Celso Amorim et Haroldo Rodas souhaitent que les haïtiens bénéficient de plus de sécurité
dimanche 16 mars 2008,
Radio Kiskeya
Les ministres des affaires étrangères du Brésil, Celso Amorim et du Guatémala, Haroldo Rodas ont salué ce week-end à Brasilia la contribution latinoaméricaine à la Mission de stabilisation de l’ONU en Haïti (MINUSTAH) tout en souhaitant l’amélioration des conditions du pays.
Selon une dépêche d’EFE, lors d’une rencontre dans la capitale fédérale brésilienne, les deux chanceliers ont, dans un communiqué conjoint, estimé nécessaire la "création d’un climat sécuritaire plus sûr au bénéfice de la population".
Amorim et Rodas ont également souhaité que les pays d’Amérique latine "aident au renforcement de l’Etat haïtien".
Plus grand contributeur de troupes avec 1.200 casques bleus, le Brésil détient aussi le commandement de la composante militaire de la MINUSTAH.
Le Guatémala dispose pour sa part d’un bataillon d’une centaine de soldats au sein de la force onusienne qui compte 9.000 militaires et policiers internationaux. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article4818
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
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