Aucune précision sur la finalité de ce projet
jeudi 4 septembre 2008,
Radio Kiskeya
Les pays latinoaméricains engagés militairement en Haïti et l’Organisation des Etats américains ont annoncé jeudi au Canada leur intention de travailler à la création d’une nouvelle police en Haïti, rapporte l’agence argentine DyN.
Dans le cadre de la VIIIe conférence des ministres de la défense des Amériques organisée dans la ville de Banff, en Alberta, les représentants de l’Argentine, du Brésil, du Chili, de l’Uruguay, du Pérou, de la Bolivie, de l’Equateur et du Guatémala ont discuté avec le numéro un de l’OEA, José Miguel Insulza, de la nécessité de mettre en place dans le pays une nouvelle force de sécurité.
La ministre argentine de la défense, Nilda Garré, a notamment participé à cette rencontre.
Cependant, les vrais contours de ce nouveau projet latinoaméricain concernant la sécurité publique en Haïti n’ont pas encore été précisés.
La Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH, qui compte environ 9.000 militaires et policiers internationaux, est déployée dans le pays depuis l’été 2004. Ses experts et instructeurs participent à la professionnalisation de la Police Nationale d’Haïti (PNH), seule force publique nationale existant depuis la dissolution de fait en 1994-1995 des Forces Armées d’Haïti (FAd’H) par le Président d’alors, Jean-Bertrand Aristide. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article5253
HRV commente :
Enfin, les amis d’Haïti commencent à comprendre que nos policiers ne suffisent point. Il faut créer une force nouvelle. Une force de police moderne pour certains.
Une force de Police encore plus moderne que cette force de police moderne qui a remplacé les forces armées d’Haïti.
Pourquoi avoir peur des mots. Pourquoi ne par reformer l’armée en la professionnalisant ?
Les intéressés devraient saisir la balle au bond ! L’idée a fait son chemin. Elle fleurit dans certaines têtes.
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
vendredi 5 septembre 2008
Des pays latinoaméricains et l’OEA prônent la création d’une nouvelle police en Haïti
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