Le député Steven Benoit a indiqué jeudi 16 JUILLET que les chiffres fournis à la Direction Générale des Impots (DGI) par la majorité des entreprises de sous-traitance ne reflètent aucunement la réalité. . Si ces chiffres étaient réels, affirme le parlementaire, la plupart de ces entreprises qui refusent de payer les 200 gourdes par jour à leurs employés, auraient déjà fermé boutique. . Comment comprendre qu'une entreprise qui ne déclare que des pertes depuis 5 ans continue de fonctionner, s'est interrogé le parlementaire qui n'a pas voulu citer nommément les entreprises qui se trouve dans cette Situation. . Le député Benoit affirme que ce n'est pas en payant un salaire minimum de 200 gourdes que les entreprises ayant soumis leurs états financiers à la DGI entre 2004 et 2008 vont s'effondrer. . Il rappelle que lorsqu'il avait déposé au Parlement le projet de loi sur le salaire minimum proposant 200 gourdes (5 USD) par jour, ce salaire était de 7 dollars US chez les voisin dominicains et aujourd'hui, ajoute-il, ce salaire est passé à 9 USD . Plusieurs élus dont Steven Benoît, avaient mis l'accent sur l'importance des états financiers qui permettront de vérifier l'incapacité des entreprises à payer 200 gourdes de salaire minimum aux ouvriers. RD
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Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
dimanche 19 juillet 2009
Haïti salaire minimum : Le député Steven Benoit crie au scandale après sa visite à la DGI
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