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lundi 31 mars 2008

Funérailles samedi à Miami de Pierre "Pepe" Bayard

Un artiste immortalisé autant par la musique que par la mode
lundi 31 mars 2008,
Radio Kiskeya

Les funérailles du célèbre musicien haïtien Pierre "Pepe" Bayard, 62 ans, ont été chantées samedi à l’église catholique St. Mary Magdalen de Miami (Floride) en présence notamment de sa famille et de ses amis proches, a appris Radio Kiskeya.
Atteint depuis un certain temps d’un cancer, l’artiste est décédé le dimanche 23 mars dans sa résidence de Miami Beach.
Fondateur d’un orchestre éponyme dont le succès fut phénoménal au cours des années 60-70, "Pepe" Bayard a été également à l’origine de la popularisation d’un style vestimentaire traditionnel haïtien. Baptisé justement "chemise Pepe Bayard", ce costume à trois ou quatre poches en siam ou carabela fut porté par le musicien sur la pochette de son tout premier album intitulé "Pepe Bayard on tour in Haiti", sorti en 1966.
Né à Ouanaminthe (Nord-Est) le 18 novembre 1945, Pierre "Pepe" Bayard, fils du colonel haïtien Georges Bayard, se lança dans une carrière artistique fructueuse après avoir fait ses études classiques chez les Frères de l’instruction chrétienne (Saint-Louis de Gonzague) et ses études universitaires au Florida State University, à Tallahassee.
Cependant, sa passion pour la musique l’avait déjà amené à fonder son premier orchestre dès l’âge de 15 ans. Excellent accordéoniste et compositeur de talent fortement influencé par le grand saxophoniste Wébert Sicot, il se révéla plus tard au grand public à travers son mini-jazz qui comptait notamment dans ses rangs Gary French, l’un des chanteurs les plus convoités de son époque.
Dans un hommage posthume à "Pepe" Bayard, le Miami Herald a qualifié son orchestre de "groupe aux sonorités uniques ayant pratiqué une méringue slow avec des influences françaises".
"Il aimait la musique et était partie prenante de tout ce qui se faisait en faveur d’Haïti", a indiqué au quotidien floridien Carl Fombrun, animateur de radio et de télévision bien connu dans la communauté haïtienne de Miami et ex-manager de l’orchestre "Pepe" Bayard à New York.
Un autre animateur haïtien, Alex Saint-Surin, qui avait interviewé l’artiste en décembre dernier, l’a décrit comme un "homme humble qui voulait consacrer le reste de sa vie à l’éducation". Le All Stars Caribbean Pirates qu’il avait créé en Floride a réalisé un CD dont une partie des ventes devait être consacrée à des initiatives dans le domaine éducatif.
"L’esprit de Pepe a été indestructible. Il profitait du plaisir que lui procurait chaque jour et privilégiait le côté positif des choses", a confié Shirley, la veuve du musicien au Miami Herald ajoutant "Durant 39 ans de mariage, il a imprégné notre foyer de son rire, de son humour et a guidé notre vie avec vision".
Connu pour sa défense de la cause haïtienne et sa contribution au monde artistique dans le comté de Miami-Dade, Bayard avait eu, en 1998, l’insigne honneur de voir le maire de la ville, Alex Penelas, déclarer le 3 octobre "Journée Pepe Bayard". L’élu avait pris cette rare décision, après avoir assisté à une impressionnante prestation du créateur haïtien au prestigieux Fontainebleau Hotel.
Ayant accumulé de longs séjours aux Etats-Unis, en 1991, le disparu s’était établi définitivement à Miami où il a investi dans l’immobilier. Il fut dans le temps propriétaire de plusieurs entreprises en Haïti.
Outre son épouse Shirley, "Pepe" Bayard laisse dans le deuil ses enfants Marc et Pascale ainsi que trois petits-enfants, Dimitri, Arielle et Shean. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4873
R. Dominicaine : Mutinerie lors du rapatriement de 120 sans-papiers haïtiens
Les autorités dominicaines accusent les migrants d’avoir utilisé des armes blanches pour tenter de kidnapper des militaires et inspecteurs d’immigration après avoir vandalisé les autobus qui les transportaient
dimanche 30 mars 2008,
Radio Kiskeya

120 sans-papiers haïtiens arrêtés à Santiago (155 km au nord de Santo Domingo) se sont mutinés au moment où ils allaient être rapatriés et auraient même tenté de prendre en otage des militaires et inspecteurs d’immigration, ont indiqué dimanche des sources officielles dominicaines relayées par EFE.
Un responsable de la direction régionale des services d’immigration a indiqué que la situation était extrêmement difficile vendredi après-midi car, certains des migrants portaient des armes blanches et des instruments contondants.
"Ils se sont mutinés dans les autobus, ont cassé les pare-brises, causé d’autres dommages et frappé certains des inspecteurs", s’est étonné le fonctionnaire qui a requis l’anonymat. Il a expliqué que pour maîtriser et disperser ces sans-papiers en colère, des unités supplémentaires étaient appelées en renfort.
Après les incidents, plusieurs des mutins sont parvenus à s’échapper, selon le responsable de la direction de la migration. Il affirme disposer de rapports précis montrant que les leaders du mouvement sont "des individus dangereux qui, pour la plupart, sont recherchés par la justice haïtienne".
Les services d’immigration en ont profité pour dénoncer "la pratique que les sans-papiers haïtiens ont développée consistant à agresser les militaires et inspecteurs d’immigration dominicains qui tentent de les appréhender en pleine rue". Ils ont promis de "mettre fin à cette pratique dangereuse" tout en estimant que "les illégaux provoquent les autorités dans le but de les porter à commettre des actes regrettables".
Les autorités soutiennent que dans les quartiers de Santiago et les communautés d’autres villes du nord de la République Dominicaine, des habitants se montrent alarmés par les actes délictueux auxquels se livrent les haïtiens. "Ils forment des bandes qui se rendent coupables d’attaques, de vols et autres faits criminels. Cela est préoccupant", indique la direction de la migration.
Le porte-parole de la police dans le Cibao Central (nord), le colonel Jesùs Cordero Paredes, a renchéri en faisant savoir à EFE qu’entre quatre et six ressortissants haïtiens sont arrêtés quotidiennement à Santiago sous l’accusation de cambriolages et autres attaques.
Les incidents de vendredi interviennent dans un contexte marqué par une nette accélération des rapatriements massifs d’illégaux et des relations de plus en plus tendues entre les haïtiens et les forces de l’ordre en territoire voisin.
Une communauté estimée à plusieurs centaines de milliers d’haïtiens et de dominico-haïtiens vit dans une situation de grande marginalisation en République Dominicaine. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4872
Commentaires:
Nous avons scruté les horizons de la presse dominicaine enquête d’informations plus pertinentes sur cet incident et sur la chronique des faits qui font intervenir des nationaux haïtiens ces derniers temps et nous avions pu constater qu’à la différence de périodes antérieurs, l’actualité autour des haïtiens a laissé le pas à la campagne électorale traditionnelle de la république Dominicaine caractérisée par un clientélisme politique monnayé et des accusations de corruption fusant de tous les secteurs.
Certains Leaders des partis de l’opposition semblent préfèrent se rallier à la cause du prochain vainqueur.
C’est à cause de l’effervescence des ces campagnes que ce qui se passe avec les haïtiens ne fait plus la une de l’actualité.
Cependant il ne faut pas se leurrer, les discours montrant l’extension de la présence haïtienne comme la seule gangrène menaçante qui guette la République Dominicaine fera surface au moment opportun.
Les persécutions au nom de la défense de la souveraineté nationale aboutiront à des expulsions arbitraires de plus en plus corsées et fréquentes.
Si les citoyens haïtiens en situation irrégulière ou non pense qu’avec la force ils peuvent pousser à une nouvelle conceptualisation du problème, ils se fourrent le doigt dans l’œil. Ils sont pour ainsi dire entrain de donner le bâton pour se faire battre.
Il se retrouveront face à face à une réalité dominicaine complètement différente de la vie haïtienne.
Les militaires et les policiers dominicains jouissent d’une certaine licence que l’objectif de lutter contre le désordre et l’anarchie justifie pleinement.
L’intégration sociale, priorité des associations de déportés Alors que le gouvernement et de nombreux secteurs de la vie nationale estiment que les déportés font partie des causes de la recrudescence des actes d’enlèvement dans le pays, des responsables d’associations de déportés sollicitent un support des autorités pour favoriser l’intégration sociale de leurs membres.
La Fondation Haïtienne des Familles de Rapatriés et le Développement Partner Team sont en première ligne de cette lutte qui vise à projeter une nouvelle image pour les déportés.
Le directeur de Développement Partner Team, Frantz Saintil, s’exprime avec un fort accent anglophone parce qu’il a été déporté des Etats-Unis en 2001 où il vivait avec sa famille. " Il souligne que les déportés sont considérés comme des bouc émissaires rappelant qu’il a été, comme tous les autres déportés, incarcéré pendant un mois lors de son arrivée à Port-au-Prince.
Selon M. Saintil nombre de déportés ne travaillent pas parce qu’ils ne savent comment chercher un emploi. " 90 % de la bataille pour la réinsertion sociale est psychologique ", dit-il faisant valoir que tout être humain mérite une seconde chance.
Interrogé sur l’implication des déportés dans des actes de kidnapping, M. Saintil a souhaité que les autorités haïtiennes communiquent des statistiques sur ce dossier.
Le responsable de la Fondation Haïtienne des Familles de Rapatriés, Rodrigue Ulcenat, a pratiquement achevé sa réinsertion, il est un traducteur de l’Organisation Internationale pour la Migration (OIM) et réalise des projets qui sont supportés par l’OIM. " Nous oeuvrons afin de mettre un terme à la stigmatisation et la marginalisation des déportés" déclare M. Ulcenat qui espère que le gouvernement apportera sa contribution dans le cadre de cet effort. Selon lui, le gouvernement doit construire un centre d’accueil pour les déportés afin de prendre en charge ces individus.
Ce consultant de l’OIM révèle que plusieurs ressortissants des Bahamas n’ayant aucun lien avec Haïti ont été récemment déportés dans le pays parce que leurs grands-parents étaient de nationalité haïtienne.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=13627

Le gouvernement appelle à la vigilance face à la menace de la grippe aviaire

Le secrétaire d’état à l’agriculture, Joanas Gué, lance un appel à la vigilance parce que dit-il des produits avicoles dominicains franchissent la frontière en contrebande.
La semaine dernière un camion transportant plus de 100 caisses d’œufs a été arrêté à la Croix-de-Bouquets ( Nord de Port-au-Prince). Des produits avicoles dominicains arrivent sur le territoire haïtien parce que le poste douanier ne dispose pas de matériels pour contrôler le lac azuei.
Selon Joanas Gué, le ministère de l’agriculture joue un rôle de leadership dans ce dossier mais tous les secteurs doivent jouer leur partition.
Tout en rappelant que les contrevenants à la mesure d’interdiction d’importation seront traduits en justice, Joanas Gué signale que les mesures visent à protéger la population et le cheptel avicole. " Il y a plus de 60 000 poules dans le pays qu’il faut protéger", lance M. Gué qui fait remarquer qu’en cas d’infection il faudra 300 millions de dollars pour indemniser les propriétaires de poulets qui seront sacrifiés.
Le secrétaire d’état à l’agriculture, Joanas Gué annonce un renforcement du dispositif à la frontière avec la mise en place d’un cordon de sécurité par les responsables du service de quarantaine.
Attirant l’attention sur le risque élevé d’infection pour Haïti, M. Gué assure que des prélèvements permettent de prouver qu’il n’y a pas d’infection de la grippe aviaire en Haïti. " Nous effectuons des prélèvements dans le fleuve artibonite et c’est une chance qu’Haïti ne soit pas encore infecté", se réjouit Joanas Gué.
Le secrétaire d’état à l’agriculture précise que plus de 1 600 prélèvements de contrôle ont été réalisés dans les sites sensibles, la ligne frontalière, les gaguères et les 15 principaux reposoirs des oiseaux migrateurs.
Selon M. Gué le gouvernement annoncera publiquement qu’une région a été infectée par la grippe aviaire dès qu’une analyse aura permis de vérifier la présence du virus H5N2
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=13626
Un commentaire:
Tiens, tiens ! Et le dossier de la grippe aviaire qui refait surface. Je le croyais enfoui comme d’habitude dans les méandres chevaleresques de nos habitudes. Nous continuons a apprécier la légèreté avec laquelle les instances concernées ont traité le problème et surtout l’insignifiance de la réponse donnée par les autorités qui auraient du sauter sur cette occasion pour éliminer définitivement notre dépendance du secteur avicole dominicain.
En effet, les éleveurs dominicains ont perdu des millions de dollars. Au lieu d’en profiter pour créer, organiser dynamiser ce secteur. Nous avons répondu par une action qui va de pair avec notre médiocrité.
Une autre mesure populiste en plus. Le ministre à la condition féminine distribue quelques rares poules pondeuses à des femmes…pour la production de combien d’unités d’œufs !
C’est à mourir de rire !

Le premier ministre planche sur le dossier de la double nationalité

Le premier ministre haïtien, Jacques Edouard Alexis, annonce une rencontre entre des membres du gouvernement et les responsables du parlement en vue de mettre en place une structure pour évaluer la question de la double nationalité.
Répondant aux questions des journalistes à son arrivée à l’aéroport Toussaint Louverture après sa visite à Washington, M. Alexis a fait part de ses préoccupations en raison de la perception des haïtiens de la diaspora face à ce dossier.
Il soutient qu’une réforme de la constitution est la seule solution qui permettra de répondre aux intérêts des haïtiens de la diaspora tout en respectant des principes de souveraineté. " Il est important qu’on analyse le statut des membres du gouvernement", a souligné M. Alexis précisant que tous les aspects de la commission mixte seront évalués.
En ce qui a trait aux rumeurs sur la nationalité étrangère du ministre de la justice, René Magloire, le chef du gouvernement a dit souhaiter que la lumière soit faite au plus vite sur cette affaire.
Jacques Edouard Alexis est rentré à Port-au-Prince samedi dernier après avoir eu des rencontres avec les responsables de l’Organisation des Etats Américains (OEA), de la Banque Interaméricaine de Développement (BID), de la Banque Mondiale, du Fond Monétaire International (FMI) et du gouvernement américain afin de mobiliser des fonds pour le Document de Stratégie Nationale pour la Croissance et la Réduction de la Pauvreté (DSNCRP). " Cette visite s’inscrit dans le cadre des rencontres préliminaires pour la conférence des bailleurs de fonds", rappelle M. Alexis qui s’est entretenu également avec la secrétaire d’état, Condoleeza Rice, et les responsables de l’USAID et du département du Trésor.
Le dossier des haïtiens vivant en situation irrégulière a été également abordé au cours de ces rencontres avec les officiels américains. " J’ai renouvelé la demande de TPS en faveur des haïtiens en situation irrégulière qui sont déportés ", insiste M. Alexis expliquant que ce dossier ne concerne pas les criminels. Tout en faisant remarquer que les Etats-Unis ont accordé ce statut à des ressortissants d’autres pays de la caraïbe, le premier ministre Alexis espère que le président Georges Bush répondra favorablement à la requête du gouvernement haïtien.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=13625

Dany Laferrière : premier citoyen du Japon

Je suis un écrivain japonais», tel est le titre du récent roman de Dany Laferrière paru aux Editions Grasset (mars 2007). L'ouvrage sera repris au Canada par les Editions du Boréal au début du mois d'avril. « Diaboliquement intelligent, délicieusement sensuel et irrésistiblement drôle », indique la quatrième de couverture.
Ce titre lancé en France au début du mois de mars a fait une entrée fracassante sur la scène parisienne. Tout le monde en parle : cet Haïtien qui décide un matin de se convertir en japonais déroute et intrigue. Humour, finesse d'esprit, et profondeur, tels sont les axes de ce nouveau Laferrière qui confirme un grand talent.
Dany Laferrière est l'un des écrivains haïtiens les plus lus au Québec et dans la francophonie. En 2000, il a avoué sa fatigue d'écrivain avec son récit «Je suis fatigué».

Depuis s'ouvre le cycle cinéma. Il écrit des scénarios, réalise des films, et recycle ses premiers ouvrages.
Après la vaste autobiographie américaine, qui regroupe une quinzaine de titres de cet écrivain qui revendique toujours son américanité, on ne s'attendait pas à ce qu'il nous amène au Japon. Eh bien, voilà, ni nègre, ni créole, ni antillais, ni québécois, ni américain, Dany Laferrière est un écrivain japonais.

L'histoire du roman : Montréal. Un homme mène une vie des plus tranquilles jusqu'au jour où il reçoit la visite du vice-consul de l'ambassade du Japon qui lui apprend sa célébrité à Tokyo depuis qu'il a annoncé qu'il écrivait un livre «Je suis un écrivain japonais».
À 55 ans, Dany Laferrière est devenu le chef de file de son époque et le plus grand écrivain de sa génération. La presse française et canadienne parle de lui comme l'un des écrivains francophones les plus importants. Il a déjà fait la première et la dernière page du Cahier Livre du quotidien Le monde, considéré comme la consécration pour un écrivain. «Le goût des jeunes filles» a paru dans la prestigieuse collection Folio de Gallimard, André Malraux est le premier écrivain à être publié dans cette collection. Quatre films ont été tournés autour de son oeuvre.
«Je suis un écrivain japonais» est son troisième titre chez Grasset.
En 2006, le roman «Vers le Sud» était en lice pour le Renaudot.
Les ouvrages de Laferrière sont traduits en une quinzaine de langues (suédois, coréen, espagnol, italien, créole, polonais, anglais, roumain, serbe, néerlandais, russe, grec, etc. A la télévision, une dizaine de documentaires et de portraits présentent cet écrivain majeur qui fait la fierté du pays.
http://www.lenouvelliste.com/article.php?PubID=1&ArticleID=55912&PubDate=2008-03-28

Haïti-Antilles Néerlandaises , le 15 juin

Neuf équipes de la CONCACAF ont assuré leur qualification pour le deuxième tour des éliminatoires de la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010.
Le bonheur des uns faisant le malheur des autres, neuf autres sélections ont vu leur aventure s'achever.
Haïti connait son adversaire : les Antilles Néerlandaises.
La Grenade a signé le plus gros carton de la journée en écrasant les Îles Vierges américaines 10:0.
Quant à Porto Rico, il a eu besoin de la prolongation pour venir à bout de la République dominicaine.
Consciente que sa qualification se jouerait sur un match sec, la Grenade n'a pas laissé l'ombre d'une chance à des Îles Vierges américaines complètement dépassées. Sans pitié, les Spice Boyz se sont imposés sur le score de 10:0.
A Willemstad, l'équipe des Antilles néerlandaises composé marjoritairement par des joueurs évoluant dans la D1 hollandaise ont infligé une défaite 2:0 au Nicaragua grâce à Tyronne Loran et Angelo Zimmerman.
Déjà vainqueurs 1:0 à l'aller, elles auront affaire au champion des Caraïbes, Haïti.

Signalons que Wagneau Eloi était présent pour assister à ce match dans la mesure oú il prend la tête du Onze national lundi prochain selon une source proche de la Fédération Haïtienne de Football.

Les Haïtiens qui n'ont toujours pas enregistré la moindre de victoire possible depuis le départ de Luis Armélio Garcia. Pour ces cinq matches disputés durant cette année, Haïti a fait trois nuls, deux contre le Salvador (0-0, 26 et 29 janvier) et un face au Vénézuela (1-1, 6 février) et concédé deux défaites, celle contre l'Equateur (3-1, 26 mars) et face au Vénézuela (1-0, 3 février).Les deux matches du premier tour restant à disputer auront lieu dimanche.
Comme nous l'avons vu, les Bahamas et les Iles Vierges britanniques doivent encore se départager. Par ailleurs, les Iles Caïmans, qui ont réussi un bon nul à domicile face aux Bermudes en février, tenteront de poursuivre leur rêve à Georgetown.
Les affiches du deuxième tour des éliminatoires de la CONCACAF (mois de juin)Les recontres à venir sont :Grenade - Costa Rica Barbade - Etats-Unis Sainte-Lucie - Guatemala Antigua et Barbuda - Cuba Suriname - Guyane Belize - Mexique Salvador - Panama Antilles Néerlandaises - Haïti Porto Rico – Honduras