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lundi 18 juin 2007

On annonce la création d’un comité contre les crimes.

On annonce la création d’un comité contre les crimes.

Un groupe de citoyens affectés par des crimes non encore résolus, par les autorités policières ont annoncé hier la conformation du « Comité de Solidarité contre les crimes, la corruption et l’impunité », à travers duquel on peut exiger plus d’efficacité à la recherche de coupables et d’éclaircissement des faits délictuels.

L’entrepreneur Nemen Nader à la tête du groupe, a informé que des bureaux seront installés en différents points du pays ou les familles et les intéressés pourront acheminer leurs dénonciations pour faire des pressions pour la résolution des cas.

Nader est le père de Yasser Alberto Nader Rojas, un des trois jeunes ayant trouvé la mort le 23 mai dernier au décours d’un échange de tirs qui a eu lieu sur le parking d’une discothèque de l’avenue Tiradentes, de la capitale.

Lors de l’incident ont été tués Fidel Ernesto Estevez Hernandez, de 33 ans, et le jeune chef d’entreprise Ignacio Antonio Mañon Tapia de 32 ans.

Au cours d’une intervention à travers le programme télévisé « Triangle Informatif », que produit Johnny Carpio, Nader a indiqué que initialement les intégrants du comité sont Eric Alberto Christopher Martinez, qui fut assassiné le 12 juillet 2006.

Aussi le coordinateur de Presse et relations publiques, T.R Williams et Ernan Santana qui offrira une assistance légale au mouvement.

Nader, qui joue le rôle comme dirigeant politique, a lancé un appel à toutes les personnes intéressées à dénoncer de le faire en utilisant les numéros 809-428-8899 et 809-482-3534 ou en se dirigeant au numéro 5 de la rue Privada, du Mirador Sur, de la capitale, au local hébergeant le bureau de son fils.

Au cours de l’entrevue télévisée, il présenta une liste de 23 questions en relation avec le décès des jeunes et a exigé des explications aux autorités policières et judiciaires.

Les questions contiennent une accusation contre le bureau du chef de la police du fait de cacher des preuves relatives au crime et de la négation du chef de l’institution, Bernardo Santana Paez, d’éclaircir les doutes.

Article paru dans l’édition digitale du Journal HOY (lisible en Espagnol) sur http://www.hoy.com.do/article.aspx?id=25759 traduit par Thom GATO pour Haïti Recto Verso.

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