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vendredi 25 décembre 2009

ACCORD: Adoexpo plaide pour la voie d’un consensus bilateral.

Santo Domingo.- Le président de l’Association Dominicaine des Exportateurs (Adoexpo), Richard Koenig, a dit que du fait que Haïti soit le deuxième partenaire comercial plus important que compte la pays, il faut se réunir avec ses autorités pour identifier les domaines qui peuvent êtres préjudiciables après aon adhésion à l’accord de Partenariat Economique entre le Cariforum et l’Union Européenne (APE). “réellement jusqu’à présent ce qui a été convenu ou ce qui est compris c’est que nous autres nous allons nous réunir avec une délégation haïtienne pour pouvoir definir exactement quelle est la situation”, a-t-il exprimé.

Koenig a expliqué que les modifications des tarifs douaniers qu’a sollicité Haïti ne concerne pas seulement la République Domlinicaine, mais que cela aura des effet sur le commerce avec tout le monde et pour cela il s’avère important une reunión avec les autorités haïtiennes pour observer quel est le traitement qui será appliqué à ce pays.


“S’ils ont décidé d’augmenter les tarifs douaniers pour un produit déterminé, ceci affecte tout le monde de la même façon”, a exprimé le chef d’entreprise. Il a considéré quele plus inquiétant c’est que si la République Dominicaine est le pays le plus grand exportateur de ces produits dont les tarifs douaniers seront augmentés, alors le pays será le plus affecté

Reaction: Les industriels dominicains refutent la position des haïtiens

Esteban Delgado.- 12/24/2009 Santo Domingo.- Le secteur industriel dominicain a exprimé son mécontentement du fait que l’union Européenne ait accepté la signature conditionnée de Haïti pour son adhésion à l’Accord de Partenariat Economique (APE). A travers un communiqué, l’Association des Industries de la République Dominicaine (AIRD) a dit que de cette façon on respecte pas ce quia été accepté durant les négociations entre le Cariforum et l’Union Européenne, raison pour laquelle, elle fit connaître son opposition aux prétensions de Haïti de vouloir modifier le pacte de façon unilatérale.
Haïti a accepté d’adhéré a l’APE moyennant l’exclusion de plus de 200 produits dont beaucoup sont commercialisés avec la République Dominicaine.
Manuel Diaz Cabral, président de l’AIRD, a signalé que l’accord signé entre le Cariforum et l’Union Européenne a été le fruit d’un processus de négociation intense, avec la présense d’un délégué haïtien, et que ce ‘est pas aceptable qu’un pays pretende le ratifier avec des modifications qu’il veuille introduire lui-meme de façon unilatérale.
Diez Cabral ha regretté aussi le fait que le gouvernement haïtien utilice l’argument d’être le pays le plus pauvre et le moins avancé du Cariforum, car les mesures d’augmenter les tarifs douaniers à 222 produits qu’il désire exclure de l’APE Font du tort à la population la plus pauvre qui verra augmenter le prix de biens aux quels elle peut acceder à de meilleurs prix seulement pas voix des importations.
“La majeure partie de ce que la République Dominicaine exporte vers Haïti contribue au bien être social de cette nation, ce sont des produits nécessaires à la consommation de la population ou pour le développement du pays, pour cette raison , prétendre que l’on défend les pauvres en augmentant les tarifs douaniers reste un contresens” a déclaré Diez Cabral.
Il a aussi indiqué que c’est assez paradoxale que tandis que l’on demande à la République Dominicaine de réduire de plus en plus ses tarifs douaniers, on permette à ces pays vers lesquels le pays exporte erigent de plus en plus de barrières douanières et autres.
Nous autres qui défendons le libre commerce international, la liberté d’entreprise et qui cherchons la compétitivité, nous devons voir de façon étonnée comment Haiti prétend chercher le développement en obstaculisant, a travers de ses services de douanes, les échanges productives entre les nations”, a déclaré le chef d’entreprise.
La decisión d’accepter l’inclusion d’Haïti au sein de l’accord avec l’Union Européenne, en modifiant l’accord original crée des incertitudes au sein des secteurs productifs de la République Dominicaine et affectera bon nombre d’entreprises du pays, ont opiné les industriels.
http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=126010

Les autorités dominicaines expulsent 23 citoyens haïtiens et deux citoyens cubains.

Montecristi (République Dominicaine), 23 Décembre. (EFE).- Les autorités dominicaines ont expulsé ce mercredi 25 présumés religieux, 23 de nationalité haïtienne et deux cubains, qui se sont introduits de façon ilégale par la frontière dominico-haïtienne, ont informé des sources policières. Le groupe a été détenu hier par le poste de contrôle frontalier militaire de la commune Hatillo Palma, de la province de Montecristi, frontalière avec Haïti, après que les autorités eussent confirmé qu’ils ne possédaient pas de documents leur permettant de rentrer en République Dominicaine.
Selon les Forces Armées et le Corps Spécialisé de la Sécurité Frontalière (CESFRONT), les présumés religieux ont présenté seulement des « invitations » signées par des membres de leurs propres congrégation à participer à des activités religieuses à Santo Domingo et dans la ville de Santiago.
Cependant, les autorités présument que les expulsés se firent passer pour des religieux en affirmant qu’il s’agit d’une « nouvelle modalité utilisée par les trafiquants de personnes » qui opèrent au niveau de la ligne frontalière qui sépare Haïti et République Dominicaine.
Après avoir été arrêtés, les sans papiers ont été remis au Procureur fiscal de Montecristi qui les ont traduit devant un tribunal de la Province de Montecristi qui a ordonné l’expulsion immédiate vers Haïti puisqu’ils n’étaient pas en possession de documents légaux les permettant de rentrer en territoire dominicain.

Le gouvernement espère un traitement d'égal à entre Haïti et la République Dominicaine selon les prescrits de l’APE.

Auteur: Esteban Delgado - 12/24/2009

MORALES TRONCOSO A DIT QUE PROCHAINEMENT LE PAYS FIXERA SA POSITION SUR LE SUJET
Santo Domingo.- El secretario de Estado de Relaciones Exteriores, Carlos Morales Troncoso, informó ayer que el gobierno dominicano todavía no ha asumido una posición sobre la entrada de Haití al acuerdo de asociación económica del Cariforo con la Unión Europea (EPA), en el que el vecino país presenta una lista de productos a ser protegidos con aranceles.
Santo Domingo.- Le Secrétaire d’Etat aux affaires étrangères, Carlos Morales Troncoso, a informé hier (23/12/09) que le gouvernement dominicain n’a pas encoré assumé de position sur lentrée de Haïti dans l’Accord de Partenanriat Economique du Cariforum avec l’Union Européenne (EPA), dans lequel le pays voisin (Haïti) a présenté une liste de produits devant bénéficier d’une protection moyennant des tarifs douaniers
Dans une lettre dirigée au directeur du journal Listin diario, Miguel Franjul, le chancelier signale que de toutes les façons, les concessions faites par l’Europe dans le cadre de l’APE serotn appliquées de la m^me façon à tous les Etats membres du Cariforum.
Voici la correspondance de Morales Troncoso.


Monsieur Miguel Franjul
Directeur du journal LISTÍN DIARIO
Santo Domingo


Distingué directeur :
Je me dirige à vous en qualité de président de la Commission Nationale des Négociations Commerciales(CNNC) pour corriger les imprécisions apparues dans votre édition de ce jour publiées par Monsieur Esteban Delgado.
Haïti a intégré le Cariforum en même temps que la République Dominicaine dans le cadre de la Convention de Lomé IV en 1990.
Ce qui était en veilleuse c’était la signature et la ratification de l’Accord de Partenariat Economique (APE) signé depuis le 15 octobre 2008 en Barbade par le reste des Etats membres du Cariforum et les communautés européennes et leurs Etats membres.
Haïti depuis 2008 a proposé de modifier l'engagement tarifaire accepté devant l'APE pour correspondre à celui qui a été négocié pour le reste du Cariforum dans 194 catégories tarifaires. Sur ces 194 lignes tarifaires, 70 sont d'intérêt pour l'exportation dominicaine, ne couvrant que 15 lignes de produits.
Les amendements proposés par Haïti visent à permettre la possibilité d'augmenter le tarif zéro alors à ces seules parties incluses dans le document enregistrées auprès de l'OMC, en cas de besoin.
Par définition, les tarifs appliqués par un membre de l'OMC à un autre membre de cette institution qui peut se faire seulement de façon non discriminatoire. Avec ou sans APE, cela est le cas d'Haïti et de la République dominicaine.
Le report de la signature et la ratification haïtienne de l’APE ont été formalisées à travers une déclaration conjointe adoptée en Barbade le même jour de la signature de l’EPA par les autres membres du Caraforum et les communautés Européennes et leurs Etats Membres. Depuis lors la Comission Européenne a consulté de façon active les parties haïtiennes et dominicaines. La partie dominicaine a maintenu informé de façon permanente des positions du pays élaborées en collaboration avec les secteurs productifs. Cependant entre septiembre et décembre de ette année, la partie Européenne a maintenu des consultations de façon exclusives avec la partie haïtienne.
La chargée d’affaires de l’embassade dominicaine de Bruxelles n’a remis qu’aujourd’hui à la Chancellerie la copie officiellement envoyée par la Commission Européenne informant sur la déclaration signée par la République d’Haïti le dix décembre dernier.
Une fois son contenu évalué, la Commission Nationale des Négociations Commerciales (CNNC) fixera la position qui convienne le mieux à l’intérêt national.
L’entrée d’Haïti a l’EPA renforcera la sécurité juridique requise pour augmenter le commerce et l’investissement vers ce pays, générant de nouveaux emplois en Haïti.
L’EPA, en plus de consolider la libéralisation du commerce qui avait été obtenu depuis la fin de la décennie des 90 en Haïti, introduit des engagements légaux et institutionnels sur l’agriculture, facilité douanière, des normes sanitaires et techniques.
Avec la signature et la ratification haïtienne de l’EPA, les réformes requises se feront réalité pour que les flux d’investissements et de commerce puissent compter sur la transparence et l’uniformité largement voulues par toute la communauté internationale.
En dernier lieu, étant donné que l’EPA contient une clause de préférence régionale, tout ce que chaque Etat membre du Cariforum aura concédé à l’Europe, il devra aussi faire la même concession aux autres Etats membres du Cariforum. Ceci, la République d’Haïti l’appliquera à la République Dominicaine cinq ans après l’entrée en vigueur de l’EPA. En attendant, tous les autres aspects institutionnels de l’EPA seront appliqués entre toutes les parties caraïbéennes et Européennes.
Je reste à votre entière disposition pour continuer à dialoguer autour de ces sujets et d’autres aspects de la politique extérieure. En attendant, je profite de l’occasion pour vous réitérer mes entiments de considération et d’estime personnelle.
Avec Toute mon attention
Ingénieur Carlos Morales Troncoso
Sécrétaire d’Etats des Relations Etrangères
http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=126013

La commission Mixte bilatérale Dominico-Haïtienne se réunira en avril prochain

Auteur: Abel Guzmán Then - 12/23/2009 Traduction : Haïti Recto Verso
Santo Domingo.- Le secrétaire dominicain aux Affaires Etrangères, Monsieur Carlos Morales Troncoso, a informé hier (22/12/09), qu’à partir du mois d’avril prochain, le pays sera fin prêt pour initier les conversations de la Commission Mixte Bilatérale, formée par des représentants d’Haïti et de République Dominicaine.
Il soutint qu’il existe aujourd’hui plusieurs sujets importants pouvant faire l’objet de discussion entre les deux nations comme ce qui concerne l’immigration, l’environnement, la santé, l’éducation et le commerce.
Il a signalé que Haïti vient juste de signer une adhésion économique avec l’Europe,ce qui rend encoré plus importante la tenue des discussions entre les deux pays.
Morales fit ces déclarations devant le Congrès National lors de la remise des prix à des journalistes durant la fête organisée par le bloc des députés du Parti Réformiste Social Chrétien.
Le Secrétaire d’Etat à l’économie, la Planification et au Développement, MonsieurTemístocles Montás, a annoncé samedi dernier, après une visite réalisée en Haït, que le président de ce pays, fera une visite en République Dominicaine durant la première semaine de janvier pour aborder des sujets bilatéraux avec le présiedent Leonel Fernandez, parmi lesquels l’institutionnalisation de la Commission Mixte Bilatérale Dominico-Haïtienne. Le fonctionnaire fit l’annonce au terme d’une rencontré tenue avec le président Preval et le premier Ministre Jean-Max Bellerive, dans un des salons du Palais National à Port-au-Prince.
UN ROLE PREPPONDERANT DU SECRETAIRE MONTAS
Montas a déclaré que dans le cadre de la visite de René Préval on peut relancer la Commission Mixte Bilatérale Dominico-Haïtienne qui a joué un rôle important dans la discussion et la solution de questions bilatérales durant le premier mandat du président Leonel Fernandez (1996-2000).
Il a été aussi question de l’interdiction en vigueur contre l’exportation vers Haïti de poulets et d’œufs, et aussi de la nécessité de relancer une série de programmes communs qui touchent un accord en matière d’échanges académiques, a dit le fonctionnaire dominicain.
Il a ajouté avoir discuté de Tous les programmes de coopération qui se développent entre la République Dominicaine et Haïti.
http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=125902

Surveillance de la Frontière: Un groupe de 93 officiers sera établi à la frontière pendant un an.

Wanda Méndez - 12/23/2009
Santo Domingo.- Un groupe de 93 officiers issus de différents organismes de l’armée prêtera service pendant un an à la frontière entre Haïti et la République Dominicaine à partir du mois de janvier pour renforcer la surveillance et développer des travaux d’éducation, culture et service communautaire.
La secrétairerie des Forces Armées organisa un acte pour marquer le départ de ces officiers avec la présence du Vice Président de la République Rafael Albuquerque, et le secrétaire d’Etat des Forces Armées, Lieutenant Général Pedro Rafael Peña Antonio.
Des 93 officiers, 29 appartiennent à La Marine de Guerre, 32 à l’Armée et 32 à l’armée de l’air.
Le groupe compte deux femmes.
Avec ce dispositif, les Forces Armées obéissent au décret présidentiel numéro 581, qui a disposé de l’envoi d’officiers à des postes, des unités ou dépendances militaires situées sur la ligne frontalière.
Les officiers, avec des gardes de sous-lieutenant de l’armée et de la Marine ont été formés dans les académies et écoles militaires, e iront à la frontière comme stagiaires, selon les informations obtenues.
Antonio Peña a estimé que le militaire doit servir au moins une fois à la frontière, après avoir compris que c'est là que doivent se trouver les meilleurs hommes. Il a soutenu que c’est au niveau de la frontière qu’il faut vaincre le trafic de drogue qui s’approche comme « un serpent à sept têtes », il en est de même du trafic d’armes.
Il a indiqué que les 93 officiers accompagneront plus de 400 militaires que l’Armée National dépêchera sur les lieux.
Il a expliqué aussi que les militaires exerceront des activités visant la sécurité et le  développement, comme l’alphabétisation d’adultes, dans l’éducation, reconstructions de logements de familles pauvres, et couvrir une série de besoins de service cuisant au niveau de la frontière.
Le Secrétaire d’état à l’éducation Nationale, Melanio Paredes, a précisé que l’objectif à atteindre durant le premier mois est que les militaires fassent un recensement des illettrés de la zone frontalière, pour pouvoir développer ensuite un programme intensif d’alphabétisation.
La cérémonie reçut la bénédiction du curé de la paroisse Notre dame d’Altagrâce, lieutenant Gerardo Ramirez Paniagua, tandis que le secrétaire d’état à l’éducation nationale prononça quelques mots en guise d’exhortation.
http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=125946