La Tuberculose en Haïti : réduction de 3% avec 20.000 cas annuel. 25 ans de travail pour réduire la prévalence de moitié.
Ce sont en effet quelques une des chiffres mentionnées au cours de la réunion du 24 avril autour de la Tuberculose en Haïti.
Bailleurs de fonds, médecins, prestataires et bénéficiaires des services se sont réunis pour faire le point sur cette maladie endémique en Haïti.
Nous ne savons si nous devons applaudir ou bouder ces résultats cependant rien d’étonnant si on considère la situation sanitaire, sociale et économique du pays. Dans les conditions de vie des haïtiens caractérisées par la malnutrition, l’insalubrité et la promiscuité, le bacille de Kock doit retrouver le milieu de culture le plus enrichissant sur terre.
Le contrôle de cette maladie comme bien d’autres qui sont endémiques dans des pays au profil social identique au notre, passe par une amélioration des niveaux de vie.Les actions trop ciblées à caractère solitaire dans la vision des choses correspondent souvent à des intérêts dont il faut chercher le sens bien au-delà du contrôle et de la résolution du problème.
Lire l’article de Panos Caraïbes sur : http://www.lenouvellsite.com
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
mercredi 26 mars 2008
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