Après la libération 24 heures plus tôt de 121 détenus pour des raisons humanitaires, d’autres veulent recouvrer leur liberté dans les mêmes conditions
jeudi 8 novembre 2007,
La situation restait confuse autour du bâtiment pendant que les agents de la Direction de l’administration pénitentiaire (DAP) cherchaient à reprendre le contrôle de la situation afin de faire échouer les tentatives d’évasion.
Selon les premières informations disponibles, les mutins réclamaient à leur tour leur libération immédiate après celle de 121 autres détenus qui avait été ordonnée la veille par le commissaire du gouvernement près le parquet de Port-au-Prince, Claudy Gassant.
Les personnes libérées l’ont été pour des raisons humanitaires ou parce qu’elles étaient écrouées depuis de longs mois pour des délits mineurs. Le magistrat avait inscrit cette mesure dans le cadre d’une politique gouvernementale de décongestionnement des prisons.
Plusieurs évasions spectaculaires ont été enregistrées au Pénitencier National ces dernières années. spp/Radio Kiskeya
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