Dimanche, 17 juin 2007 02:54Le chef du service de la circulation des véhicules, le commissaire Castro Prévil, annonce que de nouvelles dispositions sont en train d’être appliquées afin que les conducteurs de véhicules de transport en commun affichent le nom du circuit desservi.
Il affirme qu’un autocollant permettra aux passagers d’identifier le trajet de chaque véhicule, précisant que l’absence de cette affiche constitue une infraction à la législation sur la circulation automobile.
Interrogé sur les multiples bouchons enregistrés dans la capitale, le commissaire Castro souligne que l’état de la chaussée et la présence des marchandes sont des éléments qui causent des embouteillages dans les principales artères de la capitale.
De plus il soutient que le blocus aux heures de pointe est normal, tout en indiquant que l’indiscipline des conducteurs peut occasionner des bouchons. " Si nous prenons la route de Delmas il n’y a pas d’aire de débarquement, le chauffeur parfois obstrue la circulation en stationnant sur demande d’un passager", ajoute le chef du service de la circulation. Il rappelle que des séminaires de recyclages sont réalisés pour les conducteurs de véhicules afin d’améliorer leur conduite.
Intervenant au journal de radio Métropole, le commissaire Castro confirme que les prix des contraventions ont augmenté selon le décret de mai 2006 expliquant que la plus petite contravention est de 250 gourdes. " Nous n’avons rien à voir avec l’élaboration d’une législation nous sommes chargés de la faire appliquer ", assure t-il.
En ce qui a trait à l’utilisation du téléphone portable au volant, le commissaire Castro informe qu’il s’agit d’une infraction punie par le décret de mai 2006.
Il assure que les agents de l’ordre pour le moment se contentent de rappeler cette interdiction aux automobilistes, précisant toutefois que les sanctions prévues par la loi doivent être appliquées.
Source Radio Métropole Haïti sur http://www.metropolehaiti.com
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
dimanche 17 juin 2007
La police annonce de nouvelles dispositions pour le transport en commun
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire