La mission des Nations Unies en Haïti craint que le manque de ressources financières n'affecte les services offerts aux Haïtiens qui ont perdu leur maison dans le tremblement de terre de 2010. Dans un communiqué publié mardi, le coordonnateur de l'action humanitaire de l'ONU en Haïti, Nigel Fisher, a révélé qu'un appel lancé l'an dernier aux donateurs internationaux afin d'amasser 382 millions de dollars avait seulement permis de recueillir 55 % de cette somme.
Ce manque à gagner a engendré une réduction des services proposés dans les camps qui abritent les milliers de personnes s'étant retrouvées à la rue en raison du séisme.
L'organisation mondiale espère maintenant recevoir 53,9 millions de dollars pour la prochaine saison des pluies, qui a déjà commencé à se faire sentir la nuit à Port-au-Prince.
Le 12 janvier 2010, un puissant tremblement de terre a dévasté la capitale haïtienne ainsi que d'autres villes au sud du pays. Quelque 1,3 million d'habitants ont été accueillis dans des camps de fortune, mais ce nombre est depuis passé à moins de 500 000.
Associated Press
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2012/03/27/012-onu-dons-habitants-seisme-haiti-saison-pluies.shtml
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
jeudi 29 mars 2012
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