Son vrai nom… Évens Jeune. Connu surtout sous l’appellation « Évens Ti Kouto » ou « Évens Bwa Lyann ». Il contrôle les trente-quatre quartiers du plus vaste bidonville du pays depuis la mort du puissant chef de gang du quartier de Boston, Labannière, en 2004. Il s’opposait à l’idée de mobiliser la population de Cité Soleil pour le retour de l’ex-président Aristide.« On le surnomme Évens Ti Kouto parce qu’il avait « massacré une femme enceinte avec un couteau ». Dès qu’on parle de « Bwa Lyann », c’est qu’on a affaire à un coriace. « Ce nom est surtout mentionné dans le cadre des négociations avec la famille des citoyens kidnappés », révèle un haut responsable de la Police.
Le beau-frère d’Évens, Amarald Duclona, chef de gang de Belecourt, un autre quartier de Cité Soleil, affiche plutôt l’allure d’un politicien alors qu’il est activement recherché, lui aussi, par la justice haïtienne. Il s’est gardé d’intervenir dans les médias de la capitale depuis un certain temps. De sources policières, on apprend que des affrontements ont eu lieu récemment entre le gang d’Amarald et celui d’Évens à la suite d’une dispute autour d’une génératrice offerte par des « Gwo chabrak ». Belony, un autre caïd fréquemment mentionné sur les listes de recherche de la police et chef de gang de Bois-neuf, ne dispose pas de l’arsenal que possède le « maître et seigneur de la zone ». Le gang d’Évens Ti Kouto est « une véritable armée » composée de dizaines de « soldats ». « Ils sont armés jusqu’aux dents et sont prêts à tout», explique Peterson, un résident du quartier de Boston, fief d’Évens. Le frère d’Évens, Claude Jeune alias Ti Claude, est le numéro 2 du groupe. C’est un individu sans foi ni loi qui se prépare à remplacer Évens qui était tout prêt à se suicider après l’opération menée le vendredi 9 février dernier par les forces onusiennes.
Le mercredi 14 février, un reporter du Matin s’était rendu à sa résidence dans le cadre d’une visite guidée organisée par la mission onusienne. Une singulière réalité s’est révélée au regard du reporter en arrivant au domicile d’Évens qui est activement recherché par la justice haïtienne et les forces de l’ordre. Notons qu’un mandat a été décerné contre le plus puissant chef de gang de Cité Soleil en 2005 pour son implication dans plusieurs cas d’enlèvements. En plus des crimes qui lui sont reprochés, Évens Ti Kouto est également recherché pour l’assassinat de l’hôtelier et consul honoraire de France au Cap-Haïtien, Paul Henri Mourral, le 31 mai 2005. Un complexe au milieu d’une kyrielle de maisonnettes de fortunesD’où provient la richesse d’Évens ? « Du kidnapping, des vols, des assassinats téléguidés », répond un ex-responsable de la Police judiciaire. Au cœur de Cité Soleil, où la misère bat son plein, le chef de gang a construit « la maison la plus luxueuse » comportant discothèque, terrains de jeu, bar, cantine populaire et salle de cinéma. Aux alentours de sa résidence, des maisons de fortune troués de balles et en majorité inhabitables offrent une vue déprimante.Tous les samedis soirs, a-t-on appris, les jeunes de Cité Soleil participaient aux festins organisés au complexe du « Boss Évens », comme on le surnomme. La bière y était offerte gratuitement. Le « Boss » dépense sa fortune en « achetant des munitions pour son armée, en distribuant de la nourriture et de l’argent à la population et en s’occupant d’affaires personnelles ». Il achète tout le monde et impose sa loi dans la cité.
Évens Ti Kouto était même habilité à distribuer de la nourritute à la population à travers une organisation charitable internationale. « Cela se faisait tous les week-ends », affirme bòs Vital, un charpentier rencontré dans l’une des ruelles du plus grand bidonville d’Haïti. Bòs Vital explique que « Boss Évens est un papa au bon cœur. Il ne supporte pas les mauvaises actions dans la cité ». Jean-Jean dément les déclarations du charpentier. Selon lui, la bande à Évens ne faisait que violer les droits des citoyens de la cité en y instaurant un climat de terreur. Le droit à la parole leur était refusé. Certains, surtout les étudiants, ont dû gagner le maquis pour protéger leur vie. Évens Ti Kouto un enfant de Cité SoleilContrairement aux rumeurs faisant croire que Évens Ti Kouto serait un déporté des États-Unis ou un originaire de Carrefour-Feuilles, des informations recueillies par le reporter du Matin révèlent qu’il est natif de Cité Soleil. Il y a grandi et a intégré la bande à Labannière en raison de « son efficience dans les assassinats de rivaux dangereux ou de simples citoyens ». Un sérieux malfaiteur, à un point tel qu’il a été promu au rang de 2e chef du gang de Boston, celui de Thomas Labannière, en un rien de temps.Passionné d’argent et de crime, il assassina son chef après avoir été soudoyé par le gang rival de Bois-neuf dirigé par Dread Wilmé, lequel sera tué dans un affrontement avec la mission onusienne. Armé jusqu’aux dents, Évens Ti Kouto impose sa loi à la population de Cité Soleil. Bon stratège, il se positionne à l’entrée du bidonville, au quartier Boston et à quelques mètres de la route nationale #1, axe routier d’une importance vitale pour le commerce national.Mais, une opération militaire de « Força Jauru Brabatt-6 » commandée par le colonel brésilien Magno Barrosso, lequel avait délogé les bandits de Cité Militaire l’année dernière, a mis fin au règne d’Évens Ti Kouto à Boston. En cavale, ces amis et lui ont exprimé le désir de rendre les armes au gouvernement. (Source Journal le matin http://www/lematinhaiti.com
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
lundi 26 février 2007
Haïti / R.Dominicaine : Conférence à New York sur la situation des migrants à l’Est de l’île
Haïti / R.Dominicaine : Conférence à New York sur la situation des migrants à l’Est de l’île
vendredi 23 février 2007
Rapprocher les diasporas haïtienne et dominicaine aux Etats-Unis d’Amérique autour de la situation des migrants haïtiens et de leurs descendants en République Dominicaine.
P-au-P, 23 févr. 07 [AlterPresse] --- Une conférence de sensibilisation des diasporas haïtienne et dominicaine des Etats Unis d’Amérique, autour de la situation des migrantes et migrants haïtiens et de leurs descendantes et descendants en République Dominicaine, se tient cette semaine à New York, à l’initiative de l’École de Justice Criminelle de Jhon Jay College, apprend l’agence en ligne AlterPresse.
Cette conférence vise à « contribuer activement à une amélioration profonde des relations entre Haïti et la République Dominicaine », a signalé, dans le discours inaugural du jeudi 22 février, le Dr Steeve Coupeau, un américain d’origine haïtienne, membre du centre universitaire américain qui a convoqué la rencontre.
Un rapprochement des diasporas haïtienne et dominicaine aux Etats-Unis d’Amérique, autour de la situation des migrantes et migrants haïtiens et de leurs descendantes et descendants en République Dominicaine, constituerait l’un des principaux objectifs de cette conférence.
Aucune présence de représentants du gouvernement haïtien n’a été remarquée à la conférence, à laquelle assistent un représentant du gouvernement dominicain et des délégués d’organisations de promotion de droits humains et de recherches, relève l’agence en ligne dominicaine Espacinsular.
Inocencio García, ambassadeur dominicain responsable de la Division des Affaires haïtiennes de la chancellerie dominicaine, le père José Núñez, Directeur du Service Jésuite aux Réfugiés et Migrants (SJRM) en République Dominicaine, Bridget Wooding, chercheuse à la Faculté Latino-américaine des Sciences Sociales (FLACSO) et Edwin Paraison de la Fondation haïtienne Zile (ancien Consul d’Haïti à Barahona, Sud de la République Dominicaine), figurent parmi les participants à la conférence.
Ces dernières années, différentes universités aux Etats-Unis d’Amérique n’ont pas cessé de marquer leurs préoccupations vis-à-vis des difficultés et, parfois, des moments de tensions qui ont jalonné les rapports entre Haïti et la République Dominicaine. Certaines d’entre elles ont joué un rôle actif dans la défense des droits des migrantes et migrants haïtiens et de leurs descendantes et descendants, principales victimes des levées de boucliers en territoire voisin contre les ressortissantes et ressortissants haïtiens.
En octobre 2005, l’École de droit de l’Université de Berkeley de Californie a réussi, en coordination avec des organismes dominicains de défense de droits humains, à porter la Cour Interaméricaine des Droits Humains (CIDH) à condamner l’État dominicain qui avait refusé de délivrer des actes de naissance à deux filles dominicaines d’ascendance haïtienne. Ce célèbre cas d’espèce est connu sous le nom de « Cas Yean-Bosico ». [wel rc apr 23/02/2007 16 :00
Source: Alter press sur http://www.alterpress.org)
vendredi 23 février 2007
Rapprocher les diasporas haïtienne et dominicaine aux Etats-Unis d’Amérique autour de la situation des migrants haïtiens et de leurs descendants en République Dominicaine.
P-au-P, 23 févr. 07 [AlterPresse] --- Une conférence de sensibilisation des diasporas haïtienne et dominicaine des Etats Unis d’Amérique, autour de la situation des migrantes et migrants haïtiens et de leurs descendantes et descendants en République Dominicaine, se tient cette semaine à New York, à l’initiative de l’École de Justice Criminelle de Jhon Jay College, apprend l’agence en ligne AlterPresse.
Cette conférence vise à « contribuer activement à une amélioration profonde des relations entre Haïti et la République Dominicaine », a signalé, dans le discours inaugural du jeudi 22 février, le Dr Steeve Coupeau, un américain d’origine haïtienne, membre du centre universitaire américain qui a convoqué la rencontre.
Un rapprochement des diasporas haïtienne et dominicaine aux Etats-Unis d’Amérique, autour de la situation des migrantes et migrants haïtiens et de leurs descendantes et descendants en République Dominicaine, constituerait l’un des principaux objectifs de cette conférence.
Aucune présence de représentants du gouvernement haïtien n’a été remarquée à la conférence, à laquelle assistent un représentant du gouvernement dominicain et des délégués d’organisations de promotion de droits humains et de recherches, relève l’agence en ligne dominicaine Espacinsular.
Inocencio García, ambassadeur dominicain responsable de la Division des Affaires haïtiennes de la chancellerie dominicaine, le père José Núñez, Directeur du Service Jésuite aux Réfugiés et Migrants (SJRM) en République Dominicaine, Bridget Wooding, chercheuse à la Faculté Latino-américaine des Sciences Sociales (FLACSO) et Edwin Paraison de la Fondation haïtienne Zile (ancien Consul d’Haïti à Barahona, Sud de la République Dominicaine), figurent parmi les participants à la conférence.
Ces dernières années, différentes universités aux Etats-Unis d’Amérique n’ont pas cessé de marquer leurs préoccupations vis-à-vis des difficultés et, parfois, des moments de tensions qui ont jalonné les rapports entre Haïti et la République Dominicaine. Certaines d’entre elles ont joué un rôle actif dans la défense des droits des migrantes et migrants haïtiens et de leurs descendantes et descendants, principales victimes des levées de boucliers en territoire voisin contre les ressortissantes et ressortissants haïtiens.
En octobre 2005, l’École de droit de l’Université de Berkeley de Californie a réussi, en coordination avec des organismes dominicains de défense de droits humains, à porter la Cour Interaméricaine des Droits Humains (CIDH) à condamner l’État dominicain qui avait refusé de délivrer des actes de naissance à deux filles dominicaines d’ascendance haïtienne. Ce célèbre cas d’espèce est connu sous le nom de « Cas Yean-Bosico ». [wel rc apr 23/02/2007 16 :00
Source: Alter press sur http://www.alterpress.org)
LES AUTORITES DOMINICAINES ET INTERPOL RAPATRIENT 24 ETRAN GERS RECHERCHES
Article original:
INTERPOL deporta 24 extranjeros usaban RD como refugio tras evadir justicia nación de origen
SANTO DOMINGO.- La Oficina Nacional de la Interpol en el país a repatriados 24 extranjeros que usaban a la Republica Dominicana como escondite tras huir de las justicia de su nación de origen.
(Fuentes: http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=4322)
(Version traduite)
INTERPOL déporte 24 étrangers qui utilisaient RD comme refuge après avoir fui la justice de leur nation d'origine
Le Bureau National de l'Interpol dans le pays a procédé au rapatriement de 24 étrangers qui utilisaient à la République dominicaine comme cachette après s’être enfui de la justice de leur nation d'origine. L'information a été donnée par le directeur de cet organisme international, le colonel Horacio Antonio Veras Cabrera.
Le fonctionnaire indique que le rapatriement d'étrangers a été effectué pendant la gestion du chef de la Police Nationale, le Major général Bernardo Santana Páez. Entre les étrangers livrés figurent des allemands, russes, français, italiens, américains, espagnols, britanniques, autrichiens et canadiens, dont certains sont accusés de différents crimes et d'infractions, comme escroquerie, trafic de drogues, blanchiment d’argent et meurtres.
Entre les rapatriés par l'INTERPOL figurent Darío Fenati, Ralph Teppan, Manfred Ziemke, Giuseppe Di Lemme, Udo Tempel, Dierk Rainer Pfieffer, Paul Anthony Elsaieh, Patrice Devillers, Krausche Tobias, Antonio Bergamo, Francesco Filippone, Dirk Sauerland, Fabrice Devaux, Howard Richardson Handfield, Thomas Calov, Heiko Drahokoupil, Paolo Prando, Maximov Konstantin, Didier Deprouck, Daniel Lapierre, Manuel Fenoll Brull et Carolus Hermann Gersi Koning. Les rapatriés étrangers se consacraient à commettre un délit dans la République dominicaine, en utilisant des faux documents.
De même, l'organisme rapporte qu'on a effectué l’épuration de 47.352 étrangers qui sollicitaient les services résidence, demandes de permis de port d'armes à feu et ouvertures de comptes bancaires, dont 1.442 ont fait apparaître des résultats positifs.(dl 26/02/07)
INTERPOL deporta 24 extranjeros usaban RD como refugio tras evadir justicia nación de origen
SANTO DOMINGO.- La Oficina Nacional de la Interpol en el país a repatriados 24 extranjeros que usaban a la Republica Dominicana como escondite tras huir de las justicia de su nación de origen.
(Fuentes: http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=4322)
(Version traduite)
INTERPOL déporte 24 étrangers qui utilisaient RD comme refuge après avoir fui la justice de leur nation d'origine
Le Bureau National de l'Interpol dans le pays a procédé au rapatriement de 24 étrangers qui utilisaient à la République dominicaine comme cachette après s’être enfui de la justice de leur nation d'origine. L'information a été donnée par le directeur de cet organisme international, le colonel Horacio Antonio Veras Cabrera.
Le fonctionnaire indique que le rapatriement d'étrangers a été effectué pendant la gestion du chef de la Police Nationale, le Major général Bernardo Santana Páez. Entre les étrangers livrés figurent des allemands, russes, français, italiens, américains, espagnols, britanniques, autrichiens et canadiens, dont certains sont accusés de différents crimes et d'infractions, comme escroquerie, trafic de drogues, blanchiment d’argent et meurtres.
Entre les rapatriés par l'INTERPOL figurent Darío Fenati, Ralph Teppan, Manfred Ziemke, Giuseppe Di Lemme, Udo Tempel, Dierk Rainer Pfieffer, Paul Anthony Elsaieh, Patrice Devillers, Krausche Tobias, Antonio Bergamo, Francesco Filippone, Dirk Sauerland, Fabrice Devaux, Howard Richardson Handfield, Thomas Calov, Heiko Drahokoupil, Paolo Prando, Maximov Konstantin, Didier Deprouck, Daniel Lapierre, Manuel Fenoll Brull et Carolus Hermann Gersi Koning. Les rapatriés étrangers se consacraient à commettre un délit dans la République dominicaine, en utilisant des faux documents.
De même, l'organisme rapporte qu'on a effectué l’épuration de 47.352 étrangers qui sollicitaient les services résidence, demandes de permis de port d'armes à feu et ouvertures de comptes bancaires, dont 1.442 ont fait apparaître des résultats positifs.(dl 26/02/07)
CRIME ORGANISE, TAFFIC DE DROGUE LES VRAIES MENACES POUR LA REPUBLIQUE DOMINICAINE SELON LE SECRETAIRE DES FORCES ARMEES
Article original :
FFAA cita crimen organizado y narcotráfico son principales amenazas RD
Bethania Apolinar
SANTO DOMINGO.- El secretario de las Fuerzas Armadas, teniente general Ramón Aquino García, reconoció hoy que la principal amenaza de la República Dominicana lo constituyen la droga, el tráfico de armas, personas y mercancías, la violencia callejera y el crimen organizado. Fuentes http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=4320)
-------
(Version traduite)
Le secrétaire des forces armées dominicaines cite le crime organisé et le trafic de drogues comme principales menaces pour la République Dominicaine
Bethania Apolinar
Le secrétaire des Forces Armées, le lieutenant général Ramón Aquino García, a reconnu aujourd'hui que la principale menace pour la République dominicaine est constituée par la drogue, le trafic d’armes, de personnes et de marchandises, la violence ambulante et le crime organisé.
Aquino García, dans un message lu aujourd'hui, en déposant une offrande florale dans l'Autel de la Patrie à l’occasion de la célébration de l’anniversaire du Père de la patrie Ramón Matías Mella , a dit que le devoir de FFAA est de déraciner ces maux. Il a expliqué que les temps ont changé et que précédemment la menace du pays était le drapeau étranger en usurpant notre territoire et "notre cause a été la libération". Accompagné des chefs de la Police Nationale, Major général Bernardo Santana Páez et de la Force Aérienne, Major général Pedro Rafael Peña Antonio, Aquino García s'est engagé à "passer la torche des valeurs nationales et de notre identité aux nouvelles générations qui devront se succéder parce que seulement ainsi elles sauront faire face aux défis que leur présentera le futur". Il a souligné.
A l’occasion de l’anniversaire de Ramón Matías Mella, des offrandes florales ont été déposées par l'Institut Duartien et la Commission Nationale d'éphémérides de la patrie. (DL 26/02/07)
FFAA cita crimen organizado y narcotráfico son principales amenazas RD
Bethania Apolinar
SANTO DOMINGO.- El secretario de las Fuerzas Armadas, teniente general Ramón Aquino García, reconoció hoy que la principal amenaza de la República Dominicana lo constituyen la droga, el tráfico de armas, personas y mercancías, la violencia callejera y el crimen organizado. Fuentes http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=4320)
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(Version traduite)
Le secrétaire des forces armées dominicaines cite le crime organisé et le trafic de drogues comme principales menaces pour la République Dominicaine
Bethania Apolinar
Le secrétaire des Forces Armées, le lieutenant général Ramón Aquino García, a reconnu aujourd'hui que la principale menace pour la République dominicaine est constituée par la drogue, le trafic d’armes, de personnes et de marchandises, la violence ambulante et le crime organisé.
Aquino García, dans un message lu aujourd'hui, en déposant une offrande florale dans l'Autel de la Patrie à l’occasion de la célébration de l’anniversaire du Père de la patrie Ramón Matías Mella , a dit que le devoir de FFAA est de déraciner ces maux. Il a expliqué que les temps ont changé et que précédemment la menace du pays était le drapeau étranger en usurpant notre territoire et "notre cause a été la libération". Accompagné des chefs de la Police Nationale, Major général Bernardo Santana Páez et de la Force Aérienne, Major général Pedro Rafael Peña Antonio, Aquino García s'est engagé à "passer la torche des valeurs nationales et de notre identité aux nouvelles générations qui devront se succéder parce que seulement ainsi elles sauront faire face aux défis que leur présentera le futur". Il a souligné.
A l’occasion de l’anniversaire de Ramón Matías Mella, des offrandes florales ont été déposées par l'Institut Duartien et la Commission Nationale d'éphémérides de la patrie. (DL 26/02/07)
DEUX HOMMES TUES A HERRERA
Matan a dos hombres en un tiroteo entre bandas Herrera
Ramón Urbáez
SANTO DOMINGO.- Dos hombres señalados como reconocidos pandilleros murieron anoche en un enfrentamiento a tiros entre bandas rivales, lo que provocó el pánico entre los residentes del barrio Buenos Aires, de Herrera. Fuentes: http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=4307
Version traduite
Deux hommes se tuent dans un échange de tirs entre des bandes dans un quartier de la zone d’Herrera
Deux hommes identifiés comme des bandits reconnus ont été tués hier soir dans une confrontation à tirs entre des bandes rivales, ce qui a provoqué la panique entre les résidents du quartier Buenos Aires, de Herrera. La Police a identifié à Deibri Mota Moya, alias Noir Yin, comme un des morts, celui-ci avait un long passé délictueux avec détentions, homicides et arrestations pour vente de drogues.
L'autre mort est Wilkins D'Oleo Heureux, de 23 ans, qui aurait laissé une femme avec une grossesse de huit mois. Le fait s'est produit hier soir à 7:45.
Une des versions de la Police r est que Wilkins et Yin Noir sont arrivés à pied à la rue Progrès, avec autres pandilleros avec l'intention de tuer un homme impliqué dans des supposées affaires de drogues, "mais ils ont été pris en embuscade et ont été criblés de balles", a déclaré un des voisins.
Une autre version affirme que Wilkins et Yin Noir se sont battus parce qu'ils n'ont pas pu faire le travail, et que le premier a tué le deuxièmement avec un canon calibre 12 et les autres ont exécuté immédiatement à Wilkins.
Les voisins disent qu’il s’est produit un échange de tirs qui a duré plusieurs minutes et que le groupe s'est ensuite enfui.
Selon la Police, Yin Noir était consacré à exécuter des personnes par ordre et était recherché pour plusieurs homicides. Il était connu comme un vendeur de drogues de la troisième rue, de Buenos Aires, et du quartier Libertador, de Herrera.
Les voisins et quelques parents qui se trouvaient hier soir dans la rue Progrès, où il s’est produit l’échange de tirs, ont dit que Wilkins avait pris le chemin de la délinquance et qu'il n’avait pas accepté les conseils.
……
Ramón Urbáez
SANTO DOMINGO.- Dos hombres señalados como reconocidos pandilleros murieron anoche en un enfrentamiento a tiros entre bandas rivales, lo que provocó el pánico entre los residentes del barrio Buenos Aires, de Herrera. Fuentes: http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=4307
Version traduite
Deux hommes se tuent dans un échange de tirs entre des bandes dans un quartier de la zone d’Herrera
Deux hommes identifiés comme des bandits reconnus ont été tués hier soir dans une confrontation à tirs entre des bandes rivales, ce qui a provoqué la panique entre les résidents du quartier Buenos Aires, de Herrera. La Police a identifié à Deibri Mota Moya, alias Noir Yin, comme un des morts, celui-ci avait un long passé délictueux avec détentions, homicides et arrestations pour vente de drogues.
L'autre mort est Wilkins D'Oleo Heureux, de 23 ans, qui aurait laissé une femme avec une grossesse de huit mois. Le fait s'est produit hier soir à 7:45.
Une des versions de la Police r est que Wilkins et Yin Noir sont arrivés à pied à la rue Progrès, avec autres pandilleros avec l'intention de tuer un homme impliqué dans des supposées affaires de drogues, "mais ils ont été pris en embuscade et ont été criblés de balles", a déclaré un des voisins.
Une autre version affirme que Wilkins et Yin Noir se sont battus parce qu'ils n'ont pas pu faire le travail, et que le premier a tué le deuxièmement avec un canon calibre 12 et les autres ont exécuté immédiatement à Wilkins.
Les voisins disent qu’il s’est produit un échange de tirs qui a duré plusieurs minutes et que le groupe s'est ensuite enfui.
Selon la Police, Yin Noir était consacré à exécuter des personnes par ordre et était recherché pour plusieurs homicides. Il était connu comme un vendeur de drogues de la troisième rue, de Buenos Aires, et du quartier Libertador, de Herrera.
Les voisins et quelques parents qui se trouvaient hier soir dans la rue Progrès, où il s’est produit l’échange de tirs, ont dit que Wilkins avait pris le chemin de la délinquance et qu'il n’avait pas accepté les conseils.
……
LA JUGE ENVOIE BLA A JUGEMENT POUR LE MEURTRE DE ANDUJAR
Articulo original:
Jueza envía a Bla a juicio por asesinato de Andújar
AZUA.- La jueza de la Instrucción de Azua, María del Socorro Cordero Segura, ordenó mantener en prisión y enjuiciar a Bladimir Pujols Pujols (Bla) por el asesinato del periodista Juan Andújar, quien fuera corresponsal de LISTÍN DIARIO, y de herir gravemente al periodista Jorge Luis Sención, de Radio Enriquillo, a consecuencia de lo cual le fue amputado un brazo. http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=4306
Version traduite:
La Juge envoie Bla à jugement par meurtre d'Andújar - 2/25/2007 12:21:00 AM AZUA. –
La juge de l'Instruction d'Azua, María Del Socorro Cordero Segura, a ordonné de maintenir en prison et de juger Bladimir Pujols Pujols (Bla) pour le meurtre du journaliste Juan Andújar, celui qui était correspondant de Listin Diario, et de blesser gravement le journaliste Jorge Luis Sención, de Radio Enriquillo, dont le bras lui ad u être amputé par la suite.
Avec Pujols Pujols seront jugés Juan Ricardo Muñoz Herrera (Ricardito) et Maikel Bienvenu Agramonte (le Mineur), Ils devront aussi rester en prison préventive. Andújar a été assassiné le 14 septembre le 2004 sur la chaussée devant Radio Azua, après avoir conclu une émission radiophonique dans laquelle il avait dénoncé l’activité de groupes de narco-trafiquants liés à des agents de la police.
La bande a aussi tué à Francisco Antonio Méndez et a blessé l'infirmière Fátima Méndez. Ce jour, la Police a informé que dans une confrontation avec des agents, ont été tués les membres de la bande Jairo Melquisedec Pujols Pujols, Daniel Tejada Filpo, Leandro Enrique Ramirez Matos et Ismael Berroa, alias Quico.
La Police a informé que Bla et d'autres membres de sa bande avaient été graciés ou mis en liberté par des tribunaux, après avoir été accusés de meurtres. L'audition de vendredi a été la troisième du jugement préliminaire contre les accusés d'assassiner le journaliste Andújar. Il avait été reporté dans deux occasions par l'absence des avocats de Pujols Pujols.
L'audition précédente a eu lieu le 6 février. Dans celle de du 19 janvier, la Juge Cordero Segura a assigné un défenseur public à Pujols Pujols. Le 6 février participa un avocat pris par la famille, mais celui-ci a admis ne pas connaître le dossier et qu’il ne savait même pas bien le nom de son client.
Ils réclament la condamnation
Dans la journée d’ hier, Mercedes Castillo, présidente du Collège dominicain de Journalistes (CDP), a été a Azua, en compagnie des avocats des procureurs, et des directeurs de l'union David R Lorenzo, Cándido Simón Polanco, Manuel Emilio Núñez et José Ariel Félix. Tant le CDP comme le Syndicat National de Travailleurs de la Presse (SNTP) et d'autres secteurs représentatifs d'Azua ont déclaré qu’ils espèrent que le meurtre du journaliste Andújar et l'agression contre Sención ne soient pas impunis.
Le 25 octobre 2006, le tribunal associé intégré par Santa Moreno, Milton Castillo et Doris Disla, ont condamné à cinq années de réclusion à Pujols Pujols pour avoir blessé par balles José Acosta.
Pujols Pujols, outre le meurtre d'Andújar, est impliqué comme l'auteur du meurtre d'Amancio Puello. Le ministère public, Pedro Ramón Quezada García, a dit que la décision prise par la juge Cordero Segura a été attachée à ce qu'une représente la façon correcte d’administrer la justice et la procédure pénale.
De la même façon, Madame veuve Sandra Vargas Andújar a considéré très judicieuse la décision du tribunal et a estimé qu'on avance dans le processus. Elle a dit se sentir confiante dans le fait que justice sera faite. (DL 26/02/07)
Jueza envía a Bla a juicio por asesinato de Andújar
AZUA.- La jueza de la Instrucción de Azua, María del Socorro Cordero Segura, ordenó mantener en prisión y enjuiciar a Bladimir Pujols Pujols (Bla) por el asesinato del periodista Juan Andújar, quien fuera corresponsal de LISTÍN DIARIO, y de herir gravemente al periodista Jorge Luis Sención, de Radio Enriquillo, a consecuencia de lo cual le fue amputado un brazo. http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=4306
Version traduite:
La Juge envoie Bla à jugement par meurtre d'Andújar - 2/25/2007 12:21:00 AM AZUA. –
La juge de l'Instruction d'Azua, María Del Socorro Cordero Segura, a ordonné de maintenir en prison et de juger Bladimir Pujols Pujols (Bla) pour le meurtre du journaliste Juan Andújar, celui qui était correspondant de Listin Diario, et de blesser gravement le journaliste Jorge Luis Sención, de Radio Enriquillo, dont le bras lui ad u être amputé par la suite.
Avec Pujols Pujols seront jugés Juan Ricardo Muñoz Herrera (Ricardito) et Maikel Bienvenu Agramonte (le Mineur), Ils devront aussi rester en prison préventive. Andújar a été assassiné le 14 septembre le 2004 sur la chaussée devant Radio Azua, après avoir conclu une émission radiophonique dans laquelle il avait dénoncé l’activité de groupes de narco-trafiquants liés à des agents de la police.
La bande a aussi tué à Francisco Antonio Méndez et a blessé l'infirmière Fátima Méndez. Ce jour, la Police a informé que dans une confrontation avec des agents, ont été tués les membres de la bande Jairo Melquisedec Pujols Pujols, Daniel Tejada Filpo, Leandro Enrique Ramirez Matos et Ismael Berroa, alias Quico.
La Police a informé que Bla et d'autres membres de sa bande avaient été graciés ou mis en liberté par des tribunaux, après avoir été accusés de meurtres. L'audition de vendredi a été la troisième du jugement préliminaire contre les accusés d'assassiner le journaliste Andújar. Il avait été reporté dans deux occasions par l'absence des avocats de Pujols Pujols.
L'audition précédente a eu lieu le 6 février. Dans celle de du 19 janvier, la Juge Cordero Segura a assigné un défenseur public à Pujols Pujols. Le 6 février participa un avocat pris par la famille, mais celui-ci a admis ne pas connaître le dossier et qu’il ne savait même pas bien le nom de son client.
Ils réclament la condamnation
Dans la journée d’ hier, Mercedes Castillo, présidente du Collège dominicain de Journalistes (CDP), a été a Azua, en compagnie des avocats des procureurs, et des directeurs de l'union David R Lorenzo, Cándido Simón Polanco, Manuel Emilio Núñez et José Ariel Félix. Tant le CDP comme le Syndicat National de Travailleurs de la Presse (SNTP) et d'autres secteurs représentatifs d'Azua ont déclaré qu’ils espèrent que le meurtre du journaliste Andújar et l'agression contre Sención ne soient pas impunis.
Le 25 octobre 2006, le tribunal associé intégré par Santa Moreno, Milton Castillo et Doris Disla, ont condamné à cinq années de réclusion à Pujols Pujols pour avoir blessé par balles José Acosta.
Pujols Pujols, outre le meurtre d'Andújar, est impliqué comme l'auteur du meurtre d'Amancio Puello. Le ministère public, Pedro Ramón Quezada García, a dit que la décision prise par la juge Cordero Segura a été attachée à ce qu'une représente la façon correcte d’administrer la justice et la procédure pénale.
De la même façon, Madame veuve Sandra Vargas Andújar a considéré très judicieuse la décision du tribunal et a estimé qu'on avance dans le processus. Elle a dit se sentir confiante dans le fait que justice sera faite. (DL 26/02/07)
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