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samedi 31 août 2019

Un silence de classe ?

Venu de Carrefour pour participer à une rencontre à Port-au-Prince, un membre d’une organisation populaire, pour couper court au bavardage et aller vite à l’essentiel, a eu ce mot terrible : « j’ai dû traverser un cimetière pour arriver jusqu’à vous ».
Il y a ceux qui croient que les personnes issues des milieux populaires ne pensent pas, ont besoin de « maîtres » qui leur donnent des idées. Ceux qui croient que leur misère est telle qu’ils n’ont aucune conscience et ne marchent qu’à l’argent. On reviendra sur ces préjugés qui ne font pas honneur à leurs porteurs et prouvent que la fortune et l’intelligence ne font pas toujours bon commerce.
Pour l’instant, contentons-nous de nous demander si une société peut faire la paix avec la mort. Pas celle, naturelle, qui nous attend au bout de notre âge. Mais celle que l’on donne. Au nom d’un pouvoir politique dont la survie repose sur la corruption, la violence, l’arbitraire. Celle que des jeunes gens tournés en bêtes, armés par plus riches qu’eux dans des jeux de pouvoir macabres, donnent à leurs voisins, à leurs frères, au passant.
Tout n’est pas rapporté par la presse. Et ce qui est rapporté est souvent placé en arrière-plan d’autres informations ou événéments jugés majeurs. Sans offense aux députés accusateurs qui ont fait preuve de courage, le spectacle de l’impudence de la bande à Bodeau mérite-t-il plus notre attention que tel jeune militant assassiné à Carrefour ou ailleurs ? À côté de la misère, la dimension la plus cruelle et inhumaine de notre réalité quotidienne, ce sont des gens que l’on tue, ces gens qui fuient leurs quartiers, ces gens qui n’osent plus sortir. Ces morts dont on parle peu, parfois si peu que rien.
Les classes moyennes et la bourgeoisie haïtiennes, dans leur peur du radicalisme, dans leur conservatisme qui les pousse à refuser que leurs habitudes soient contrariées, dans leur incapacité de se solidariser avec le peuple, font une paix honteuse avec les assassins. L’événement quotidien, l’horreur quotidienne, ce sont ces cadavres. Passe encore qu’elle trouve moyen de tergiverser après le scandale Petrocaribe, comment une société peut-elle dormir tranquille, faire comme si de rien n’était, alors que le crime de sang est devenu la norme, alors qu’un pouvoir utilise le banditisme comme arme politique ? Et de quel lieu d’éthique ou de morale, qui que ce soit dans ce pays, moi le premier, peut-il prétendre prendre la parole s’il ne crie pas : assez !
Dans la presse étrangère, on ne parle pas beaucoup d’Haïti. Et surtout on ne parle pas beaucoup de ces morts. Ici, on radote beaucoup sur « la division de l’opposition ». Et certainement pas assez de la vraie division fondée sur des réflexes et des péjugés de classe. Si la société haïtienne dans son ensemble dénonçait avec force cet usage politique du banditisme, n’abandonnait pas à l’anonymat et l’oubli les victimes appartenant aux classes populaires, on en parlerait plus ailleurs.
Cet avenir différent, fait d’équité et de justice sociale, dont on parle enfin aujourd’hui, pour l’atteindre, il faut déjà que les morts soient mis à égalité, que les groupes sociaux qui ne le subissent pas au quotidien ne banalisent pas cette double violence, criminelle et répressive, qui s’est installée dans les milieux populaires. Ce n’est pas seulement pour l’argent volé mais aussi pour le sang des pauvres qu’il faut aujourd’hui demander des comptes, d’une seule voix.
https://lenouvelliste.com/article/206263/un-silence-de-classe

vendredi 30 août 2019

ET SOUDAIN UNE INFINITÉ DE RÊVES A PORTÉE DE CŒUR

CHAPITRE I
Ce matin-là, tout avait concouru pour que je me retrouvasse à l'entrée nord du métro, côté hôpital La Timone.
Rien ne présageait cette rencontre en effet. Quand je l'ai vu rangé son dépliant après l'attitude indifférente de cette dame qui n'a pas voulu lui tendre une main, ou à défaut, l'esquisse forcée d'un regard gentil comme justificatif de son refus, je pensai tout de suite à mon fils.
Comme lui, il était très jeune et très beau. Un jeune adolescent en harmonie avec son temps et ses modes.
Comme lui, il arborait une drôle de coupe de cheveux.
La prise en charge des cheveux semble être l'un des premiers gestes de liberté et d'autonomie accompli par un jeune pour s'affirmer par rapport aux parents. Il faudra bien que je m'entretienne un jour avec un pédopsychiatre pour faire le point sur cette question.
Sa coupe de cheveu avait une allure plus extravagante que celle mon fils. Bon ! à mon sens, bien sûr. Si ses parents à lui voyaient la touffe que gardait mon fils, ils auraient sûrement préféré la coiffure de leur fils à eux.
Mais, c'est complètement insensé et illogique de s'aventurer dans une comparaison puisque les deux jeunes présentaient des traits propres à des ethnies différentes. Mon fils est noir. Métissé pour beaucoup. Lui il était tout simplement blanc.
Quand je l'ai vu cependant, j'ai vite fait de penser à mon fils. À cet âge-là, lui aussi, il m'avait fait comprendre qu'il voulait des petits boulots pour gagner un peu d'argent de poche pendant les vacances d'été.
Cela m'avait choqué jusqu'à la nausée et l'étourdissement.
On se trouvait les quatre membres de notre famille en visite à New-York. A Manhattan ou à Brooklyn, je ne sais plus. Nous cherchions une restauration rapide dans un de ces centres commerciaux qui réservent un espace aménagé pour les cuisines aptes à offrir de la restauration rapide et peu coûteuse.
Le choix se déclinant toujours entre les enseignes traditionnelles dans le genre et les enseignes asiatiques.
Puisque je ne m'attendais pas du tout à ce discours de sa part, j'ai dû me faire répéter la phrase quand il m'annonça sa volonté de travailler dès le prochain été.
- Pa', m'avait-il dit, l'été prochain avec des copains on va laver des voitures pour gagner un peu d'argent.
Je n'étais pas formaté pour donner la bonne réplique à mon fils de quinze ans qui voulait travailler et se faire lui-même son argent de poche.
Sur le coup, je me sentis très mal. Je me suis dit qu'il avait compris que je ne disposais pas de ressources financières en quantité suffisante pour subvenir à ses besoins et à ses caprices d'adolescent.
Il n'existe pas de constat plus amer que celui d'un père n'ayant pas été à la hauteur des aspirations de ces enfants qu'il a mis au monde sans leurs accords.
J'hésitai quelques brèves secondes. Juste le temps de réaliser et de me convaincre que mon fils vivait et s'élevait en France. Et que je n'étais plus dans cet environnement gardé comme héritage familial qui privilégie de façon exclusive, les études sur tout le reste.
- Très bien mon coco, lui répondis-je, tachant de dissimuler cette sensation inconfortable de nœud placé au centre de la poitrine et irradiant jusque vers les confins de mon âme.
Puis, je ne tardai pas à en parler avec sa mère qui joua bien son rôle en me rassurant avec un discours fait d'arguments connus et acceptés par le bon sens. Elle n'avait rien trouvé de choquant dans le désir de travailler en été. D'autant plus qu'elle en avait été informée depuis quelques temps déjà. Et elle avait trouvé ça très bien
Ainsi, pendant les années du lycée, mon fils fit plusieurs petits boulots. Un jour il me raconta avoir fait la promotion d'une boisson gazeuse dans les bouches du métro au centre-ville, déguisé en fraise ou en banane.
Les gens avaient probablement ri en le voyant avec son costume de fruit. Certains le traitèrent sans doute avec indifférence.
Comme cette dame venait de la faire à ce jeune homme qui distribuait des petits dépliants à l'entrée nord de la station de métro Timone.
J'aurais tellement aimé prendre du temps pour l'observer. Pour voir l'aspect d'un visage adolescent qui s'éclaircit d'un sourire satisfait quand un passant lui adresse un petit regard bienveillant en recevant son dépliant.
J'aurais aussi aimé voir comment se dessine la déception sur le jeune visage de cet homme en devenir, convaincu pourtant de bien faire en essayant de gagner un peu d'argent en travaillant, quand à son noble geste, on lui rend du dédain ou de l'indifférence.
Mais le temps me faisait encore une fois défaut. Comme tous les jours. Ce matin beaucoup de tâches m'attendaient sur mon lieu de travail.
Le temps m'était calculé avec minutie puisque je me déplaçais en utilisant le transport public.
Auteur: Decky Lakyel
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mercredi 28 août 2019

Port-au-Prince accueille la première édition du festival Transe Poétique

« La poésie sauvera le monde ». C'est autour de ces maîtres mots que les initiateurs de Transe Poétique invitent le public à se joindre à eux pour la toute première édition du festival de poésie contemporaine à Port-au-Prince. Profitant de la floraison des multiples artistes haïtiens et de l'appellation « peuple de poètes » que ce pays insuffle, l’association Loque Urbaine consacrera quatre jours à cet événement phare au coeur de la capitale haïtienne. En effet, du mercredi 18 au samedi 21 septembre 2019, des hauts lieux aménagés pour la poétique seront investis dans le cadre ce festival. En attendant ces jours de transe, posons nos bagages avec Jean D’Amérique, directeur artistique du festival Transe Poétique.
Publié le 2019-08-27 | Le Nouvelliste
Le Nouvelliste : Pourquoi organiser un festival de poésie contemporaine à Port-au-Prince ?
Jean D’Amérique : En Haïti, il y a un grand intérêt pour la poésie, on la reconnaît facilement comme le genre littéraire majeur. Les poètes poussent comme des arbres, dit-on souvent. Il m’a semblé important de créer un événement qui fait écho à cette situation – qui est très rare dans le monde.
L.N : Transe Poétique. Comment aborder cette appellation ? Que donnez-vous à voir à travers cette expression ?
J.D'A : On essaie de mettre en place un festival de poésie au sens large, c’est-à-dire où, à côté de la présence des poètes et de leurs œuvres, on évoque la poésie à travers d’autres formes artistiques, comme le cinéma, la photographie, la performance, la musique, le théâtre… Cette façon de montrer comment la poésie s’incruste dans d’autres champs fait écho à l’appellation du festival. Sinon, c’est aussi une façon d’inviter le public à s’immerger de plain-pied dans le poème, à entrer en transe poétique...
L.N : Depuis quand rêvez-vous de faire un festival de poésie ?
J.D'A : Je ne sais pas exactement. Mais on a commencé à y penser il y a environ deux ans.
L.N : Dans un monde enclin à laisser très peu de place à la poésie, dans quel état d’esprit êtes-vous avant la réalisation de ce projet ?
J.D'A : Porter le projet d’un festival de poésie, c'est fou et c’est très lourd; car réunir des moyens pour la poésie n’est pas chose facile. On a fini par colmater les brèches. Nous sommes très heureux de voir ce rêve se réaliser.
Sinon, du côté de la réception, nous sommes plutôt sereins. Chez nous, la poésie a une grande place, nous savons qu’il y a un public qui attend le festival, c’est plutôt rassurant. Il reste à voir comment ce public reçoit le contenu que nous allons proposer.
L.N : La poésie est en effet un genre littéraire majeur en Haïti. Toutefois, comme on dit dans l’industrie du livre, la poésie ne se vend pas. Qu’avez-vous à dire à ce propos ? Pensez-vous obtenir suffisamment de fonds pour réaliser cette première édition ? Où en êtes-vous à ce stade ?
J.D'A : Au départ, le contenu du festival impliquait un budget que nous pensions pouvoir combler. En cours de route, nous avons dû revoir les choses, émincer la programmation pour réduire les coûts. L’État haïtien, à ma connaissance, n’a aucun dispositif de subvention pour la culture. Depuis des années un ministère qui se dit de la Culture, ne nous a jamais mis au courant de l’utilisation de son budget. La municipalité de Port-au-Prince aussi a un service culturel muet. Dans de telles conditions, il est difficile d’introduire une demande, voire d'obtenir quelque soutien. Nous nous sommes tournés vers d’autres structures d'Haïti, de France et de la Belgique, où nous avons pu trouver un peu d’aide, financière entre autres. Nous avons aussi lancé une campagne de financement en ligne qui a réussi, grâce aux dons de 91 personnes, voilà une très belle solidarité qui a été mobilisée pour le festival, une bonne partie de notre financement vient de là !
L.N : « La poésie sauvera le monde », soutenez-vous. Comment et dans quelle mesure est-ce possible face à tous les fléaux qui menacent planète et notamment Haïti?
J.D'A : « La poésie sauvera le monde, si rien ne le sauve », nous apprend Jean-Pierre Siméon. Une chose est claire : l’état actuel du monde est le résultat d’un manque de poésie. Nous en avons besoin plus que jamais. Il s’agit d’une attitude, d'un élan vers l’humain. L’esprit, tout comme le corps, a besoin de nourriture pour subsister. La poésie nourrit l’être. Nous avons besoin de cette lumière, de cette beauté. Comme je le disais récemment, la poésie est notre dernière chance. Quand on a la poésie, on ne devient pas Jovenel Moïse, on ne devient pas Donald Trump.
L.N : La programmation du festival…
J.D ‘A : Pour cette première édition, il y a eu plus d’une dizaine d’artistes à présenter des interventions originales pour créer une belle fête poétique. La programmation est disponible sur notre page Facebook et notre site web via ce lien :
https://loqueurbaine.com/transe-poetique/edition-2019/programmation/
L.N : Les invités…
J.D'A : Jean-Pierre Siméon, Lisette Lombé, Coutechève Lavoie Aupont, Antoine Boute, Makenzy Orcel, Dominique Gillerot, Samuel Suffren, Gaëlle Bien-Aimé, Milady Renoir, Mehdi Étienne Chalmers, Mélanie Godin.
L’organisation de cet événement est l’œuvre d’une équipe. L’association Loque Urbaine dont le noyau est composé de Marie Monfils, Jean Gesner Dorval et Jean D’Amérique. Avec la phrase curieuse et pure « La poésie sauvera le monde », c’est plus un slogan qu’un thème. C’est aussi le titre même de l’essai du poète Jean-Pierre Siméon, invité d’honneur de Transe Poétique pour cette année.
https://lenouvelliste.com/article/206101/port-au-prince-accueille-la-premiere-edition-du-festival-transe-poetique
#EUNICE

mardi 27 août 2019

Désignation des arbitres de la Coupe du Monde U-17 de la FIFA

Le tournoi brésilien donnera l’occasion à des arbitres FIFA ambitieux de faire étalage de leurs qualités et de franchir une étape supplémentaire dans leurs carrières.
La préparation des arbitres pour cette prestigieuse compétition de jeunes sera gérée par le département de l’arbitrage de la FIFA et se concentrera sur des sujets aussi divers que la lecture et la compréhension du jeu, le positionnement pour bien évaluer les situations de hors-jeu, la collaboration, la prise de décision et l’importance d’avoir le meilleur angle de vue : être au bon endroit au bon moment.
Tous ces aspects reflètent la philosophie de l’arbitrage de la FIFA et sont essentiels à la préparation des arbitres. Leur étude est nécessaire pour obtenir la cohérence et l’uniformité de décision synonymes d’arbitrage de haut niveau.
Brésil 2019 : Liste des arbitres
Brésil 2019 : Liste des arbitres
La Suissesse Esther Staubli avait dirigé un match de la Coupe du Monde U-17 de la FIFA, Inde 2017. Suite à cette expérimentation, la FIFA a décidé de sélectionner à nouveau des arbitres féminines pour officier dans une compétition masculine. Claudia Umpierrez et Luciana Mascarana (Uruguay) formeront un trio avec Monica Amboya (Équateur). De son côté, la Brésilienne Edina Alves Batista a été choisie comme arbitre de soutien. En outre, Bibiana Steinhaus (Allemagne) et Quetzalli Alvarado (Mexique) feront partie de l’équipe des VAR pour cette compétition.
La Coupe du Monde U-17 de la FIFA, Brésil 2019 aura lieu du 26 octobre au 17 novembre à Brasilia (Gama), Goiania et Vitoria (Cariacica). La finale sera disputée à l’Estadio Bezerrao de Brasilia le 17 novembre.

HAITI U17 EN COUPE DU MONDE POUR LA DEUXIÈME FOIS

Passé en Coupe du Monde U-17 de la FIFA
Haïti ne compte qu’une seule participation mondiale dans la catégorie U-17, il y a douze ans, lors de République de Corée 2007. Son parcours s’est achevé dès la phase de groupes, avec un match nul et deux défaites.
La route vers le Brésil
Les Grenadiers ont brillamment passé la phase de groupes de la compétition préliminaire en remportant leurs trois matches, au cours desquels ils ont inscrit douze buts au total. Sur le plan défensif, seul le Salvador est parvenu à faire trembler les filets haïtiens. Les joueurs de Novaes Dias ont ensuite éliminé la République dominicaine en huitièmes de finale, avant de s’imposer aux tirs au but 4-3 face au Honduras lors d’un incroyable quart de finale. Alors qualifiés pour Brésil 2019, les Haïtiens se sont finalement inclinés dans le dernier carré contre le Mexique, qui remportera le titre continental, au terme d’une rencontre fermée (0-1).
Le sélectionneur
Rafael Novaes Dias
Le Brésilien a commencé à s’intéresser au football haïtien en 2012, dans le but de contribuer à la reconstruction du pays après le tremblement de terre de 2010. De plus en plus investi, il a pris les rênes de la sélection U-17 en 2017, poursuivant sa mission de développement des jeunes à travers le sport.
Le saviez-vous ?
Durant le Championnat U-17 de la CONCACAF, Haïti n’a jamais encaissé plus d’un but par match.
Les statistiques de cette compétition illustrent parfaitement la force offensive des Grenadiers. En effet, la sélection haïtienne affiche le plus grand nombre de buts inscrits, de tirs et de corners après le Mexique et les États-Unis.
https://fr.fifa.com/u17worldcup/teams/team/1889605/profile/

La Coupe du Monde U-17, Brésil 2019 débutera le 26 octobre

Dans le sillage d’une visite d’inspection dans le pays hôte et de discussions avec le Comité Organisateur Local (COL), la FIFA peut confirmer aujourd’hui que la Coupe du Monde U-17 de la FIFA, Brésil 2019 se jouera du 26 octobre au 17 novembre.
Les sites et le calendrier des matches seront confirmés avant le tirage au sort, prévu le 11 juillet prochain au siège de la FIFA, à Zurich.
« Ces dernières années, le Brésil a accueilli avec succès de nombreuses compétitions, dont la Coupe du Monde de la FIFA™ et les Jeux Olympiques. Nous sommes convaincus que son expertise en la matière – couplée à l’incroyable passion de sa population pour le football – contribuera à la réussite de ce rendez-vous. Nous devons remercier la CBF et tout le peuple brésilien, qui ont si bien accueilli cette compétition, démontrant une fois encore leur amour pour le football », a déclaré Zvonimir Boban, Secrétaire Général adjoint (football) de la FIFA.
Pour l’heure, les 24 équipes participantes sont connues. En plus des hôtes brésiliens, les associations membres suivantes sont qualifiées :
AFC : Australie, Japon, République de Corée et Tadjikistan
CAF : Angola, Cameroun, Nigeria, et 4e équipe à confirmer*
Concacaf : Canada, États-Unis, Haïti et Mexique
CONMEBOL : Argentine, Chili, Équateur et Paraguay
OFC : Nouvelle-Zélande et Îles Salomon
UEFA : Espagne, France, Hongrie, Italie et Pays-Bas
Source: https://fr.fifa.com/u17worldcup/news/la-coupe-du-monde-u-17-bresil-2019-debutera-le-26-octobre