L'ex sénateur Evelyne B Cheron appelle le parlement à tenir compte des objections formulées par le président de la république René Préval autour de la loi sur le salaire minimum.
Le secteur privé ne peut pas supporter un salaire minimum augmenté de plus de 300% », a affirmé madame Cheron, qui est un membre du mouvement pour l'instauration de la démocratie en Haïti (MIDH).
Selon elle la promulgation de cette loi par l'Exécutif dans les termes que le Parlement l'a votée, affaiblira l'économie du pays au lieu de la renforcer.
L'ex sénateur n'est pas contre une révision à la hausse du salaire minimum, mais celle-ci devrait être accompagnée de mesure d'encadrement. Elle invite tous les secteurs concernés par la question du salaire minimum à dialoguer en vue de protéger les intérêts de toutes les parties.
Depuis une semaine, suite à une rencontre avec des directeurs de médias, le président René Garcia Préval a entamé une campagne tous azimuts, en achetant des espaces dans plusieurs médias de la capitale, pour faire valoir ses arguments contre la loi d'augmentation sur le salaire minimum, votée par les deux chambres au début de 2009.
RD
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=15426
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
lundi 29 juin 2009
Haïti salaire minimum : Un compromis est nécessaire selon un ancien parlementaire.
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