Publié le 12 août 2010
La ministre de la Coopération internationale, Bev Oda, se rendra au Mali et au Mozambique pendant 10 jours à compter de lundi prochain pour discuter de l'initiative fédérale sur la santé maternelle.
Les deux pays africains sont sur la courte de liste des récipiendaires potentiels de fonds provenant de l'enveloppe canadienne de près de trois milliards de dollars. Ottawa compte diriger 80 % de ces fonds vers l'Afrique sub-saharienne. Outre le Mali et le Mozambique, la liste inclut la Tanzanie, HAITI et l'Afghanistan.
«Nous n'allons pas donner de l'argent lors de ce voyage, a précisé la ministre Oda au cours d'un entretien téléphonique avec La Presse. Cette visite a pour but d'avoir des discussions sur la manière dont le Canada peut faire des contributions pour aider leur système de santé pour réduire le poids de la maladie et de la mort des femmes et des enfants.»
Ottawa identifie la portion d'argent neuf comme étant de 1,1 milliard sur cinq ans. Mais des ONG contestent cette évaluation. Cette contribution s'ajoute aux quelque 4 milliards promis par les autres pays membres du G-20 lors de leur dernière rencontre, à Huntsville, en Ontario.
L'initiative sur la santé maternelle a connu sa part de controverses au cours des derniers mois. Divers groupes et les partis d'opposition reprochent au gouvernement d'avoir exclu l'avortement des programmes qu'il compte financer. La visite de Bev Oda aura lieu du 16 au 26 août.
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
jeudi 12 août 2010
Bev Oda en Afrique pour discuter de santé maternelle
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