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samedi 13 février 2010

Haïti : Bientôt plus de sécurité

Alain Le Roy, sous-secrétaire général au maintien de la paix a annoncé que 16 pays ont proposé de fournir aux Nations unies les 3.5000 policiers et soldats supplémentaires qu'elles jugent nécessaires en Haïti pour assurer la sécurité et garantir que l'aide parvient aux sinistrés du séisme du 12 janvier.
Une semaine après la catastrophe, le Conseil de sécurité de l'ONU a autorisé l'envoi de 2.000 soldats en renfort des 7.000 Casques bleus déjà sur place, ainsi que l'ajout de 1.500 policiers aux 2.100 déjà en Haïti.
M. Le Roy a déclaré qu'il espérait que 2.000 soldats supplémentaires arriveraient dans les trois prochaines semaines pour escorter les convois humanitaires et assurer la sécurité pendant la distribution de l'aide.
Il a ajouté que 900 soldats brésiliens devaient gagner Haïti dès jeudi et vendredi. La République dominicaine, qui occupe la moitié est de l'île, est en train de déployer 150 militaires sur la frontière, et des soldats sont attendus sous peu d'Argentine, du Pérou et d'Uruguay. Des ingénieurs japonais et sud-coréens sont arrivés ou en route.
Alain Le Roy a précisé que l'Espagne, les Pays-Bas, la France, le Bengladesh et l'Italie avaient promis environ 500 policiers dans les deux semaines. Il espère qu'un millier d'autres policiers du Bengladesh, d'Inde, de Turquie, du Pakistan et du Rwanda arriveront en avril ou mai.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=16949

Haïti : L'agriculture financée à 8%

Jacques Diouf, Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) s'est alarmé vendredi du manque de soutien à la composante agriculture de l'appel d'urgence international en faveur d'Haïti.
Pour M. Diouf la reconstruction nécessite une relance de la production alimentaire et des investissements massifs dans les zones rurales. Selon lui la priorité immédiate est l'appui à la saison agricole de printemps qui démarre en mars et représente plus de 60% de la production alimentaire nationale.
Que se passe t-il avec le financement de l'agriculture haïtienne ? Il y a un manque de soutien, l'appel d'urgence international lancé après la catastrophe estimait à 23 millions de dollars les besoins immédiats de l'agriculture haïtienne, sur un total de 575 millions. A l'heure actuelle seulement 8% ont été financé.
Que fait la FAO en Haïti ? La FAO a commencé a distribuer, semences, engrais et outils. Mais c'est seulement dans trois mois que les paysans, agriculteurs et la communautés pourront se nourrir du fruit de leur récolte. De plus une équipe multidisciplinaire, mobilisant l'expertise technique de l'Organisation au plus haut niveau, s'apprête à se rendre en Haïti pour travailler avec le Ministère de l'agriculture à la formulation du programme de relance à moyen et long terme du secteur agricole.
Avant le 12 janvier que faisait la FAO en Haïti ? Avant le séisme un programme de 49 millions de dollars mis en œuvre par la FAO en appui au gouvernement haïtien couvrait la vaste gamme d'expertises que l'Organisation fournit à ses États membres.
Selon M Diouf, "La République d'Haïti aura besoin d'une assistance internationale massive et soutenue sur une longue période en vue de sécuriser les investissements, de réduire sa vulnérabilité et de déboucher sur une croissance durable qui permettra de réduire de manière drastique la faim et la pauvreté"
N/ Radio Métropole Haïti

Journée de prière, il y avait foule

Aujourd'hui, les haïtiens se sont recueillis dans les églises, la rue, les camps, devant les ruines du palais nationale, en mémoire des 217.000 personnes qui ont péris lors du séisme qui dévasta Haïti il y a un mois.
Pour cette journée nationale de deuil, la population haïtienne était invitée par le gouvernement à revêtir des vêtements blancs et à se rendre dès 6h00 du matin aux multiples cérémonies organisées dans les églises, les campements et même au milieu des rues barrées pour l'occasion.
René Préval, a également prit la parole, il a entre autre déclaré «Haïti ne périra pas, Haïti ne doit pas périr. Je n'ai pas de mot pour parler de cette douleur immense. C'est dans votre courage que nous trouvons la force de continuer». Il assistait en compagnie de son épouse et du Premier ministre à une cérémonie religieuse à l'Université Notre Dame d'Haiti (UNDH). René Préval a dit prendre la parole comme simple citoyen et non comme chef d'État.

D'un autre côté, au Champ-de-Mars, devant les ruines du palais nationale, des dizaines de milliers de personnes, voir des centaines de milliers, ont assisté à une grande cérémonie religieuse.

«Toutes les religions d'Haïti, les vaudous, les catholiques, les baptistes, les protestants, on est tous réunis ici pour prier», Haïti n'ayant plus pour «richesse» que «l'esprit de l'Éternel», déclamait un prêcheur sur une scène.

«Le peuple haïtien sera pauvre» d'un point de vue matériel, «mais le plus riche du monde en grâce et spirituellement», a-t-il ajouté.

Dans la banlieue de Pétionville, des haut-parleurs retransmettaient les cérémonies à ceux qui n'avaient pas trouvé de place à l'intérieur et étaient resté dans la rue.

N/ Radio Métropole Haïti


12 janvier 2010 - 12 février 2010, un mois déjà

Il y a un mois, le 12 janvier à 4 heures 53 minutes et 10 secondes de l'après midi, Haïti changea à tout jamais. Certains ont tout perdu, d'autre moins mais ce jour triste, restera à jamais gravé dans l'esprit de tous et chacun.
Il n'a fallut que quelques quelques secondes pour endommager, détruire, anéantir, maisons, commerces et infrastructures. Tant de vies fauchées, tant de familles anéanties, tant de vies meurtries, tant de nouveaux orphelins... 217,000 morts, plus de 300,000 blessés, plus de 4.000 amputés, 1,2 million de sans-abris et des dizaines de milliers de personnes dont ont est sans nouvelle. Nul de peut rester insensible devant un tel bilan d'épouvante.
«Il ne faut avoir aucun regret pour le passé, aucun remords pour le présent, et une confiance inébranlable pour l'avenir» disait Jean Jaurès. L'Haïti d'hier n'est plus, mais une fois encore, Haïti renaîtra, au delà des larmes et des souffrances avec l'aide internationale, les haïtiens reconstruiront leur pays. Un pays ou il fera bon vivre, ou la musique et les rires des enfants de nouveau se feront entendre, mais un pays, qui, dans sa mémoire collective, se souviendra toujours de ce moment d'apocalypse que certains n'hésitent pas à qualifier de maudit.
Observons une minute de silence à la mémoire des disparus et de ceux qui souffrent en cet instant.
N/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=16950

Haiti-Seisme : Un mois après, les Haïtiens se recueillent en mémoire de leurs centaines de milliers de morts et disparus

vendredi 12 février 2010
P-au-P., 12 fév. 2010 [AlterPresse] --- La population haïtienne s’est unie dans le recueillement ce 12 février en mémoire des plus de 200.000 morts et disparus du terrible séisme du 12 janvier dernier, qui a également fait environ 300.000 blessés, plus d’un million de sans-abris, et causé la destruction totale ou partielle d’environ 250.000 maisons.
Une cérémonie œcuménique officielle a eu lieu dans la matinée à l’école des infirmières de l’Université Notre Dame (catholique) en présence du chef de l’État, René Préval, de la première dame, du premier ministre Jean Max Bellerive, des memebres de son gouvernement, des autres corps de l’État, des diplomates étrangers et de centaines de personnes appartenant à toutes les couches de la société.
Cette cérémonie a été suivie par la population de diverses régions du pays à travers la radio et la télévision, alors que des milliers de personnes se sont recueillies parallèlement dans des églises bondées et au Champ de Mars, principale place publique de la capitale.
Beaucoup d’Haitiens n’ont pas pu enterrer leurs parents et êtres chers décédés lors de ce tremblement de terre dévastateur. 170.000 d’entre eux ayant été jeté à la va-vite dans des fosses communes.
Vêtus de noir et de blanc, tel que recommandé par le gouvernement, les Haitiens ont marqué dans la ferveur les premiers 31 jours de cette catastrophe et bon nombre d’entre eux n’ont pas caché leur leur émotion. La commémoration s’inscrit dans le cadre du mois de deuil, déclaré 5 jours après la catastrophe et qui doit prendre fin le 17 février.
La plupart des rues de la capitale étaient presque vides dans la matinée de ce 12 février, déclaré férié par le gouvernement. Les magasins et les banques sont restés fermés, de même que les bureaux publics et privés.
Les seules activités maintenues sont celles du secteur informel, très réduites, ainsi que la distribution de l’aide humanitaire. Même dans les zones où habituellement on observe des embouteillages monstres, la circulation était fluide.
En Haiti, l’heure est à la réflexion et la méditation et des riverains se sont servis des débris d’édifices effondrés pour barrer empêcher la circulation automobile dans certaines rues de Port-au-Prince, afin de pouvoir se créer une atmosphère de recueillement.
Les ruines qui donnent encore à la capitale l’image d’une ville bombardée, rappellent combien la re-construction sera un lourd défi à lever. [gp apr 12/02/2010 13 :00]

Haïti-Séisme : La colère monte avec l’arrivée des pluies

jeudi 11 février 2010 Par Karenine Francesca Théosmy
P-au-P, 11 février 2010 [AlterPresse] --- Alors que le gouvernement se donne environ 90 jours pour mettre la population dans de meilleures conditions d’existence, comme première phase d’un plan stratégique de relogement, des manifestations ont lieu dans la capitale ce jeudi 11 février 2010 pour réclamer des abris, observe l’agence en ligne AlterPresse.
Une forte averse s’est abattue sur Port-au-Prince dans la matinée du 11 février, provoquant la colère des habitantes et habitants, dans certains centres d’hébergement, qui ont gagné les rues.
Le plan élaboré par le gouvernement pour doter chaque famille d’un abri provisoire contre la pluie s’étend jusqu’au 1er mai 2010, selon ce qu’a fait savoir le responsable de la sous-commission des abris provisoires, Charles Clermont.
Durant cette période, il s’agit de distribuer des tentes et des bâches à la population afin de lui assurer un abri pendant la saison des pluies qui vient de débuter.
Environ 22 000 tentes ont été distribuées, d’après les chiffres fournis par les organismes humanitaires qui prévoient de fournir encore près de 50 000 tentes, dont 15 000 sont sur place en Haïti.
400 000 bâches (au total) seront livrées d’ici au samedi 20 février, souligne Clermont.
Depuis le début des opérations d’aide humanitaire, la distribution s’avère un défi majeur.
Il existe 310 sites d’hébergement spontanés, parmi eux 17 identifiés comme prioritaires, estiment les institutions internationales.
Pendant que certains centres d’hébergement plus petits, situés dans les quartiers, n’ont pas encore été touchés, des opérations de distribution d’aide, assez ponctuelles, notamment des distributions de nourriture, sont réalisées dans plusieurs de ces sites.
Le défi actuel est d’assurer une distribution équitable des tentes, nourriture et eau potable promises, de manière à atteindre réellement toute la population concernée.
Par ailleurs, les travaux de démolition ont conduit à l’obstruction des canaux. Avec l’arrivée des pluies, des risques d’inondations sont à prévoir, s’inquiète Charles Clermont.
A son avis, la démolition des édifices endommagés constitue le problème le plus important et les travaux de nettoyage des canaux devraient être bouclés dans les 60 jours à venir.
Le moyen terme… des abris de transition
Actuellement, est à l’étude une seconde phase du plan stratégique, qui consiste au relogement, dans des « abris de transition », des centaines de milliers de personnes déplacées, éparpillées dans les sites d’hébergement à Port-au-Prince et dans les villes de province, dans la perspective de la saison cyclonique.
Il s’agira de « constructions en armature légère, pouvant résister à la fois aux cyclones et aux tremblements de terre ». assure Clermont, sans se montrer précis sur le type de matériaux qui pourrait être utilisés pour ces abris de transition.
Les personnes déplacées sont estimées à 100 000 personnes, mais 1,1 million au total sont concernées par la question du relogement.
Le plan stratégique de relogement du gouvernement prévoit la construction de 50 000 abris de transition, qui accueilleraient uniquement les personnes ayant perdu complètement leurs maisons.
La commission, mise en place par le gouvernement, réfléchit sur une proposition qui consisterait à donner un support financier à celles et ceux qui comptent réparer ou rebâtir leurs logements endommagés.
Le délai d’exécution de cette phase de relogement est encore assez vague. La sous-commission des abris dit souhaiter la boucler en moins de 4 à 5 mois.
Dans l’intervalle, la ruée vers les espaces libres s’intensifie, au même rythme que la construction d‘abris de fortune en bois et en tôles.
Tandis qu’il faut établir des cartes géologiques, identifier et informer mieux sur les espaces à risques, des ventes de terres et des parcellisations de terrain sont en grande extension. [kft rc apr 11/02/2010 11 :00]

Haïti rend hommage à ses morts, un mois après

Le Président Préval loue le "courage" de ses compatriotes et les convie à la reconstruction du pays, lors d’une cérémonie oecuménique organisée un mois après le séisme destructeur
vendredi 12 février 2010, Radio Kiskeya
Le Président René Préval a salué vendredi le "courage exemplaire" du peuple haïtien et invité ses compatriotes à "sécher leurs larmes afin de se tourner vers la reconstruction du pays", lors d’une cérémonie œcuménique qui a marqué le premier mois du séisme dévastateur du 12 janvier commémoré dans différentes régions où se sont tenus des rassemblements religieux.
"Le gouvernement s’et inspiré de votre courage pour se remettre au travail", a répété le chef de l’Etat vêtu de noir et de blanc, en signe de deuil, à l’instar de plusieurs centaines de personnes présentes à l’Université Notre-Dame d’Haïti (UNDDH). Dans la foulée, il a reconnu qu’il était incapable de s’adresser à la nation aux premières heures de la catastrophe "tant la situation était désastreuse et les cadavres innombrables" un peu partout à Port-au-Prince.
Mettant en avant son statut de "simple père de famille" lors de la cérémonie, M. Préval a fait savoir que tous les haïtiens, comme lui qui a perdu son cousin Jacques Préval, sont sortis victimes du tremblement de terre.
Enfin, le Président a exhorté ses compatriotes à accompagner dans leurs prières Bill Clinton, l’ex-Président américain et Représentant spécial de l’ONU chargé de l’aide post-désastre et de la reconstruction d’Haïti.
Rentré chez lui vendredi après avoir été opéré du cœur jeudi soir à New York, l’ancien chef de la Maison Blanche a réaffirmé sa volonté de maintenir ses engagements vis-à-vis d’Haïti, n’hésitant pas à se montrer optimiste sur l’avenir du pays ravagé par le cataclysme.
Dans une rare manifestation d’œcuménisme et de tolérance religieuse en Haïti, des leaders des églises catholique, protestante, épiscopale, du Vodou et de la communauté musulmane se sont associés à l’hommage aux victimes du 12 janvier retransmis en réseau par des stations de radio et de télévision.
Dans son message de circonstance, l’Evêque auxiliaire de Port-au-Prince, Mgr Joseph Lafontant, a estimé que le tremblement de terre avait au moins la vertu de donner un élan de solidarité à une société désespérément accrochée aux "préjugés" et aux valeurs de "l’individualisme suicidaire". Prônant un retour à un mode de vie traditionnel plus simple, le prélat appelle les rescapés de la tragédie à se pencher sérieusement sur l’avenir de leur pays "brutalement sevré de tous les symboles de pouvoir".
Pour sa part, le pasteur Franck Petit, représentant de la Fédération protestante d’Haïti, a souhaité que l’adversité porte les haïtiens à adopter une autre conception de la vie basée sur les valeurs chrétiennes.
Mgr Jean Zaché Duracin de l’église épiscopale d’Haïti a indiqué que les citoyens devaient tirer les leçons qui s’imposent à la suite d’une tragédie qui, tout compte fait, n’a épargné personne.
De son côté, "l’Ati national", Max Beauvoir, chef suprême des vodouïsants, affirme qu’après la mort d’environ 250.000 personnes, il revient aux vivants de s’atteler à la difficile tâche de la reconstruction d’Haïti.
Se présentant comme un rescapé du 12 janvier, le maire de Port-au-Prince, Jean-Yves Jason Muscadin, a invité ses concitadins à entrer dans une réflexion profonde sur les causes du bilan incroyablement lourd du séisme et l’avenir de la capitale.
Dans l’assistance on notait la présence du Premier ministre Jean-Max Bellerive, accompagné de plusieurs ministres, du président a.i de la Cour de cassation, Me Georges Moïse, des présidents du Sénat Kély Bastien (blessé lors des événements), de la Chambre des Députés, Levaillant Louis-Jeune et de l’ancien chef de gouvernement Jacques-Edouard Alexis.
Peu après la cérémonie, le Président René Préval a rendu visite à des protestants qui participaient au lancement de cinq journées nationales de prière et s’est, à l’occasion, offert un bain de foule, au Champ de Mars (centre de la capitale).
Un mois de deuil national a été décrété qui prendra fin le 17 février.
Selon des statistiques officielles confuses, le tremblement de terre de 7,3 sur l’échelle de Richter a fait au moins 217.000 morts, environ 200.000 blessés et 1,2 million de sinistrés. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article6530

Nancy Pelosi en Haïti à la tête d’une délégation du Congrès

L’aide à long terme et la reconstruction au menu des discussions entre une douzaine d’élus américains et les autorités haïtiennes vendredi 12 février 2010, Radio Kiskeya
La présidente de la Chambre des représentants des Etats-Unis, Nancy Pelosi, est arrivée samedi à Port-au-Prince à la tête d’une imposante délégation bipartisane du Congrès dans le cadre d’une visite de quelques heures axée sur l’assistance à long terme à Haïti et la façon dont Washington entend contribuer à la reconstruction du pays après le séisme dévastateur du 12 janvier.
Cinq sénateurs et cinq autres représentants ont également fait le voyage.
Au sein de la délégation figurent notamment le sénateur George Lemieux (Floride), le seul républicain du groupe, son collègue Tom Harkin, président de la commission santé du Sénat ainsi que Charles Rangel, président de la commission des voies et moyens de la Chambre des représentants, John Conyers, président de la commission justice, deux membres du Black Caucus bien connus en Haïti, et James Oberstar, président de la commission des transports.
Ce dernier faisait partie dans les années 70 du personnel militaire de l’ambassade américaine à Port-au-Prince et fut instructeur à l’académie militaire d’Haïti.
Les congressmen devaient s’entretenir avec le Président René Préval, visiter des points de distribution d’aide humanitaire, des hôpitaux où sont soignés les blessés et rencontrer des militaires américains déployés en Haïti depuis le séisme.
Le Congrès des Etats-Unis a adopté une série de mesures particulières au lendemain de la catastrophe, concernant la fourniture d’une aide d’urgence aux ressortissants américains souhaitant laisser Haïti et l’incitation à la contribution des citoyens américains à l’effort humanitaire contre des déductions d’impôts en retour.
Washington est sur tous les fronts depuis le début de l’une des pires catastrophes humanitaires de l’histoire consécutives à un désastre naturel. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article6529