Google

vendredi 6 avril 2007

Promotion de la Republique Dominicaine comme paradis du tourisme sexuel, du désordre et de la dépravation... Des Dominicains embarassés...

La diffusion du contenu d’un programme de televisión embarasse des dominicains

Santiago, a avril 2007.
Les résidents des 14 provinces de la région du cibao, ont reçu très mal la diffusion d’une émission de télévision à travers laquelle la République Dominicaine est vendue comme le pays de la dépravation sexuelle. L’émission de télé WILD ON, de E entertainment Television Latinoamerica, a présenté dimanche dernier une émission spéciale réalisée en République Dominicaine ou le pays était vendu comme un paradis propice à la dépravation sexuelle et de la conduite.
L’émission débuta par une présentation de la Zone Coloniale de la Capitale, Santo Domingo, conduite par l’ex reine de beauté et communicatrice Idelsa Nuñez, qui démontra connaître très peu d’histoire mais beaucoup sur les discothèques et de centres de diversion nocturnes.
Les erreurs affichées lors de la présentation du programme ne furent pas seulement de type historique sinon, San Pedro de Macoris a été présenté comme la deuxième ville d’importance du pays.
Sur ce sujet, les résidents de Santiago ont remarqué que Leur ville Santiago la deuxième du pays considerée comme la capitale industrielle n’a même pas été mentionnée ni en bien ni en mal.
La communauté de Cabarete, de la province de Puerto Plata, dans le nord du pays, a été présentée comme le temple du sexa sauvage, du libertinage, du sexe libre et du « sanguinpankismo ».
L’émission a présenté des images de femmes entrain de s’embrasser entre elles, les seins à l’airen montrant son consentement pour un agissement qui dans le domaine du dépravé n’aurait pas de limites.
Tandis que le gouvernement s’implique à mettre une alarme à ceux qui boivent de l’acool, Wild On, montre les milles faces de la République Dominicaine avec les mêmes raits de vagabonds, de dépravés et de dégénérés.
Sur la vidéo, depuis Punta Cana on a observé deux jeunes hommes s’approprier chacun d’un sein d’une même citoyenne, présentée sans scrupules par l’émission internationale. La présentation du carnaval des villes La Vega lotie dans la partie centrale de lé région du Cibao, faisait partie de l’émission sponsorisée par la bière marque PRESIDENTE.
Norelis Rodríguez, ex reine de beauté vénézuélienne, conduisit une partie du programme qui montra les « pôles touristiques dominicains” lesquels sans aucun doute représentaient une vraie tentation pour le grand marché international.
Malgré le fait que cette émission place la République Dominicaine dans la valise des pays considérés comme destinations sexuels, du désordre et de la dépravation, il a reçu le soutien de ceux-là qui ne sont guère capables de voir le futur au-delà des frontières de Quisqeya.

Article original paru dans l’édition digital du journal Nuevo Diario traduit en français par Thom GATO pour Haïti Recto Verso.

Un réseau d’organisations Mains Solidaires de New York réponsabilise Leonel Fernandez de la vie de Sonia Pierre. Elles annoncent un rassemblement deva

New York.- Le réseau d’organisations humanitaires « Mains Solidaires » (Manos Solidarias) qui regroupe sept entités communautaires de New York y compris l’église a responsabilisé le Président de la sécurité et de la vie de l’activiste dominico-haïtienne Sonia Pierre et de sa famille t ont demandé au gouvernement d’arrêter la campagne qu’il manipule à travers des voix pseudo nationalistes contre la militante décorée. Au cours d’une conférence de presse réalisée aujourd’hui à midi au centre de développement de la femme dominicaine (Centro de desarrollo de la Mujer Dominicana) du numéro 189 de l’avenue Audubon, les représentants des organisations qui composent le réseau, ont coïncidé à accuser l’état d’être le responsable direct des sévères attaques perpétrées contre Madame Pierre et ont exprimé que ces attaques, sont attachées à la campagne qui vise la réélection du président Fernandez.
Ils ont incriminé aussi le Docteur Marino Vinicio Castillo (Vincho) et son fils le député Pelegrin Castillo, ainsi que le Parti que dirigent ce deux politiciens Force Nationale Progressiste (Fuerza Nacional Progresista) de se laisser manipuler par des secteurs ultra conservateurs, faux nationalistes, pour orchestrer la campagne contre madame PIERRE.
Luis Tejeda, en représentation du Centre Communautaire Soeurs Mirabal (Centro comunitario Hermanas Mirabal), averti que la vie de Sonia PIERRE « est en danger ». Il ajouta que c’est un fait que le gouvernement ne va jamais pouvoir prouver d’aucune manière que Madame Pierre n’est pas dominicaine et pisse être dépouillée de sa nationalité dominicaine.
« La deuxième partie consisterait à attenter contre sa vie, comme une façon de la museler » a souligné le dirigeant et l’activiste communautaire. Il a indiqué que ce serait la manière dont le gouvernement essaierait de mettre fin au travail que réalise madame PIERRE en faveur des dominico-haïtiens et d’autres causes, de droits humains et droits civils ; qu’elle dirige en République Dominicaine.
Nous demandons au gouvernement dominicain de respecter la vie de Sonia PIERRE et nous rendons responsable le gouvernement dominicain et le Parti de la libération Dominicaine (el Partido de la Liberacion Dominicana PLD) de ce qui pourrait lui arriver » a ajouté Tejada.
“Ceci est clair et nous allons accuser directement le gouvernement dominicain, si quelque chose lui arrive à Sonia”, a exprimé l’activiste. Il a insisté sur le fait que le gouvernement doit être clair sur le principe qu’il ne doit prendre aucune mesure qui puisse mettre en danger la vie de Madame PIERRE.
“Ainsi, comme ils sont en train d’utiliser des intermédiaires pour essayer de lui enlever sa nationalité, ils utiliseront des intermédiaires pour attenter contre sa vie. « Ceci représente le style utilisé par la République Dominicaine et le style néotrujilliste que le gouvernement de Monsieur Fernandez qui est entouré de représentants importants de cette tendance » a expliqué Monsieur Tejada.
Il a déclaré que les mesures néo trujillistes qui sont entrain d’être décidés dans le pays, cherchent à garantir la permanence de Leonel au pouvoir au-delà du 16 août 2008.
Les organisations qui participent à la conférence en plus du centre de développement de la femme dominicaine (el Centro de desarrollo de la Mujer Dominicana et le centre Culturel Soeurs Mirabal (Centro Cultural Hermanas Mirabal), ont assisté l’église Saint Romero des Amériques, la coalition du Nord de manhattan pour les droits des immigrants (Coalicion del Norte de Manhattanpara lo derechos de los inmigrantes), Force pour la Révolution (Fuerza para la Revlucion), le Comité de Solidarité avec les peuples (el Comité de Solidaridad con los pueblos), le centre communautaire l’aurore (el Centro Comunitario la Aurora) et Mains solidaires( Manos Solidarias).
En plus de Tejada, d’autres représentant ont pris la parole tels que Rosita Romero, Radhames Pérez, Wilson Spencer, Maria Luisa Nuñez, Manuel Castro y Hortensia Gonzalez-Gomez.
Ils ont annoncé que dans le cadre de la campagne « non à l’exclusion » qu’ils ont lancé le jeudi saint pour profiter de la semaine sainte et refuser la discrimination contre les citoyens d’origines haïtiennes, il contemple l’appui international à Madame Pierre, un rassemblement sera réalisé devant le siège du Consulat Général Dominicain et une veillée se tiendra devant l’édifice qui héberge la Mission Dominicaine devant les Nations Unies (ONU).
La démonstration devant le Consulta Dominicain se réalisera le 16 avril à partir de trois heures de l’après-midi, tandis qu’il n’ pas été retenu encore de date pour le rassemblement devant le siège de la ONU.
Ils ont dit qu’ils maintiendront des apparitions constantes dans les médias et demain, lors de la procession de l’église saint Romero, ils distribueront des milliers de flyers pour dénoncer la situation de Madame Sonia PIERRE
Ils ont exprimé la crainte que les attaques perpétrées contre la dominico-haïtienne, puissent s’étendre à d’autres activistes non seulement d’origine haïtienne mais aussi contre des dominicains, parce qu’elles font partie selon Monsieur Spencer, d’une attitude claire d’intolérance des outils officiels du gouvernement.
Ils ont informé qu’ils ont dirigé une lettre au président Leonel Fernandez lui demandant que le gouvernement mette fin aux persécutions contre Madame Sonia PIERRE.
Ils ont déploré le fait que devant un fait qui a attiré l’attention internationale, le premier mandataire adopte le silence comme réponse et ne s’est pas prononcé sur le sujet.