Sacrés chinois ! Fallait-il boycotter les Jeux Olympiques ?
Qui peut aujourd’hui sous estimer le poids de la Chine sur l’échiquier mondial ? Personne. La Chine c’est cet ami que l’on traite avec parcimonie. Ce collègue difficile à cerner ; au sourire large sans doute énigmatique, au courroux retenu et ravageur. Ce partenaire choyé et craint à la fois.
Souvent les grandes idées modernes et révolutionnaires semblent s’arrêter au pied de la merveilleuse muraille. Ces murailles sont si infranchissables que jusqu’à présent les échos des voix de ceux qui se sentent lésés dans leurs droits n’arrivent pas à la percer pour toucher les oreilles attentives maîtres du monde, les défenseurs de la démocratie, les zoros de la justice sociale, le super man de la justice sociale, les « chapulin colorado » des droits de l’homme.
Delà qu’il n’ y a jamais eu ni de sanction, ni d’embargos ni de guerre contre la chine en vue de pousser les autorités à ouvrir le pays à la démocratie. Nous avons oublié de souligner l’absence de pétrole en chine parmi les considérations du paragraphe antérieur. Bref pour la géopolitique mondiale ce n’est surtout pas déterminant. N’est-ce pas.
Malgré les convictions et les principes prônés par les autorités chinoises le Comité Olympique International n’a pas sourcillé une minute en accordant l’organisation des jeux à ce pays même si l’esprit des jeux pourrait, à un moment de le durée diverger des principes chinois. L’idée avait été de promouvoir les changements en faisant pression de l’intérieur, du genre des agents qui infiltrent les organisations malhonnêtes pour pouvoir les arrêter et les ramener à ordre.
Peu de temps avant le début du traditionnel parcourt de la flamme olympique les relations entre la Chine et le Tibet se sont envenimées avec des répressions, des emprisonnements et des morts.
Les grognes retenues de ceux-là qui n’ont jamais compris les largesses cédées à la Chine explosent . Les grogneurs ont profité pour dénoncer l’action du gouvernement central chinois en lançant un mot d’ordre de boycott au parcours de la flamme olympique. Le mot d’ordre est lancé et capitalisé par Reporters sans frontières dont les membres et sympathisants vont passer rapidement de la parole aux actes.
L’inauguration des festivités marquant le début des jeux olympiques se verront profondément perturbées. Le coup d’envoi était donc donné d’une chronique de bordel annoncé pour la fameuse flamme olympique qui est sensée réunir, autour du des différentes disciplines sportives, toute l’humanité.
Après les actions assez répréhensibles pour certains des chefs de fil de Reporters sans frontières, l’idée de boycott des jeux fit des émules un peu partout dans le monde et bien entendu en France ou la flamme était attendue quelques jours plus tard.
Un concours de circonstances combiné à un hasard de calendrier m’a permis de vivre en direct un très grand moment à Paris, lors du passage gâché de la flamme olympique.
Je suis arrivé à Paris le samedi en début d’après midi. Je n’ai pas eu ni l’idée ni envie de visiter Paris. Je me suis donc vautré dans ma chambre d’hôtel pour…dormir…Pour me bercer pendant mon sommeil parisien j’ai allumé la télé et je suis tombé tout à fait par hasard sur une chaîne câblée anglaise qui assurait justement le parcours de la flamme Olympique sous forte escorte policière anglaise et chinoise.
Là j’ai réalisé que la flamme olympique allait passer par de dures épreuves surtout après avoir traversé la manche en territoire français, la terre des droits de l’homme.
J’ai trouvé assez amusant de voir la protection déployée sur le trajet de la flamme. Du suspens à n’importe quel moment, à n’importe quel coin de rue, en guise d’une foule bonne enfant applaudissant les relais et les sportifs prêt-à-porter
Durant des heures j’ai suivi, l’air amusé les interventions des grogneurs surgissant avec extincteurs à la main, défiant les forces de l’ordre qui essaient à tout prix de maîtriser ces illuminés de la cause Tibétaine. J’ai vu l’air amusé, un soldat des droits de l’homme se jeter sur une présentatrice de télévision d’une chaîne anglaise , très jolie, menue et délicate.
En dehors du côte presque hilarant de voir quelques minutes après cette frêle demoiselle encore tremblotante, sous le coup de l’émotion , il fallait constater que le spectacle du parcours de la flamme olympique dans les rues de al capitale anglaise ressemblait a tout sauf le parcours d’une flamme olympique. En effet le double ou triple cordon de sécurité disposé autour de ce symbole rappelait plutôt l’accompagnement d’un élément dangereux très exposé.
Je savais certes que le lendemain elle devrait sillonner les rues de Paris. Et drôle de coïncidence, moi aussi j’étais à Paris. Mais j’ignorais que j’allais me retrouver à peu près dans les parages de la Tour Eiffel au moment du passage de la flamme à ce niveau.
Ainsi je me rendis normalement à mon rendez-vous tôt dans la matinée et quelques heures après je me suis régalé ma petite promenade sur l’avenue la plus belle du monde : Les Champs Elysées…
Arrivé à la hauteur de l’arc de triomphe. Comme d’habitude des touristes de tous les faciès brandissaient des sourires les uns plus différents que les autres le temps d’une pose photo ; ou d’une pause tout court. Les jeunes amoureux veulent éterniser un baiser échanger juste devant la gerbe et le feu placés en hommage au soldat inconnu. Bref, l’activité de tous les jours au pieds d’un des monuments les plus visités du monde.
Cependant, en ce lundi 7 avril, la file d’attente pour gravir les sommets était plus longue, plus lente . En fait, des agents de la police faisait une fouille profonde et minutieuse. Les sacs des femmes étaient révisés à la loupe. Les inscriptions sur les T-Shirts étaient lus déchiffrés et contrôlés. Les forces de l’ordre cette fis-ci avaient interdit des choses qui sont généralement acceptées
Sans trop me demander pourquoi, je commençai à chercher ma route vers la Tour Eiffel. Avec ces édifications exagérément haut, on a toujours l’impression de les atteindre dans cinq ou dix minutes de marche. Cependant après une demie heure on comprend ce que c’est la vision en contre perspective. …(A SUIVRE)
Qui peut aujourd’hui sous estimer le poids de la Chine sur l’échiquier mondial ? Personne. La Chine c’est cet ami que l’on traite avec parcimonie. Ce collègue difficile à cerner ; au sourire large sans doute énigmatique, au courroux retenu et ravageur. Ce partenaire choyé et craint à la fois.
Souvent les grandes idées modernes et révolutionnaires semblent s’arrêter au pied de la merveilleuse muraille. Ces murailles sont si infranchissables que jusqu’à présent les échos des voix de ceux qui se sentent lésés dans leurs droits n’arrivent pas à la percer pour toucher les oreilles attentives maîtres du monde, les défenseurs de la démocratie, les zoros de la justice sociale, le super man de la justice sociale, les « chapulin colorado » des droits de l’homme.
Delà qu’il n’ y a jamais eu ni de sanction, ni d’embargos ni de guerre contre la chine en vue de pousser les autorités à ouvrir le pays à la démocratie. Nous avons oublié de souligner l’absence de pétrole en chine parmi les considérations du paragraphe antérieur. Bref pour la géopolitique mondiale ce n’est surtout pas déterminant. N’est-ce pas.
Malgré les convictions et les principes prônés par les autorités chinoises le Comité Olympique International n’a pas sourcillé une minute en accordant l’organisation des jeux à ce pays même si l’esprit des jeux pourrait, à un moment de le durée diverger des principes chinois. L’idée avait été de promouvoir les changements en faisant pression de l’intérieur, du genre des agents qui infiltrent les organisations malhonnêtes pour pouvoir les arrêter et les ramener à ordre.
Peu de temps avant le début du traditionnel parcourt de la flamme olympique les relations entre la Chine et le Tibet se sont envenimées avec des répressions, des emprisonnements et des morts.
Les grognes retenues de ceux-là qui n’ont jamais compris les largesses cédées à la Chine explosent . Les grogneurs ont profité pour dénoncer l’action du gouvernement central chinois en lançant un mot d’ordre de boycott au parcours de la flamme olympique. Le mot d’ordre est lancé et capitalisé par Reporters sans frontières dont les membres et sympathisants vont passer rapidement de la parole aux actes.
L’inauguration des festivités marquant le début des jeux olympiques se verront profondément perturbées. Le coup d’envoi était donc donné d’une chronique de bordel annoncé pour la fameuse flamme olympique qui est sensée réunir, autour du des différentes disciplines sportives, toute l’humanité.
Après les actions assez répréhensibles pour certains des chefs de fil de Reporters sans frontières, l’idée de boycott des jeux fit des émules un peu partout dans le monde et bien entendu en France ou la flamme était attendue quelques jours plus tard.
Un concours de circonstances combiné à un hasard de calendrier m’a permis de vivre en direct un très grand moment à Paris, lors du passage gâché de la flamme olympique.
Je suis arrivé à Paris le samedi en début d’après midi. Je n’ai pas eu ni l’idée ni envie de visiter Paris. Je me suis donc vautré dans ma chambre d’hôtel pour…dormir…Pour me bercer pendant mon sommeil parisien j’ai allumé la télé et je suis tombé tout à fait par hasard sur une chaîne câblée anglaise qui assurait justement le parcours de la flamme Olympique sous forte escorte policière anglaise et chinoise.
Là j’ai réalisé que la flamme olympique allait passer par de dures épreuves surtout après avoir traversé la manche en territoire français, la terre des droits de l’homme.
J’ai trouvé assez amusant de voir la protection déployée sur le trajet de la flamme. Du suspens à n’importe quel moment, à n’importe quel coin de rue, en guise d’une foule bonne enfant applaudissant les relais et les sportifs prêt-à-porter
Durant des heures j’ai suivi, l’air amusé les interventions des grogneurs surgissant avec extincteurs à la main, défiant les forces de l’ordre qui essaient à tout prix de maîtriser ces illuminés de la cause Tibétaine. J’ai vu l’air amusé, un soldat des droits de l’homme se jeter sur une présentatrice de télévision d’une chaîne anglaise , très jolie, menue et délicate.
En dehors du côte presque hilarant de voir quelques minutes après cette frêle demoiselle encore tremblotante, sous le coup de l’émotion , il fallait constater que le spectacle du parcours de la flamme olympique dans les rues de al capitale anglaise ressemblait a tout sauf le parcours d’une flamme olympique. En effet le double ou triple cordon de sécurité disposé autour de ce symbole rappelait plutôt l’accompagnement d’un élément dangereux très exposé.
Je savais certes que le lendemain elle devrait sillonner les rues de Paris. Et drôle de coïncidence, moi aussi j’étais à Paris. Mais j’ignorais que j’allais me retrouver à peu près dans les parages de la Tour Eiffel au moment du passage de la flamme à ce niveau.
Ainsi je me rendis normalement à mon rendez-vous tôt dans la matinée et quelques heures après je me suis régalé ma petite promenade sur l’avenue la plus belle du monde : Les Champs Elysées…
Arrivé à la hauteur de l’arc de triomphe. Comme d’habitude des touristes de tous les faciès brandissaient des sourires les uns plus différents que les autres le temps d’une pose photo ; ou d’une pause tout court. Les jeunes amoureux veulent éterniser un baiser échanger juste devant la gerbe et le feu placés en hommage au soldat inconnu. Bref, l’activité de tous les jours au pieds d’un des monuments les plus visités du monde.
Cependant, en ce lundi 7 avril, la file d’attente pour gravir les sommets était plus longue, plus lente . En fait, des agents de la police faisait une fouille profonde et minutieuse. Les sacs des femmes étaient révisés à la loupe. Les inscriptions sur les T-Shirts étaient lus déchiffrés et contrôlés. Les forces de l’ordre cette fis-ci avaient interdit des choses qui sont généralement acceptées
Sans trop me demander pourquoi, je commençai à chercher ma route vers la Tour Eiffel. Avec ces édifications exagérément haut, on a toujours l’impression de les atteindre dans cinq ou dix minutes de marche. Cependant après une demie heure on comprend ce que c’est la vision en contre perspective. …(A SUIVRE)
(DL pour HRV)
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