La colère gronde à Port-au-Prince, plus de deux mois après le séisme qui a coûté la vie à plus de 200 000 personnes.
Dans le quartier Bel-Air, l'un des plus pauvres de la capitale, les sinistrés du tremblement de terre ont toujours faim.Ils ont manifesté bruyamment leur découragement hier, près des ruines du Palais présidentiel.
Les soldats de l'ONU dispersé la foule en bousculant et en frappant plusieurs manifestants.
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