D’abord, les déclarations de Wilner Etienne l’actuel entraîneur national et ancien adjoint de Wagneau Eloi, ont laissé croire que l’ancien pensionnaire de l’AS Monaco n’avait pas la pleine et entière collaboration du reste du staff technique. Ensuite, le président de la Fédération Haïtienne de Football le Dr Yves Jn-Bart (Dadou) fait l’objet d’une convocation judiciaire par le parquet de Port-au-Prince pour mauvaise gestion. Parallèlement, un ancien protégé de Dadou, M. Kesner Pharel, a porté plainte contre l’actuel président du bureau fédéral pour menaces verbales.
Et, la situation du docteur Jean-Bart risque de se compliquer davantage quand on sait qu’entre le président de la Fédération Haïtienne de Football et l’actuel Ministre des sports Evans Lescouflair, c’est du « je t’aime, moi non plus ». Monsieur Lescouflair était même suspecté par l’entourage du bureau fédéral d’avoir « magouillé » (je cite les proches du bureau fédéral) pour la mise à l’écart de Yves Jean-Bart de l’instance suprême du football haïtien.
Cela dit, à seulement quelques heures de cette rencontre capitale de la sélection nationale contre le Salvador, ça fait quand même beaucoup pour l’entourage des Grenadiers. Ce qui risque d’affecter davantage le morale d’un groupe déjà en très mauvais état.
Auteur: Guyto Rivière
guytoriviere@yahoo.fr
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14155
HRV opine:
Requiem pour “Back to Africa!”
A l’issue de cette rencontre dont la résultat ne fait aucun doute, il n’existera plus la possibilité mathématique de qualification pour le tournoi hexagonal final. Et le rêve de participation haïtienne à la prochaine coupe du monde 2010 s’étiolera définitivement dans le creuset du merveilleux et du miraculeux.
Le programme “back to Africa” contemplait une participation extra officielle des gens de la fameuse diaspora haïtienne pour supporter, subventionner et financer la préparation de l’équipe haïtienne.
Les concepteurs de ce projet commettent l’erreur typique de tous ceux-là qui pensent pouvoir déresponsabiliser l’état de ses obligations incontournables. Les fournisseurs d’ONG ont fait la même bourde. Ceci explique pourquoi après plus de 20 ans d’ONGisation des activités en Haïti, le pays continue à sombrer dans une misère hallucinante.
Les gens de Back to Africa, des citoyens qui voulaient simplement se faire remarquer sans réfléchir sur le rapport entre l’ampleur de l’exploit qu’ils prétendaient réaliser et les faibles moyens (financiers et intellectuels) dont ils disposaient.
Les choses se passent comme ça chez nous. Depuis le « tout moun sé moun » l’orchestre a distribué les partition n’importe comment. Aujourd‘hui les pays de la zone investissent à la recherche de l’efficacité et nous nous continuons à croire au miracle.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=14155
HRV opine:
Requiem pour “Back to Africa!”
A l’issue de cette rencontre dont la résultat ne fait aucun doute, il n’existera plus la possibilité mathématique de qualification pour le tournoi hexagonal final. Et le rêve de participation haïtienne à la prochaine coupe du monde 2010 s’étiolera définitivement dans le creuset du merveilleux et du miraculeux.
Le programme “back to Africa” contemplait une participation extra officielle des gens de la fameuse diaspora haïtienne pour supporter, subventionner et financer la préparation de l’équipe haïtienne.
Les concepteurs de ce projet commettent l’erreur typique de tous ceux-là qui pensent pouvoir déresponsabiliser l’état de ses obligations incontournables. Les fournisseurs d’ONG ont fait la même bourde. Ceci explique pourquoi après plus de 20 ans d’ONGisation des activités en Haïti, le pays continue à sombrer dans une misère hallucinante.
Les gens de Back to Africa, des citoyens qui voulaient simplement se faire remarquer sans réfléchir sur le rapport entre l’ampleur de l’exploit qu’ils prétendaient réaliser et les faibles moyens (financiers et intellectuels) dont ils disposaient.
Les choses se passent comme ça chez nous. Depuis le « tout moun sé moun » l’orchestre a distribué les partition n’importe comment. Aujourd‘hui les pays de la zone investissent à la recherche de l’efficacité et nous nous continuons à croire au miracle.
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