Le directeur général de la coopération culturelle de l’Espagne, Alfons Martinell, a annoncé ce 19 février à Port-au-Prince, la création prochaine d’un centre culturel espagnol dans la capitale haïtienne.
« Pour le moment, il n’y a pas de décision définitive, mais nous espérons que le processus suivra son cours », a déclaré Martinell à AlterPresse, durant une brève visite de prospection à Port-au-Prince.
Selon Martinell, l’Espagne cherche à assurer une « plus grande présence » en Haïti et à « intensifier sa coopération culturelle » avec le pays.
Haïti qui est resté « en marge » de la coopération culturelle avec l’Espagne pour des raisons historiques, est en passe de devenir « un membre du réseau des centres culturels espagnols en Amérique latine et de la Caraïbe », soutient Martinell.
Avec l’établissement de cette institution, promet-il, l’Espagne pourra répondre à des nécessités de « formation d’agents culturels » et promouvoir la culture en tant qu’ « outil de développement ».
Le fonctionnaire espagnol estime que la culture a beaucoup de potentialités en Haïti et peut aider à promouvoir la « convivialité sociale » et « dépasser la pauvreté ».
Alfons Martinell, accompagné par Fernando Rode, Directeur du Centre Culturel de l’Espagne à Santo Domingo et de l’ambassadeur de l’Espagne en Haïti, Juan Fernandez Trigo, a visité des espaces qui pourraient acueillir le centre à Port-au-Prince.
Il a aussi pris part à un diner à l’ambassade d’Espagne, en compagnie du ministre haïtien de la culture, Eddy Lubin, et celui de la planification, Jean Max Bellerive. [gp apr 19/02/2008 23:00]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article6951
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
jeudi 21 février 2008
L’auteur de l’enlèvement du guitariste Claude Marcelin, Patrick Jean François, tué au cours d’un affrontement avec la police
Le lieutenant du chef de gang Amaral Duclona était activement recherché, au même titre que son patron
mercredi 20 février 2008,
Radio Kiskeya
Le nommé Patrick Jean François (24 ans), principal auteur de l’enlèvement du célèbre guitariste haïtien Claude Marcelin le 27 janvier dernier à Port-au-Prince, a été abattu mardi soir à Cité Soleil (Nord de la capitale) au cours d’un échange de tirs avec la police, a appris Radio KISKEYA de sources policières.
Le bandit, activement recherché, aurait ouvert le feu au moment où des policiers tentaient de l’appréhender. La police aurait alors immédiatement riposté, l’atteignant aux fesses. Il devait succomber à ses blessures quelques minutes après, selon les mêmes sources.
Lieutenant du chef de gang Amaral Duclona, Patrick Jean François avait pris le maquis sitôt après avoir commis l’agression contre Claude Marcelin.
Appréhendé en avril 2007 pour kidnapping et association de malfaiteurs, Patrick Jean François avait bénéficié 7 mois après (soit le 7 novembre 2007) d’une mesure d’élargissement prise en faveur de 74 détenus par le Commissaire du gouvernement de Port-au-Prince, Me Claudy Gassant, dans le cadre du programme de décongestionnement des prisons. Au moment de sa libération, le dossier de Patrick Jean François était à l’étude au Cabinet d’instruction de Port-au-Prince.
Grièvement atteint aux fesses lors de l’agression, le guitariste Claude Marcelin a dû subir plusieurs interventions chirurgicales à Port-au-Prince, avant de regagner le Canada où il réside, pour continuer à recevoir les soins que nécessite son état. [jmd/RK]
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4719
Pas de commentaires :Un rappel aux défenseurs des droits humains :
« Les kidnappeurs n’ont pas plus de droits que les victimes »
Le cardinal de Santo Domingo
Le lieutenant du chef de gang Amaral Duclona était activement recherché, au même titre que son patron
mercredi 20 février 2008,
Radio Kiskeya
Le nommé Patrick Jean François (24 ans), principal auteur de l’enlèvement du célèbre guitariste haïtien Claude Marcelin le 27 janvier dernier à Port-au-Prince, a été abattu mardi soir à Cité Soleil (Nord de la capitale) au cours d’un échange de tirs avec la police, a appris Radio KISKEYA de sources policières.
Le bandit, activement recherché, aurait ouvert le feu au moment où des policiers tentaient de l’appréhender. La police aurait alors immédiatement riposté, l’atteignant aux fesses. Il devait succomber à ses blessures quelques minutes après, selon les mêmes sources.
Lieutenant du chef de gang Amaral Duclona, Patrick Jean François avait pris le maquis sitôt après avoir commis l’agression contre Claude Marcelin.
Appréhendé en avril 2007 pour kidnapping et association de malfaiteurs, Patrick Jean François avait bénéficié 7 mois après (soit le 7 novembre 2007) d’une mesure d’élargissement prise en faveur de 74 détenus par le Commissaire du gouvernement de Port-au-Prince, Me Claudy Gassant, dans le cadre du programme de décongestionnement des prisons. Au moment de sa libération, le dossier de Patrick Jean François était à l’étude au Cabinet d’instruction de Port-au-Prince.
Grièvement atteint aux fesses lors de l’agression, le guitariste Claude Marcelin a dû subir plusieurs interventions chirurgicales à Port-au-Prince, avant de regagner le Canada où il réside, pour continuer à recevoir les soins que nécessite son état. [jmd/RK]
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4719
Pas de commentaires :Un rappel aux défenseurs des droits humains :
« Les kidnappeurs n’ont pas plus de droits que les victimes »
Le cardinal de Santo Domingo
Football : Wagneau Eloi pressenti pour diriger la sélection nationale
La Fédération Haïtienne de Football envisage d’engager le franco-haïtien Wagneau Eloi pour prendre en main l’équipe haïtienne de football. Eloi qui est en pourparler avec le bureau fédéral, a soumis aux dirigeants du football haïtien un document de trente-deux (32) pages dans lequel sont inscrites notamment toutes les conditions de travail exigées par l’ancien joueur du Racing Club de Lens.
Wagneau Eloi qui a aussi porté les couleurs de Monaco sans avoir vraiment briller, a toujours décliné par le passé les invitations des anciens sélectionneurs haïtiens. Il avait opté pour la sélection française dirigée à l’époque par Roger Lemaire.
Malheureusement, il n’a jamais été appelé par le staff technique des « Bleus ». Il a par la suite été transféré à Guingamp pour finalement rentrer dans le rang avant d’effectuer une dernière tentative non convaincante en Belgique.
S’il est embauché par la Fédération Haïtienne de Football, Wagneau qui n’a véritablement pas d’expérience dans le métier d’entraineur, aura un agenda assez chargé ; entre autres, le match qu’Haïti doit jouer contre éventuellement les Antilles Néerlandaises en éliminatoires de la prochaine coupe du monde. Guyto Rivièresurguyriviere
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=13504
Que l’on m’explique ce choix… !
Wagneau Eloi qui a aussi porté les couleurs de Monaco sans avoir vraiment briller, a toujours décliné par le passé les invitations des anciens sélectionneurs haïtiens. Il avait opté pour la sélection française dirigée à l’époque par Roger Lemaire.
Malheureusement, il n’a jamais été appelé par le staff technique des « Bleus ». Il a par la suite été transféré à Guingamp pour finalement rentrer dans le rang avant d’effectuer une dernière tentative non convaincante en Belgique.
S’il est embauché par la Fédération Haïtienne de Football, Wagneau qui n’a véritablement pas d’expérience dans le métier d’entraineur, aura un agenda assez chargé ; entre autres, le match qu’Haïti doit jouer contre éventuellement les Antilles Néerlandaises en éliminatoires de la prochaine coupe du monde. Guyto Rivièresurguyriviere
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=13504
Que l’on m’explique ce choix… !
L’interpellation du premier ministre à la Chambre basse reportée au jeudi 28 février 2008
Recherche de consensus autour du renvoi ou non du gouvernement
mardi 19 février 2008,
Radio Kiskeya
L’interpellation du Premier ministre Jacques Edouard Alexis à la Chambre basse qui était prévue pour ce jeudi a été reportée au 28 février.
Une correspondance en ce sens a été adressée à la Primature, informent le président de la Chambre basse, Pierre Erick Jean Jacques, et le député de Léogane, Anthony Dumond.
Le député Saurel François (lavalas, parti de l’ancien président Aristide) explique ce report par la nécessité pour les députés de parvenir à un plus large consensus au sujet de l’interpellation. Saurel François qui fait partie des 8 députés à l’origine de l’interpellation avoue que les motifs de celle-ci n’étaient pas suffisamment explicites dans la lettre y relative remise au bureau de la Chambre.
Entre-temps, la controverse continue d’aller bon train, au niveau des deux chambres, autour de l’opportunité ou non de renvoyer le gouvernement.
Le sénateur de l’Ouest Jean Hector Anacacis (LESPWA) demande aux députés de surseoir à la démarche d’interpellation. Pour éviter une grave crise que provoquerait le renvoi du gouvernement, le sénateur préconise un remaniement ministériel.
Les députés jouissant de leurs prérogatives constitutionnelles en interpellant le chef du gouvernement, la séance y relative devrait pouvoir se dérouler normalement, de l’avis du sénateur du Nord-Ouest (élu sous la bannière de l’OPL), Mélius Hyppolite. La décision des députés à l’issue des débats devrait seulement dépendre de la façon dont le premier ministre aura défendu ses options pour l’amélioration des conditions de vie de la population, a-t-il estimé.
Le député Ronald Larêche (Fusion) s’oppose pour sa part à l’interpellation, jugeant que ses pairs ne se sont pas donnés la peine de rechercher le consensus indispensable avant d’initier la procédure.
Face au débat qui ne fait que s’amplifier, le gouvernement garde le mutisme le plus complet, jouant la carte de la normalité. Le ministre chargé des relations avec le parlement, Me Joseph Jasmin, doit d’ailleurs se trouver ce mercredi à la Chambre basse pour procéder au dépôt du texte du projet de nouvelle loi électorale. [jmd/RK]
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4716
mardi 19 février 2008,
Radio Kiskeya
L’interpellation du Premier ministre Jacques Edouard Alexis à la Chambre basse qui était prévue pour ce jeudi a été reportée au 28 février.
Une correspondance en ce sens a été adressée à la Primature, informent le président de la Chambre basse, Pierre Erick Jean Jacques, et le député de Léogane, Anthony Dumond.
Le député Saurel François (lavalas, parti de l’ancien président Aristide) explique ce report par la nécessité pour les députés de parvenir à un plus large consensus au sujet de l’interpellation. Saurel François qui fait partie des 8 députés à l’origine de l’interpellation avoue que les motifs de celle-ci n’étaient pas suffisamment explicites dans la lettre y relative remise au bureau de la Chambre.
Entre-temps, la controverse continue d’aller bon train, au niveau des deux chambres, autour de l’opportunité ou non de renvoyer le gouvernement.
Le sénateur de l’Ouest Jean Hector Anacacis (LESPWA) demande aux députés de surseoir à la démarche d’interpellation. Pour éviter une grave crise que provoquerait le renvoi du gouvernement, le sénateur préconise un remaniement ministériel.
Les députés jouissant de leurs prérogatives constitutionnelles en interpellant le chef du gouvernement, la séance y relative devrait pouvoir se dérouler normalement, de l’avis du sénateur du Nord-Ouest (élu sous la bannière de l’OPL), Mélius Hyppolite. La décision des députés à l’issue des débats devrait seulement dépendre de la façon dont le premier ministre aura défendu ses options pour l’amélioration des conditions de vie de la population, a-t-il estimé.
Le député Ronald Larêche (Fusion) s’oppose pour sa part à l’interpellation, jugeant que ses pairs ne se sont pas donnés la peine de rechercher le consensus indispensable avant d’initier la procédure.
Face au débat qui ne fait que s’amplifier, le gouvernement garde le mutisme le plus complet, jouant la carte de la normalité. Le ministre chargé des relations avec le parlement, Me Joseph Jasmin, doit d’ailleurs se trouver ce mercredi à la Chambre basse pour procéder au dépôt du texte du projet de nouvelle loi électorale. [jmd/RK]
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4716
Arrivée en Haïti de 109 nouveaux casques bleus guatémaltèques
Venus à Port-au-Prince dans le cadre de la rotation des troupes, ces soldats de la paix ont été salués avant leur départ par le chef de l’Etat guatémaltèque, Alvaro Colom
mercredi 20 février 2008,
Radio Kiskeya
Le sixième contingent militaire guatémaltèque devant intégrer la Mission de stabilisation de l’ONU en Haïti (MINUSTAH) est arrivé mercredi à Port-au-Prince, a annoncé à Ciudad de Guatemala l’armée contactée par l’agence espagnole EFE.
Selon le porte-parole de l’institution, Daniel Domìnguez, 109 soldats, dont six femmes, font partie de ce groupe ainsi que cinq traducteurs civils.
Les nouveaux casques bleus, qui seront déployés dans le pays pendant environ six mois, viennent remplacer le précédent bataillon dont la mission avait commencé en juin 2007.
Le 1er février dernier, le tout nouveau Président guatémaltèque, Alvaro Colom, avait salué les 109 soldats de la paix lors d’une cérémonie d’adieu qui s’était tenue au siège de la Brigade Militaire Mariscal Zavala.
Depuis 2004, le Guatémala fait partie de la MINUSTAH qui compte quelque 9.000 militaires et policiers internationaux. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4720
mercredi 20 février 2008,
Radio Kiskeya
Le sixième contingent militaire guatémaltèque devant intégrer la Mission de stabilisation de l’ONU en Haïti (MINUSTAH) est arrivé mercredi à Port-au-Prince, a annoncé à Ciudad de Guatemala l’armée contactée par l’agence espagnole EFE.
Selon le porte-parole de l’institution, Daniel Domìnguez, 109 soldats, dont six femmes, font partie de ce groupe ainsi que cinq traducteurs civils.
Les nouveaux casques bleus, qui seront déployés dans le pays pendant environ six mois, viennent remplacer le précédent bataillon dont la mission avait commencé en juin 2007.
Le 1er février dernier, le tout nouveau Président guatémaltèque, Alvaro Colom, avait salué les 109 soldats de la paix lors d’une cérémonie d’adieu qui s’était tenue au siège de la Brigade Militaire Mariscal Zavala.
Depuis 2004, le Guatémala fait partie de la MINUSTAH qui compte quelque 9.000 militaires et policiers internationaux. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4720
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