Le Ministère du commerce et de l'industrie a présenté à la presse ce mercredi une vingtaine d'étudiants, faisant partie d'une délégation qui doit laisser le pays à destination du Nicaragua. Ces techniciens prendront part à des séances de formation relatives à l'implantation du parc industriel dans le nord du pays.
Selon la ministre du commerce Jocelyne Colimond Fetiere, la formation de ces jeunes haïtiens doivent durer six mois. Elle est financée par la compagnie coréenne Sae-A.
De son coté le Directeur de la Société Nationale des Parcs Industriels (SONAPI), se réjouit de l'exécution de ce projet qui, selon lui, est le résultat de l'effort des autorités étatiques en vue de l'avancement du secteur de la sous-traitance.
Jean Kesner Delmas affirme que les travaux avancent de façon considérable en ce qui concerne l'implantation de ce parc industriel dans le nord du pays.
Pour sa part le Responsable du Centre de Facilitation et d'Investissement, Guy Lamothe qualifie l'implantation du parc industriel dans le département du nord de démarche visant à décentraliser le pays.
Monsieur Lamothe a fait remarquer que le lancement de ce projet signifie que le pays ne se résume pas seulement à la ville de Port-au-Prince.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=19448
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
jeudi 1 septembre 2011
Qui est Garry Conille ?
Agé de 45 ans, Garry Conille est né en Haïti, il a fait ses études secondaires au Collège canado Haïtien. Après ses études classiques, il est rentré à la Faculté de Médecine de l'Université d' Etat d'Haïti où il a fait ses études universitaires. Apres ses études universitaires en Haïti, monsieur Conille s'est rendu aux Etats Unis, où il a décroché sa maitrise en politique de santé et administration.
Docteur Conille, qui occupe depuis 2 mois le poste de Coordonnateur résident du Système des Nations Unies et Représentant résident du PNUD Niger, est marié et vit à New York.
Il est également Chef de cabinet de l'ancien président américain Bill Clinton, envoyé spécial de l'ONU en Haïti.
Notons que Monsieur Conille avait pris part activement à la conférence des bailleurs de New York après le violent séisme du 12 janvier.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=19450
Docteur Conille, qui occupe depuis 2 mois le poste de Coordonnateur résident du Système des Nations Unies et Représentant résident du PNUD Niger, est marié et vit à New York.
Il est également Chef de cabinet de l'ancien président américain Bill Clinton, envoyé spécial de l'ONU en Haïti.
Notons que Monsieur Conille avait pris part activement à la conférence des bailleurs de New York après le violent séisme du 12 janvier.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=19450
Garry Conille officiellement désigné comme premier ministre
Le chef d'Etat haïtien Michel Martelly, a fait choix officiellement de Garry Conille comme candidat à la primature après l'échec, de Daniel Rouzier et de Bernard Gousse au parlement. Lors d'une rencontre tenue hier au palais national avec le groupe des 58 députés, le chef de l'Etat a dévoilé son choix, en précisant que Monsieur conille a toutes les compétences pour occuper ce poste.
Selon le deputé Abel Descolines qui a pris part à cette réunion, le Chef de L'état a fait savoir que L'expérience de travail de Garry Conille avec les bailleurs de fonds internationaux est la principale raison qui a motivé son choix.
Le premier ministre désigné doit dans un premier temps déposer ses pièces au parlement qui aura à analyser son dossier pour le ratifier où bien le rejeter comme, prévu par la constitution de 1987.
Notons que le chef de file du Groupe des 16 au sénat, Joseph Lambert avait clairement indiqué que monsieur Conille pourrait bénéficier d'un vote favorable au grand corps moyennant que ce dernier respecte les prescrits de la loi mère.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=19449
Selon le deputé Abel Descolines qui a pris part à cette réunion, le Chef de L'état a fait savoir que L'expérience de travail de Garry Conille avec les bailleurs de fonds internationaux est la principale raison qui a motivé son choix.
Le premier ministre désigné doit dans un premier temps déposer ses pièces au parlement qui aura à analyser son dossier pour le ratifier où bien le rejeter comme, prévu par la constitution de 1987.
Notons que le chef de file du Groupe des 16 au sénat, Joseph Lambert avait clairement indiqué que monsieur Conille pourrait bénéficier d'un vote favorable au grand corps moyennant que ce dernier respecte les prescrits de la loi mère.
EJ/Radio Métropole Haïti
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JUGER JEAN CLAUDE DUVALIER
31 août [AlterPresse] --- Le collectif des citoyens pour juger Duvalier (sigle créole : Kosijid) estime nécessaire le procès contre l’ancien dictateur Jean-Claude Duvalier, selon ce qui ressort d’une conférence tenue ce 31 août au centre de la capitale haïtienne et à laquelle a assisté l’agence en ligne AlterPresse.
Il faut que « Jean Claude Duvalier et ses acolytes soient jugés pour crimes contre l’humanité »(...), en mémoire de tous les meurtres, les assassinats, les séquestrations, survenus au cours des 29 ans de la dictature ( 1957-1986), déclare le collectif.
Le coordonnateur général du collectif, Raymond Davius, voit dans le jugement de l’ancien dictateur « une expansion de la justice (haïtienne) (…) une réparation pour les victimes du régime et une fin à l’impunité ».
Victime de la dictature, Raymond Davius a été arrêté et emprisonné 17 fois, avant d’opter pour l’exil.
Quant à l’aboutissement de sa demande, la coordination du collectif des citoyens pour juger Duvalier déclare être confiante dans le système judiciaire en Haïti, tout en admettant que le processus sera plutôt lent, vu que Duvalier est un ancien chef d’État et qu’il possède beaucoup d’argent.
Jean Claude Duvalier, dit ‘’ Baby Doc’’, a succédé à son père François Duvalier (Papa Doc) à la mort de ce dernier en 1971.
De 1957 à 1986, les Duvalier ont instauré une dictature à vie, qui a décimé des familles, violé, volé, emprisonné, tué ou forcé à l’exil celles et ceux qui s’opposaient au régime.
Les bras de cette dictature féroce étaient les volontaires pour la sécurité nationale (Vsn), autrement appelés les « Tontons macoutes », une milice paramilitaire (parallèle à l’armée).
Au sujet de cette milice, François Duvalier eut à faire savoir qu’elle « a une âme Duvalier, elle ne connaît qu’un chef "Duvalier" et elle lutte pour une seule destinée : Duvalier au pouvoir », selon un document soumis par le collectif lors de la conférence du 31 août 2011 à Port-au-Prince.
Après 25 ans d’exil en France, Jean Claude Duvalier est rentré en Haïti le 16 janvier 2011.
Depuis, plusieurs victimes de son régime ont déposé plainte contre lui devant la justice haïtienne.
Pour le défendre, ses avocats arguent d’une prétendue prescription pour les crimes (portant atteinte à la vie humaine) reprochés à Duvalier, c’est-à-dire que ces crimes (perpétrés entre 1957 et 1986) dépasseraient tout délai de poursuites judiciaires.
« Les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité n’admettent pas la notion de prescription », précise le collectif, qui prend le contrepied des arguments des avocats assurant la défense de Baby Doc. [rh kft rc apr 31/08/2011 15:30]
Il faut que « Jean Claude Duvalier et ses acolytes soient jugés pour crimes contre l’humanité »(...), en mémoire de tous les meurtres, les assassinats, les séquestrations, survenus au cours des 29 ans de la dictature ( 1957-1986), déclare le collectif.
Le coordonnateur général du collectif, Raymond Davius, voit dans le jugement de l’ancien dictateur « une expansion de la justice (haïtienne) (…) une réparation pour les victimes du régime et une fin à l’impunité ».
Victime de la dictature, Raymond Davius a été arrêté et emprisonné 17 fois, avant d’opter pour l’exil.
Quant à l’aboutissement de sa demande, la coordination du collectif des citoyens pour juger Duvalier déclare être confiante dans le système judiciaire en Haïti, tout en admettant que le processus sera plutôt lent, vu que Duvalier est un ancien chef d’État et qu’il possède beaucoup d’argent.
Jean Claude Duvalier, dit ‘’ Baby Doc’’, a succédé à son père François Duvalier (Papa Doc) à la mort de ce dernier en 1971.
De 1957 à 1986, les Duvalier ont instauré une dictature à vie, qui a décimé des familles, violé, volé, emprisonné, tué ou forcé à l’exil celles et ceux qui s’opposaient au régime.
Les bras de cette dictature féroce étaient les volontaires pour la sécurité nationale (Vsn), autrement appelés les « Tontons macoutes », une milice paramilitaire (parallèle à l’armée).
Au sujet de cette milice, François Duvalier eut à faire savoir qu’elle « a une âme Duvalier, elle ne connaît qu’un chef "Duvalier" et elle lutte pour une seule destinée : Duvalier au pouvoir », selon un document soumis par le collectif lors de la conférence du 31 août 2011 à Port-au-Prince.
Après 25 ans d’exil en France, Jean Claude Duvalier est rentré en Haïti le 16 janvier 2011.
Depuis, plusieurs victimes de son régime ont déposé plainte contre lui devant la justice haïtienne.
Pour le défendre, ses avocats arguent d’une prétendue prescription pour les crimes (portant atteinte à la vie humaine) reprochés à Duvalier, c’est-à-dire que ces crimes (perpétrés entre 1957 et 1986) dépasseraient tout délai de poursuites judiciaires.
« Les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité n’admettent pas la notion de prescription », précise le collectif, qui prend le contrepied des arguments des avocats assurant la défense de Baby Doc. [rh kft rc apr 31/08/2011 15:30]
COUPE DU MONDE FIFA BRESIL 2014
Le bout du tunnel
C’est une fête à laquelle tout le monde meurt d’envie de participer. Mais avec un chiffre record de 203 candidats pour seulement 31 cartons d’invitation, la plupart des postulants devront suivre de loin la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™. Si toutes les équipes en lice ont à cœur de bien faire, il y aura une pression supplémentaire sur un ensemble de nations pour lesquelles l’épreuve reine devient un souvenir de plus en plus lointain.
Prenez l’Egypte, par exemple. En 1934, elle était la première nation africaine à disputer une Coupe du Monde de la FIFA™. Mais ensuite, il a fallu attendre 56 ans pour retrouver les Pharaons sur la grande scène mondialiste. Et depuis, plus rien. Les champions d’Afrique en titre n’ont donc participé qu’à une seule des dix dernières éditions de l’épreuve phare et aucune des cinq dernières. Des chiffres ahurissants si l’on considère qu’ils ont décroché quatre titres continentaux depuis leur dernière apparition sur la grande scène mondiale en 1990. Les efforts des Égyptiens ont été tellement vains en qualifications que certains vont jusqu’à évoquer une "malédiction des Pharaons". Même l’illustre Hassan Shehata, retraité international depuis le mois de juin, n’aura pas su la conjurer au cours de sa longue et brillante carrière.
La Russie devrait également être observée avec attention, elle qui a n’a disputé qu’une seule des quatre dernières phases finales et dont le beau parcours lors de l’UEFA EURO 2008 n’a semblé qu’une parenthèse dorée. Les Russes ont touché le fond lors de la phase préliminaire pour Allemagne 2006, avec une correction 1:7 subie face au Portugal. Mais l’élimination face à la modeste Slovénie lors des barrages pour l’édition 2010 a été au moins aussi difficile à digérer. Avec le départ de Guus Hiddink, la mission de ramener la Russie dans le gotha incombera à un autre Néerlandais, Dick Advocaat, qui a quitté son poste de sélectionneur en Belgique pour relever un "défi plus ambitieux".
Tout comme Dick Advocaat, le sélectionneur de la Hongrie, Sandor Egervari, veut redorer le blason d’une ancienne grande nation du football. Cela fait maintenant 25 ans que les Magyars n’ont plus pris part à une compétition majeure. Entre 1938 et 1968, au sommet de leur art, ils avaient pourtant raflé trois titres olympiques et atteint deux finales de l’épreuve reine. L’espoir renaît à présent avec l’avènement d’une nouvelle génération, qui, sous la coupe d'Egervari, a décroché la troisième place à la Coupe du Monde U-20 de la FIFA 2009.
Une nouvelle génération dorée suscite également l’enthousiasme en Colombie, où beaucoup pensent que la sélection connaîtra à nouveau le frisson mondialiste après trois échecs successifs en qualifications. Les Cafeteros, présents trois fois de suite dans la compétition majeure au cours des années 1990, ont échoué à un point des barrages lors de la campagne préliminaire pour Afrique du Sud 2010. L’émergence de nouvelles stars comme Radamel Falcao pourrait bien leur permettre d’aller plus loin cette fois, comme le souligne l’attaquant Hugo Rodallega : "Cette génération traverse une bonne phase. Nous sommes ambitieux et voulons mettre fin à cette période de vaches maigres pour notre sélection nationale".
L’heure de gloire semble révolue pour l’Ecosse, en lice dans cinq phases finales de rang entre 1974 et 1990 et dont la dernière participation remonte à 1998. Mais avec une brochette de stars de Premier League comme Charlie Adam et Darren Fletcher, l’actuel sélectionneur Craig Levein a bon espoir d’atteindre son but suprême : ramener l’Écosse en Coupe du Monde de la FIFA™. "La qualité de mon effectif m’incite vraiment à l’optimisme. J’espère que nous pourrons bientôt participer à nouveau à une grande compétition. Historiquement, l’Ecosse a probablement 'trop bien joué' à une certaine période, dans la mesure où nous sommes un petit pays peu peuplé... Je tiens vraiment à ce que nous boxions à nouveau au-dessus de notre catégorie", avouait-il récemment à FIFA.com
En Europe, ce cas de figure est loin d’être isolé. L’Autriche, demi-finaliste en 1934 et 1954, voudrait éviter de déplorer une quatrième absence de rang en phase finale. La Belgique, quatrième de l’édition 1986 et présente lors de six tournois mondialistes consécutifs entre 1982 et 2002, refuse de retomber dans l’oubli. Même constat pour la Roumanie et la Norvège, qui ont suivi les éditions nippo-coréenne, allemande et sud-africaine à la télévision.
La Bulgarie, qui avait atteint les demi-finales en 1994 aux États-Unis en s’offrant au passage le scalp de l’Allemagne, championne sortante, est elle aussi restée au bord de la route lors des trois dernières éditions. Interrogé sur un éventuel retour au sommet, le sélectionneur Lothar Matthäus se veut pragmatique. "Il faut être réaliste", a-t-il confié à FIFA.com. "La Coupe du Monde aux Etats-Unis, c’était il y a longtemps. Les choses ont bien changé."
En Afrique, c’est le Maroc qui n’en finit plus de voir sa cote dégringoler. Abonnés à la grand-messe du ballon rond dans les années 1980 et 1990, les Lions de l’Atlas étaient entrés dans l’histoire en 1986 en devenant la première sélection africaine à franchir la phase de groupes. Les Marocains manquaient à l’appel en 2002, 2006 et 2010, et ont même terminé derniers de leur poule lors de la campagne préliminaire pour l’édition sud-africaine.
Un affront également vécu par le Pérou, lanterne rouge des dernières qualifications sud-américaines. Présents en phase finale en 1970, 1978 et dernièrement en 1982, la Rojiblanca désire ardemment fouler à nouveau les pelouses mondialistes, tout comme la Bolivie, qui n’a participé qu’à une seule phase finale en soixante ans, lors d’Etats-Unis 1994.
D’autres sélections bouillent de prouver que leur unique participation à l’épreuve phare n’avait rien d’un hasard. En Asie, les Emirats Arabes Unis, l’Irak et l’Indonésie (anciennes Antilles Néérlandaises) veulent ajouter une nouvelle ligne à leur CV après leur coup d’éclat en 1990, 1986 et 1934 respectivement. Un défi que relèveront également le Canada (1986), Cuba (1938), Haïti (1974), la Jamaïque (1998) ainsi qu’Israël (1970).
Bien sûr, compte tenu du peu de places disponibles et du niveau de la concurrence, toutes ces équipes ne pourront pas réaliser leur rêve. Mais avec du travail, de la persévérance et un brin de réussite, certaines d’entre elles devraient parvenir à leurs fins !
http://fr.fifa.com/worldcup/preliminarydraw/news/newsid=1480838/index.html
C’est une fête à laquelle tout le monde meurt d’envie de participer. Mais avec un chiffre record de 203 candidats pour seulement 31 cartons d’invitation, la plupart des postulants devront suivre de loin la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™. Si toutes les équipes en lice ont à cœur de bien faire, il y aura une pression supplémentaire sur un ensemble de nations pour lesquelles l’épreuve reine devient un souvenir de plus en plus lointain.
Prenez l’Egypte, par exemple. En 1934, elle était la première nation africaine à disputer une Coupe du Monde de la FIFA™. Mais ensuite, il a fallu attendre 56 ans pour retrouver les Pharaons sur la grande scène mondialiste. Et depuis, plus rien. Les champions d’Afrique en titre n’ont donc participé qu’à une seule des dix dernières éditions de l’épreuve phare et aucune des cinq dernières. Des chiffres ahurissants si l’on considère qu’ils ont décroché quatre titres continentaux depuis leur dernière apparition sur la grande scène mondiale en 1990. Les efforts des Égyptiens ont été tellement vains en qualifications que certains vont jusqu’à évoquer une "malédiction des Pharaons". Même l’illustre Hassan Shehata, retraité international depuis le mois de juin, n’aura pas su la conjurer au cours de sa longue et brillante carrière.
La Russie devrait également être observée avec attention, elle qui a n’a disputé qu’une seule des quatre dernières phases finales et dont le beau parcours lors de l’UEFA EURO 2008 n’a semblé qu’une parenthèse dorée. Les Russes ont touché le fond lors de la phase préliminaire pour Allemagne 2006, avec une correction 1:7 subie face au Portugal. Mais l’élimination face à la modeste Slovénie lors des barrages pour l’édition 2010 a été au moins aussi difficile à digérer. Avec le départ de Guus Hiddink, la mission de ramener la Russie dans le gotha incombera à un autre Néerlandais, Dick Advocaat, qui a quitté son poste de sélectionneur en Belgique pour relever un "défi plus ambitieux".
Tout comme Dick Advocaat, le sélectionneur de la Hongrie, Sandor Egervari, veut redorer le blason d’une ancienne grande nation du football. Cela fait maintenant 25 ans que les Magyars n’ont plus pris part à une compétition majeure. Entre 1938 et 1968, au sommet de leur art, ils avaient pourtant raflé trois titres olympiques et atteint deux finales de l’épreuve reine. L’espoir renaît à présent avec l’avènement d’une nouvelle génération, qui, sous la coupe d'Egervari, a décroché la troisième place à la Coupe du Monde U-20 de la FIFA 2009.
Une nouvelle génération dorée suscite également l’enthousiasme en Colombie, où beaucoup pensent que la sélection connaîtra à nouveau le frisson mondialiste après trois échecs successifs en qualifications. Les Cafeteros, présents trois fois de suite dans la compétition majeure au cours des années 1990, ont échoué à un point des barrages lors de la campagne préliminaire pour Afrique du Sud 2010. L’émergence de nouvelles stars comme Radamel Falcao pourrait bien leur permettre d’aller plus loin cette fois, comme le souligne l’attaquant Hugo Rodallega : "Cette génération traverse une bonne phase. Nous sommes ambitieux et voulons mettre fin à cette période de vaches maigres pour notre sélection nationale".
L’heure de gloire semble révolue pour l’Ecosse, en lice dans cinq phases finales de rang entre 1974 et 1990 et dont la dernière participation remonte à 1998. Mais avec une brochette de stars de Premier League comme Charlie Adam et Darren Fletcher, l’actuel sélectionneur Craig Levein a bon espoir d’atteindre son but suprême : ramener l’Écosse en Coupe du Monde de la FIFA™. "La qualité de mon effectif m’incite vraiment à l’optimisme. J’espère que nous pourrons bientôt participer à nouveau à une grande compétition. Historiquement, l’Ecosse a probablement 'trop bien joué' à une certaine période, dans la mesure où nous sommes un petit pays peu peuplé... Je tiens vraiment à ce que nous boxions à nouveau au-dessus de notre catégorie", avouait-il récemment à FIFA.com
En Europe, ce cas de figure est loin d’être isolé. L’Autriche, demi-finaliste en 1934 et 1954, voudrait éviter de déplorer une quatrième absence de rang en phase finale. La Belgique, quatrième de l’édition 1986 et présente lors de six tournois mondialistes consécutifs entre 1982 et 2002, refuse de retomber dans l’oubli. Même constat pour la Roumanie et la Norvège, qui ont suivi les éditions nippo-coréenne, allemande et sud-africaine à la télévision.
La Bulgarie, qui avait atteint les demi-finales en 1994 aux États-Unis en s’offrant au passage le scalp de l’Allemagne, championne sortante, est elle aussi restée au bord de la route lors des trois dernières éditions. Interrogé sur un éventuel retour au sommet, le sélectionneur Lothar Matthäus se veut pragmatique. "Il faut être réaliste", a-t-il confié à FIFA.com. "La Coupe du Monde aux Etats-Unis, c’était il y a longtemps. Les choses ont bien changé."
En Afrique, c’est le Maroc qui n’en finit plus de voir sa cote dégringoler. Abonnés à la grand-messe du ballon rond dans les années 1980 et 1990, les Lions de l’Atlas étaient entrés dans l’histoire en 1986 en devenant la première sélection africaine à franchir la phase de groupes. Les Marocains manquaient à l’appel en 2002, 2006 et 2010, et ont même terminé derniers de leur poule lors de la campagne préliminaire pour l’édition sud-africaine.
Un affront également vécu par le Pérou, lanterne rouge des dernières qualifications sud-américaines. Présents en phase finale en 1970, 1978 et dernièrement en 1982, la Rojiblanca désire ardemment fouler à nouveau les pelouses mondialistes, tout comme la Bolivie, qui n’a participé qu’à une seule phase finale en soixante ans, lors d’Etats-Unis 1994.
D’autres sélections bouillent de prouver que leur unique participation à l’épreuve phare n’avait rien d’un hasard. En Asie, les Emirats Arabes Unis, l’Irak et l’Indonésie (anciennes Antilles Néérlandaises) veulent ajouter une nouvelle ligne à leur CV après leur coup d’éclat en 1990, 1986 et 1934 respectivement. Un défi que relèveront également le Canada (1986), Cuba (1938), Haïti (1974), la Jamaïque (1998) ainsi qu’Israël (1970).
Bien sûr, compte tenu du peu de places disponibles et du niveau de la concurrence, toutes ces équipes ne pourront pas réaliser leur rêve. Mais avec du travail, de la persévérance et un brin de réussite, certaines d’entre elles devraient parvenir à leurs fins !
http://fr.fifa.com/worldcup/preliminarydraw/news/newsid=1480838/index.html
V.I. Men’s Soccer Team Hoping to Make World Cup History
BY DAVE DAVIS — AUGUST 31, 2011 The V.I. Men's Soccer Team made history by advancing to its first-ever second round World Cup qualifier.
The V.I. Men’s Soccer Team went through its final practice Tuesday at the Sion Farm Soccer Field before departing for Haiti on Wednesday to take part in the first leg of a home-and-away World Cup qualifier series against that country.
With an average age of about 22, the team made history when they defeated the British Virgin Islands in a first round home and away encounter to advance to the second round for the first time in their brief history.
Head Coach Terrence Jones was very upbeat about his young squad and was especially pleased with the improvement in the side’s defense.
“We used to give up a lot of easy goals.” Jones said, “But right now, with how our defense has improved, I would match them against anybody who we will play, defensively.”
Jones said that the team has really gelled like never before. No longer is there bickering about who's selected from St. Thomas or St. Croix, or who belongs here or there. The guys on the team are like family, he said.
Some of the team members are college players based stateside. According to Jones, they will be flying directly to Haiti from their stateside locations, and the entire team should be on island Wednesday afternoon. The match is schedule for Friday.
The contingent flying to Haiti is comprised of 18 players and five officials. According to Jones, FIFA recommends traveling with 23 players, but due to financial constraints they had to cut back.
“I feel real good about this team,” said Jones as he looked over practice. “It’s one of the better ones that we have ever fielded. We no longer show up just to play, we now have a team that can and will compete.”
The V.I. Men’s National Team includes:
Strikers - Jamie Browne
Striker/midfield - Kellen Ganiko, Reid Klopp, Junior Laurencin, Michael Beharry, Alexander Nissman and Dwayne Thomas
Defense - Kai Schuster, Joseph Limeburner, Derrick Smith, Alberto Vangurp Jr. and John Phillip
Goalkeepers - Carlos Claxton and Shaun Sells
Utility Players - Ayinde Augustus, Lishati Bailey, Jonas Verhoff and Andres Caesar
Travelling Officials: Head Coach Terrence Jones Sr., Assistant Coach Dale Richards, Technical Director Keith Griffith, Trainer Eustace Bailey, Equipment Manager Alvin Randolph and Team Manager Carlton Freeman
The V.I. Men’s Soccer Team went through its final practice Tuesday at the Sion Farm Soccer Field before departing for Haiti on Wednesday to take part in the first leg of a home-and-away World Cup qualifier series against that country.
With an average age of about 22, the team made history when they defeated the British Virgin Islands in a first round home and away encounter to advance to the second round for the first time in their brief history.
Head Coach Terrence Jones was very upbeat about his young squad and was especially pleased with the improvement in the side’s defense.
“We used to give up a lot of easy goals.” Jones said, “But right now, with how our defense has improved, I would match them against anybody who we will play, defensively.”
Jones said that the team has really gelled like never before. No longer is there bickering about who's selected from St. Thomas or St. Croix, or who belongs here or there. The guys on the team are like family, he said.
Some of the team members are college players based stateside. According to Jones, they will be flying directly to Haiti from their stateside locations, and the entire team should be on island Wednesday afternoon. The match is schedule for Friday.
The contingent flying to Haiti is comprised of 18 players and five officials. According to Jones, FIFA recommends traveling with 23 players, but due to financial constraints they had to cut back.
“I feel real good about this team,” said Jones as he looked over practice. “It’s one of the better ones that we have ever fielded. We no longer show up just to play, we now have a team that can and will compete.”
The V.I. Men’s National Team includes:
Strikers - Jamie Browne
Striker/midfield - Kellen Ganiko, Reid Klopp, Junior Laurencin, Michael Beharry, Alexander Nissman and Dwayne Thomas
Defense - Kai Schuster, Joseph Limeburner, Derrick Smith, Alberto Vangurp Jr. and John Phillip
Goalkeepers - Carlos Claxton and Shaun Sells
Utility Players - Ayinde Augustus, Lishati Bailey, Jonas Verhoff and Andres Caesar
Travelling Officials: Head Coach Terrence Jones Sr., Assistant Coach Dale Richards, Technical Director Keith Griffith, Trainer Eustace Bailey, Equipment Manager Alvin Randolph and Team Manager Carlton Freeman
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