La moitié de la dette, soit plus de 500 millions de dollars a été annulée. " Le processus est enclenché pour éliminer l’autre partie, je suis certain que cela va arriver bientôt", a assuré M. Zoellick faisant remarquer que certaines conditions devraient être remplies. Il cite entre autres la transparence, la lutte contre la corruption et la bonne gouvernance." Le problème ce n’est pas la dette, Haïti a besoin de moyens nouveaux", a expliqué le président de la Banque Mondiale.
Lors d’un point de presse M. Zoellick a insisté sur son soutien ferme à Haïti au vu des efforts déployés pour relever le défi de la pauvreté et pour se remettre des récentes catastrophes naturelles. " L'État haïtien et les bailleurs de fonds doivent faire avancer le programme de développement global du pays, œuvrer ensemble sur le front des efforts de redressement et de reconstruction et promouvoir une nouvelle vision pour favoriser la croissance et le développement à moyen terme, en s'appuyant sur la Stratégie pour la croissance et pour la réduction de la pauvreté d'Haïti, " a martelé M. Zoellick.
Au cours de sa visite M. Zoellick a eu l'occasion de constater l'étendue des dégâts causés par les inondations dans les zones affectées par les catastrophes naturelles, notamment aux Gonaïves.
Tout en insistant sur la nécessité de reconstruire le pays et de mettre en place un plan d'intervention coordonné en réponse aux catastrophes, le président de la Banque mondiale a mis l'accent sur l'importance du programme de développement du pays qui prévoit l'accroissement de la production agricole, la sécurité nutritionnelle, ainsi que l'amélioration de l'éducation et de la santé pour tous les Haïtiens.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14200
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D’après ce que j’ai cru comprendre c’est que l’annulation de la dette permettrait à Haïti d’économiser près de 50.000.000 de dollars par an.
Souvent on cherche des boucs émissaires quand on évoque la dette d’Haïti et là, on a envie de se laisser entraîner par cette réflexion qui voudrait présenter les bailleurs de fonds ou les organismes prêteurs comme des vilains et les pauvres haïtiens comme des victimes.
Les économistes spécialisé dans cette histoire de dette sont unanimes à reconnaître une répartition des fautes de la part des deux parties. Ce qui est incompréhensible c’est le fait que les organismes internationaux n’aient jamais exiger de la transparence dans l’utilisation des fonds et souvent ils ont continué à financer des projets inefficaces.
Aujourd’hui il semblerait que tout le monde se dirige vers la correction des manières erronées de gérer les affaires de l’état : contre la corruption, transparence, bonne gouvernance. Bientôt on inclura aussi l’utilisation des capacités et des compétences !
Souvent on cherche des boucs émissaires quand on évoque la dette d’Haïti et là, on a envie de se laisser entraîner par cette réflexion qui voudrait présenter les bailleurs de fonds ou les organismes prêteurs comme des vilains et les pauvres haïtiens comme des victimes.
Les économistes spécialisé dans cette histoire de dette sont unanimes à reconnaître une répartition des fautes de la part des deux parties. Ce qui est incompréhensible c’est le fait que les organismes internationaux n’aient jamais exiger de la transparence dans l’utilisation des fonds et souvent ils ont continué à financer des projets inefficaces.
Aujourd’hui il semblerait que tout le monde se dirige vers la correction des manières erronées de gérer les affaires de l’état : contre la corruption, transparence, bonne gouvernance. Bientôt on inclura aussi l’utilisation des capacités et des compétences !
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