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lundi 16 octobre 2023

En Haïti, on craint que la mission de l'OEA ne constate des pannes techniques qui interrompraient la construction du canal sur la rivière Masacre

NOTES:
De l'autre côté de la frontière nait l'intérêt des médias pour s'informer de ce qu'il se passe chez nous!
En ce qui concerne cet article, le texte se base sur un information publiée par vant bèf info!
Nos médias ont intérêt à bien gérer et traiter les informations!
L'ambassadeur d'Haïti auprès de l'OEA, Léon Charles, a déclaré ce vendredi qu'Haïti n'arrêtera pas la construction du canal sur la rivière Masacre.
L'inaction du gouvernement haïtien et sa lenteur à prendre le contrôle effectif des travaux sur la rivière Masacre pourraient nuire à la nation voisine.
Selon une information publiée par Yves Manuel sur le portail Vant Bèf Info (VBI), si les experts de l'Organisation des États américains (OEA), qui composeront la mission technique d'évaluation de ce projet, constatent des failles techniques dans la construction du canal , cela pourrait entraîner automatiquement l'interruption des travaux.
Divers groupes de la société civile et l'opposition politique haïtienne regrettent ce manque d'action des Ministères des Travaux Publics, de l'Environnement et de l'Agriculture et affirment que le Gouvernement est en deçà des attentes de la population.
"Contrairement à la République dominicaine, qui prend en charge le dossier, en Haïti, c'est le peuple qui donne le ton", peut-on lire dans le journal.
L'ambassadeur d'Haïti auprès de l'OEA, Léon Charles, a déclaré ce vendredi qu'Haïti n'arrêtera pas la construction du canal sur la rivière Masacre. Il a invoqué le droit du Gouvernement haïtien d'utiliser les ouvrages dans cette zone de manière juste et équitable, sur la base de l'article 10 du Traité de 1929.
L'ambassadeur a également appelé au dialogue entre les parties pour trouver une solution viable qui ne nuise pas aux deux nations, puisque la construction du canal ne s'arrêtera pas.
Cette position ferme du Gouvernement haïtien soulève de nombreuses questions sur l'avenir du projet et ses conséquences sur l'environnement et les ressources naturelles de la région.
La publication affirme qu'"il est clair que le débat commence et que des solutions diplomatiques seront nécessaires pour trouver un compromis entre les intérêts des deux pays et la protection de l'environnement".
https://www.diariolibre.com/.../temen-mision-de.../2492116

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