En faisant match nul 1-1, mercredi, contre les Français, Haïti vient d'inscrire le tout premier point de son histoire dans une phase finale de Coupe du monde. Ce point maintient les U-17 en course pour le second tour.Si les Français ont été supérieurs au vu des statistiques de la rencontre, on retiendra que le but de Guemsly était parfaitement valable et qu'un coup du sort dû à un mauvais positionnement d'un des arbitres nous a valu son annulation. La fin du match aurait pu basculer dans l'horreur car suite à une faute d'un attaquant français sur le gardien haïtien, un penalty a été sifflé contre Haïti. Quelle injustice. Dieu merci, le capitaine français, Said Mehamha a tiré dans le décor. Justice divine est ainsi rendue.La victoire de la formation nigériane 3-0 aux dépens du Japon la qualifiant du même coup pour les huitièmes de finale de la compétition avec l'assurance de finir premier du groupe laisse l'espoir pour la formation de s'en sortir à bon compte dans la mesure où elle jouera contre un Nigéria moins enflammé et moins intéressé par l'enjeu du score. Haïti- France : les statistiquesPossession du ballon 43% contre 57 %
http://www.lenouvelliste.com/article.php?PubID=1&ArticleID=47623&PubDate=2007-08-22
Il est clair que trop souvent les petites équipes ou les petites nations se font pénaliser par des décisions arbitrales. Le but refusé marqué par Guemsly ne l’a pas été à cause d’un hors jeu sinon le juge de ligne a signifié que juste avant le centre le ballon avait quitté l’air de jeu. La reprise du jeu a été réalisée par un dégagement des cinq mètres cinquante.
Sur le pénalty sifflé contre l’équipe haïtienne le gardien de but haïtien a écopé d’un carton jaune arbitraire (c’est le cas de le dire !).
Maintenant il faut continuer à croire au rêve contre la puissante équipe du Nigéria !
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
jeudi 23 août 2007
Le premier point d'une équipe haïtienne en phase finale
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