Les responsables de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH) ont démenti catégoriquement les allégations selon lesquelles les casques bleus auraient tiré sur un manifestant près de la Cathédrale de Port-au-Prince.
" A la lumière des informations préliminaires obtenues, la victime serait décédée d'une blessure à la tête, causée par une pierre ou un objet contondant ", précise un communiqué en référence à un incident qui a eu lieu après les funérailles du Père Jean-Juste. " Si les soldats de la MINUSTAH présents sur les lieux ont dû procéder à des tirs de sommation en l'air pour éloigner la foule, cela ne semble avoir aucun lien avec la mort de la victime ", souligne la Mission. " Elle est par ailleurs conforme à l'usage minimum de la force autorisé dans de telles circonstances", avait expliqué vendredi la porte parole de la Minustah, Sophie Bouteau de Lacombe.
Les responsables de La MINUSTAH ont également démenti les allégations selon lesquelles certains casques bleus auraient pénétré à l'intérieur des espaces universitaires au cours des manifestations étudiantes.
La Mission réaffirme que les instructions données à son personnel militaire et de police interdisent tout accès aux enceintes universitaires. LLM
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=15388
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
dimanche 21 juin 2009
La MINUSTAH rejette toute responsabilité dans la mort d'un manifestant
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