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lundi 18 mai 2009

Un citoyen français retrouvé mort en République Dominicaine

Un citoyen français retrouvé mort en République Dominicaine
Un français dépressif après la séparation de sa concubine dominicaine a été retrouvé mort en état de putréfaction hier dans sa résidence située dans l’angle des rues Hostos / José Grabriel García, de la Zone Coloniale, de la capitale, a informé la Police. L'institution de l'ordre a spécifié que le français Pierre Patrick Fulbert, de 56 ans, est mort en raison par asphyxie par pendaison.
Cependant, les autorités policières ont envoyé les dépouilles de Patrick Fulbert à l'Institut National de Pathologie Légiste pour qu'il soit soumis aux études correspondantes, qui permettent de déterminer de manière spécifique les causes de son décès.
Concernant le cas, Madame Felicia Rodriguez de Meléndez, de 58 ans, a raconté aux enquêteurs que le français décédé résidait là depuis environ 5 mois, où il habitait avec la jeune Juana de los Santos Rodriguez, de 28 années, domicilié à San Cristóbal.
Elle a expliqué qu'il y a environ trois semaines que le couple s’était séparé, la raison pour laquelle Patrick Fulbert était déprimé et il aurait pris la décision de se quitter la vie.
De los Santos Rodriguez a dit aux chercheurs qu'il avait conversé avec son ex concubin par la voie téléphonique à 23:00 14 mai dernier et avaient décidé de se voir le matin pour lui remettre de l’argent pour payer le changement d'un équipement de salon de beauté que l lui-même lui avait acheté.
Il a allégué que comme ils avaient décidé elle s'est présentée à l’adresse mentionnée, mais qu’elle s’est fatiguée de frapper à la porte et de l'appeler par téléphone sans que personne ne réponde, raison par laquelle est partie et dans l'après-midi hier du 17 elle a reçu un appel de Madame Felicia, qui lui a annoncé que Patrick Fulbert avait été retrouvé dans ces conditions
http://www.elnuevodiario.com.do/app/article.aspx?id=152242

Leonel Fernández reclame un place pour Haiti au sein de la Communauté Iberoamericaine.



Leonel Fernández reclame un place pour Haiti au sein de la Communauté Iberoamericaine.

Madrid, (EFE).- Le président Leonel Fernandez de la République Dominicaine a sollcité aujourd’hui en Espagne que la République d’Haïti soit incorporée à la communauté Ibéro-Américaine et a reconnu comme le grand défi pour son pays et pour toute l’Amérique Latine entrer dans le capitalisme moderne global et tirer profit de ses opportunités. »

Leonel Fernandez accompagné de son épouse réalise une visite offcielle en Espagne ou il est reçu aujourd’hui par les rois Juan Carlos et Sofia.

Durant son intervention au cours du forum Ibero Americain qu’organisent la Casa de America et l’agence EFE, le président dominicain à réclamé que sa voisine Haïti soit incorporée à la communauté Iberoaméricaine comme un « acte de réparation historique »

0 l’occasion des bicentenaires de l’indépendance, Fernandez traça le parcours réalisé par l’Amérique Latine depuis lors pour atteindre au cours du vingtième siècle sa propre transition de « régimes autoritaires » jusqu’à la qualité de la démocratie actuelle.

Il existe maintenant « un critère généralisé en Amérique latine qui veut que la politique soit soumise à l'état de droit », il a affirmé, pour souligner que dans la région « l'existence d'un système démocratique n'est pas en danger». Le problème fondamental, a –t-il dit, est de caractère économique et social, « la pauvreté et l'inégalité sociale, peuvent seulement être résolues avec un système économique prospère.

Il a soutenu que « le populisme a joué son rôle historique mais est arrivé à son épuisement », et bien que l'économie de marché « ait corrigé » certains de ses excès, un équilibre est « plus approprié », sans que disparaisse le rôle « indispensable pour corriger » de l'État.

Pour Fernández le défi est « comment s’intégre la chaîne nationale de valeur », investir dans « formation de capital humain » avec l'incorporation des nouvelles technologies et avec « une stratégie nationale d'intégration sur les marchés internationaux ». Il a rappelé que 70 pour cent du commerce de son pays se fait avec les Etats-Unis, et il a dit qu'il faut chercher aussi des voies de diversification avec des liens avec l'Espagne, l'Europe et l'Asie.

Il a affirmé que sa visite à l'Espagne « n'est pas pour quémander » mais pour « partager », et il a souligné des secteurs d'intérêt mutuel comme l'énergie - éolienne, solaire ou celui des télécommunications.

Sur les répercussions de la crise économique mondiale dans son pays, il a dit que le Plan National de Compétitivité est encore valable. La République dominicaine est passée d’ue croissance à un taux annuel de moyenne de de 8.5% « à un taux de 1 pour cent dontnousnous sentons très heureux». Toutefois, il a dit Fernández, « la projection est que nous puissions atteindre 4 pour cent en 2009 ».

Dans le secteur touristique, il y eut une diminution en ce qui concerne nos espérances, mais le flux a été maintenu ».

Suite à la grippe A, Fernández a affirmé que « nous regrettons beaucoup la situation pour le Mexique, mais République dominicaine a reçu d'une certaine manière les touristes qui allaient au Mexique dont une partie a été déviée vers le pays ». « On prouve ici que le malheur des uns fait le bonheur des autres

Évidemment, ce n’est pas ce que nous souhaitons. Nous aimerions un monde plus stable et bénéfique pour tous ", il a ajouté.

Sur l'immigration, avec un grand nombre d'émigrants aux USA et dans des pays comme l'Espagne, Fernández a dit que « le plus important c’est de maintenir le lien, le sens de la dominicanidad, le flux bi-directionnel ».

EN ce qui concerne la réforme de la Constitution on prévoit que les émigrants comptent des représentants au sein du Parlement, et dans le cas de l'Espagne il y aurait deux députés, un pour Madrid et un autre pour Barcelone, a-t-il indiqué.

Les transferts d’argent dépassent les 3.500 millions de dollars par an, un peu plus du 12 ou 13 pour cent du PIB de République dominicaine, dont la majeure partie vient des Etats-Unis. L'Espagne, qui occupe la deuxième place dans ces envois, représenterait entre les 3 et 4 pour cent, a ajouté Leonel Fernández. EFE

http://www.hoy.com.do/el-mundo/2009/5/18/278051/Leonel-Fernandez-reclama-un-lugar-para-Haiti-en-la-Comunidad-Iberoamericana


Deux hommes d’affaires de Floride plaident coupables d’avoir versé plus d’un million de dollars de pots-de-vin à des fonctionnaires de la Téléco...

...Sous la présidence de Jean Bertrand Aristide...
Ils encourent 5 ans de prison
dimanche 17 mai 2009,
Radio Kiskeya
Deux hommes d’affaires américains ont plaidé coupables le 27 avril et le 15 mai derniers par devant un tribunal du Sud de la Floride (Etats Unis) de blanchiment d’argent et de violation des lois américaines sur la corruption de fonctionnaires d’un gouvernement étranger.
Par-devant le juge Jose E. Martinez du District du Sud de la Floride, Antonio Perez (51 ans) et Juan Diaz (51 ans) ont successivement reconnu avoir versé, entre 2001 et 2003, environ un million sept cent trois mille quarante quatre dollars (USD 1.703.044) au Directeur général et au Responsable d’alors des relations internationales de la Téléco pour qu’ils octroient des avantages à 3 compagnies de télécommunications du Comté de Dade (Miami).
Les noms des fonctionnaires haïtiens concernés ne figurent pas dans le communiqué relatif à ce dossier publié le 15 mai par Alexander Acosta et Lamy A. Breuer, respectivement Attorney et assistant Attorney des Etats Unis pour le District du Sud de la Floride. L’investigation se poursuit, précise le communiqué.
Juan Diaz a admis avoir perçu soixante treize mille huit cent vingt quatre dollars (USD 73.824) de commissions pour les pots-de-vin versés aux officiels haïtiens.
Les deux hommes d’affaires de Floride encourent une peine maximale de 5 ans assortie d’une amende de plus de deux cent cinquante mille dollars (USD 250.000).
Le gouvernement Aristide (2001-2004) concerné par un tel dossier, a été maintes fois accusé d’avoir conclu des contrats douteux au détriment de la Téléco. [jmd/Radio Kiskeya]
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5908
Haïti Recto Verso commente:
Et maintenant quoi? On fait quoi ?
Ils sont ou les directeurs de la Teleco de l’époque ?
Ils sont ou les responsables des relations internationales ?
On ne va pas commencer à incriminer directement Jean Bertrand Aristide. Comme dans l’affaire de la circulation de la drogue qui a vu ses proches et même ses très proches collaborateurs se faire épingler par la justice américaine. Il ne saurait être considéré comme un accusé de premier degré.
Mais il doit en savoir des choses.
Commençons par le commencement.