Il enlève de l’importance à des dénonciations.
Le Président d’Haïti écarte qu’il y ait des abus contre les citoyens haïtiens en République Dominiciane.
La Romana. - Le président de Haïti René Préval a nié hier qu’en République Dominicaine on maltraite des haïtiens et a quitté de l'importance aux dénonciations qui sont faites en ce sens. Préval est arrivé hier au pays par l'aéroport international de Punta Cana au cours de sa seconde visite au pays depuis qu'il a été choisi pour diriger sa nation. "Il y a toujours des organisations qui dénoncent sur les déportations et le reste, mais les relations se maintiennent et j’en suis heureux bien", a exprimé Préval. Il a déclaré que sa visite en République dominicaine a pour but de se renseigner sur le développement du tourisme et adapter ces expériences dans son pays. Préval s'est initialement logé dans un hôtel de Bavaro, puis il s'est déplacé en hélicoptère jusqu'à La Romana où le chancelier dominicain Carlos Morales Troncoso lui a offert un dîner privé. Morales Troncoso avait reçu quelques heures auparavant Preval à Punta Cana accompagné de l'ambassadeur d’Haïti, Fritz N Cinéas, le président du groupe Punta Cana, Frank Rainieri, et d'une délégation de l'ambassade haïtienne.
Pour lire l’article dans son intégralité en espagnol : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=6237
Des assaillants enlèvent un ingénieur de sa maison à Casa de Campo
SAINT-DOMINGUE. - Le chef de la Policier Nationale, le lieutenant général Bernardo Santana Páez, a identifié hier à Rafaël Alexander Éloigne Díaz, chauffeur de l'ingénieur Miguel Subero Domenech, comme la personne qui a permis l'entrée aux assaillants qui ont blessé par balle le chef d'entreprise après l’avoir kidnappé dans sa maison située à Casa de Campo, la Romana. Santana Páez a dit que Alejo Díaz a admis avoir pris part au fait et il collabore actuellement pour identifier les autres impliqués dans le cas. Il a révélé que le chauffeur dispose d’un casier policier pour plusieurs infractions, y compris des vols. Le chef de la police a soutenu que le chauffeur, étant une personne de confiance, avait une carte pour entrer à Casa de campo, où ils ont maintenu la victime attaché.
Pour lire l’article dans son intégralité en espagnol : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=6232
Il demande la cessation de la violence qui produit des blessures de machettes et amputations de mains. Un chirurgien signale l’impact social chez les victimes de bombe artisanale.
SAINT-DOMINGUE. - Outre le haut coût social que devront payer les trois jeunes, victimes de brûlures provoquées par le lancement de la bombe artisanale dans un autobus pendant une grève du transport lundi passé, la récupération immédiate implique des frais d'autour de 200.000 à 300.000 pesos par personne. L’estimation a été faite par le chef du Département de Chirurgie Plastique et Reconstructive de l'Hôpital Salvador B Gautier, Severo Mercedes, qui a dit que le fait d'être temporairement privé des obligations de mères et de travailleurs, constitue déjà des dommages "incommensurables". Il a fait un appel pour que cesse le haut grade de violence que vit le pays, laquelle se traduite dans le fait que 90% des cas qui arrivent à cette unité sont des blessures par armes blanches (machettes) et amputations de mains. S’agissant de zones critiques, comme la face et les deux membres supérieurs, Mercedes a spécifié que le total des frais sont imprévisibles encore, parce qu'on ne sait pas s'ils peuvent y avoir des complications ou de l'apparition de quéloïdes, qu'impliqueraient des chirurgies esthétiques.
Pour lire l’article dans son intégralité en espagnol http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=6231
Le Vice-président garantit que l’état agira contre ceux qui ont attaqué un autobus avec une bombe Molotov
SAINT-DOMINGUE. - Le vice président de la République, Rafaël Alburquerque, a garanti que l'état agira contre les personnes qui ont détoné une bombe molotov dans un véhicule du transport public, où ont résulté blessés six femmes dont une qui était enceinte. Alburquerque a dit qu'il faut procéder pour la première fois contre les personnes qui se consacrent à ce type d'action, "parce qu'il n'est pas possible qu'il soit frappé de cette manière les secteurs les plus humbles que la population". Il a considéré que c'est un fait qui a consterné à tous les secteurs de la vie nationale, ce pourquoi il faut sortir derrière les personnes qui ont commis cette action. À son avis c’est une tâche du ministère public de mettre tout l’acharnement nécessaire pour qu'il y ait une sanction exemplaire et que les responsables payent aussi pour les dommages et des préjudices. "Nous avons vu les scènes d’horreur, les faces défigurées à la télévision dominicaine, y compris une dame en état de gestation, travailleurs et mères qui allaient alors travailler dans une zone franche, comment est-il possible qu'il soit frappé ainsi les secteurs les plus humbles de la population, pour cette raison nous devons distinguer et séparer ce qu'est …
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Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
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