24 août 2011
Le Ministère de l’Éducation nationale et de la Formation Professionnelle, l’Organisation internationale de la Francophonie et l’Agence universitaire de la Francophonie lancent officiellement la formation aux Cayes le 22 août et à Jacmel le 23 août 2011.
200 instituteurs du département du Sud-Est et 300 instituteurs du département du Sud sont convoqués pour leur premier regroupement IFADEM.
C’est à l’ENI des Cayes et à l’EFACAP de Meyer où IFADEM a aménagé deux Espaces numériques que les regroupements ont lieu. Le groupe des formateurs - des conseillers pédagogiques, inspecteurs et professeurs des Alliances françaises - et le groupe des tuteurs les animeront.
Au cours des deux jours que les instituteurs passeront à l’ENI des Cayes et à l’EFACAP de Meyer ils recevront leurs dotations pédagogiques, seront informés des modalités de formation IFADEM et initiés à l’utilisation des livrets 1 et 2. Une demi-journée sera également consacrée à une initiation à l’informatique et à Internet (3i) dispensée dans les Espaces numériques.
http://www.auf.org/communication-information/actualites/ifadem-2011-6244.html
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
mercredi 24 août 2011
Haïti : Le Nord et le Nord-Est pressent Martelly de respecter ses promesses
mercredi 24 août 2011 Correspondance - Wedlyne Jacques
Cap Haïtien (Haïti), 24 août 2011 [AlterPresse] --- Divers secteurs de la communauté capoise (Cap-Haïtien, Nord) appellent le président Michel Martelly à respecter ses promesses de campagne et à mettre en branle la décentralisation.
Le mouvement pour la réconciliation et la renaissance nationale (Morn) recommande la création d’une secrétairerie d’État à la décentralisation, et la déconcentration de certains ministères, notamment ceux du tourisme et de l’environnement.
Le Morn réclame également la réalisation des élections indirectes pour assurer le fonctionnement des collectivités territoriales, comme le prévoit la Constitution de 1987.
Pour sa part, la branche Nord de l’Association Touristique d’Haïti (ATH), demande l’aménagement du Parc national historique jusqu’ici inachevé, de même que la mise en place d’infrastructures routières capables de relier le Cap-Haïtien à Labadee et Milot (régions touristiques du Nord).
La chambre de commerce, d’industrie et des professions du Nord et du Nord-Est (Ccipn) ainsi que le groupe Entreprenariat et Développement Social (Eds) plaident en faveur de l’accès des jeunes au crédit, du renforcement de la formation professionnelle et de l’établissement d’un fond de garantie au développement des petites et moyennes entreprises.
Les deux entités réclament un dédommagement en faveur des entrepreneurs agricoles de la périphérie du Parc industriel à Caracole ainsi que la valorisation de 950 km de plaine dans le Grand Nord.
Pour sa part, la Ccipn insiste particulièrement sur l’opportunité de faire du département du Nord la région pilote pour un laboratoire du développement d’Haïti.
Au Cap-Haïtien, l’augmentation des prix des produits alimentaires de base et l’approche de la rentrée scolaire inquiètent la population. Plusieurs personnes interrogées expriment leur désarroi face à cette situation.
La principale revendication demeure que le président respecte ses promesses de campagne, en ce qui concerne notamment la scolarisation gratuite, l’accès au logement et la création d’emplois.
Entre temps, un bras de fer se poursuit entre le chef de l’Etat et le parlement sur le choix d’un premier ministre.
Plus de 100 jours depuis sa prise de fonction, Michel Martelly n’est pas arrivé à mettre en place un gouvernement et faire démarrer son administration. Les effets sur l’économie du pays sont déjà annoncés, alors que la rentrée des classes a même été reportée d’un mois. [wj kft gp apr 24/08/2011 13:10]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article11434
Cap Haïtien (Haïti), 24 août 2011 [AlterPresse] --- Divers secteurs de la communauté capoise (Cap-Haïtien, Nord) appellent le président Michel Martelly à respecter ses promesses de campagne et à mettre en branle la décentralisation.
Le mouvement pour la réconciliation et la renaissance nationale (Morn) recommande la création d’une secrétairerie d’État à la décentralisation, et la déconcentration de certains ministères, notamment ceux du tourisme et de l’environnement.
Le Morn réclame également la réalisation des élections indirectes pour assurer le fonctionnement des collectivités territoriales, comme le prévoit la Constitution de 1987.
Pour sa part, la branche Nord de l’Association Touristique d’Haïti (ATH), demande l’aménagement du Parc national historique jusqu’ici inachevé, de même que la mise en place d’infrastructures routières capables de relier le Cap-Haïtien à Labadee et Milot (régions touristiques du Nord).
La chambre de commerce, d’industrie et des professions du Nord et du Nord-Est (Ccipn) ainsi que le groupe Entreprenariat et Développement Social (Eds) plaident en faveur de l’accès des jeunes au crédit, du renforcement de la formation professionnelle et de l’établissement d’un fond de garantie au développement des petites et moyennes entreprises.
Les deux entités réclament un dédommagement en faveur des entrepreneurs agricoles de la périphérie du Parc industriel à Caracole ainsi que la valorisation de 950 km de plaine dans le Grand Nord.
Pour sa part, la Ccipn insiste particulièrement sur l’opportunité de faire du département du Nord la région pilote pour un laboratoire du développement d’Haïti.
Au Cap-Haïtien, l’augmentation des prix des produits alimentaires de base et l’approche de la rentrée scolaire inquiètent la population. Plusieurs personnes interrogées expriment leur désarroi face à cette situation.
La principale revendication demeure que le président respecte ses promesses de campagne, en ce qui concerne notamment la scolarisation gratuite, l’accès au logement et la création d’emplois.
Entre temps, un bras de fer se poursuit entre le chef de l’Etat et le parlement sur le choix d’un premier ministre.
Plus de 100 jours depuis sa prise de fonction, Michel Martelly n’est pas arrivé à mettre en place un gouvernement et faire démarrer son administration. Les effets sur l’économie du pays sont déjà annoncés, alors que la rentrée des classes a même été reportée d’un mois. [wj kft gp apr 24/08/2011 13:10]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article11434
Les rapatriements se multiplient à la frontière haitiano-dominicaine selon le GARR
Les autorités dominicaines ont rapatrié, à la frontière de Belladère, 715 Haïtiens dont 20 femmes, durant le mois de juillet 2011. C'est ce qu'annoncé le Groupe d'Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR). Selon le GARR ,ces Rapatriés-es ont été, pour la plupart, reconduits dans la soirée sans aucun mandat de rapatriement, en dehors du Protocole d'accord sur les mécanismes de rapatriement paraphé entre les gouvernements haïtien et dominicain en décembre 1999. Le Point a de ce Protocole interdit les rapatriements nocturnes alors que le Point b fait obligation aux autorités dominicaines de remettre à la personne rapatriée un document attestant qu'elle a été reconduite.
Parmi ces personnes rapatriées, figure un originaire de Jacmel (Sud-est d'Haïti) qui vivait en République dominicaine depuis une vingtaine d'années. Il avait été arrêté tandis qu'il rentrait de son boulot. Il faisait partie d'un groupe de 67 Haïtiens interceptés dans la soirée du 23 juillet 2011 pour être reconduits ensuite à la frontière.
« Ce 23 juillet 2011, j'étais en train de regagner mon domicile quand des militaires dominicains m'ont fait signe d'arrêter pour ensuite me reconduire aux environs de 8 heures du soir à la frontière de Belladère. », a-t-il déclaré.
Il a fustigé le comportement des autorités dominicaines qui, dit-il, ne prennent même pas en compte les travailleurs et résidents haïtiens qui vivent depuis plusieurs années dans le pays. « Comment pouvez-vous imaginer qu'après avoir vécu 23 ans là-bas, les militaires décident de me rapatrier sans me donner la possibilité de récupérer mes avoirs et même dire au revoir à mes proches. », s'est-il plaint.
D'autres personnes rapatriées au cours du mois de juillet 2011 disent craindre de l'avenir des travailleurs haïtiens-nes en territoire voisin où leurs droits ne cessent d'être constamment violés. Ils ont, par ailleurs, critiqué le laxisme des autorités haïtiennes qui, selon eux, ne font rien pour protéger les Haïtiens-nes en territoire voisin. « Nous sommes vraiment préoccupés-es par le silence de l'Etat haïtien qui ne dit rien vis-à-vis des violations fragrantes et constantes des droits des ressortissants haïtiens-nes dans ce pays. », a critiqué une rapatriée.
Le GARR se dit profondément préoccupé par la recrudescence des rapatriements massifs accompagnés dans la plupart des cas, de violations graves des droits de la personne comme les séparations de familles, l'impossibilité pour les victimes de présenter leurs documents, d'alerter leurs proches ou de récupérer leurs biens, conformément au protocole d'entente signé par les deux pays sur les rapatriements et les prescrits des Conventions Internationales.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_poli_fr.php?id=19417
Parmi ces personnes rapatriées, figure un originaire de Jacmel (Sud-est d'Haïti) qui vivait en République dominicaine depuis une vingtaine d'années. Il avait été arrêté tandis qu'il rentrait de son boulot. Il faisait partie d'un groupe de 67 Haïtiens interceptés dans la soirée du 23 juillet 2011 pour être reconduits ensuite à la frontière.
« Ce 23 juillet 2011, j'étais en train de regagner mon domicile quand des militaires dominicains m'ont fait signe d'arrêter pour ensuite me reconduire aux environs de 8 heures du soir à la frontière de Belladère. », a-t-il déclaré.
Il a fustigé le comportement des autorités dominicaines qui, dit-il, ne prennent même pas en compte les travailleurs et résidents haïtiens qui vivent depuis plusieurs années dans le pays. « Comment pouvez-vous imaginer qu'après avoir vécu 23 ans là-bas, les militaires décident de me rapatrier sans me donner la possibilité de récupérer mes avoirs et même dire au revoir à mes proches. », s'est-il plaint.
D'autres personnes rapatriées au cours du mois de juillet 2011 disent craindre de l'avenir des travailleurs haïtiens-nes en territoire voisin où leurs droits ne cessent d'être constamment violés. Ils ont, par ailleurs, critiqué le laxisme des autorités haïtiennes qui, selon eux, ne font rien pour protéger les Haïtiens-nes en territoire voisin. « Nous sommes vraiment préoccupés-es par le silence de l'Etat haïtien qui ne dit rien vis-à-vis des violations fragrantes et constantes des droits des ressortissants haïtiens-nes dans ce pays. », a critiqué une rapatriée.
Le GARR se dit profondément préoccupé par la recrudescence des rapatriements massifs accompagnés dans la plupart des cas, de violations graves des droits de la personne comme les séparations de familles, l'impossibilité pour les victimes de présenter leurs documents, d'alerter leurs proches ou de récupérer leurs biens, conformément au protocole d'entente signé par les deux pays sur les rapatriements et les prescrits des Conventions Internationales.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_poli_fr.php?id=19417
Haïti-MINUSTAH : Des matières fécales déversées à nouveau dans des rivières
mardi 23 août 2011 Correspondance - Ronel Odatte
P-au-P, 23 aout 2011 [AlterPresse] --- Des matières fécales ont à nouveau été déversées dans les rivières du Plateau Central soulevant la grogne des habitants de la région, alors que la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation d’Haïti (MINUSTAH) pointée dans l’affaire continue de nier toute responsabilité.
Une grande quantité de matières fécales a en effet été déversée sur une ligne de canalisation d’environ 15 mètres de long tôt dans la matinée du 21 août. Les déchets humains atteignent par cette canalisation la rivière Ahibon, qui se jette dans la rivière de Thomonde, affluent du fleuve Artibonite.
Le Fort Marmont (15 kilomètres de Hinche) est lui aussi souillé par ces déchets. Il s’agit de l’ancien lieu de prédilection de Charlemagne Péralte, héros et grande figure de la résistance haïtienne à l’occupation américaine (1915-1934).
Les habitants soutiennent qu’il s’agit de l’œuvre de la MINUSTAH qui a, selon eux, déversé un container rempli de matières fécales dans la canalisation. Des témoins rapportent avoir vu de leurs propres yeux dimanche à 4 heures 30 du matin, un camion de la MINUSTAH accomplir le méfait. Sur le moment, ils affirment avoir ignoré de quoi il s’agissait.
Des soldats de la MINUSTAH, accompagnés des agents de la police nationale qui étaient présents, ont démenti ces accusations. Un casque bleu indien a indiqué que « la MINUSTAH n’est impliquée ni de loin ni de près dans cet incident regrettable ».
Le 6 août des matières fécales avaient été déversées dans la rivière Guayamouc. Une communication de la MINUSTAH rejetant les allégations à propos de son implication dans cette opération a provoqué la furie des habitants.
Plusieurs dizaines de personnes ont manifesté le 21 août contre les casques bleus, les accusant de salir leur zone de résidence. Elles ont débloqué la circulation sur la route nationale #3, qui passe par Hinche.
La route n’a pu être débloquée qu’après une heure et demie de vives tensions, ponctuée par des coups de feu et des jets de pierre. Malgré le retour au calme les protestataires projettent d’organiser de nouvelles mobilisations jusqu’à ce que les militaires étrangers quittent le pays.
La crainte demeure également très vive dans la région. Se baigner dans la rivière Ahibon est une pratique courante, et son eau est consommée naturellement par les habitants.
« Maintenant tout le monde va être contaminé. Ce canal va drainer toutes ces matières fécales vers cette rivière qui nous est la plus proche (Ahibon), on est tous en danger », confient des habitants.
Des études scientifiques ont confirmé que l’épidémie de cholera est apparue dans le pays après que des matières fécales, en provenance d’une base de casques bleus népalais dans le Plateau Central, ont été déversées dans la nature. A date environ 6 mille personnes sont décédées du cholera.
Les autorités sanitaires du département du Centre ont fait état de 3200 cas de choléra entre juin et août 2011 dans la seule commune de Hinche.
Cenaré Philfrant, un dirigeant de l’organisation paysanne Mouvement Paysan de Papaye, se dit révolté devant ce qu’il qualifie de « méchanceté des forces onusiennes qui veulent à tout prix polluer notre environnement. Ils l’ont fait à Mirebalais, à Sully et aujourd’hui à Marmont », déplore t-il.
Cenaré Philfrant invite le président Michel Martelly à organiser le départ du contingent onusien responsable de cette opération.
Le président n’a jusqu’ici pas réagi aux faits enregistrés dans le Plateau Central. [ro kft gp apr 23/08/2011 12:00]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article11428
P-au-P, 23 aout 2011 [AlterPresse] --- Des matières fécales ont à nouveau été déversées dans les rivières du Plateau Central soulevant la grogne des habitants de la région, alors que la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation d’Haïti (MINUSTAH) pointée dans l’affaire continue de nier toute responsabilité.
Une grande quantité de matières fécales a en effet été déversée sur une ligne de canalisation d’environ 15 mètres de long tôt dans la matinée du 21 août. Les déchets humains atteignent par cette canalisation la rivière Ahibon, qui se jette dans la rivière de Thomonde, affluent du fleuve Artibonite.
Le Fort Marmont (15 kilomètres de Hinche) est lui aussi souillé par ces déchets. Il s’agit de l’ancien lieu de prédilection de Charlemagne Péralte, héros et grande figure de la résistance haïtienne à l’occupation américaine (1915-1934).
Les habitants soutiennent qu’il s’agit de l’œuvre de la MINUSTAH qui a, selon eux, déversé un container rempli de matières fécales dans la canalisation. Des témoins rapportent avoir vu de leurs propres yeux dimanche à 4 heures 30 du matin, un camion de la MINUSTAH accomplir le méfait. Sur le moment, ils affirment avoir ignoré de quoi il s’agissait.
Des soldats de la MINUSTAH, accompagnés des agents de la police nationale qui étaient présents, ont démenti ces accusations. Un casque bleu indien a indiqué que « la MINUSTAH n’est impliquée ni de loin ni de près dans cet incident regrettable ».
Le 6 août des matières fécales avaient été déversées dans la rivière Guayamouc. Une communication de la MINUSTAH rejetant les allégations à propos de son implication dans cette opération a provoqué la furie des habitants.
Plusieurs dizaines de personnes ont manifesté le 21 août contre les casques bleus, les accusant de salir leur zone de résidence. Elles ont débloqué la circulation sur la route nationale #3, qui passe par Hinche.
La route n’a pu être débloquée qu’après une heure et demie de vives tensions, ponctuée par des coups de feu et des jets de pierre. Malgré le retour au calme les protestataires projettent d’organiser de nouvelles mobilisations jusqu’à ce que les militaires étrangers quittent le pays.
La crainte demeure également très vive dans la région. Se baigner dans la rivière Ahibon est une pratique courante, et son eau est consommée naturellement par les habitants.
« Maintenant tout le monde va être contaminé. Ce canal va drainer toutes ces matières fécales vers cette rivière qui nous est la plus proche (Ahibon), on est tous en danger », confient des habitants.
Des études scientifiques ont confirmé que l’épidémie de cholera est apparue dans le pays après que des matières fécales, en provenance d’une base de casques bleus népalais dans le Plateau Central, ont été déversées dans la nature. A date environ 6 mille personnes sont décédées du cholera.
Les autorités sanitaires du département du Centre ont fait état de 3200 cas de choléra entre juin et août 2011 dans la seule commune de Hinche.
Cenaré Philfrant, un dirigeant de l’organisation paysanne Mouvement Paysan de Papaye, se dit révolté devant ce qu’il qualifie de « méchanceté des forces onusiennes qui veulent à tout prix polluer notre environnement. Ils l’ont fait à Mirebalais, à Sully et aujourd’hui à Marmont », déplore t-il.
Cenaré Philfrant invite le président Michel Martelly à organiser le départ du contingent onusien responsable de cette opération.
Le président n’a jusqu’ici pas réagi aux faits enregistrés dans le Plateau Central. [ro kft gp apr 23/08/2011 12:00]
http://www.alterpresse.org/spip.php?article11428
Rob Lowe aide les sans-abris en Haïti
Agé de 47 ans, le comédien Rob Lowe a participé à une action visant à soutenir les familles haïtiennes victimes du séisme en janvier 2010. 24 Août 2011 11h40
L'association 'Valspar for Habitat' a invité quelques stars à mettre une main dans la peinture et de laisser une empreinte sur un mur.
"Je suis très honoré de faire partie de cette opération qui vise à aider les Haïtiens à reconstruire leur vie" explique Rob Lowe. "L'accès à un toit décent est un droit humain banal que tout le monde mérite."
Les autres célébrités sont Ashley Green, Ethan Hawke, Jamie Lee Curtis,... Ces "mains" seront vendues bientôt aux enchères. FS http://www.rtl.be/people/people/news/318719/rob-lowe-aide-les-sans-abris-en-ha-ti
L'association 'Valspar for Habitat' a invité quelques stars à mettre une main dans la peinture et de laisser une empreinte sur un mur.
"Je suis très honoré de faire partie de cette opération qui vise à aider les Haïtiens à reconstruire leur vie" explique Rob Lowe. "L'accès à un toit décent est un droit humain banal que tout le monde mérite."
Les autres célébrités sont Ashley Green, Ethan Hawke, Jamie Lee Curtis,... Ces "mains" seront vendues bientôt aux enchères. FS http://www.rtl.be/people/people/news/318719/rob-lowe-aide-les-sans-abris-en-ha-ti
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