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mercredi 20 juin 2007

LE CHEF DE LA COMMISSION DES DROITS HUMAINS DE LA CHAMBRE DES DEPUTES NIE ESCLAVAGE MODERNE… Député confirme entassement, manque d’eau et pauvreté dan

LE CHEF DE LA COMMISSION DES DROITS HUMAINS DE LA CHAMBRE DES DEPUTES NIE ESCLAVAGE MODERNE… Député confirme entassement, manque d’eau et pauvreté dans les bateyes des (usines sucrières)

Santo Domingo.- Le président de la Commission des Droits Humains de la Chambre des Députés, Nestor Cruz Pichardo, a informé que très certainement « il existe au niveau des bateyes (usines sucrières tant du secteur public que d secteur privé, un état de pauvreté que l’on ne peut pas nier, se manifestant dans l’insalubrité, manque d’eau potable, absence de centre de santé et d’eau potable ».

De même, absence de sales de classe, entassement dans les dénommés barrancones des emplois saisonniers avec une rémunération qui ne satisfait pas les besoins du travailleur ni des membres de sa famille.

Cependant il a nié l’existence dans ces bateyes d’un état d’esclavage envers les haïtiens.

Dans une conférence de presse, le député Cruz Pichardo, a donné une réponse à la dénonciation contenue dans un documentaire diffusé à Paris, France et autres états européens, ou la République Dominicaine est accusée

de maintenir dans un état d’esclavage des citoyens haïtiens dans les bateyes des usines sucrières.

Il soutient qu’après une investigation réalisée par la commission des droits humains, il a été retrouvé que dans les bateyes du Conseil d’Etat du sucre (CEA) comme dans ceux du secteur privé, les habitants dominicains et haïtiens consacrés à la culture, la coupe de la conne à sucre, recevant le même traitement en ce qui concerne le logement, santé, éducation, salaire et conditions de travail dans un sens général, ce qui signifie qu’il n’existe aucune discrimination se basant sur la nationalité.

Il a nié qu’il existe un état d’esclavage, expliquant que pour que cet état existe, il faut qu’il y ait une absence totale de liberté et une soumission de l’esclave noir par les propriétaires de l’usine.

« Cette condition nous avons pu le prouver, ne se donne ni au sein de nos bateyes ni avec les dominicains ni les haïtiens, lesquels peuvent se déplacer librement sur tout le territoire national, élire leur lieu de travail y compris se consacrer à des activités distinctes pour lesquelles ils ont été embauchés », a expliqué le député du PRD.

La commission des droits humains soutient, qu’il s’agit d’une vulgaire campagne de discrédit contre la République Dominicaine, avec le seul objectif d’affecter « notre image à l’extérieur et faire du mal à notre économie, dans l’aire du tourisme.

Il a critiqué qu’on soit entrain de vendre l’idée que nous vivions une étape de sauvagerie ou l’on ne se respecte les droits humains et que nous ne sommes pas en mesure de garantir l’intégrité physique à aucun étranger.

Article original en espagnol paru dans l’édition digitale du Journal El Listin Diario http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=17309 traduit en français par Thom GATO pour Haïti Recto Verso.

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Réflexion très dominicaine - sans pied ni tête- conçue pour la consommation locale et domestique

1 commentaire:

Anonyme a dit…

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