considération de tous y compris au niveau international, dans as lutte en faveur de ce qu’elle considère une juste cause » a déclaré Olivares.
Il ajouta que l’irrégularité dans la déclaration de la naissance de MADAME SONIA PIERRE est le produit du désordre qui a régné jusqu’à présent dans les bureaux d’état civil qui a provoqué le fait que la majorité des dominicains une fois ont été confrontés à des problèmes avec leurs pièces de nationalité et d’identité.
« Une preuve de ceci est que l’indice de dominicains sans papiers qui vivent en République dominicaine, leur propre pays est supérieur à l’indice des dominicains résidant aux Etats-Unis et en Europe et le système ne trouve pas le moyen de résoudre ce problème car il est régi par une loi de l’année 1944, modifiée par la loi 659 qu’il est urgent de modifier » souligna le Magistrat OLIVARES.
Il souligna que la nouvelle JCE dans son effort pour résoudre cette problématique vieille de plusieurs années, a rencontré le cas de MADAME SONIA PIERRE, lequel, a-t-il soutenu, aurait du être traité comme les autres cas, c'est-à-dire, aller au devant de l’assemblée et après devant la commission des bureaux d’office d’état civil qui représente l’instance ou se traite ce genre de sujet.
Il ajouta qu’en plus ; les inspecteurs responsables de l’investigation qui ont été ceux qui ont recommandé l’annulation de l’acte de naissance de Madame PIERRE, ne sont pas facultés à faire des recommandation à la Junte Centrale Electorale.
La Junte ne doit pas se prêter au jeu d’individus particuliers ou groupes dans ce type d’investigation en République Dominicaine comme dans n’importe quel autre pays il y a des réaction raciales individuelles, mais personne peut dire avec des arguments solides que nous sommes racistes et anti haïtiens, parce qu’ils sont des milliers à vivre avec nous comme s’ils étaient aussi des dominicains » a ponctué le docteur Olivares dans des déclarations faites au journal HOY.
L’investigation sur l’inscription de naissance de la coordonnatrice du mouvement en faveur des droits des femmes dominico haïtiennes fut sollicitée à la JCE par la Force Nationale Progressiste.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal HOY sur : http://www.hoy.com.do/article.aspx?id=17814, traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
La Police déclare activer la localisation de la femme qui aurait brûlé un couple.
Santo Domingo.- Des investigateurs de la police nationale activent la localisation d’une femme qui aurait le 24 mars dernier aspergé d’essence son ex concubin et la femme de ce dernier et après aurait mis le feu en craquant une allumette, provoquant des blessures qui ont occasionné la mort du couple.
L’accusée en cavale répond au nom de Yudelka Baez Casado (Yudith) qui a commis le crime contre son ex concubin René de la Nuez Fermin pendant que ce dernier se trouvait en compagnie de son amie de maintenant Maria Magdalena Jerez, en sa résidence du numéro 7 de la rue Miosota du secteur Los tres brazos.
Maria Magdalena est décédée jeudi dernier à onze heures du soir et a été enterrée le lendemain, le vendredi, et René est mort quelques heures après les funérailles de son amie.
Apres les funérailles, les membres de la famille de De la Nuez semblaient très affectés et ont refusé de faire des déclarations aux journalistes. Ils ont simplement exigé que la police arrête l’accusé Yudelkis Alexandra.
Baez Casado a visité la maison ou résidait le couple, là ou elle a vécu quand elle partageait la vie de Monsieur De la Nuez, la veille de la tragédie pour récupérer deux des trois enfants qu’ils avaient procréés ensemble avec le prétexte que l’un d’eux célébrait son anniversaire de naissance.
Le jour suivant, elle revint tôt dans la matinée, rentra dans la chambre ou dormaient Jerez et De la Nuez, les aspergea d’essence et craqua une allumette et la lança par la fenêtre. Elle prit la fuite en emportant avec elle la plus jeune de ses trois enfants.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal Listin Diario sur : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=8161, traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
L’accusée en cavale répond au nom de Yudelka Baez Casado (Yudith) qui a commis le crime contre son ex concubin René de la Nuez Fermin pendant que ce dernier se trouvait en compagnie de son amie de maintenant Maria Magdalena Jerez, en sa résidence du numéro 7 de la rue Miosota du secteur Los tres brazos.
Maria Magdalena est décédée jeudi dernier à onze heures du soir et a été enterrée le lendemain, le vendredi, et René est mort quelques heures après les funérailles de son amie.
Apres les funérailles, les membres de la famille de De la Nuez semblaient très affectés et ont refusé de faire des déclarations aux journalistes. Ils ont simplement exigé que la police arrête l’accusé Yudelkis Alexandra.
Baez Casado a visité la maison ou résidait le couple, là ou elle a vécu quand elle partageait la vie de Monsieur De la Nuez, la veille de la tragédie pour récupérer deux des trois enfants qu’ils avaient procréés ensemble avec le prétexte que l’un d’eux célébrait son anniversaire de naissance.
Le jour suivant, elle revint tôt dans la matinée, rentra dans la chambre ou dormaient Jerez et De la Nuez, les aspergea d’essence et craqua une allumette et la lança par la fenêtre. Elle prit la fuite en emportant avec elle la plus jeune de ses trois enfants.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal Listin Diario sur : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=8161, traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
LE JUGE DE LA JUNTE CENTRALE ELECTORALE EDDY OLIVARES DEMANDE DE LA PRUDENCE DANS LE CAS DE SONIA PIERRE
Santo Domingo.- Le juge de la Chambre de Contentieux de la Junte Centrale Electorale (JCE) Eddy Olivares, a considéré hier cette institution doit traité avec beaucoup de prudence n’importe quel aspect en rapport avec le sujet haïtien, sans se laisser traîner par des groupes ni des secteurs intéressés par le cas de l’activiste des droits humains, Madame Sonia PIERRE.
Il a affirmé que « Il ne correspond point à la JCE, il ne doit pas ni ne lui convient d’intervenir dans ce débat et encore moins se laisser traîner par des groupes et des secteurs intéressés par le sujet ».
Il a indiqué qu’au milieu du désordre qui caractérise le registre civil du pays, les juges se sont rendus compte que le même problème qui existe au sujet de la déclaration de la naissance de Madame Sonia PIERRE, survient dans le cas des milliers de dominicains pauvres qui ont été déclarés par un oncle, un frère, un voisin ou un parrain.
Le Juge Olivares a considéré qu’avant d’élucide au niveau de l’opinion publique nationale, le rapport concernant le cas PIERRE aurait du être débattu par l’assemblée générale de la Junte Centrale Electorale et ensuite au niveau de la commission des offices d’état civil de cette institution. Le Magistrat a exprimé que la Commission des offices d’état civil connaît chaque semaine des cas similaires à celui-ci et encore plus compliqué, sans qu’on ait à faire appel aux tribunaux du pays. « Surtout, quand il n’y a pas eu une investigation issue exclusivement de la Junte Centrale Electorale et qu’il n- y a pas eu d’irrégularités commises par elle », insista-t-il.
I ajouta que « dans ce cas, comme dans le cas de plusieurs enfants qui ont été déclarés de façon irrégulière pour la raison que ce soit, ils ne doivent pas payer le prix de cette irrégularité qui résulte de la responsabilité de leurs pères ou des personnes qui les ont déclarés, mais surtout de la déficience institutionnelle du registre civil ».
Le Juge Olivares Affirma que les fonctionnaires de la JCE qui ont remis à la Chambre administrative l’investigation sur les irrégularités autour de l’acte de naissance ne disposent pas la capacité juridique pour recommander à l’assemblée des juge l’annulation du document et qu’ils auraient du se limiter à remettre le rapport aux juges.
Il a considéré « qu’on lui fait du mal au pays et on leur a remis des munitions à ceux là qui, animés de mauvaise fois font usage de ce problème pour attaquer la République Dominicaine et on donne raison à ceux là qui le croient de bonne foi, quand on ressort des arguments imprudents contre des individus qui en étant en accord ou non avec eux, ont gagné le respect de tous, dans leur lutte pour des causes qu’ils considèrent justes.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal Listin Diario sur : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=8268, traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
Il a affirmé que « Il ne correspond point à la JCE, il ne doit pas ni ne lui convient d’intervenir dans ce débat et encore moins se laisser traîner par des groupes et des secteurs intéressés par le sujet ».
Il a indiqué qu’au milieu du désordre qui caractérise le registre civil du pays, les juges se sont rendus compte que le même problème qui existe au sujet de la déclaration de la naissance de Madame Sonia PIERRE, survient dans le cas des milliers de dominicains pauvres qui ont été déclarés par un oncle, un frère, un voisin ou un parrain.
Le Juge Olivares a considéré qu’avant d’élucide au niveau de l’opinion publique nationale, le rapport concernant le cas PIERRE aurait du être débattu par l’assemblée générale de la Junte Centrale Electorale et ensuite au niveau de la commission des offices d’état civil de cette institution. Le Magistrat a exprimé que la Commission des offices d’état civil connaît chaque semaine des cas similaires à celui-ci et encore plus compliqué, sans qu’on ait à faire appel aux tribunaux du pays. « Surtout, quand il n’y a pas eu une investigation issue exclusivement de la Junte Centrale Electorale et qu’il n- y a pas eu d’irrégularités commises par elle », insista-t-il.
I ajouta que « dans ce cas, comme dans le cas de plusieurs enfants qui ont été déclarés de façon irrégulière pour la raison que ce soit, ils ne doivent pas payer le prix de cette irrégularité qui résulte de la responsabilité de leurs pères ou des personnes qui les ont déclarés, mais surtout de la déficience institutionnelle du registre civil ».
Le Juge Olivares Affirma que les fonctionnaires de la JCE qui ont remis à la Chambre administrative l’investigation sur les irrégularités autour de l’acte de naissance ne disposent pas la capacité juridique pour recommander à l’assemblée des juge l’annulation du document et qu’ils auraient du se limiter à remettre le rapport aux juges.
Il a considéré « qu’on lui fait du mal au pays et on leur a remis des munitions à ceux là qui, animés de mauvaise fois font usage de ce problème pour attaquer la République Dominicaine et on donne raison à ceux là qui le croient de bonne foi, quand on ressort des arguments imprudents contre des individus qui en étant en accord ou non avec eux, ont gagné le respect de tous, dans leur lutte pour des causes qu’ils considèrent justes.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal Listin Diario sur : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=8268, traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
Les fils d’un propriétaire d’un bureau de change blessé lors d’une agression ont planifié l’attaque contre leur père.
Des agents de la Police ont procédé à l’arrestation de deux frères accusés d’avoir planifié le vol contre leur père, propriétaire d’une maison de change qui a été blessé pendant l’attaque perpétrée en sa résidence de la Capitale, ou trois individus portant des armes à feu ont pénétré et l’ont dépouillé d’argent en espèces, des bijoux et de son téléphone cellulaire.
Les détenus ont été identifiés comme Danilo Fernando Almonte Sosa (Humberto o Beco le rouquin), âgé de 42 ans et Santiago Domingo Antonio Rodriguez Capellan (Le lent), âgé de 49 ans, accusé de planifier l’agression contre son père Domingo Rodriguez Santana.
Almonte Sosa est le fils adoptif de la victime, tandis que Rodriguez Capellan en est le fils légitime.
Ont été accusés de participer à l’agression Ely Alexander Rodriguez Peralta et Hatuey Rodriguez Javier qui sont actuellement en cavale.
Durant le vol, les agresseurs ont pu dépouiller le propriétaire du bureau de change 300.000 pesos dominicains, des chèques d’une valeur de 2.000.000 de pesos, une montre de marque SEIKO et un téléphone portable de marque LG, il lui ont provoqué des blessures puis ont pris la fuite à bord d’une camionnette marque TOYOTA HI-LUX, de couleur blanche.
Au cours de l’investigation, il a été déterminé que les frères ont planifié l’agression contre leur père Rodriguez Santana parce que Almonte Sosa accuse Rodriguez Capellan de lui avoir remis un chèque de 60.000 pesos, produit du vol.
Les détenus seront remis aux autorités judiciaires dans les prochaines heures, tandis que la Police Nationale a lancé un appel aux accusés en cavale Rodriguez Peralta et Rodriguez Javier pour qu’ils se rendent à la justice afin de répondre aux accusations de leur participation présumée au vol.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal Listin Diario sur : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=8173, traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
Les détenus ont été identifiés comme Danilo Fernando Almonte Sosa (Humberto o Beco le rouquin), âgé de 42 ans et Santiago Domingo Antonio Rodriguez Capellan (Le lent), âgé de 49 ans, accusé de planifier l’agression contre son père Domingo Rodriguez Santana.
Almonte Sosa est le fils adoptif de la victime, tandis que Rodriguez Capellan en est le fils légitime.
Ont été accusés de participer à l’agression Ely Alexander Rodriguez Peralta et Hatuey Rodriguez Javier qui sont actuellement en cavale.
Durant le vol, les agresseurs ont pu dépouiller le propriétaire du bureau de change 300.000 pesos dominicains, des chèques d’une valeur de 2.000.000 de pesos, une montre de marque SEIKO et un téléphone portable de marque LG, il lui ont provoqué des blessures puis ont pris la fuite à bord d’une camionnette marque TOYOTA HI-LUX, de couleur blanche.
Au cours de l’investigation, il a été déterminé que les frères ont planifié l’agression contre leur père Rodriguez Santana parce que Almonte Sosa accuse Rodriguez Capellan de lui avoir remis un chèque de 60.000 pesos, produit du vol.
Les détenus seront remis aux autorités judiciaires dans les prochaines heures, tandis que la Police Nationale a lancé un appel aux accusés en cavale Rodriguez Peralta et Rodriguez Javier pour qu’ils se rendent à la justice afin de répondre aux accusations de leur participation présumée au vol.
Article original en espagnol para dans l’édition digitale du journal Listin Diario sur : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=8173, traduit par Thom GATO pour Haïti recto verso sur http://haitirectoverso.blogspot.com
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