Fin du mandat constitutionnel de trois ans du directeur général de la Police Nationale d’Haiti (PNH), Mario Andrésol, crédité d’un bilan globalement positif par deux dirigeants d’organisations de défense des droits humains qui s’exprimaient sur les ondes de Radio Kiskeya.
Pour Pierre Espérance, directeur exécutif du Réseau national de défense des droits humains (RNDDH), sous l’administration d’Andrésol la professionnalisation de la PNH s’est nettement accrue et des mesures vigoureuses ont été prises pour combattre les dérives d’un nombre significatif d’éléments au sein de l’institution. Il souligne également que des policiers convaincus de violation des droits humains ont été sanctionnés.
C’est à peu près le même bilan qu’a dressé le dirigeant de la Plateforme des organisations haïtiennes de défense des droits humains (POHDH), Antonal Mortimé. Tout en mettant l’accent sur les progrès réalisés par le DG de la PNH, il dénonce toutefois la trop grande dépendance de l’institution policière vis-à-vis de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haiti (MINUSTAH) responsable, selon lui, de l’échec de la campagne d’épuration qui aurait dû débarrasser la PNH de ses mauvais garnements. lpp/Radio Kiskeya
http://radiokiskeya.com/spip.php?breve1984
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
mercredi 8 juillet 2009
Fin du mandat de Mario Andrésol, chef de la police haïtienne
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