Haïti dispose depuis quelques semaines de trois stations sismologiques pouvant analyser les secousses telluriques enregistrées sur la faille de la presqu'île du sud. Obtenues grâce à un don du commissaire géologique du Canada, les stations ont été installées à Pétion ville, Léogane (Ouest) et Jacmel (sud-est).
Les stations sismologiques comportent chacun un sismomètre pouvant analyser les secousses inférieures à 4 et un accéléromètre pour l'analyse des séismes supérieures à 4. Elles sont gérées par l'Observatoire Nationale de l'Environnement et de la Vulnérabilité (ONEV).
Ces installations sismologiques, reliées au réseau canadien, permettent pour la première fois de noter les magnitudes des secousses telluriques inférieures à 4 non perceptibles par l'être humain.
L'ONEV est placé sous la tutelle du Ministère de l'Environnement qui avait été impliqué dans l'installation de 40 capteurs GPS le long des deux failles traversant l'Ile d'Hispaniola. Ces marqueurs installés entre juillet et novembre 2009 permettent de contrôler les mouvements des failles.
Le ministre de l'Environnement, Jean Marie Claude Germain, révèle que les informations collectées par les capteurs ont été acheminées à l'équipe d'Eric Calais, professeur de Géophysique à l'Université de Perdue (Etats-Unis).
Les capteurs et les stations sismologiques représentent la première étape dans les efforts des autorités haïtiennes visant une surveillance sismique régulière du territoire.
Toutefois le ministre Germain fait remarquer que le pays ne compte aucun expert pouvant analyser les données fournies par les matériels. Il espère que les universités haïtiennes pourront former des techniciens en géodésie spatiale, sismologie et les autres sciences liées à l'étude de l'écorce terrestre.
5 fortes répliques avaient été ressenties ces dernières 48 dans au moins trois départements géographiques. Ces répliques provoquent l'anxiété et la panique des habitants de la région métropolitaine.
LLM
Les stations sismologiques comportent chacun un sismomètre pouvant analyser les secousses inférieures à 4 et un accéléromètre pour l'analyse des séismes supérieures à 4. Elles sont gérées par l'Observatoire Nationale de l'Environnement et de la Vulnérabilité (ONEV).
Ces installations sismologiques, reliées au réseau canadien, permettent pour la première fois de noter les magnitudes des secousses telluriques inférieures à 4 non perceptibles par l'être humain.
L'ONEV est placé sous la tutelle du Ministère de l'Environnement qui avait été impliqué dans l'installation de 40 capteurs GPS le long des deux failles traversant l'Ile d'Hispaniola. Ces marqueurs installés entre juillet et novembre 2009 permettent de contrôler les mouvements des failles.
Le ministre de l'Environnement, Jean Marie Claude Germain, révèle que les informations collectées par les capteurs ont été acheminées à l'équipe d'Eric Calais, professeur de Géophysique à l'Université de Perdue (Etats-Unis).
Les capteurs et les stations sismologiques représentent la première étape dans les efforts des autorités haïtiennes visant une surveillance sismique régulière du territoire.
Toutefois le ministre Germain fait remarquer que le pays ne compte aucun expert pouvant analyser les données fournies par les matériels. Il espère que les universités haïtiennes pourront former des techniciens en géodésie spatiale, sismologie et les autres sciences liées à l'étude de l'écorce terrestre.
5 fortes répliques avaient été ressenties ces dernières 48 dans au moins trois départements géographiques. Ces répliques provoquent l'anxiété et la panique des habitants de la région métropolitaine.
LLM
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=17043
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