30.000 Haïtiens ont trouvés du travail et sont actuellement rémunérés grâce au programme "Cash For Work" (Travail contre rémunération) du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Les travailleurs sont payés 180 gourdes pour six heures de travaille tandis que le salaire minimum est de 200 gourdes pour 8 heures de travail.
Déblaiement des décombres des bâtiments qui jonchent les rues, le broyage et le tri des matériaux recyclables ainsi que la mise au rebut des débris collectés font partis des travaux proposés par le PNUD. L'objectif global du programme "Cash For Work" est de rétablir l'électricité, réparer les infrastructures publiques, fournir l'accès à l'eau, protéger les sources d'eau, assurer l'accès aux marchés, aux dispositifs de lavage en commun et aux centres communautaires.
Jordan Ryan, Sous-administrateur du PNUD indique que ce programme permet à la fois aux Haïtiens qui y participent de gagner un peu d'argent et d'avoir le sentiment de participer à la reconstruction de leur pays. Il a rappelé qu'une priorité était accordée aux femmes qui constituent 40% des gens embauchés.
L'ambition du PNUD est d'employer 100.000 Haïtiens dans le cadre de ce programme, mais cela dépend des fonds disponibles.
N / Radio Métropole Haïti
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
vendredi 5 février 2010
Haiti : Le PNUD, un gros employeur
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